samedi 25 novembre 2023

LES DIRIGEANTS DE L' U E CONTRE LEURS PEUPLES ? REVISION DES TRAITÉS EUROPÉENS

 


 

Un réquisitoire contre le mondialisme et sa servante, l’Europe de Bruxelles

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C’est une entreprise titanesque qui se déploie au-dessus de nos têtes, une entreprise de pompes funèbres. 

Cette entreprise, Stéphane Buffetaut, que les lecteurs de BV connaissent bien, la décrypte et lui fait la guerre. 

Un livre tout neuf, Bienvenue en Absurdistan, publié aux Presses de la Délivrance, rassemble ses chroniques publiées dans BV et sur le site Le Salon beige.

À cet enterrement du vieux monde, nous ne sommes pas conviés, nous les vieux peuples, les « Gaulois réfractaires », nous autres « somewhere », gens de quelque part. 

Bien sûr, on peut apporter des fleurs sur les tombes familiales le Jour des morts, au lendemain de la Toussaint. 

Bien sûr, on peut s’intéresser au passé, lire des livres, prier en vibrant sous les voûtes de la cathédrale de Chartres ou d’une église de campagne. 

Bien sûr, on peut aimer plus que tout notre culture, notre terre, cette trace extraordinaire qu’ont laissée nos ancêtres dans la littérature, l’architecture, la musique, la peinture, l’économie, les progrès industriels et techniques, le savoir-vivre, tout ce qui fait la finesse et la splendeur d’une civilisation. 

Bien sûr, on peut lire sur nos monuments aux morts le nom des hommes qui ont donné leur vie à ce petit coin du monde qu’on appelle la France.

Combattant de la plume

Mais voilà, pour les tenants d’une Europe sans frontières, sans peuple et sans culture, pour ces rêveurs d’un mondialisme façon champ de ruines, si bien représentés par les gouvernements nommés par Emmanuel Macron, tout cela tient du passé, pour ne pas dire du mal. 

La France ? Au mieux une vieille poupée qu’on n’ose pas jeter, au pire le ventre d’où a surgi la bête immonde. « La bêtise humaine seule donne une idée de l’infini », disait le bon Ernest Renan.

 Et le même Renan ajoutait que « les vrais hommes de progrès ont pour point de départ un vrai respect du passé ». Nos mondialistes ne sont pas des hommes de progrès. 

Qui dit passé, en France, dit frontières, culture et identité.

En cela, Stéphane Buffetaut est bien Français. Il dénonce sans pitié les grands malheurs du temps et de leurs causes : « l'impuissance politique, l'incohérence et le délire administratif et réglementaire, français ou européen, confondu avec de l'action politique », écrit-il.

L’auteur a le profil idéal de ces combattants de la plume. Il n’a rien d’un excité du bocal.

 C’est un homme politique qui a exercé et exerce toujours des mandats, aujourd’hui localement. Le lien à la terre, au concret, aux gens, aux souffrances et aux joies des uns et des autres vous vaccine contre l’idéologie des élites autoproclamées bien nourries, qui se rengorgent. 

Elles ont vomi l’identité et la culture de la France, combattu le patriotisme le plus sain et le plus naturel, détruit de ce qui faisait l’âme et les racines du pays, en passant par son économie (industrie, agriculture…) et ses structures d’avenir comme l’éducation. 

Elles attendent aujourd’hui les honneurs : qu’elles ne comptent pas sur Stéphane Buffetaut. Il y a du Pompidou, chez le chroniqueur de Boulevard Voltaire et du Salon beige, lorsqu’il écrit que « le premier devoir de l’autorité politique est d’assurer une vie paisible et sûre à ses citoyens ».

 Les démolisseurs Verts, les possédés de la NUPES et les sans-attaches du macronisme devraient méditer ce sens de la vocation politique.

 

Laisser les choses viles...

Encore faut-il aller dans le détail, identifier et révéler les manœuvres, dénoncer les causes du mal. 

Sans oublier de proposer, de manière réaliste et courageuse.

 Il faut du courage pour affronter le « camp du bien » et ses « matons de Panurge », comme les appelait si délicieusement le regretté Philippe Muray.

 Il désignait ainsi ceux qui gardent l’opinion dans le droit chemin, le fouet à la main. Il faut du courage pour expliquer à ses contemporains qu’ils se sont trompés, parce qu’on les a trompés. 

« L’illusion qu’à travers l’Union européenne, la France retrouvera sa puissance passée a été partagée par la droite comme par la gauche, explique Stéphane Buffetaut. 

C’est un songe qui s’est traduit par l’abdication de notre souveraineté entre les mains de technocrates dont le mode de fonctionnement est le contrôle. »

Derrière les mots calmes, les démonstrations charpentées du chroniqueur, derrière sa connaissance profonde et fine des arcanes et des arnaques du macronisme, il y a un refus. 

Un non. 

Une révolte qui bout. 

Un attachement qui ne veut pas céder. Cela range l’auteur et son livre précieux, indispensable même, parmi les héros d’une Résistance moderne. 

Elle finira par l’emporter parce qu’elle repose sur le vrai et le bien. Parce que l’Histoire de France n’est pas close.

 Et parce qu’il faut « laisser les choses viles mourir de leur propre poison »

Il n’est pas interdit de les y aider un peu...

 C’est ce qu’il fait, avec talent.

 




 

Révision des traités européens. 

Les dirigeants de l’Union Européenne contre leurs peuples ?

Le Parlement européen a approuvé ses propositions de réforme des traités de l’Union mercredi (22 novembre), demandant au Conseil de l’UE de soumettre les propositions au Conseil européen afin que les chefs d’État ou de gouvernement mettent en place une Convention qui devra se pencher sur la révision.

 

Les députés macronistes ont voté pour cette proposition de réforme, qui bafoue une fois de plus le résultat du référendum sur la constitution européenne.

Le rapport contenant les propositions a été approuvé par 305 voix pour, 276 voix contre et 29 abstentions. 

La résolution l’accompagnant a été adoptée par 291 voix pour, 274 contre et 44 abstentions.

« Suite à l’approbation en plénière, le Parlement européen a communiqué la demande d’ouverture d’une Convention visant à réformer les traités à la présidence espagnole du Conseil de l’UE.

 La présidence doit transmettre la demande au Conseil européen afin d’inscrire à l’ordre du jour du prochain sommet (qui se tiendra à la mi-décembre) un vote sur l’ouverture ou non de la Convention.

 Selon les procédures en vigueur, les chefs d’État voteront sur cette ouverture à la majorité simple.

La constitution de la Convention n’est pas encore clairement définie, mais elle devrait être composée de représentants de l’UE ainsi que des gouvernements et des parlements nationaux.

 Une fois la Convention ouverte, la discussion sur la manière de réformer les traités commencera, et les propositions du Parlement européen seront intégrées à la discussion.

 Les projets de réforme seront ensuite adoptés par consensus. 

Lors du débat en plénière sur le sujet mardi (21 novembre), la présidence espagnole a annoncé aux eurodéputés qu’elle transmettrait la demande d’inscrire le vote à l’ordre du jour du mois de décembre au Conseil européen » indique Euractiv

Nous vous laissons découvrir un panel du contenu de cette révision des traités européens, une révision qui semble dirigée contre les peuples européens eux mêmes (qui pourraient rapidement sanctionner les dirigeants lors des prochaines élections européennes de juin prochain).

 

Les principales nouveautés du projet de modification des traités sur l’UE adopté par le Parlement européen :

  • La prise de décision à l’unanimité des Etats membres (Conseil européen) devient l’exception, le vote à la majorité simple ou qualifiée la règle
  •  
  • On ne parle plus d’égalité entre les hommes et les femmes mais entre les “genres”
    • Les Etats ne devront plus assurer l’égalité des rémunérations entre travailleurs “masculins et féminins” mais entre “tous les travailleurs, sans distinction de genre“.
    •  Il n’y a plus de discriminations fondées “sur le sexe” mais des discriminations fondées “sur le genre”
    • On ne parlera plus de “sexe sous-représenté” mais de “genres sous-représentés dans toute leur diversité”

  • Le personnel de l’administration européenne devra refléter “l’égalité de genre et la diversité de la société” (discrimination positive)

  • Création d’une fonction de “Président de l’Union européenne” en remplacement des président du Conseil européen et de la Commission qui est elle-même remplacée par un “exécutif”

  • La politique étrangère et de sécurité commune n’est plus adoptée à l’unanimité mais à la majorité qualifiée

  • Création d’une “union de la défense” dotée de “capacités militaires” sous le “commandement opérationnel de l’UE” qui peut acquérir des armes au nom de l’UE ⇒ constitution d’une véritable armée de l’UE

  • Mise en place d’un mécanisme de défense collective : une attaque contre un Etat membre de l’UE est considérée comme une attaque contre tous ses Etats membres

  • L’UE pourra avoir recours à des moyens civils et militaires contre… les campagnes de désinformation

  • Compétence exclusive de l’UE au détriment des Etats membres pour conclure et négocier les accords internationaux sur le changement climatique

  • L’UE aura dorénavant une compétence partagée avec les Etats membres sur les questions de santé publique, “l’accès universel et complet à la santé” et les “droits sexuels et génésiques”. (Cela signifie que les Etats membres ne pourront agir que si l’UE a décidé de ne pas le faire ou qu’elle n’a pas encore proposé de législation)

  •  
  • Il en est de même pour :
    • la politique des frontières extérieures
    • les affaires étrangères
    • la sécurité extérieure
    • la défense
    • la protection civile
    • l’industrie
    • l’éducation
  •  
  • La politique commune migratoire devra tenir compte de la stabilité économique et sociale des Etats membres et répondre aux besoins de mains d’oeuvre du marché unique

  • L’UE ne pourra définir que les conditions “minimales” d’entrée et de séjour ainsi que les normes “minimales” de délivrance de visas et titres de séjour de longue durée

  • L’UE sera dorénavant compétente pour définir les règles minimales relatives à la définition des infractions pénales et des sanctions dans les domaines de la “violence fondée sur le genre” et “la criminalité environnementale“

  • L’UE pourra compléter l’action des Etats membres dans la lutte contre la pauvreté et le “soutien au logement social”

  • Création d’un “Etat d’urgence” européen : Le Parlement européen, à la majorité simple, avec le Conseil européen, à la majorité qualifiée, pourront donner des pouvoirs extraordinaires à la Commission (l’exécutif)

  • Instauration d’un droit fondamental à “l’autonomie corporelle” et à un “accès universel à la santé” “sans discrimination

 

Plus d’informations ici

 

 

Crédit photo : DR (photo d’illustration)
[cc] Breizh-info.com, 2023, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

 

 ET AUSSI

L’UE est en train de réaliser sous nos yeux un véritable coup d’État

C’est terminé, l’Union européenne vient de franchir le Rubicon en votant la création d’un « État européen ». 

Comprenez bien qu’en prenant cette décision, l’UE vient de décider que cet État européen va se substituer à toutes les nations existantes, membres de l’Union européenne.

Cette forfaiture vient d’être commise avec les voix de TOUS les macronistes.

Lorsque ces mesures seront mises en place, les pays de l’UE ne seront plus que des « régions » ou des « provinces » mais plus des États à part entière. 

 Les conséquences de cette révolution, car c’en est une, sont incalculables.

Ne tournons pas autour du pot. N’ayons pas peur d’utiliser les mots appropriés, nous assistons en direct à un authentique coup d’État.

Parmi les principales mesures (liste non exhaustive), voyons celles qui sont les plus importantes :

  • La prise de décision à l’unanimité des États membres devient l’exception. Le vote à la majorité simple ou qualifiée la règle.

On rappellera à ce sujet que c’est le général De Gaulle en 1966 qui a imposé le vote des États membres à l’unanimité sur les questions importantes (Accord de Luxembourg). 

Il l’a obtenu en pratiquant la politique de la « chaise vide » en réponse à Walter Hallstein qui voulait imposer son projet d’Europe fédérale. 

À l’époque, De Gaulle avait obtenu gain de cause, et même le départ de Walter Hallstein en 1967.

On assiste au retour du même projet, mais en bien pire que ce que prévoyait Hallstein en 1966.

  • Création d’une fonction de « Président de l’Union européenne » en remplacement des présidents du « Conseil européen » et de la Commission européenne » qui est elle-même remplacée par un « exécutif ».
  • La politique étrangère et de sécurité commune n’est plus adoptée à l’unanimité mais à la majorité qualifiée.

Qui est assez naïf pour croire que le président ou le dirigeant d’un pays membre pourra encore prendre des décisions dans le cadre de la souveraineté et l’indépendance nationale de chaque pays ?

 L’UE annonce la mise en place d’un exécutif qui va se substituer à tous les pouvoirs nationaux.

Les dirigeant de chaque pays ne seront plus que les exécutants des décisions de l’exécutif européen.

  • La politique étrangère et de sécurité commune n’est plus adoptée à l’unanimité mais à la majorité qualifiée.
  • Création d’une “union de la défense” dotée de “capacités militaires” sous le “commandement opérationnel de l’UE” qui peut acquérir des armes au nom de l’UE ainsi que la constitution d’une véritable armée de l’UE.

L’arme nucléaire française va-telle être mutualisée ou cédée à l’exécutif européen qui serait le seul à avoir les codes de mise à feu ?

Et le siège de la France au Conseil de sécurité de l’ONU va-t-il être donné à l’UE ?

Mise en place d’un mécanisme de défense collective : une attaque contre un État membre de l’UE est considérée comme une attaque contre tous ses États membres

  • L’UE pourra avoir recours à des moyens civils et militaires contre… les campagnes de désinformation.

C’est une véritable dictature qui est en train de se mettre en place. 

Sera qualifié de « désinformation », et donc poursuivi, tout ce qui sera contraire à la doxa. Le délit d’opinion et les procès politiques vont devenir la règle et la démocratie, un lointain souvenir.

  • Les compétences de l’Europe ne sont plus partagées.

Jusqu’à maintenant, il y avait trois types de compétences. Les compétences exclusives de l’Europe, les compétences partagées (qui en fait n’existaient pas puisque c’étaient celles sur lesquelles elle n’avait pas légiféré ou dont elle ne voulait pas s’occuper.

 Mais dès qu’elle s’en occupait, ces compétences devenaient exclusives). 

Enfin il y avait les compétences appartenant à chaque État.

Même ces dernières sont supprimées. Donc l’UE devient décisionnaire sur tous les domaines. Et chaque État est tenu d’appliquer ce que l’UE aura décidé.

  • La politique commune migratoire devra tenir compte de la stabilité économique et sociale des États membres et répondre aux besoins de mains-d’œuvre du marché unique.

Nos dirigeants sont de bons petits caniches obéissants. Ils connaissaient ce souhait de l’Europe et sont déjà en train de le mettre en œuvre.

 Cela s’appelle l’immigration choisie pour répondre aux « métiers en tension ».

  • Création d’un “État d’urgence” européen : le Parlement européen, à la majorité simple, avec le Conseil européen, à la majorité qualifiée, pourront donner des pouvoirs extraordinaires à la Commission (l’exécutif).

Et la cerise sur le gâteau, c’est la possibilité de mettre en place un état d’urgence. Comprenez, si les peuples se mettaient dans la tête de se rebeller, l’UE pourrait employer la force pour les mâter.

Il y a quelques décennies, c’était les communistes qui avaient mis en place, dans le cadre du Pacte de Varsovie, ce type de système. 

À l’époque les pays de l’Ouest appelaient cela une dictature.

Aujourd’hui les mêmes pays de l’Ouest mettent en place un système identique. Mais comme c’est à « l’Ouest », on est prié d’appeler cela… la démocratie.

On n’oubliera pas non plus les GOPÉ, c’est à dire les Grandes Orientations des Politiques Économiques qui sont imposées chaque année à chaque pays et qu’il est tenu d’appliquer sous peine de sanctions économiques très lourdes (0,1 à 0,5 % du PIB). Ne pensez pas que c’est insignifiant.

 Le PIB de la France est d’environ 2 800 milliards d’€. 

Donc 0,5 % c’est 14 milliards d’€. Pour mémoire c’est le montant du déficit du régime de retraite qui a été le justificatif de Macron pour faire sa réforme des retraite.

Avec les GOPÉ on comprend que les discussions sur les politiques à conduire dans chaque pays sont des blagues. 

C’est l’Union européenne qui pilote depuis des années et les élus ne font qu’appliquer ce que l’UE a décidé. 

Même la France Insoumise (Manon Aubry) l’a reconnu en déclarant en mars 2023 que la réforme des retraites (64 ans) étaient noir sur blanc dans les GOPÉ de la France et que Macron ne faisait qu’appliquer ce que l’UE avait décidé.

Cette fois-ci tous les peuples d’Europe sont au pied du mur :

  • Soit l’UE impose son projet et c’est clairement une dictature qui va s’imposer à tous.

  • Soit les peuples d’Europe se révoltent et font voler en éclat cette construction machiavélique et diabolique qui s’appelle l’Union européenne.

Pour conclure, l’affaire est tellement importante qu’il me paraît impossible que l’UE décide de passer en force c’est-à-dire refuse de consulter les peuples des pays membres par référendum.

Si l’UE refuse d’organiser ce référendum, il faut engager immédiatement le combat pour imposer ce référendum. 

Sinon, c’est que nous acceptons la dictature et il ne faudra plus se plaindre de rien.

Je rappelle, et ce n’est pas un détail, qu’à part le Parlement européen (qui n’a quasiment aucun pouvoir) personne n’est élu parmi les dirigeants de l’Union européenne. 

Et pourtant ils imposent leurs volontés à près de 500 millions de personnes.

Il est absolument vital de sortir… et vite de ce système entièrement dictatorial.

Un dernier mot pour signaler que j’ai écrit un livre sur l’Union européenne qui reprend tous ces points et expose pourquoi il faut en sortir au plus vite.

Il sort dans les premiers jours de décembre. Il est publié chez Synthèse Nationale.

 

Par  Bernard GERMAIN    https://ripostelaique.com/


 




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On sent nettement la lassitude des peuples vis à vis de l'#UnionEuropéenne... 
 
Loin de tenir ses promesses, celle-ci s'est transformée en un ghetto idéologique où une femme non élue, #VanDerLeyen, précipite sa transformation en fédération cosmopolite...
 
 Des peuples ne veulent pas se dissoudre dans une entité tatillonne et boulimique en normes qui les remplace par des populations immigrées...
 
 C'est le cas de la Pologne et de la Suède dont il faudra suivre les procédures de retrait !

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