mercredi 18 juin 2025

LES POTINS ? ENCORE UN MARI CACHÉ POUR BRIGITTE ?

 HUMOUR ET DÉRISION  !


Encore un mari caché pour Brigitte ? Quelle croqueuse d’hommes !

Le magazine « Elle » a 80 ans. 

Comme Brichelle. Belle coïncidence. 

Un an après l’arrivée au pouvoir du Paltoquet givré et giflé, le canard sans tête a été racheté par son pote Crétinsky. 

Encore un milliardaire. 

On ne trouve que ça parmi les marionnettistes de l’Élysée. 

Avec Zelensky et Kouyansky, ils font équipe pour dévaler les pentes de la finance.

Cet hebdo a bien changé depuis le temps où ma grand-mère était abonnée. 

La mode, la cuisine et les bons petits plats pour garder son homme font moins recette que les tribulations des célébrités. 

Mais avec classe et sérieux.

 Puisqu’en 2019, le Paltoquet lui a attribué le statut avantageux de publication d’information politique.

 Merci mon bon prince. Et par ici la monnaie !

 

Dès lors, comme beaucoup de titres, les proprios de ce torchon de plus à la gloire de Brichelle sont subventionnés par le pouvoir

 Et, le renouvellement de leur subvention tombe le 30 juin. 

Ça tombe à pic. Il faut mériter son blé. 

Tout le monde a le droit de manger. 

Paris Match aussi qui en rajoute dans l’enfumage avec de miraculeuses photos d’enfance sorties d’outre-tombe.

 

Jouer avec l’ambiguïté est une des clés de la désinformation. 

Un titre racoleur, une image supposée l’illustrer, et au lecteur de faire inconsciemment le rapprochement. 

Tout est dans le non-dit. 

Le suggéré. Le raccourci.  L’ellipse.

Devenu revue de cabaret pipolo-macronarde, « Elle » annonce à la cantonade le 16 juin : « Brigitte Macron : ses filles partagent de tendres souvenirs de leur père Louis-André Auzière ». 

 Pourquoi pas ? La famille, c’est sacré. 

Encore faut-il ne pas se tromper de bonhomme.

Faire voir aux pipelettes ce qu’elles ont envie de voir est tout un art.

 Ce n’est pas de la faute des journaleux si la France remplacée n’est pas portée sur la lecture. 

Même la plus superficielle. 

Avec des députés analphabètes, on ne peut pas espérer que leurs électeurs soient des lumières. 

Quand ils brandissent « mein korampf », combien savent en déchiffrer les pattes de mouches ?

 

Pas besoin d’être un virtuose de Photoshop pour voir qu’il s’agit encore d’une photo truquée.

Le cliché est équilibré, presque professionnel, même si les sujets penchent à gauche (of course) pour tromper la perspective.

 Les deux princesses occupent le centre, attirant sur elles toute la lumière.

 Le barbu à droite est une pièce rapportée. 

Il croise les bras mais sa main gauche a disparu. 

Le personnage secondaire qu’on devine devant ne peut expliquer une main atrophiée et un bras en S couché. 

À moins qu’il ne s’agisse d’un extraterrestre à la texture élastique.

 

Tout cela résulte d’ajustements successifs mal maîtrisés, comme le décrochage anormal sous le bras gauche, et le raccord de l’épaule incorrect.

 Le service de presse de l’Élysée n’est même pas foutu d’embaucher d’habiles faussaires.

Selon la version officielle, papa serait mort en 2019, à 68 ans. 

Bien avant son décès, il était quasiment chauve.

 Et puis, tout d’un coup, les cheveux ont repoussé. 

J’aimerais bien connaître sa recette !

Bien sûr, pour ceux qui pourraient s’étonner de ces bizarreries, on a en réserve pléthore d’explications à l’usage des gogos : le barbu est un ami qui passait là par hasard.

Ou peut-être leur éditeur, rapport au décor. 

Ou encore le préposé aux sandwiches. À vous de voir… 

Dans cette famille bizarroïde, on escamote et on intervertit les papas quand ils commencent à puer de la gueule.

 

Une amélioration par rapport au précédent montage bâclé

En 2018, la télé d’État France 3 avait été mobilisée pour insérer dans un reportage bidonné une photo truquée réunissant le mari cocu, l’épouse volage et l’amant de 12 ans, excusez du peu ! 

La tronche de cake du bambin érotomane remplaçant sur la photo celle d’une autre prof au premier plan.

Le barbu à l’air constipé, décoré d’un collier d’époque façon militant PSU, s’est avéré être un certain Claude Hugot, collègue de Brigitte. 

Il ne dira plus rien, il est mort. 

Rien à voir avec le banquier dont personne n’a entendu parler, né le 28 février 1951 à Éséka au Cameroun, trois ans et 5 mois avant que cette ville existe ! 

Personne ne sait qui c’est, sauf le notaire qui l’a certifié dans un acte de notoriété, établi 6 mois après son décès, donc évidemment sans l’avoir vu. 

 

Histoire d’en rajouter une couche, les thuriféraires chargés de désamorcer les bombes à retardement qui visent « la présidente » (c’est comme ça qu’on l’appelle dans les rédactions) publient des photos des gamines avec leur gentil papa. 

Hélas, non seulement les dates ne collent pas, mais la reconnaissance faciale ne matche pas non plus.

 Le diable est dans les détails.

Ces clichés ont attendu dix ans pour sortir, sous la pression de Candace Owens qui s’étonnait que ce « couple si normal » ne dispose d’aucune photo de famille, validant le narratif imposé aux médias. 

Mais on ne parle plus du premier mari qui apparaît sur une photo de mariage retouchée maladroitement, bas du visage et pommettes, qui semble remonter aux années 1930. 

Récupérée au grenier ou dans une brocante ?

 

Une petite vieille et un mecton rabougri

Comme Internet n’est pas amnésique, on s’interroge toujours sur l’âge réel du « premier mari » de Brigitte.

 Un barbu quinqua-sexagénaire qu’ils ont ressuscité et qui devrait être centenaire aujourd’hui ou pas loin. 

 Brichel vient d’avoir 80 ans mais son petit écolier sigisbée a encore plus mal vieilli. 

Les tracas de sa fonction, des excès de galipettes, douze cancers comme Poutine, ou des abus de farine avec ses potes du train spécial à tous points de vue ?

 

Que le temps passe vite ! 

Sans leurs moumoutes et leurs maquillages, les Macronescu ont l’air moins fringants que sur les photos officielles. 

De quoi déprimer chez ces histrions tellement motivés à valoriser leur image, dont les atours sont supposés cacher le vide intellectuel.

Les Trognon-Macreux ne se méfient pas assez des logiciels de reconnaissance faciale. 

Ou alors, ils prennent la majorité de nos chers compatriotes pour des gobe-mouches. 

Et ils n’ont pas tout à fait tort.

Alors que s’estompent les rumeurs sur les épaules de déménageur de Brichel plus larges que son bassin, sur ses panards 44 fillette et sur l’étrange appendice qui lui déforme le maillot, plutôt que de faire profil bas pour se faire oublier, l’Élysée en rajoute une couche. 

En appelant en renfort les filles de Brichel pour honorer la mémoire d’un monsieur Auzière décédé et qui ne ressemble en rien à ses homonymes virtuels.

Ces gens-là ne savent pas rester dans l’ombre. 

Tant pis si on les critique, ou si on les calomnie, ou si on révèle des détails croustillants sur leurs vies agitées, l’important est qu’on parle d’eux, qu’ils captent l’attention. 

Sans cela, ils auraient l’impression de ne pas exister.

 Une mentalité superficielle de starlettes qui tient lieu de politique pour diriger la France.

Par Christian Navis

Source :https://climatorealist.blogspot.com/

 

 

 

 

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