lundi 30 juin 2025

IL Y A QUE NOS ÉLITES " POLITIQUE QUI NE VEULENT PAS VOIR QUE LA GUERRE CIVILE EST AU QUOTIDIEN !

 


La guerre civile au quotidien : exemple en Lorraine…

La guerre civile au quotidien s’ajoute à la spoliation des Français de ce qu’ils ont déjà payé et qui donc leur appartient. 

Ainsi l’État et ses prétendues « valeurs de la République » ne sert plus qu’à nous voler et à nous laisser massacrer.

 Plus rien ne justifie que nous lui accordions notre confiance, notre argent et le futur de nos enfants, dans aucune de ses institutions.

La semaine dernière j’ai dû me rendre en Lorraine pour des obsèques.

 J’ai donc réglé les péages de ces autoroutes déjà payées par nos impôts (Montpellier-Nancy).

 Une heure de stationnement à l’hôpital de Nancy coûte 4,50€, soit environ 30 francs de notre ancienne monnaie.

 Pourtant cet hôpital avec son parking a aussi déjà été payé par nos impôts.

 Mis à part le gavage éhonté des politiciens, le fauteuil du gros goitreux Larcher au prix exorbitant et les subventions pleuvant comme vache qui pisse sur les associations gauchistes et immigrationnistes, les millions donnés à Zelensky pour faire la guerre à la Russie – notre alliée des deux guerres mondiales – on se demande où passe notre argent tandis que les fermetures d’entreprises se multiplient et que les Français de souche sont de plus en plus nombreux à devenir pauvres.

Dans cette jolie Lorraine, où j’ai rencontré des gens fort sympathiques, vient de se produire l’une de ces agressions devenue si dangereusement banales que beaucoup de gens n’y font même plus attention, tandis que d’autres préfèrent ignorer les informations. 

À Uckange, dans cette Moselle que nos glorieux Poilus avaient eu tant de mal à reprendre aux Boches, des individus – devinez lesquels – ont organisé une attaque* un peu à la manière des westerns, sauf que là c’était  « en vrai ».

 Ni la première du genre, ni la dernière sans doute. 

Ils ont empêché un autobus de circuler, le conducteur a appelé un contrôleur. 

À peine arrivé, celui-ci a été attaqué sauvagement par une dizaine d’individus, plaqué à terre et roué de coups au visage.

 L’intention de tuer est là évidente. 

 

Deux semaines d’incapacité totale de travail pour lui, qui ne faisait justement que son travail.

L’exploitant des transports urbains annonce que la zone concernée ne sera plus desservie, sans limitation de durée. Une bonne manière de faire comprendre que tout n’est pas permis aux habitants de l’endroit. 

Mais cette mesure pourrait n’avoir que peu de portée.

 Les habitants de Gaza ne se débarrassent pas du Hamas qui, après avoir semé le vent, leur fait récolter la tempête. 

Comment des parents dont les enfants se comportent en barbares feraient-ils mieux ?

 Quelle éducation leur ont-ils donnée ? 

Ils vont se déplacer à pied et protester contre les transports urbains que leurs descendants s’appliquent à empêcher de travailler, pire encore agressent avec volonté de tuer. 

Au bout d’un temps, des élus de gôche prétendront que ces gens sont discriminés, hurleront au racisme (tiens pourquoi donc ?) et exigeront la reprise de la desserte de la zone. 

Tout recommencera comme avant. Jusqu’à la prochaine fois.

Parmi ces habitants se trouvent malheureusement encore des gens ordinaires, des travailleurs qui se lèvent tôt, qui paient des impôts afin que l’État entretienne des millions de ces parasites qui, eux, ne travaillent pas, sont assistés, et en plus leur gâchent la vie à longueur de temps. 

S’ils vont se plaindre à la police, on leur répond qu’ils n’ont qu’à changer de quartier. 

Facile à dire quand on a une adresse justement située dans un « mauvais quartier » dont les autres ne veulent pas hériter.

 Parce qu’il faut bien savoir que les individus coupables de ces exactions en commettent d’autres, c’est leur style de vie : tapages nocturnes, rodéos dangereux, boîtes à lettres et caves dégradées, vente de drogue, provocations verbales et physiques, ascenseurs sabotés, poubelles et voitures brûlées, etc.

Qui paie à chaque fois ?

 Il y a vraiment là de quoi désespérer de travailler. 

Ainsi le travail, l’une des valeurs fondamentales de toute société civilisée, est-il une fois de plus dévalorisé au profit d’un « vivre-ensemble » qui n’est que pure chimère et d’un laisser-aller généralisé conduisant à la ruine.

Pendant ce temps, les flics multiplieront les procès envers ceux qui fumeront devant les écoles, sur les plages ou dans les parcs. 

Il faut dire que ce sujet est de première urgence !

 

 Protéger nos enfants et nos anciens, assurer la sécurité des gens qui travaillent, déloger les squatteurs, arrêter les voleurs de métaux, supprimer les points de vente de drogue, intercepter les trafiquants d’armes ou protéger les exploitations agricoles ne sont pas les priorités sécuritaires de l’État français. 

Ses dirigeants sont décidés à laisser se développer la ruine de la France et des Français, la guerre civile jusque dans les endroits les plus éloignés des métropoles peuplées de gauchistes citadins, à laisser s’amplifier le chaos pour justifier toujours plus de mesures coercitives contre le peuple de souche et au bénéfice des envahisseurs.

 Il faut que cela soit dit.

Par Daniel Pollett

* https://www.fdesouche.com/2025/06/28/uckange-57-un-controleur-sauvagement-tabasse-par-une-dizaine-de-jeunes-qui-bloquaient-un-bus-il-a-ete-plaque-et-roue-de-coups-au-visage/

 

 


 

[VOS COMMENTAIRES] 

« La France sombre et M. Pipeau fait le paon »

« La croisière s’amuse... sans savoir que son bateau s’appelle Titanic »
Capture d'écran FB Maison royale de Norvège
Capture d'écran FB Maison royale de Norvège

 

Vert100 trouve qu’il est « amusant de voir Macron courir loin derrière pour essayer d’exister », il constate que « Macron rame, il est derrière. Tout le monde en rigole. » 

Amusant ou déconcertant, en tout cas, c’est certain, cette semaine encore, Macron aura prouvé sa totale déconnexion …

N'est pas le duc de Wellington qui veut...

Pendant que notre président fête la musique en grande pompe à l’Élysée, Trump envoie ses bombardiers en Iran

Comme le dit Dinzelrac, il y a « d’un côté un self-made-man, certes pas toujours très sympathique mais pragmatique et efficace qui aime et stimule son pays, [et] de l’autre un gamin capricieux, enfant gâté à la vanité démesurée […]

 À part ses selfies, on dirait maintenant "il n’y a pas photo" ! » Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles, cependant, puisque Sportpassion remarque qu’« il s’est "rattrapé", ce dimanche, en faisant un Conseil de défense avec ses clowns »

Pas de quoi rassurer Bruno, qui conseille au Président d’« arrêter de ramer et [d'] enfiler son gilet de sauvetage, ça vaudrait mieux ».

 De toute façon, « vous n’allez tout de même pas gâcher un grand moment festif de vivre ensemble pour quelques broutilles sans importance, ironise Bruno, pendant que les vilains jouent à la guerre, les gentils font la teuf. Voilà, faites la teuf, pas la guerre, les Français ont voté pour ça… et ils en ont pour leur argent. » « C’était une diversion de notre grand stratège pour détourner l’attention de nos ennemis ? », se moque Skoh6371. 

Pour Michel Bigot, c’est « la croisière s’amuse… sans savoir que son bateau s’appelle Titanic ». Pourtant, en d’autres temps, les deux n’étaient pas incompatibles puisqu’« en matière de danse au moment crucial, […] le bal historique à Bruxelles, rappelle Paul ter Gheist, auquel participait le duc de Wellington… au soir du 17 juin 1815 [n’a pas empêché] le duc, le lendemain [d’être] sur le champ de bataille de Waterloo, c’est différent ».

 

Autres temps autres mœurs, n'est-ce pas ? 

Comme le prouvent les attaques à la seringue qui ont fait florès, samedi 21 juin. Quelle solution pour endiguer ces agressions ? 

Pour Pierre Bzarcelo, « il faudra bien qu’un jour soient prises des sanctions à la hauteur des agressions »

Quant aux « jeunes [qui] se demandent quand est-ce qu’ils pourront sortir faire la fête sans "être inquiets" », Deffy70 leur répond que « c’est simple, lorsqu’ils commenceront à voter correctement pour sortir leur pays de ce désastre »

Radon920604, quant à lui, ironise et singe les idées ineptes de nos dirigeants en proposant l’« interdiction de vendre des seringues aux mineurs ».

Le charme désuet des monarchies européennes

Pourtant, Macron semble goûter aux charmes désuets des monarchies d’Europe, puisqu’il en fait le tour, loin des Français en colère.

 Milan n’est pas tendre, pour notre Président, et considère que « la France sombre et M. Pipeau fait le paon. Il profitera jusqu’au bout », mais François 47 ne l’est tout autant puisque, pour lui, « la France brûle et au lieu d’être à son chevet, monsieur court de galas en diners avec sa cour ».

 Klakenn est plus pragmatique : « Pourquoi se priverait-il ? [Même si], pendant ce temps-là, le peuple se demande comment il va pouvoir continuer à payer ses factures et s’il peut sortir le soir sans se faire égorger. » 

À croire comme Tureverbere, révolté par la déclaration d’irresponsabilité pénale du meurtrier d’Alban Gervaise, que « ce pauvre pays est devenu une société à irresponsabilité illimitée. À commencer par son gérant. »
 

Pour autant, il ne faut pas mettre tous les Français dans le même sac.

 Lucas, lui, cette semaine, a sauvé la ferme familiale, mais c’est peut-être parce que, comme le remarque Euréka, ceux-là n’ont « pas le temps de faire du bruit ; ils bossent, eux » et sont même parfois dérangés par ceux qui voudraient qu’ils en fassent encore moins, à l’instar de cet éleveur de Corrèze verbalisé à cause des cloches que portent ses vaches.

 CDRN remarque pertinemment que « c’est toujours plus facile de s’en prendre aux silencieux. Mais que fait-on des casseurs et des délinquants qui détruisent tout ? 

 Reçoivent-ils une amende, sont-ils verbalisés ? On marche sur la tête ! Nous sommes des vaches à lait, cernées par des cloches… »

  Hadrien Lemur trouve tout de même matière à se réjouir, puisque la « seule bonne nouvelle dans cette mascarade, si le bruit des cloches devient verbalisable, nos gouvernants devront rester silencieux ».

Voyant notre Président « au bout du bout », Tureverbere tente une métaphore : « Le commandant se promène dans tout le bateau avec un porte-voix, descend dans la cale pour percer des trous dans la coque et s’envole avec l’hélico du bord pour nous dire de loin que nous sommes de mauvais marins. »


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Par Boulevard Voltaire

 

Source : https://www.bvoltaire.fr/


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