samedi 25 novembre 2023

RAPPEL ! LA DROGUE DANS NOS MILIEUX DIRIGEANTS ! TOUS CAMÉS ?

 


La drogue et la morale dans nos milieux dirigeants

Dans la nuit du mardi 14 au mercredi 15 novembre 2023, Sandrine Josso, 48 ans, députée macroniste, se serait sentie mal après avoir pris un verre au domicile parisien du sénateur Joël Guerriau, avec qui elle n’entretenait pas de relation intime.


Selon son avocate, Sandrine Josso a été « prise de malaises après avoir bu une coupe de champagne », puis elle a aperçu Joël Guerriau « se saisir d’un petit sachet en plastique contenant quelque chose de blanc ». 

Sueurs froides, rythme cardiaque qui s’accélère… 

Malgré le vertige qui la gagnait, elle a quitté les lieux sans alerter son hôte. Puis elle a regagné l’Assemblée nationale.

 Deux collègues ont appelé les pompiers.

Des prélèvements ont révélé la présence d’ecstasy dans l’organisme de la députée. 

Les enquêteurs ont retrouvé de l’ecstasy au bureau du sénateur et à son domicile.


Des tests effectués ont révélé des traces d’amphétamines, d’opiacées, de cannabis, de cocaïne, de méthadone et d’ecstasy dans l’organisme de Joël Guerriau.


Joël Guerriau, 66 ans, banquier de profession, sénateur sous l’étiquette Horizons, secrétaire du Sénat et vice-président de la commission des Affaires étrangères, est interpellé mercredi soir, placé en garde à vue, mis en examen vendredi. 

 Il est accusé « d’administration à l’insu de Sandrine Josso d’une substance de nature à aliéner son discernement ou le contrôle de ses actes, afin de commettre un viol ou une agression sexuelle et détention et usage de substances classées comme stupéfiants ».

 Il sera entendu en janvier par un juge d’instruction pour la suite de la procédure.

Pour se défendre, Joël Guerriau raconte avoir cru s’être procuré un euphorisant pour sa propre consommation, afin de faire face à des épreuves personnelles, la visite d’un ami malade atteint d’un cancer et la mort de son chat. Et il conteste les informations.


Samedi, Joël Guerriau a été suspendu par son parti Horizons et par son groupe parlementaire, qui pourraient l’exclure définitivement.

 Lundi, Gérard Larcher, président du Sénat, lui a demandé de « se mettre en retrait de toutes ses activités liées à son mandat ».

Le 4 novembre 2020, le même Joël Guerriau donnait des leçons sur la drogue au Sénat :
« Si les produits stupéfiants sont dangereux pour la santé de ceux qui les consomment, leurs trafics sont aussi plus généralement néfastes pour l’ensemble de la société. 

La consommation des drogues a causé la mort de 585 000 personnes en 2017, d’après un rapport fait en 2019 par les Nations Unies. 

Si les produits stupéfiants sont dangereux pour la santé de ceux qui les consomment, leurs trafics sont aussi plus généralement néfastes pour l’ensemble de la société.

Ces produits font en effet l’objet d’un commerce lucratif dont les fonds viennent alimenter d’autres activités criminelles au premier rang desquelles le terrorisme.

 Les liens entre la culture afghane du pavot et le financement des Talibans ne sont plus à démontrer, pas plus d’ailleurs que ceux qui unissent les productions du triangle d’or aux mafias et guérillas de cette région. 

Parce que le trafic de drogue ne connaît pas de frontières, parce qu’il participe au financement de déstabilisation contre les États, ces derniers ont intérêt à unir leur combat contre la drogue ».
Joël Guerriau faisait de la lutte contre le trafic de drogue un combat politique. Il était membre d’une mission d’information sur le trafic de stupéfiants en provenance de Guyane.

Le cas de Joël Guerriau n’est pas isolé. Certains élus s’en mettraient plein le nez. Sur des photos,
on voit Macron se frotter le nez du revers de la main. Une autre le montre les yeux mi-clos.

 François Asselineau raconte une rumeur selon laquelle « M. Macron consommerait des psychotropes ou des drogues, et notamment de la cocaïne ».

26 janvier 2023 : Emmanuel Pellerin, député, accusé d’avoir consommé de la drogue, annonce son retrait de son groupe politique et du parti Renaissance.


Gérard Fauré, ancien trafiquant de cocaïne à l’échelle internationale, emprisonné à plusieurs reprises, aurait fourni en substances illicites des dizaines de stars et d’hommes politiques, pendant des années.

 Le verbe aurait fourni est au mode conditionnel, mais c’est quasiment une certitude.


Pierre Palmade, Johnny Halliday, Thierry Ardisson, Frédéric Beigbedder ont publiquement évoqué leur addiction à la cocaïne.


Nombre de célébrités, artistes, hommes politiques, sportifs, ont goûté aux stupéfiants et sont tombés dans l’enfer de la drogue. Ils se défoncent par goût, par vice, pour participer à des orgies sexuelles, pour améliorer leur dynamisme physique et intellectuel.

 C’est leur problème. Et comme la police et la justice font preuve d’une grande clémence et d’une grande mansuétude à leur égard, pourquoi se gêner ?

Mais ils entraînent le peuple, et en particulier la jeunesse dans leurs dérives et leur dévoiement.
Le projet mondial, l’Aurore Rouge, élaboré dans la deuxième moitié du XXe siècle, stimule la consommation de drogue. 

Selon ce programme mis en oeuvre et appliqué, l’esclavage des enfants, le pillage des richesses du tiers-monde, le chômage, LA PROPAGANDE POUR LA LIBÉRATION DE LA DROGUE, l’abrutissement de la jeunesse des nations, l’idéologie du Respect de la Liberté individuelle, les conflits inter-ethniques, l’obscurantisme considéré comme une base de la fierté, les restrictions budgétaires, tout cela permet de voir l’accomplissement du rêve ancestral, celui de l’instauration du NOUVEL ORDRE MONDIAL.

 Les « Grands de ce monde », et leurs puissants maîtres occultes incitent hypocritement à l’absorption de drogue.

 Cela fait partie de leur plan.

 Les produits illicites se répandent dans les villes, et jusque dans les campagnes.
L’usage de la drogue, devenu un fléau, touche la caste au pouvoir et une part non négligeable du peuple. Calamité soigneusement camouflée et escamotée.


Mais l’achat et la vente de schnouff donne lieu à un commerce très lucratif, où interviennent les producteurs, la mafia officielle, la mafia en col blanc, les revendeurs dealers maghrébins… 

La fin justifie les moyens. Alors aucune borne n’arrête les trafiquants.

Jacques Attali prédit un monde futur où les masses se noient dans l’amusement et la sexualité débridée et hors normes, pour échapper à leur vie incertaine et sans signification. 

De concert avec le divertissement, les drogues seront légalisées pour nous rendre insensibles à la folie croissante qui nous entoure : « Alcool, cannabis, opium, morphine, héroïne, cocaïne, produits de synthèse (amphétamines, méthamphétamines, ecstasy). 

Les drogues chimiques, biologiques ou électroniques, distribuées par des « réparateurs automatiques », deviendront des produits de consommation courante dans un monde sans loi de police, dont les principales victimes seront les infranomades ». (Infranomades = pauvres du monde).

Yuval Noah Harari, issu de la même communauté, caresse les mêmes espoirs : « Pour occuper les gens inutiles, il faut leur donner des drogues et des jeux vidéo ». 

Pour lui, l’accès au plaisir et au bonheur repose sur des bases biochimiques. Aussi, l’humain continuera de chercher à « truquer le système ». Il s’y essaie déjà depuis toute antiquité, depuis l’usage des drogues traditionnelles jusqu’aux plus récents des psychotropes.

L’attitude des oligarques face à la drogue dénude leur conception de la morale. Ils donnent des leçons de morale, de pureté dans toutes leurs interventions. Eux seuls se comportent bien.


Les abus de pouvoir, les détournements de fonds publics, la triche aux élections, la partialité, ce n’est pas eux. Leur morale ? Une morale de l’hypocrisie, qui dissimule, qui esquive, qui ment par omission ou par calcul, qui manipule les esprits et les consciences. 

Dans Tartuffe, en 1664, Molière peignit les faux dévots de son époque. Tartuffe, type éternel, immortalise tous ces gens pour qui le double jeu, la duplicité, est un art. Combien de Tartuffe, d’imposteurs dans notre monde moderne ? Faux démocrates, faux laïques, faux justes, faux humanistes, faux culs !

Mais vrais bourgeois qui s’accrochent à leurs vrais privilèges, à leurs vraies fortunes, comme des sangsues à leurs proies. Dans ce milieu, le faux-semblant, le clinquant, le paraître, la parade médiatique, supplantent la confrontation avec la réalité.


Leur morale ? Une morale de la petitesse. Des accommodements devant la force électorale, des compromissions, des alliances de circonstance. Bassesse, mesquinerie, couardise, déshonneur, manque de courage. Inclination et prosternation devant tout ce qui peut apporter des voix.


Un pouvoir complaisant, indulgent, et bienveillant envers les coupables et responsables immigrés.
Mais impitoyable, implacable, inflexible envers les faibles, les gens qui ne représentent rien, les innocents honnêtes qui osent se défendre.


Leur morale ? Une morale digne de la casuistique. La casuistique consiste à résoudre les problèmes posés par l’action concrète au moyen de principes généraux et de l’étude cas similaires.

 Au XVIIe siècle, dans les années 1650-1660, le mot devient synonyme de subtilité excessive et de mauvaise foi, permettant le laxisme et le minimalisme. 

 L’intention, habilement dirigée, justifie le mal de l’action ou en tout cas le rectifie. Mentir, tromper, tuer même, suivre ses penchants naturels, ne sont que des fautes vénielles, humaines, puisque l’intention n’est pas perverse. Les règles de la morale commune peuvent alors souffrir des exceptions.

Tous les membres de la caste politique, médiatique, judiciaire, universitaire, médicale, se drapent dans les bonnes intentions du social, de la justice, de la moralité, de la pureté, de la santé, de l’éducation, truffent leurs discours de ces mots ondoyants et de ces objectifs humanistes, mais masquent leurs penchants naturels, occultent leurs visées réelles, éclipsent leurs arrière-pensées.


« L’argent qui corrompt », répétait à l’envi Mitterrand.
« Je n’aime pas les riches » « Mon principal adversaire n’a pas de nom…

 Mon adversaire, c’est la finance, c’est-à-dire l’empire de l’argent qui s’est installé », haranguait Hollande avec conviction.
On a vu la suite. 

Depuis que la gauche monopolise le pouvoir, jamais l’argent, les finances n’ont
connu une telle extension et une telle ampleur.


Derrière le slogan de la liberté sans entraves, avance une nouvelle morale, une morale avec ses prescriptions et ses interdits. 

Le Bien et le Mal ont changé de nom, changé de place. Une morale de contrebande.

La règle officielle s’énonce ainsi : les jugements sont égaux, les comportements sont libres.

 Les hommes se valent, les valeurs se valent. 

Mais il y a deux mondes, deux camps, à la limite deux types d’homme. En pratique, la modernité suppose la tolérance, mais borne la portée de la tolérance.

 Car quiconque parle autrement offense la tolérance ou l’égalité. 

Derrière l’apparence de liberté, le principe de tolérance fonctionne comme une censure : celui qui distingue les styles de vie selon leur moralité, les œuvres selon leur qualité, fait preuve d’intolérance. 

Celui qui parle de talent, de sagesse ou de vertu fait preuve d’intolérance.

L’histoire a tranché : le monde dit moderne est inconditionnellement supérieur à tous les mondes anciens parce qu’il incarne l’émancipation humaine.

 Les choix sont libres pourvu qu’ils soient modernes. Les opinions sont égales pourvu qu’elles soient modernes. 

Les hommes se valent pourvu qu’ils soient modernes.

 Le reste relève d’un monde ou d’un héritage de préjugés, de tabous, d’intolérance ou de fanatisme.
La modernité nous fait la morale, nous dit comment nous devons nous comporter. 

Elle substitue à la morale traditionnelle une morale nouvelle qui en prend le contre-pied. 

Cette morale nouvelle a deux volets.

 Une doctrine relativiste parle en termes universels et discrédite les idées de Bien et de Mal.

 

 Une doctrine dogmatique redéfinit le Bien et le Mal : certaines valeurs s’imposent, certains hommes sont coupables.

Par Jean Saunier   https://ripostelaique.com



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Caroline Janvier députée macroniste le dit « il y a des soirées où la drogue circule » et elle parle des soirées de députés et ministres macronistes. 
Voilà par qui nous sommes dirigés. 
On comprend dorénavant pourquoi ces gens agissent ainsi, ils ne sont pas que nuls, ils sont aussi drogués et alcooliques.
 Et c’est eux qui dirigent l’Etat.
 
 

 
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