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La nouvelle nomination épiscopale de Mgr Mackinlay par Léon XIV suit encore la ligne bergoglienne
Léon
XIV nomme Mgr Shane Mackinlay, connu pour son soutien à la possibilité
d’ordonner des femmes au diaconat, évêque de l’important diocèse de
Brisbane, en Australie
Le pape Léon XIV vient de nommer
un nouvel évêque pour le diocèse de Brisbanne, Mgr Shane Mackinlay. Ce
dernier a publiquement soutenu la possibilité d’ordonner des femmes au
diaconat.
Mgr Shane Mackinlay, connu pour son
soutien à la possibilité d’ordonner des femmes au diaconat, nommé évêque
de l’important diocèse de Brisbane, en Australie
La joie du début, à la vue de l’étole et
de la mozette, à l’écoute du latin pour prier, retombe tout doucement
au gré des décisions pastorales léonines qui témoignent d’un alignement
sur la doxa bergoglienne, elle-même n’étant qu’une herméneutique de la
continuité avec Vatican II, et non une rupture avec les pontifes
conciliaires précédents.
Léon XIV vient ainsi de nommer à la tête
de l’important diocèse de Brisbanne, en Australie, Mgr Shane Mackinlay,
connu pour son soutien à la possibilité d’ordonner des femmes au
diaconat, position contraire à la saine et sainte doctrine catholique.
En outre, alors évêque de Sadhurst, toujours en Australie, Mgr Mackinlay
avait également fait placer une statue d’une déesse hindoue dans sa
cathédrale du Sacré-Cœur lors des festivités de Diwali. Selon
LifeSiteNews, l’exposition comprenait des « statues obscènes du dieu
hindou Shiva ».
On peut s’étonner encore aujourd’hui de
telles profanations dans les milieux conservateurs tradi-conciliaires
mais c’est alors oublier qu’avec la rencontre d’Assise en 1986 et son
bouddha sur le tabernacle en autre chose scandaleuse, le pape Jean-Paul
II a ouvert la voie officiellement à de telles pratiques
inter-religieuses dans le temple catholique.
Quelques semaines après son élection,
Léon XIV a nommé le père Beat Grogli qui a exprimé lui-aussi son soutien
à l’ordination des femmes, à la tête du diocèse de Saint-Gall
Cette nomination de Mgr Mackinlay qui va
à l’encontre de la défense de la Tradition et d’une orthodoxie
doctrinale n’est pas la première, et risque de ne pas être la dernière
malheureusement : quelques semaines après son élection, Léon XIV a nommé
le père Beat Grögli,
prêtre gay-friendly et qui avait exprimé lui-aussi son soutien à
l’ordination des femmes, à la tête du diocèse de Saint-Gall, en Suisse.
Mgr Grogli avait récemment encouragé une « discussion ouverte » sur
l’ordination des femmes.
Mgr Joseph Strickland, l’un des rares
évêques conciliaires courageux, qui, l’on peut le dire, ouvre lentement
les yeux sur la débâcle du concile Vatican II, sa doctrine hérétique qui
ruine la foi catholique sans malheureusement saisir combien Jean-Paul
II a participé à cette destruction, a publié une déclaration sur son
compte X blâmant cette nomination :
« Profondément préoccupé par le sort des
fidèles de l’Église, je me sens obligé d’aborder la récente nomination
de l’évêque Shane Mackinlay comme archevêque de Brisbane par Sa Sainteté
le pape Léon XIV.
« Bien que nous devions respect filial
et obéissance au Saint-Père dans les domaines relevant de son autorité,
cette nomination soulève de graves questions pastorales et doctrinales.
Mgr Joseph Strickland a publié une déclaration sur son compte X blâmant cette nomination
« Mgr Mackinlay a publiquement exprimé
son soutien à la possibilité d’ordonner des femmes au diaconat, une
position qui non seulement introduit une grave confusion, mais remet
directement en cause l’enseignement et la tradition cohérents de
l’Église catholique.
Comme le pape saint Jean-Paul II l’a déclaré sans
équivoque dans Ordinatio Sacerdotalis, « l’Église n’a aucune autorité
pour conférer l’ordination sacerdotale aux femmes », et ce principe
s’étend, par cohérence logique et théologique, au diaconat sacramentel,
qui fait partie des ordres sacrés.
« La volonté de redéfinir le diaconat
pour y inclure les femmes n’est pas une question de discipline mineure
ou d’adaptation pastorale : c’est une rupture avec la tradition
ininterrompue de l’Église et un pas vers la remise en cause de la nature
même du sacerdoce sacramentel.
Si les femmes ont toujours occupé une
place éminente dans l’Église – martyres, mystiques et saintes –, leur
dignité ne se renforce pas en imitant les rôles masculins, mais en
vivant pleinement la vocation unique que Dieu leur a donnée.
« Nommer un évêque qui partage de telles
opinions pour diriger un archidiocèse majeur est source de scandale et
de division.
Les fidèles méritent la clarté, non l’ambiguïté ; la
fidélité, non l’expérimentation.
« En cette période de confusion,
j’encourage tous les catholiques à rester fermes dans la vérité
transmise par les Apôtres.
Le Christ est le Chef de l’Église, et son
dessein pour les sacrements ne peut être altéré par la pression du monde
ou par des tentatives de modernisation malavisées.
« Prions pour Mgr Mackinlay, afin qu’il
réaffirme son engagement envers l’enseignement immuable de l’Église.
Prions pour le pape Léon XIV, afin qu’il soit guidé par l’Esprit Saint
pour nommer des pasteurs qui défendent la plénitude de la vérité
catholique sans compromis.
« Dans le Sacré-Cœur de Jésus, Mgr Joseph E. Strickland. »
L’Agenda moderniste continue d’être la boussole de la hiérarchie qui gouverne à Rome
L’Agenda moderniste continue d’être la
boussole de la hiérarchie qui gouverne à Rome, étole, mozette et latin
en prime, pour mieux faire avaler ces changements. Comme le souligne un
journaliste américain :
« La révolution commencée sous Jean
XXIII, accélérée sous Paul VI et métastasée sous François n’est pas en
train de reculer.
Elle mûrit. Léon XIV n’est pas François. Il est le
raffinement de François.
Plus fluide. Plus intelligent. Plus lent.
Mais
indéniablement en continuité avec la trajectoire moderniste, désormais
revêtu de la robe augustinienne. »
Par Francesca de Villasmundo https://www.medias-presse.info/
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