L’armée israélienne veut censurer la publication des images des conséquences de sa guerre contre l’Iran
dans International / Iran / Israël —
par Pierre-Alain Depauw — 19 juin 2025
La censure militaire est décrétée en Israël.
« Toute personne qui imprime ou publie un imprimé ou une publication concernant le lieu d’une frappe ou d’un impact par du matériel de guerre ennemi » doit se soumettre à l’approbation du censeur militaire de l’armée israélienne.
Censure militaire imposée à tous les habitants d’Israël
Ce décret de censure militaire a été présenté mercredi après-midi par le général de brigade Kobi Mandelblit, qui dirigera cette censure.
Et confirmé par un communiqué émanant du bureau de presse du gouvernement.
Le décret exige que « toute personne qui imprime ou publie un document imprimé ou une publication concernant le lieu d’une frappe ou d’un impact par du matériel de guerre ennemi, y compris des missiles de toute sorte et des drones, dans les médias ou en ligne (y compris les médias sociaux, les blogs et les chats, etc.) » le soumette au censeur militaire pour approbation avant sa publication.
Cela inclut à la fois les médias publiés en Israël et à l’étranger, a précisé le général Mandelblit.
« L’impression ou la parution de toute publication qui n’a pas été soumise au censeur, ou qui lui a été soumise et dont les instructions n’ont pas encore été reçues ou ont été reçues et non respectées » est donc strictement interdite aux habitants d’Israël, a insisté le général Mandelblit.
« Tout contrevenant sera poursuivi », a-t-il conclu.
Une réalité bien plus grave que ce qu’en dit le gouvernement israélien
Si de telles mesures peuvent se comprendre dans le cadre d’une guerre, elles laissent néanmoins penser que les dégâts et le nombre de victimes des frappes menées par l’Iran en riposte à l’attaque israélienne sont bien plus importants que ce qu’en dit le gouvernement israélien.
De fait, les images qui circulent d’immeubles en ruines dans des quartiers entiers de Tel Aviv permet difficilement de croire la propagande gouvernementale israélienne qui minimise les conséquences de sa folie belliciste.
Une intervention américaine en Iran conduirait à une extension dramatique de cette guerre déclarée par Israël
dans Etats-Unis / International / Iran / Israël —
par Pierre-Alain Depauw — 19 juin 2025
L’agence Bloomberg a rapporté que les États-Unis se préparaient à une éventuelle frappe contre l’Iran dans les prochaines heures, même s’il existe la possibilité que les plans changent.
L’intervention des États-Unis dans le conflit irano-israélien entraînerait rapidement d’autres pays dans ce conflit déclaré par Israël.
Plan d’attaque des Etats-Unis contre l’Iran
Le Wall Street Journal a révélé que le soir du 17 juin, le président Donald Trump avait informé ses conseillers qu’il avait approuvé un plan d’attaque contre l’Iran, mais n’en avait pas encore donné l’ordre, s’attendant à ce que Téhéran abandonne ses ambitions nucléaires.
Le vice-ministre iranien des Affaires étrangères, Kazem Gharibabadi, a indiqué que l’Iran étudiait toutes les options en réponse à la possibilité d’une implication américaine aux côtés d’Israël.
Les États-Unis devraient décider d’éventuelles frappes contre l’Iran dans les prochaines 24 heures.
Cependant, il n’y a pas de consensus sur la question au sein du camp du président américain Donald Trump : des experts militaires rappellent à Trump les échecs des interventions militaire des Etats-Unis en Afghanistan, en Libye et en Irak.
Jusqu’à présent, Trump a affirmé que le guide suprême iranien, l’ayatollah Ali Khamenei, était une « cible facile », et que les États-Unis connaissent précisément l’endroit où il se cache.
Par ailleurs, plusieurs pays ont déclaré être prêts à jouer un rôle de médiateur dans le règlement du conflit.
Par exemple, la Suisse, a déclaré le ministère suisse des Affaires étrangères.
Trump affirme qu’il n’est pas trop tard pour négocier avec l’Iran
« Les États-Unis ont déployé une quarantaine d’avions ravitailleurs КС-135 et КС-46 en Europe.
Il s’agit d’une flotte assez importante, complétée par des chasseurs F-35 de cinquième génération de l’US Air Force et des F/A-18 », a déclaré Dmitri Kornev, rédacteur en chef du portail Militaryrussia. « Il existe également deux groupes aéronavals au Moyen-Orient.
Certains avions ont été redéployés vers l’Arabie saoudite et certaines bases américaines du golfe Persique le 17 juin », a-t-il ajouté.
La participation directe de l’armée de l’air américaine, qui mènerait des frappes contre les installations militaires et énergétiques iraniennes dans la région aux côtés de l’aviation israélienne, pourrait étendre le conflit au-delà de ses frontières géographiques actuelles.
La Syrie, l’Irak, la Jordanie et les monarchies du Golfe Persique pourraient se retrouver rapidement entraînées d’une façon ou d’une autre dans cette guerre.
Les installations américaines en Irak et dans les monarchies arabes sont clairement menacées, comme la base aérienne d’Al-Udeid au Qatar, l’une des plus importantes de la région.
La stratégie actuelle de l’administration Trump repose sur la pression psychologique.
Les dirigeants américains sont confrontés à un choix difficile : poursuivre leur politique de menaces ou passer au combat direct, les risques d’une nouvelle escalade restant extrêmement élevés.
Israël veut renverser le régime iranien et a besoin pour cela de l’aide militaire des États-Unis. Les prochaines heures vont permettre de savoir si Trump est ou non une marionnette des dirigeants israéliens.
Le Wall Street Journal a révélé que le soir du 17 juin, le président Donald Trump avait informé ses conseillers qu’il avait approuvé un plan d’attaque contre l’Iran, mais n’en avait pas encore donné l’ordre, s’attendant à ce que Téhéran abandonne ses ambitions nucléaires.
Le vice-ministre iranien des Affaires étrangères, Kazem Gharibabadi, a indiqué que l’Iran étudiait toutes les options en réponse à la possibilité d’une implication américaine aux côtés d’Israël.
Par Pierre-Alain Depauw
Source et publication : https://www.medias-presse.info
ET AUSSI
Vers la fin des radirans et l’arrivée d’un nouveau shah
Nous les appelions les radirans, et nous sommes ravis de leur éradication.
Certes, leur destruction n’est pas encore achevée, toutefois, certains annoncent cette bonne nouvelle pour dimanche soir.
Elle donnera lieu à la liquidation du « rat spirituel » Khameini, spécialement réservé à cet effet. Franchement, nous ne rouspéterons pas si ça survenait quelques jours, voire quelques semaines plus tard.
L’essentiel, c’est que ce soit fait.
Récapitulons : ces sales radirans nuisent toujours dangereusement.
Outre d’énormes missiles balancés au hasard sur la population d’Israël, en faisant hélas trop de victimes et de spectaculaires dégâts, le célèbre Institut Wieszmann, fondé par le grand-père, d’un ancien directeur de Sup Télécom France, a été sérieusement touché.
Ce centre de recherche en biologie est l’un des plus avancé au monde. Notamment, pour les recherches sur le cancer. Des milliers d’expériences en cours ont été détruites.
C’est aussi ça, la guerre.
Chez l’ennemi, une partie de l’état-major perse, qui a échappé aux bombardements initiaux, a fui dans les montagnes.
Que croyez-vous qu’il arriva ? L’ennemi quand même, trépassa. Non mais !
C’est qu’ils ont le « seum », maintenant les aviateurs de Tsahal.
Précision : ce néologisme enrichissant la belle langue de Molière, est d’origine « racaille importée ». En Algérie, nous prononcions « sém », avec un accent aigu et non grave.
Bref, à cette allure, d’ici dimanche, il devrait subsister quelques « sous-bites », si toutefois ce mot est encore utilisé, pour représenter l’armée des radirans.
Quant aux tortionnaires les plus sanguinaires, pompeusement appelés « gardiens de la révolution », on n’en trouvera plus. Les rares survivants ne se vanteront pas d’en avoir été. Côté soulèvement populaire, c’est la déception.
Bien sûr, les désertions sont la règle, l’aide aux sionistes aussi.
Mais tout de même, toujours pas de lynchage de radirans en public.
Si la majorité des Perses préfère garder ses rats, alors, la mort dans l’âme, pour beaucoup de soldats israéliens, mais avec calme et détermination pour avantage, ces Perses-là connaîtront le même sort que les soi-disant civils du goush Katif.
Néanmoins, nous avons toujours de raisons solides d’espérer ces joyeux mouvements de foules en liesse.
Jusqu’en milieu de matinée de jeudi, le ban et l’arrière ban des propagandistes sévissant dans les merdias hexagonaux spéculaient, ratiocinaient, devisait, bref, bavardaient sur les intentions du président Trump.
Ça aurait été plus court de dire : ils sodomisaient les diptères.
Ça ne peut que continuer.
Car après avoir quasiment annoncé, en milieu de matinée, la décision de bombardements US sur les sites nucléaires d’Iran, voilà-t-il pas que ce farceur de Donald annonce qu’il donnera sa position officielle dans deux semaines, dans l’après-midi ?
Les couillons dans cette histoire, c’est toujours nos très visqueux propagandistes.
Ils n’arrivent pas à intégrer dans leur très petite cervelle préformatée, qu’on ne dévoile pas ses coups à l’ennemi.
Ce n’est même pas la peine de parler « d’enfumage ».
Du moins pour notre ami Donald.
Car côté israélien, certains tentent de le prendre par les sentiments : se contente-t-il d’être un fournisseur de matériel, ou bien préfère-t-il être un acteur majeur de l’indispensable destruction des radirans ?
Car, comme on s’y attendait, c’est pas un problème de bombes et d’avions qui vont arrêter les Israéliens.
Ils ont très longtemps préparé cette affaire et en ont analysé tous les aspects.
Donc, même sans GBU-57, ni B2, les Israéliens peuvent détruire les installations nucléaires enfouies de Fordo et de Natanz.
Ça prendrait juste un peu plus de temps.
La balle est chez TRUMP.
L’essentiel, c’est qu’il reste ferme sur le principe : pas de nucléaire pour les radirans.
C’est le plus important.
Donc entendus çà et là, les bruits parasites ne changent rien.
Beaucoup de ces bruits sont des leurres, ceux qui ne sont pas des leurres n’ont tout simplement pas les moyens de devenir autre chose que du bruit.
Coïncidence, quand on entend « entrechats », on pense aux petits rats, mais de l’Opéra, bien sûr.
On pense aux merveilleuses danseuses étoile, aux élégants danseurs.
Or, nous parlons d’entre-Shahs.
C’est que ces rats-là, ces radirans, n’auront existé qu’entre deux Shah. Mohamad Reza PALHEVI, premier du nom, et son rejeton princier, prêt à prendre la succession avec quelques décennies de retard.
Grâce à l’intervention de « hackers » amis, il passe même à la télévision de son pays.
Hélas, s’il a beaucoup de supporteurs, davantage le boudent.
Ce ne sera jamais un scandale de forcer, plus qu’un peu, si nécessaire, ces Iraniens ingrats qui snobent pour le moment la liberté qu’on leur offre.
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