mardi 28 octobre 2025

UN SQUATTEUR ÉRIGÉ EN MARTYR ! UN POLICIER EN PRISON ! BIENVENUE EN FRANCE !!!

 REVUE DE PRESSE !



Squats : en Bretagne comme en France, des propriétaires livrés à eux-mêmes et abandonnés par les autorités choisissent la manière forte

La République française prétend protéger les plus faibles.

 En matière de squats, elle protège surtout les voyous. 

Derrière les grands principes juridiques et les promesses de lois « anti-squat », des centaines de propriétaires se retrouvent chaque année dans une impasse : leur logement occupé, leur vie suspendue, et des autorités impuissantes. 

Face à cette démission de l’État, certains n’ont plus qu’une arme : l’auto-gestion. 

Et de plus en plus, elle s’exprime hors du cadre légal.

 

Quand la loi ne sert plus à rien

Le scénario est désormais connu : une maison vide quelques semaines, un appartement en vente, un local en rénovation… et des intrus qui s’y installent. 

Une fois les squatteurs à l’intérieur, la situation se fige : constat de police, démarches interminables, refus d’intervention sans décision préfectorale. 

Les délais s’étirent sur des mois ; la facture grimpe ; les dégâts s’accumulent.

La loi « anti-squat » de 2023 devait changer la donne. Elle promettait une expulsion accélérée en 72 heures et la fin de la trêve hivernale pour les occupants illégaux. 

En pratique, les préfets hésitent, les recours se multiplient, et les forces de l’ordre obéissent à des consignes de prudence.


Résultat : les propriétaires ne croient plus à la justice. 

Et quand la légalité devient un piège, la tentation d’en sortir devient irrésistible.

 

À Brest, la nuit des coups de trop

Marc*, 56 ans, artisan à Brest, a vécu l’enfer pendant près d’un an, en 2024.

 Sa petite maison de Recouvrance, héritée de ses parents, devait être louée à un couple de jeunes. « Quand je suis venu faire visiter, il y avait déjà du linge aux fenêtres. » Deux hommes s’étaient installés, sans bail ni titre.
 

Il alerte la police, dépose plainte. Réponse : « On ne peut rien faire tant qu’ils sont à l’intérieur. »

S’enchaînent six mois d’avocats, de lettres recommandées, de rendez-vous en préfecture.

 Pendant ce temps, les squatteurs vivent aux crochets du voisinage, branchés sur le compteur EDF de la copropriété.

 Les portes sont barricadées, le jardin sert de dépotoir.

« J’ai fini par comprendre que j’étais seul », raconte-t-il. 

Alors Marc a pris une décision radicale : faire appel à « des gars » conseillés par un ami. 

Trois hommes venus de Rennes, discrets, efficaces, 7 000 euros en liquide.

 Une nuit de juin, ils ont toqué, puis forcé. « Ils n’ont pas eu besoin de beaucoup parler. Un coup de pression, un coup de poing, et les types ont disparu. 

Le lendemain, j’avais changé les serrures. Depuis, plus personne. »

Une opération illégale, mais qui a « réglé le problème » en une nuit.

 Le contraste avec les dix mois de démarches administratives fait sourire amèrement l’artisan : « 

Quand la Justice vous laisse tomber, il reste la loi du réel. »

 

À Rennes, le contre-squat salvateur

À Rennes, une autre histoire illustre le même désespoir.

 Nathalie*, 44 ans, infirmière, avait hérité d’un petit appartement qu’elle comptait rénover pour sa fille étudiante. 

L’histoire se passe entre 2022 et 2023. 

Le temps de trouver un artisan, un individu s’y retrouve installé, manifestement par une association d’aide aux migrants.

La police constate « une occupation de fait ».

 L’huissier dresse un procès-verbal. 

Trois mois plus tard, aucune expulsion. Les squatteurs affirment recevoir du courrier à cette adresse : la procédure bascule.

Nathalie a fini par user d’un stratagème.

 Un soir, profitant d’une absence des intrus, elle entre avec deux amis. Serrures changées, volets fermés, compteur coupé.

 Le lendemain, les squatteur a trouvé porte close et appelé ses protégés associatifs. « Ils ont hurlé dans le couloir, appelé la police, mais personne n’est venu. 

» Depuis, le logement est vide et sécurisé. 

Elle a refait les peintures, « sans oser dire à personne comment ».

Cette méthode dite du « contre-squat » se répand discrètement. Illégale, mais terriblement efficace. 

Et dans une France où la loi protège davantage l’occupant que le propriétaire, certains y voient une forme de justice parallèle.

 

Un État qui abdique, des citoyens qui se substituent

Les autorités condamnent fermement ces initiatives. 

 Les juristes rappellent que forcer un squat reste passible de trois ans de prison et 45 000 euros d’amende

L’Etat serait toutefois culotté de poursuivre ceux qui ne font qu’appliquer la loi pour leur propriété, mais il est capable de tout. Les associations de propriétaires, elles, dénoncent une situation intenable.

 D’après plusieurs estimations, à peine 15 % des procédures d’expulsion aboutissent réellement, souvent au terme de longs mois d’attente. Le reste s’enlise dans les tribunaux.

Le résultat ? Un sentiment de vide régalien.

 La France, pays de l’État de droit, se découvre un Far West urbain où la force remplace la loi. 

Et où la peur change de camp : celle du propriétaire, qui redoute de perdre son bien, supplante celle du squatteur, qui se sait protégé.

Dans ce climat d’abandon, un petit business s’est développé.

 D’anciens agents de sécurité, des gros bras de salle de sport, voire des sociétés « de débarras » proposent, pour 5 000 à 10 000 euros, de « rendre un logement à son propriétaire ». 

Leur méthode : observer, attendre la sortie des squatteurs, changer les serrures, intimider. 

Officiellement, il ne s’agit pas de violence, mais de « médiation musclée ». Dans les faits, ces interventions se règlent souvent en quelques heures.

Un marché parallèle du « service public », né du vide laissé par l’État. Les propriétaires qui y ont recours le savent : ils risquent gros.

 Mais la peur de perdre un toit, un héritage ou des années d’économies vaut plus que la crainte d’un tribunal.

 

Quand la République favorise les voyous

À Nantes, une retraitée de 73 ans a dû entamer une grève de la faim cet automne pour tenter de récupérer sa maison squattée (une cagnotte est en ligne pour l’aider). 

À Brest, un artisan a dû payer des costauds. 

À Rennes, une infirmière a dû se faire cambrioleuse de son propre bien. Trois visages d’une même réalité : celle d’un pays où l’État abdique son rôle protecteur et pousse les honnêtes gens à l’illégalité.

Les juges condamnent ceux qui reprennent leur maison. Les médias pleurent sur les « exclus » expulsés. 

Et pendant ce temps, des citoyens ordinaires vivent l’enfer d’un droit de propriété vidé de son sens. 

Le gouvernement multiplie les lois sans jamais les faire appliquer. Les préfectures tergiversent, les polices reculent.

 La France se transforme en zone grise : celle où la justice recule et où le courage remplace la légalité.

Ce retour à la loi du plus fort n’est pas un hasard : il est la conséquence directe d’un système qui préfère protéger les délinquants plutôt que les propriétaires.

 À force de renoncements, la République française fabrique son propre Far West.


Et dans ce Far West-là, ce ne sont pas les cow-boys qui débarquent, mais les propriétaires ruinés, désespérés, qui refusent de mourir les bras croisés devant leur porte close.

*Les prénoms ont été modifiés.

Illustration : DR
[cc] Article relu et corrigé (orthographe, syntaxe) par ChatGPT.

Breizh-info.com, 2025, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

ET AUSSI

Un policier en prison, un squatteur sans papiers érigé en martyr : bienvenue en France

DR

Il s’appelle Éric G., il a 26 ans, il est policier.

Un matin de juin 2024, il accourt chez sa grand-mère de 94 ans, réveillée par des bruits suspects.


Il découvre dans son garage un squatteur sans papiers, déjà connu des services de police.

Il se présente, appelle le 17, demande du renfort.

 

Et quand l’homme se jette sur lui, il tire.

Depuis quinze mois, c’est lui — le policier, le petit-fils, le Français ordinaire — qui croupit en prison.

La France des juges, celle qui protège le coupable et punit le défenseur

Dans un pays normal, on aurait salué le sang-froid d’un fonctionnaire qui a tenté d’arrêter seul un intrus.

Dans le nôtre, on le jette en détention provisoire comme un malfaiteur.

Les juges invoquent un « risque de renouvellement », comme s’il allait demain refaire le même geste — sur qui ? sur un autre squatteur, dans le même garage ? 

On frôle l’absurde.

Mais la logique n’a plus sa place dans cette affaire.

Car il ne s’agit plus de justice, mais d’idéologie.

Le squatteur est étranger, sans papiers, et donc immédiatement sanctifié.

Le récit est déjà écrit, et les magistrats ne font qu’en tourner les pages.

La légitime défense criminalisée

Ce drame n’est pas une première : à Marseille, à Nîmes, à Lyon, combien de policiers, de boulangers, de retraités se sont retrouvés devant les tribunaux pour avoir simplement voulu protéger leur vie ou leur bien ?

Dans la France d’aujourd’hui, la légitime défense n’est plus un droit, c’est une suspicion.

On ne demande plus : « que s’est-il passé ? »

On demande : « qui êtes-vous, et à quelle case sociale ou ethnique appartenez-vous ? »

Le squatteur, lui, ne devait même pas être sur le territoire.

Mais dans ce pays fatigué, c’est désormais le citoyen honnête qui doit se justifier d’être encore debout.

Une justice de la peur et du symbole

Éric G. a appelé les secours, tenté de réanimer celui qu’il venait de neutraliser.

Il a fait ce que lui avaient appris ses instructeurs.

Mais dans le climat politique actuel, il paie pour tous les autres.

Pour Nahel, pour les polémiques, pour la peur des banlieues.

Les juges ne jugent plus un fait — ils administrent un message : « Ne touchez pas aux victimes officielles de la République. »

Et s’il faut briser un policier pour rassurer les agitateurs, qu’il en soit ainsi.

Deux familles détruites, une nation blessée

Le jeune homme, aujourd’hui, sombre dans sa cellule.

Sa mère raconte ses visites du mercredi, ses sanglots, ses pensées noires.

La grand-mère, celle qu’il voulait protéger, est morte sans avoir su qu’il était en prison.

C’est une tragédie française, au sens classique du terme : la vertu sacrifiée, la justice aveugle, le pays impuissant.

Cette République qui punit ses défenseurs

On parle beaucoup d’« ordre républicain ».

Mais quel ordre peut subsister quand celui qui défend la loi est traité pire qu’un criminel ?

Quand les magistrats se prennent pour des militants ?

Quand la peur de « choquer » remplace la notion de justice ?

Éric G. a tiré pour ne pas mourir.

Et depuis quinze mois, c’est lui qu’on laisse mourir à petit feu, derrière les murs d’une prison.

Dans cette inversion totale des valeurs, la France ne se reconnaît plus.

Et c’est peut-être cela, le véritable drame.

 


 

ET AUSSI

 

SNCF : la France sabotée par l’ultragauche dans l’indifférence générale

Photo : Gérard Griffay

Encore un sabotage. Encore des milliers de voyageurs bloqués. 

Et encore une fois, la même rengaine : « la piste de l’ultragauche est envisagée ». 

Envisagée, oui. 

Jamais assumée, jamais combattue frontalement.

Et pourtant, tout le monde le sait : il existe en France un terrorisme idéologique qui ne se cache plus. 

Il brûle des câbles, détruit des infrastructures, s’attaque à la collectivité — au nom de la « lutte contre le capitalisme », de « l’écologie radicale » ou d’une haine maladive de l’ordre et de la France.


 

L’ennemi intérieur, mais sans nom

Un « incendie volontaire » sur les lignes du TGV Sud-Est, des retards en cascade, des trains déviés, des voyageurs pris au piège : voilà la France du quotidien.

Un pays où l’on peut paralyser le réseau ferroviaire le plus performant d’Europe sans que personne ne parle de terrorisme, sans que les ministres osent nommer les coupables, sans qu’aucune force politique ne demande de comptes à ceux qui couvrent, minimisent, ou excusent.

La vérité, c’est que la violence d’extrême gauche ne choque plus. Elle est devenue une sorte de bruit de fond. 

On s’indigne poliment, on promet une enquête, on passe à autre chose.

Si c’était la droite, il y aurait des plateaux entiers, des éditoriaux, des commissions d’enquête. 

Mais là ? Rien. Silence.

 Pas un mot de la grande presse sur la radicalisation rouge qui sape nos infrastructures, bloque nos universités et incendie nos dépôts.

 

Le pays tenu en otage par les nouveaux vandales

Ce sabotage ferroviaire n’est pas un simple fait divers. 

C’est un acte politique, au sens fort du terme : faire mal à la nation pour lui faire peur.

C’est une stratégie ancienne — celle de l’attaque du réseau, du sabotage économique, de la désorganisation du pays pour affaiblir l’État.

Et pendant ce temps, des milliers de Français sont cloués dans des gares, fatigués, exaspérés, payant le prix fort d’une guerre qu’ils n’ont pas déclarée.

 

L’État dépense des centaines de millions d’euros pour sécuriser les lignes, mais refuse d’affronter la racine du problème : une mouvance violente, structurée, protégée par une partie de la gauche culturelle et syndicale.

Ces gens ne se cachent même plus. Ils s’affichent, revendiquent, justifient. Et le pouvoir recule.

La gauche morale et le désordre réel

On nous répète que la menace viendrait toujours d’un autre bord. 

Que la seule violence politique dangereuse serait celle du « populisme ».

Mais le réel, lui, ne ment pas : depuis des années, c’est bien l’ultragauche qui attaque. 

Les ZAD, les black blocs, les groupuscules écologistes radicaux — tous œuvrent avec la même méthode : incendier, bloquer, paralyser, casser.

Et qu’obtiennent-ils ?

 Des plateaux de télévision, des indulgences universitaires, et parfois même des subventions culturelles.

C’est la France à l’envers : celle où celui qui détruit le bien commun est excusé, pendant que celui qui travaille est suspect.

Reprendre le contrôle, ou s’habituer à la décadence

Le ministre des Transports l’a dit : « Le réseau ferroviaire, c’est le patrimoine des Français. »

C’est vrai. 

Mais alors, pourquoi ce patrimoine est-il laissé à la merci des incendiaires ? 

Pourquoi notre pays semble-t-il accepter l’idée que l’on puisse brûler ses lignes, casser ses trains, ruiner ses ponts — sans que rien ne change ?

 

Ce n’est plus seulement un problème de sécurité : c’est un problème de civilisation.

La France a le choix : reprendre le contrôle de son territoire et de ses infrastructures, ou s’habituer à vivre sous la menace permanente des casseurs politiques.

Et pour cela, il faudra un jour appeler les choses par leur nom : oui, l’ultragauche est devenue un danger national.

 

Source : https://lalettrepatriote.com/

 

jmlb

Le syndicalisme  àla SNCF ...;;




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