samedi 1 novembre 2025

ARGENTINE : L' HOMME À LA TRONÇONNEUSE JAVIER MILEI REMPORTE LES LÉGISLATIBESDE MI-MANDAT......

 REVUE DE PRESSE !

Victoire électorale de Javier Milei en Argentine : sidération au sein de la Gauche française

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Jean-Pierre Trédia, Breizh Info cliquez ici

Javier Milei et son parti La Libertad Avanza viennent de remporter ce dimanche les élections législatives de mi-mandat en Argentine.

 Le parti présidentiel a raflé 40,7% des voix, ce qui l’emmène à tripler son nombre de sièges, passant de 37 à 101 sur un total de 257 !

En France, à Gauche, la sidération est totale. 

Depuis des semaines, les oulémas du Mélenchonisme prédisaient une révolution en Argentine.

 Décrivant à l’envie un peuple argentin en quasi-état de sécession par rapport à l’Etat, rejetant le Mileisme comme étant une parenthèse honteuse et réclamant le retour de la Gauche au pouvoir. 

Las ! Les urnes ont parlé et les multiples « spécialistes » auto-proclamés de l’Amérique du Sud dans l’Ouma mélenchoniste se sont encore payés de mots.

Et cet aveuglement est « systémique » pour utiliser un mot à la mode.

 Le processus est parfaitement décrit dans "La Meute" , le livre de Charlotte Belaïche et d’Olivier Pérou décrivant le système de la mélenchosphère et se confirme chaque jour : la Gauche, qui se résume de plus en plus à l’extrême-gauche et au wokisme, vit dans une bulle algorithmique où tout le monde est d’accord avec elle et où ses élucubrations sont des évidences coraniques. 

Comme les militants gauchistes refusent le réel, refusent de côtoyer des personnes ne pensant pas comme eux, refusent de lire une autre presse que la leur, ils finissent par s’auto-enfermer dans un monde idéal et parfaitement clos.

En effet, dans le monde gauchiste, Javier Milei était proche d’envoyer les chars pour mater « l’insurrection populaire », le Venezuela est un paradis socialiste où l’opposition est « néo-nazie ». 

D’ailleurs, le néo-nazisme gangrène la France, la police et les plus hautes sphères de l’Etat.

 Pour les gauchistes, la délinquance urbaine est l’oeuvre de « skinheads » pratiquant des ratonades avec la complicité active de la police, elle-même noyautée par des extrémistes de droite.

 D’ailleurs, la « police française tue » impunément des citoyens, notamment d’origine immigrée. 

Chaque jour. Chaque heure. C’est bien simple, la France c’est le Chili sous Pinochet !

Au niveau électoral, malgré ses scores présentement catastrophiques dans les sondages « Mélenchon est largement sous-estimé ». 

Après de savants calculs, certains arrivent même à déterminer son score à la prochaine présidentielle.

 Score gagnant bien entendu, le tout étant de savoir s’il sera élu au premier tour ou s’il devra s’astreindre à un second tour, « histoire d’humilier Le Pen ».

Et la France dans tout cela ? 

Un assemblage de « quartiers populaires » acquise au Mélenchonisme, faisant face aux restes moisis de la France d’avant-mais-qui-n’a-jamais-existé rotant et pétant allègrement lors de banquets « islamophobes » où l’on mange du cochon et où l’on boit du mauvais vin.

 Cette France devenant « heureusement » de jour en jour quantité négligeable, dernières flatulences d’un monde ouvrier, paysan, artisan et employé blanc « bollorisé » et attaché à ses « traditions nauséabondes » appelé à disparaitre devant la créolisation urbaine et colorée. 

Société créolisée qui, d’ailleurs, résoudra le problème principal qui gangrène la France : « le racisme ».

D’ailleurs quand Mélenchon et ses gardes rouges seront au pouvoir, les médias Bolloré seront fermés et Pierre-Edouard Stérin envoyé en camp de travail. 

Ce qui fera disparaître, comme par enchantement, toutes les mauvaises pensées et les navrants « relents » des électeurs RN qui reviendront à LFI ou crèveront dans leur choucroute et leur pâté de campagne pour les plus « nazis ».

Tous les militants politiques sont plus ou moins enfermés dans une bulle où leur camp recueille tous les suffrages, bien entendu. Mais dans le cas de l’extrême-gauche mélenchoniste actuelle, cet effet-bulle devient pathologique. 

Les diverses chapelles de l’extrême-gauche trotskyste à la Lutte Ouvrière, POI ou NPA se vivent comme étant une avant-garde besogneuse qui attend un Grand Soir hypothétique avec discipline.

 Il y a une dimension sacrificielle dans cette extrême-gauche condamnée, et elle le sait, à la marginalité. 

Mais l’Ouma LFI est, elle, persuadée de représenter la majorité des Français, ces Français ressemblant, dans leur vision de la réalité, peu ou prou à la population de la Seine Saint-Denis. Idem à l’extérieur où la moindre étincelle gauchiste devient une promesse de prise de pouvoir sous trois semaines maximum.

En ce début de semaine, la Gauche mélenchoniste ne parle plus de l’Argentine. Les multiples spécialistes autoproclamés de l’Amérique du Sud ont prudemment baissé le rideau. 

Attendons qu’au Honduras ou au Costa-Rica, une manifestation regroupe plus de 10 000 personnes pour que le Mélenchonisme reparte dans ses rêves de Palais d’hiver.

Quant à la prochaine présidentielle française, il y a fort à parier que jusqu’au dernier moment, la ferme à troll dédiée à Mélenchon annoncera des scores stratosphériques « que les médias n’ont pas vu venir ». 

La stratégie des 600 000 voix à aller chercher chez les immigrés découle de la croyance qu’à la dernière présidentielle, Mélenchon a manqué le second tour d’un rien.

Et si cette stratégie ne porte pas ses fruits, la mise en accusation automatique du PS comme étant responsable de « l’échec de la Gauche » est déjà prête. 

Ce n’est jamais de la faute de Mélenchon, ce n’est jamais de la faute de la « vraie gauche ».

Imparable !

10:03 Publié dans Revue de presse




LES POSTS DE THOMAS JOLY PRÉSIDENT DU PARTI DE LA FRANCE !




Posts de Thomas JolY

 
Le Parti de la France vous souhaite une très bonne fête de la Toussaint. 
 
Cette célébration catholique honore tous les saints connus et inconnus qui ont vécu selon les enseignements du Christ.
 
 Elle nous rappelle l'importance de la foi, de la vertu et de l'héritage spirituel de la France !

An impressionist-style painting depicts a group of women in white dresses and a priest in black robes carrying candles and a cross in a procession outside a stone church with a steeple, set in an autumnal landscape with yellow trees and a path, overlaid with the French flag and text Le Parti de la France.

 

ET AUSSI

@ThomasJoly732
 
Une proposition de loi de Mme Agnès FIRMIN LE BODO, Mme Lise MAGNIER, Mme Anne LE HÉNANFF, M. Bertrand BOUYX, M. Xavier ALBERTINI veut obliger les médecins à se vacciner contre la grippe sous des prétextes fallacieux contraires aux données acquises de la science. 
 
 Ils prétendent, sans aucun argument factuel : « En étant vaccinés, cela réduirait significativement le risque de transmission du virus de la grippe à ces potentiels patients vulnérables ». 
 
 Dans cet article, le Docteur Gérard Delépine rappellent les faits établis qui démentent la propagande pour l’obligation de la vaccination anti-grippe :
Cartoon illustration in hospital room with green walls and medical cabinets. Suited man with wild hair and angry expression holds large syringe, armband labeled LABO, chases three nurses in green and white uniforms with scared faces running away. Additional doctor in white coat flees. Floor tiles and medical equipment visible.

Emmanuel Macron et son obsession de museler la parole sur Internet

 Octobre 2025, 15:42pm

Publié par Thomas Joly

Emmanuel Macron et son obsession de museler la parole sur Internet

Depuis qu’il est aux manettes, Emmanuel Macron affiche une obsession : contrôler internet, museler les réseaux sociaux. 

Ce n’est pas un hasard, c’est un projet politique assumé ; derrière l'illusion d’un « débat » sur les « menaces pour la démocratie » vient se profiler l’unique objectif : réduire au silence ce contre-pouvoir si précieux, celui des peuples français et européens.

Car voilà la vérité : dans leur œil se dessine la crainte de cette gronde populaire qui s’exprime, de cette réalité brute qu’ils ne contrôlent pas. Ils veulent verrouiller le flux, filtrer le verbe, interdire la parole libre. 

Et pour ce faire, Macron s’appuie sur des mécanismes d’État, mais aussi sur cette machinerie lourde qu’est la Commission européenne : des entités non-élues qui, derrière des injonctions idéologiques, entendent réguler, surveiller, rendre infertile l’espace d’expression.

Ne vous y trompez pas : ce « débat » annoncé n’est qu'une mascarade.

 Une de plus.

 Le but n’est pas d’écouter, de comprendre ou de dialoguer, mais de préparer les mesures qui vont calibrer la parole. 

Censure ou quasi-censure des réseaux sociaux, voilà le futur qu’ils nous dessinent. Ils paniquent devant la vérité, ils tremblent devant la colère qui monte.

 Leur Système vacille, et que fait-on quand on sent l’effondrement arriver ?

 On devient autoritaire, on fracasse les libertés.

Macron proclame vouloir « protéger la démocratie » mais c’est justement la démocratie qu’il étouffe. 

En silence - ou presque - se construit la version électronique de l’ordre moral d’État. Pour eux, la liberté d’expression est une menace. 

Pour nous, elle est la dernière barricade. 

 Et tant que flottera la voix du peuple sur les réseaux, ils ne dormiront pas tranquilles : d’où cette entreprise de neutralisation qu’ils appellent « réforme ».

Thomas Joly -

 Président du Parti de la France

@ThomasJoly732
 
 
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JEAN-MARIE LEBRAUD



ÉCONOMIE : UN AMENDEMENT CONTRE LES MULTINATIONALES VIENT D' ÊTRE ADOPTÉ ........

TWITTER

Un amendement LFI contre les « multinationales » vient d’être adopté grâce au vote du RN.
 
 Pourquoi est-ce une CATASTROPHE pour NOTRE économie ?  
 
 Cet amendement prévoit que si une entreprise, française ou étrangère, fait davantage de bénéfices à l’étranger qu’en France, on considère d’office qu’elle a dissimulé ses bénéfices à l’étranger pour payer moins d’impôts en France. 
 
Alors, elle paiera une surtaxe d’impôt sur les sociétés.  
 
 Nos députés marxistes croient donc que la rentabilité est la même partout dans le monde. 
 
C’est absurde : la rentabilité dépend des coûts de production, des salaires, des impôts : elle ne peut pas être identique dans tous les pays.
 
 Ignorer cela, c’est ignorer le fonctionnement même de l’économie.  
 
 Or, la France est l’un des marchés les moins rentables du monde : coût du travail, impôts de production, normes…
 
 Il ne sera pas difficile de prouver qu’une entreprise a un bénéfice inférieur en France qu’ailleurs dans le monde.
 
 Pensez-vous que Vinci gagne plus d’argent en construisant une tour en France ou à Dubaï ? 
 
Que Dassault réalise une meilleure marge en vendant un Falcon ici ou en Asie ? 
 
Veut-on qu’ils cessent d’exporter en punissant le succès de nos fleurons par plus d’impôts ?  
 
 On nous répond que cette taxe permettrait de lutter contre la fraude des multinationales étrangères ? 
 
Expliquons :  Les entreprises françaises comme étrangères sont toutes soumises à l'IS à 25%. 
 
Il leur arrive d'externaliser des prestations à l'étranger (communication, informatique...). 
 
Cela s'appelle une délocalisation : c’est légal et c’est le résultat dramatique de notre enfer fiscal… que toute nouvelle taxe ne ferait qu'aggraver.  
Où est la fraude ?
 
 Quand certaines de ces entreprises, qu’elles soient françaises ou étrangères, surfacturent ces prestations pour amoindrir leur bénéfice français et ainsi, payer moins d’impôts ici.
 
 Ces fraudes sont, par définition, déjà illégales et déjà dans le collimateur du fisc : on peut mieux faire pour les contrôler, mais ce n’est certainement pas une taxe en plus qui résoudra le problème, au contraire !  
 
Par conséquent, le but de la taxe n'est pas d'éviter la fraude, mais de punir toutes les entreprises qui travaillent à l'étranger, en se disant qu'il doit bien y avoir des fraudeurs dans le lot.
 
 Sous prétexte de viser les multinationales étrangères, la taxe LFI-RN frappe indistinctement nos fleurons français.  
 
 Si les députés avaient bien lu, tout cela était clair dès l’exposé des motifs : il cite le collectif anticapitaliste Attac et le tristement célèbre Zucman, et déplore « des années de néolibéralisme en France » !
 
 Bref, cet amendement ne lutte pas contre la fraude, mais contre le capitalisme et contre nos entreprises.
 
 Et certains ont avalé le récit de l’extrême gauche…  Assez de taxes.
 
 26 milliards d’impôts de plus, c’est 26 milliards de trop.
 
 La seule issue, c’est la baisse des dépenses, pour pouvoir enfin baisser massivement les impôts.
 
 Source :  
@knafo_sarah
 

Le JDNEWS d'aujourd'hui présente la révolution économique de Sarah Knafo

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Disponible dès ce mercredi dans tous vos kiosques

00:26 Publié dans Revue de presse |

 

L' OMERTA POLITIQUE SUR LES PRIVILÈGES MIGRATOIRES ALGÉRIENS VIENT DE SAUTER !

 

TRIBUNE LIBRE !

 


 

La fin du tabou algérien !

Photo : OpenVerse

C’est un frémissement d’histoire que l’on entend depuis jeudi dans les couloirs de la République : le vote de l’Assemblée nationale dénonçant l’accord migratoire franco-algérien de 1968 a déclenché un séisme politique.

 Et, pour la première fois depuis longtemps, le gouvernement n’a pas osé défier frontalement la volonté populaire.

 Sébastien Lecornu, le Premier ministre, a dû s’incliner : il dit « respecter » le vote du Rassemblement national et appelle à « renégocier » le texte.

 Voilà qui sonne comme un aveu : l’exécutif sent que le vent tourne.

 

Le réel s’impose, malgré l’Élysée

Ce qu’Emmanuel Macron s’obstine à ignorer depuis huit ans – à savoir que la France ne supporte plus d’être prisonnière d’un accord colonial inversé – vient d’être imposé par la représentation nationale. 

Et le Premier ministre, sentant le sol trembler sous ses pieds, tente désormais de limiter la casse diplomatique. 

En langage politique, « renégocier », c’est déjà reconnaître que les signataires d’hier ont eu tort.


Lecornu a beau rappeler, du bout des lèvres, que « la politique étrangère de la France n’est pas faite par des résolutions », la messe est dite : le Parlement a parlé, et cette fois, la parole du peuple a plus de poids moral que les prudences de palais. 

Le macronisme, qui voulait tout centraliser autour de Jupiter, découvre que le tonnerre peut gronder ailleurs que sur l’Olympe.

Une claque diplomatique pour Macron, une victoire politique pour la France

Le chef de l’État, si prompt à donner des leçons de fermeté quand il s’agit de la Hongrie ou de la Pologne, reste pétrifié face à Alger. 

Mais voilà que son propre Premier ministre, contraint par la pression démocratique, reconnaît qu’il faut revoir l’accord de 1968. 

C’est une défaite idéologique, une reddition en rase campagne : le RN, avec l’appui d’une partie de la droite et même d’Horizons, vient de fissurer le mur du silence.

Marine Le Pen avait promis une « journée historique ». Elle avait raison.

 Pour la première fois, le Parlement français ose dire non à la logique du repentir perpétuel et du privilège migratoire.

 Et, fait rarissime, le pouvoir est forcé d’en tenir compte.

Le courage a changé de camp

Sébastien Lecornu tente de sauver les apparences en invoquant la Constitution et le rôle présidentiel dans la signature des traités.

 Mais le ver est dans le fruit. 

Car en politique, celui qui reconnaît la nécessité de renégocier admet implicitement que l’accord actuel est indéfendable. 

La machine macronienne, habituée à régner par déni, vient de concéder une vérité que la France profonde clame depuis des décennies : notre pays n’a pas à être la variable d’ajustement de l’orgueil algérien.

Vers la fin d’un demi-siècle d’humiliation

Le 27 décembre 1968, Paris signait avec Alger un texte qui, au nom d’une « relation privilégiée », permettait aux ressortissants algériens d’obtenir des titres de séjour et des prestations dans des conditions plus favorables que tout autre étranger. 

Près de soixante ans plus tard, les conséquences sont là : une immigration massive, un déséquilibre diplomatique.

En votant sa dénonciation, la France a commencé à se libérer.

 En disant qu’il faut désormais « renégocier », Lecornu vient d’admettre que l’histoire ne se renégocie pas éternellement dans un seul sens.

 

Le réveil d’une nation

On pourra gloser sur les détails juridiques, disserter sur la portée symbolique du vote, rappeler que le Président reste le maître des traités. 

Peu importe. 

L’essentiel est ailleurs : un verrou vient de sauter.

 L’omerta politique sur les privilèges migratoires algériens a été brisée. 

Et lorsque le pouvoir en place, même à contrecœur, finit par parler le langage de ceux qu’il méprisait hier, c’est qu’il a déjà perdu la bataille morale.

La France a dit non à la culpabilité éternelle. Elle a dit oui à la souveraineté retrouvée.
 

Et qu’on ne s’y trompe pas : ce n’est pas le RN seul qui a gagné — c’est le pays tout entier qui vient de retrouver sa voix.

 


ET AUSSI 


Victoire historique à l’Assemblée

Shutterstock

C’est un vote que l’Histoire retiendra — et que les Français attendaient depuis plus d’un demi-siècle. À une voix près, l’Assemblée nationale a adopté la proposition de résolution du Rassemblement national visant à dénoncer l’accord migratoire de 1968 entre la France et l’Algérie. Oui, ce texte inique, anachronique, humiliant, qui accordait aux ressortissants algériens un régime préférentiel d’entrée et de séjour, vient de vaciller sous le poids du bon sens national. Et voilà Emmanuel Macron et son gouvernement pris de court, muets, désemparés, empêtrés dans leurs contradictions diplomatiques.

Le cordon sanitaire s’effondre, la France respire

Il y a quelques mois encore, les mêmes bien-pensants moquaient le RN, persuadés qu’aucun de ses textes ne passerait jamais le couperet de l’Assemblée. Et pourtant, ce jeudi 30 octobre 2025, le mur a cédé. Le « bloc central » — cette alliance de circonstance entre Renaissance, Horizons et la gauche de confort — a vu ses fissures éclater au grand jour. Les députés Les Républicains et plusieurs élus d’Horizons ont choisi la cohérence, préférant le camp de la France à celui de la soumission. Le cordon sanitaire s’est brisé, et avec lui s’effondre l’hypocrisie politique qui paralysait notre Parlement depuis des années.


Un camouflet magistral pour Emmanuel Macron

À l’Élysée, on garde le silence. Forcément : c’est une défaite totale pour Emmanuel Macron, qui rêvait d’une reprise du dialogue avec Alger après le départ de Bruno Retailleau du gouvernement. Le chef de l’État espérait amadouer le régime de Tebboune à coups de sourires et de concessions ; il récolte un désaveu parlementaire cinglant. Ce vote, c’est le peuple français qui parle à travers ses représentants : assez de complaisance, assez d’humiliations, assez de cette diplomatie du renoncement où Paris s’excuse pendant qu’Alger insulte.

Le nouveau ministre de l’Intérieur, Laurent Nuñez, homme du compromis mou, croyait pouvoir « renouer le dialogue » en pliant l’échine. Résultat : la majorité explose, la France se redresse, et les Algériens observent, médusés, une nation qui retrouve enfin un peu de sa fierté.

Un symbole plus fort que toutes les excuses

Certes, la résolution n’a pas de valeur contraignante — pour l’instant. Mais son poids politique, lui, est colossal. Car ce vote, c’est la première fissure institutionnelle dans le mur de culpabilité que la gauche et le macronisme ont bâti autour de la relation franco-algérienne. Pendant cinquante-sept ans, l’accord de 1968 a servi d’alibi à tous les déséquilibres migratoires, de justification à toutes les lâchetés administratives. En le dénonçant, même symboliquement, la représentation nationale vient de dire haut et fort : la France n’est plus tenue de s’excuser d’exister.

Le triomphe du réalisme sur la repentance

Bruno Retailleau peut savourer une revanche éclatante. Quant à Marine Le Pen et ses députés, ils signent une victoire politique majeure : celle d’un bon sens redevenu audible, d’un patriotisme décomplexé, d’une droite qui assume enfin ses mots et ses actes.

Face à un exécutif paralysé par la peur de froisser Alger, le Parlement français a osé faire ce qu’aucun gouvernement n’avait eu le courage de faire depuis 1968 : affirmer la primauté de la souveraineté nationale. Ce n’est pas seulement un vote, c’est un signal : la France se remet debout.

L’honneur retrouvé

Emmanuel Macron voulait « reconstruire le lien » avec l’Algérie. Il devra désormais reconstruire la confiance avec son propre peuple. Car ce soir, ce ne sont ni les diplomates ni les technocrates qui ont gagné, mais les Français, ces citoyens fatigués de voir leur pays courber l’échine devant des régimes qui le méprisent.

L’Assemblée nationale vient de rappeler que la France n’a pas à mendier le respect : elle le commande. Et si ce vote, arraché à une voix près, n’est encore qu’un symbole, il annonce peut-être une ère nouvelle — celle où la France cesse enfin de s’excuser d’être la France.

 ET AUSSI

Budget, niche : un spectacle crépusculaire à l’Assemblée nationale
Retrouvez le dernier édito d'Olivier Frèrejacques

Dans un contexte d’émiettement des forces politiques, les petits calculs politiciens et les tentatives de coup de force sont autant de signaux d’un régime en bout de course.

 Le vote du budget est l’occasion rêvée pour les larrons parlementaires. 

Quel que soit le dénouement de cette séquence, ce sont les Français qui paieront les pots cassés.

 

L’agitation parlementaire peut amuser.

 Dans le petit théâtre où la tragédie française rencontre le ridicule d’un personnel politique pas à la hauteur, les députés s’écharpent sur des chiffres qu’à peu près personne ne comprend. 

Ceux qui ne sont pas aux affaires en profitent pour suggérer des mesures qui mettront les gouvernants dans une situation délicate, quand les autres invoquent la « responsabilité », véritable mantra macronien, notion qui n’a jamais autant été usitée et probablement jamais autant dévoyée. 

Entre ceux qui se bercent d’illusions sur la remise en cause de la réforme des retraites et ceux qui veulent continuer à arroser un système qui fait la part belle à l’assistanat et aux fonctionnaires, il est très difficile de déceler un discours sincère et non calculé.

 Les mesures budgétaires votées ces derniers jours seront de toute manière détricotées au Sénat et une mobilisation massive du centre sur les prochaines lectures devrait lisser la mouture finale… 

Encore faudra-t-il parvenir à faire voter le budget définitif.

 

Anicroche sur l’Algérie : la gauche, parti de l’étranger

Le RN a profité de sa niche parlementaire jeudi pour faire un coup d’éclat en faisant voter la remise en cause des accords de 1968 avec l’Algérie… 

Et le texte est passé ! Ce qui a permis d’électriser un peu plus le Palais-Bourbon.

 Les Républicains ont voté pour, tout comme le parti d’Édouard Philippe. Les macronistes se sont abstenus. 

Et pour cause : Gabriel Attal s’était positionné pour une telle mesure.

 La gauche a gémi toute l’après-midi après ce vote, criant au racisme et au néocolonialisme. 

Le texte, s’il n’aboutit à rien à court terme, permet de pointer du doigt le rôle de serpillière de Paris vis-à-vis d’Alger. 

La gauche, héritière des porteurs de valises et supplétifs des terroristes du FLN, montre ici son vrai visage.

 

Entre les débats budgétaires empreints de démagogie de toutes parts, les oppositions frontales sur des questions comme l’immigration et la sécurité, le spectacle offert par la représentation nationale est un véritable miroir du pays : fragmenté et déclinant.

 Les lendemains ne chanteront pas. Si l’Assemblée nationale est dissoute, il est très peu probable qu’une majorité absolue se dégage ; et si le RN venait à l’emporter, il devrait encore composer non seulement avec un Sénat LR, mais aussi avec un président hostile.

 Il faudrait alors également compter, à un an et demi d’une nouvelle présidentielle, sur une mobilisation massive des organisations d’extrême gauche, des syndicats, des juges…

 Pour la France comme pour le RN, temporiser serait probablement la meilleure des issues pour préparer des alliances en vue de 2027.

 

 Car s’il faut battre le fer tant qu’il est chaud, il convient aussi de ne pas mettre la charrue avant les bœufs.


Par Olivier Frèrejacques
Président de Liberté politique

 

Source  et Publication :  https://lalettrepatriote.com/la-fin-du-tabou-algerien/ 



Conversation


@ThomasJoly732
 
Le Parti de la France lance un cycle de conférences.
 
 La première se déroulera vendredi 7 novembre à Paris à 21h. 
 Le thème sera « Algérie française ou France algérienne ? » par Scipion de Salm, historien et membre du Bureau politique du Parti de la France. 
 
Thomas Joly, Président du PdF, se chargera de l'introduction.
 
 La participation est d'une consommation à commander au bar de l'établissement avant d'accéder à la salle. 
 
Réservation obligatoire : pdf-iledefrance@gmx.fr
 
Poster for a conference event titled Les Confrences du PDF with main theme Algérie française ou France algérienne in large text. Below it states par Scipion de Salm showing a photograph of a man in a suit speaking at a podium with hand raised gesturing. Algerian green white red flag and French blue white red flag displayed on either side. Location Paris Vendredi 7 novembre à 21h and Réservation pdf-iledefrancegmxfr at bottom.