samedi 21 juin 2025

IRAN : IL FAUT RENVERSER LA RÉPUBLIQUE ISLAMIQUE ! PRINCE DAVOUD PAHLAVI !

 

 


[EXCLU BV] 

Prince Davoud Pahlavi : « Il faut renverser la République islamique d’Iran »

 
L'arrière petit fils du chah d'Iran appelle de ses vœux un Iran post-islamique, laïc et ouvert sur le monde.
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Une semaine après qu'Israël a lancé sur l'Iran une attaque aérienne sans précédent, un membre éminent de la maison impériale d'Iran, le prince Davoud Pahlavi, a bien voulu donner un long entretien en exclusivité pour BV.

 Il nous donne son analyse de la situation, tant en Iran que parmi la diaspora iranienne dans le monde, et nous fait partager ses espoirs pour cette nation multimillénaire qu'est l'Iran.

Le prince Davoud Pahlavi, petit-fils du prince Ali Reza Pahlavi (1922-1954), frère cadet du dernier chah, Mohammad Reza Pahlavi (1919-1980), s’inscrit dans la lignée directe de Reza Chah le Grand (1878-1944), fondateur de l’Iran moderne, son arrière-grand-père. 

Troisième héritier présomptif du trône impérial, il ne se revendique pas uniquement comme monarchiste, mais avant tout comme un patriote démocrate, engagé pour un Iran post-islamique, laïc et ouvert sur le monde.

 

Georges Michel. Monseigneur, votre cousin, le prince Reza Pahlavi, vient d’appeler les Iraniens au soulèvement national. 

Quel écho cet appel peut-il avoir dans un pays qui vit sous la chape de plomb d’une dictature islamiste depuis 45 ans ?

 

Prince Davoud Pahlavi. Ce fut un instant d’une intensité rare, un de ces moments où le cœur s’embrase et l’âme s’élève, portée par une fierté profonde et une admiration sans limite. 

Ce discours, magistral, digne d’un véritable chef d’État, résonnait comme un hymne vibrant à la patrie, empreint de l’amour passionné d’un patriote pour son peuple et sa terre. 

Chaque mot, soigneusement choisi, semblait jaillir d’une source intarissable de conviction et d’espoir, tissant un lien indissoluble entre l’orateur et ceux à qui il s’adressait.

En exprimant un soutien indéfectible à son peuple, il a su insuffler une lueur d’espérance dans des cœurs meurtris par l’épreuve.

 Bien plus qu’un simple message, ce fut un appel solennel, un cri du cœur exhortant à la désobéissance civile, à briser les chaînes de l’oppression par la force de l’unité et de la détermination. 

Cet appel s’étendait aux forces armées, les conjurant de rallier la cause du peuple, de choisir la justice et l’aspiration collective à la liberté. 

En cet instant, l’idéal d’une nation unie semblait soudain à portée de main et l’impossible devenait envisageable.

 

G. M. Voyez-vous venir un soulèvement populaire ?

D. P. Je mesure combien le chemin vers la liberté sera long et semé d’embûches. 

Notre peuple, aujourd’hui, est une victime collatérale d’un conflit qu’il n’a ni voulu ni provoqué, pris en étau entre la République islamique et Israël.

 Dans ce climat de terreur, où les bombardements et la répression s’abattent sans répit, le temps n’est pas encore à l’action collective, mais à l’émotion brute, au deuil silencieux, à la quête désespérée de sens face à l’absurde.

Je crois fermement qu’un déclencheur sera nécessaire, un événement d’une puissance psychologique et émotionnelle exceptionnelle, pour que le sursaut tant espéré puisse éclore.

 Ce moment, où les peurs profondément ancrées s’effaceront devant une vague d’espoir et de courage, marquera un tournant.

 Lorsque ce jour viendra, l’écho de ce discours, gravé dans les consciences, résonnera avec une force renouvelée. 

Il galvanisera les âmes, libérant notre peuple des chaînes qu’il porte depuis près d’un demi-siècle, pour ouvrir la voie à un avenir nouveau.

 

Au cœur de cette lutte, nous touchons à l’essence même de l’humain. 

Par nos actions, nous devons avant tout rester à l’écoute de nos compatriotes, être présents à leurs côtés, les accompagner dans ces épreuves avec compassion et détermination, jusqu’à la victoire finale. 

Car c'est ensemble, dans le respect de la laïcité et des convictions politiques de chacun, que tous les Iraniens montreront qu'il existe un Iran porteur d'espoir, de liberté, d'égalité et de démocratie.

 Un Iran qui sera également vecteur de stabilité pour le Moyen-Orient et l'ensemble du monde libre, une fois qu'il sera débarrassé des intégristes et de l'islam politique qui a fait tant de morts. 

Le temps est venu de dévoiler nos forces, autant que notre union, et d'agir !

 

G. M. Cet appel depuis l’étranger peut-il être exploité par le régime des mollahs en qualifiant le prince héritier d’instrument des États-Unis ou d’Israël ?

D. P. Nous connaissons parfaitement le discours de ce régime théocratique, totalitaire et profondément corrompu qui rejette avec véhémence tout ce que représente l’Occident et voue une haine viscérale à l’État d’Israël depuis le premier jour de sa prise de pouvoir, en 1979. 

Ce régime s’appuie sur un endoctrinement intensif et incessant, manipulant les esprits pour asseoir son autorité et perpétuer son idéologie oppressante. 

L’ayatollah Khomeini, inspiré par les Frères musulmans, caressait le rêve obsessionnel d’éradiquer Israël de la carte du monde. 

Depuis lors, ses successeurs ont poursuivi cette ambition destructrice avec une détermination implacable, mobilisant d’immenses ressources financières et logistiques pour armer et soutenir leurs proxies tels que le Hamas, le Hezbollah et d’autres groupes terroristes, dont les agissements ont culminé dans l’ignominie des attaques du 7 octobre.

Parallèlement, ce régime cherche à discréditer aux yeux du peuple iranien mon cher cousin, le prince Reza Pahlavi, en le dépeignant comme un pion manipulé par l’Occident, et plus particulièrement par Benyamin Netanyahou. 

Cette propagande mensongère vise à étouffer toute aspiration au changement et à maintenir la population dans un état de soumission et de questionnement à propos de notre opposition.

 Face à cette entreprise de division et de répression physique, mentale et intellectuelle, il devient urgent d’intensifier nos efforts. 

Nous devons mettre le pied sur l’accélérateur du mouvement pour la liberté, galvaniser les forces de résistance et passer à une action concertée, déterminée et stratégique afin de restaurer la dignité et l’espoir d’un Iran libre, souverain et débarrassé de cette tyrannie.

 Le temps de l’inaction est révolu ; chaque jour qui passe renforce l’urgence d’agir avec courage et détermination pour renverser ce régime et ouvrir la voie à une nation prospère et en paix.

 En conclusion, à mon sens, nous rentrons dans un moment où il faut du courage et l’initiative de l’action.

Dans un monde où les peuples sont souvent réduits à des caricatures géopolitiques, l'Iran doit dresser comme un paradoxe vivant : un peuple à la fois ancré dans une histoire millénaire et résolument tourné vers un avenir où la liberté ne serait pas un rêve mais un droit. 

Ce courage, forgé dans l'épreuve et poli par la culture, fait du peuple iranien non seulement un acteur de son destin, mais un symbole universel de la lutte pour la dignité humaine.

 Le peuple est là, il attend le visage de l’incarnation de son destin, un leader dans l’action.

 

G. M. Pourriez-vous nous faire un état des lieux des oppositions au régime, tant en Iran que dans la diaspora ?

D. P. L’opposition au régime iranien, en Iran comme dans la diaspora, reflète un profond désir de changement, mais elle reste fragmentée face à une répression implacable.

 À l’intérieur du pays, les manifestations, notamment celles déclenchées par la mort de Mahsa Amini, en 2022, sous le slogan « Femme, Vie, Liberté », ont révélé une révolte portée par les femmes, les jeunes et les minorités ethniques. 

Ces mouvements exigent la fin de la théocratie, l’égalité des droits et une justice sociale, dans un contexte d’inflation galopante et de crise économique. 

Cependant, la répression brutale – arrestations, tortures, exécutions – et l’absence de leadership centralisé limitent leur impact. 

Les grèves ouvrières, étudiantes ou enseignantes, comme celles observées en 2024 et 2025, témoignent d’un mécontentement persistant, mais sans coordination nationale.

Les minorités ethniques, telles que les Kurdes, Baloutches ou Arabes, mènent des résistances locales, souvent motivées par des revendications d’autonomie. 

Quelques dissidents religieux critiquent l’autoritarisme du régime, mais leur voix reste marginale. 

 

L’Organisation des moudjahiddines du peuple (OMPI), qui fait partie de nos lignes rouges, bien que présente historiquement, peine à mobiliser en raison de son passé controversé.

En tout état de cause, il faut bien réaliser que la surveillance étroite du régime et la censure d’Internet compliquent l'organisation de l'opposition à l’intérieur du pays.

 Mais nous y arriverons, forts de notre détermination !

 

G. M. Quel rôle votre famille joue-t-elle, dans la diaspora ?

D. P. Dans la diaspora, forte de millions d’Iraniens en Europe, aux États-Unis et au Canada, l’activisme est plus structuré.

 Des figures comme Masih Alinejad amplifient les voix de l’intérieur via les réseaux sociaux, tandis que des organisations documentent les violations des droits de l'homme pour maintenir la pression internationale. 

Les monarchistes, soutenant mon cher cousin Prince Reza Pahlavi, prônent une transition vers une démocratie laïque, parfois sous une monarchie constitutionnelle. 

L’OMPI, basée à l’étranger, organise des campagnes, mais sa légitimité est contestée. 

D’autres groupes, laïcs ou républicains, cherchent à fédérer autour d’un projet démocratique, mais les divergences idéologiques freinent une coalition unie.

 La diaspora souffre aussi d’une certaine déconnexion avec les réalités iraniennes et des accusations du régime, qui la dépeint comme manipulée par l’Occident.

Reza Pahlavi, fils du dernier chah, incarne pour la majorité de notre peuple un symbole d’espoir. Vivant en exil depuis 1979, il se présente non comme un prétendant au trône, mais comme le défenseur d’une transition démocratique. 

Son discours est centré sur la laïcité et les droits de l'homme, séduit la diaspora et trouve un écho chez ceux qui associent l’ère Pahlavi à une modernité passée. 

Sa visibilité internationale lui assure confiance et crédibilité. 

Quand la majorité de notre peuple est unie et attend l’union et l’action d’un leader, en exil, républicains, socialistes et communistes se rejettent, chacun préférant l’idée de se voir au pouvoir au détriment de notre nation dans l’attente d’un changement.

Les pères fondateurs de notre dynastie, qui ont jadis bâti un Iran dont nous pouvons être fiers, qui n’avait rien à voir avec l’Iran d’aujourd’hui, est dans le cœur et la mémoire de notre peuple.

 La dynastie Pahlavi est représenté par le prince Reza Pahlavi, fils aîné du dernier feu Chah Mohammad Reza Pahlavi qui voue un amour inconditionnel pour notre nation. 

En tant que chef de famille, il porte sur ses épaules notre opposition avec courage et loyauté envers notre peuple. 

Tout est organisé avec un plan ambitieux sérieux, et nous sommes tous en ordre de bataille en soutien indéfectible autour de lui. 

Nous sommes nombreux en exil et à travers tout notre pays.

 Que notre combat reste fidèle à notre histoire et à notre aspiration à la liberté.

 

G. M. Depuis le déclenchement de l'attaque israélienne, avez-vous des retours de réactions de la part de vos compatriotes vivant en Iran ?

 Comment vivent-ils ce début de guerre ?

D. P. Après plus d’un demi-siècle de déchirements, de répression et de désespoirs, le peuple iranien, héritier d’une civilisation millénaire, se trouve aujourd’hui réduit au statut de victime collatérale d’une guerre qui ne lui appartient pas.

 Les témoignages qui me parviennent, portés par les voix brisées de ceux qui osent encore parler, peignent un tableau d’angoisse et de peur.

 Les familles, les jeunes, les anciens, tous vivent dans l’ombre menaçante des bombardements, dans l’incertitude d’un avenir où chaque jour peut apporter son lot de tragédies. 

À cette peur s’ajoute l’effroi d’une répression toujours plus brutale, orchestrée par un régime aux abois, prêt à tout pour maintenir son emprise sur une nation qu’il a déjà tant meurtrie.

La République islamique, dans son obsession haineuse contre l’État d’Israël, a non seulement plongé l’Iran dans le chaos, mais elle a aussi semé la désolation dans toute la région. 

Sous couvert d’idéologie, elle a trahi les aspirations du peuple iranien, saccagé son économie, étouffé ses libertés et terni son héritage culturel. 

Ce régime, qui se drape dans une rhétorique de résistance, ne représente ni notre peuple ni ses valeurs. 

Il est étranger à l’âme de l’Iran, à sa riche histoire de tolérance, de poésie et de grandeur, à cette culture qui a toujours cherché à éclairer le monde plutôt qu’à le diviser.

 Les Iraniens, dans leur immense majorité, aspirent à la paix, à la dignité et à la liberté, des idéaux que ce pouvoir autoritaire foule aux pieds.

Chaque jour, les sanctions internationales, les tensions géopolitiques et les conflits régionaux aggravent la souffrance d’un peuple déjà épuisé par des décennies d’oppression. 

La République islamique, en s’enlisant dans des luttes qui ne servent ni l’Iran ni ses citoyens, expose notre nation à des dangers qu’elle n’a pas choisis.

 Ce n’est pas notre guerre, et pourtant, c’est nous qui en payons le prix.

 Face à cette tragédie, il est impératif de rappeler que l’Iran véritable, celui des poètes, des penseurs, des femmes courageuses et des jeunes rêveurs, n’est pas représenté par ce régime.

 

G. M. Croyez-vous qu’un rétablissement de la monarchie soit possible. 

Si oui, sous quelle forme ?

D. P. Depuis des décennies, le peuple iranien endure les chaînes d’un régime oppressif qui a étouffé ses aspirations, pillé ses ressources et terni son héritage millénaire. 

Aujourd’hui, notre lutte pour la libération de l’Iran s’impose comme un impératif moral et historique. 

Nous, Iraniens, unis dans notre diversité, combattons pour un avenir où la liberté, la justice et la dignité ne seront plus des rêves mais des réalités tangibles. 

Cette lutte, portée par le courage des femmes, des jeunes, des travailleurs et de toutes les âmes éprises de liberté, transcende les divisions et s’enracine dans une aspiration commune : rendre à notre nation sa souveraineté et son éclat.

Notre objectif est clair : renverser la République islamique, un régime qui, par son autoritarisme et son mépris des aspirations populaires, a plongé l’Iran dans une crise économique, sociale et morale sans précédent.

 Ce pouvoir, qui se nourrit de la peur et de la répression, ne représente ni notre peuple ni notre histoire. 

Il a transformé une nation riche de culture et de potentiel en une terre d’angoisse où l’inflation galopante, la pauvreté et la menace constante des représailles écrasent les espoirs des citoyens. 

À cela s’ajoute l’ombre des conflits régionaux, dans lesquels l’Iran est entraîné contre la volonté de son peuple, devenant une victime collatérale de guerres qui ne sont pas les siennes.

Pour ouvrir la voie à un avenir meilleur, nous appelons à l’instauration d’un régime provisoire, une étape essentielle pour poser les fondations d’un Iran libre et prospère. 

Ce gouvernement transitoire aura pour mission de restaurer la stabilité économique, de garantir la justice sociale et de rétablir les libertés fondamentales. 

Il devra travailler sans relâche pour panser les plaies d’un peuple meurtri en assurant un accès équitable aux ressources, en relançant une économie asphyxiée par la corruption et les sanctions et en reconstruisant un tissu social déchiré par des décennies de division et de répression.

 Ce régime provisoire ne sera pas une fin en soi mais un pont vers une démocratie véritable où le pouvoir appartiendra au peuple.

Cette transition prépare le terrain pour des élections libres, transparentes et inclusives où chaque Iranien, qu’il soit à l’intérieur du pays ou dans la diaspora, pourra participer à la construction de l’avenir. 

Ces élections seront l’occasion pour tous – intellectuels, activistes, citoyens ordinaires – de se présenter et de proposer leur vision pour l’Iran. 

Le peuple, seul souverain légitime, choisira ses représentants dans un processus démocratique qui respectera sa voix et ses aspirations.

 Ce moment marquera la renaissance d’une nation où la diversité – ethnique, culturelle, religieuse – sera une force et non une source de division.

Cette lutte n’est pas exempte de défis. 

La répression féroce du régime, les tensions géopolitiques et les difficultés économiques pèsent lourdement sur notre peuple. 

Pourtant, l’élan né des mouvements comme « Femme, Vie, Liberté » et des innombrables actes de résistance quotidienne prouve que l’esprit iranien reste indomptable. 

La diaspora, forte de millions de voix à travers le monde, amplifie ce combat en sensibilisant la communauté internationale et en mobilisant des soutiens.

 Ensemble, nous devons surmonter les divisions idéologiques et historiques pour former un front uni, capable de transformer notre rêve collectif en réalité.

 

G. M. Monseigneur, après des décennies d'exil, quelles sont vos aspirations les plus profondes pour votre pays ?

D. P. L’Iran mérite un avenir à la hauteur de son passé glorieux et de ses aspirations modernes.

 Nous luttons pour un pays où les jeunes pourront rêver sans crainte, où les femmes marcheront la tête haute, où chaque citoyen, quelle que soit son origine ou sa croyance, aura sa place.

 Cet Iran, nous le construirons ensemble, pas à pas, avec détermination et espoir.

 La route est longue, mais notre volonté est inébranlable.

 Pour notre peuple, pour notre histoire, pour nos enfants, nous libérerons l’Iran et bâtirons une nation où la liberté et la justice régneront enfin.

Parmi les options qui s’offriront au peuple, une monarchie constitutionnelle pourra se présenter, non pas comme une imposition, mais comme une proposition soumise au verdict démocratique. 

Ce modèle, inspiré par des systèmes où la monarchie joue un rôle symbolique et unificateur sous l’égide d’une Constitution garantissant les droits et libertés, pourrait incarner une continuité avec l’histoire iranienne tout en s’inscrivant dans une modernité démocratique.

Cependant, le choix final reviendra au peuple iranien, dans toute sa diversité. 

Ce sera à lui, et à lui seul, de décider de l’avenir de la nation, qu’il opte pour une monarchie constitutionnelle, une république laïque ou toute autre forme de gouvernance. 

Ce processus démocratique, garanti par des institutions impartiales et un cadre transparent, permettra à chaque Iranien d’exprimer ses aspirations et de bâtir un pays qui reflète ses valeurs profondes : la justice, l’égalité et la liberté. 

La monarchie, si elle devait être choisie, ne serait pas un retour en arrière mais un symbole d’unité au service d’une démocratie moderne, où le pouvoir véritable réside dans les mains du peuple. 

Que ce soit sous une monarchie constitutionnelle ou une république, l'Iran renaîtra comme une nation souveraine, unie et respectée, fidèle à son héritage et tournée vers un horizon de paix et de prospérité.


Picture of Georges Michel
Par Georges Michel 
 
Editorialiste à BV, colonel (ER)  https://www.bvoltaire.fr/




Maryam Rajavi, the president-elect of the NCrI, is seen...

PARIS, FRANCE - 2025/02/08: Maryam Rajavi, the president-elect of the NCrI, is seen addressing the crowd and said, that in the 1979 Revolution, our people toppled the monarchical dictatorship. Now, we rise to dismantle religious autocracy and secure a democratic revolution. Thousands of Iranians rally in Paris to mark the 46th anniversary of the Shah's overthrow and call for regime change in Iran. Demonstrators condemn the executions in Iran, highlighting the ongoing plight of political prisoners, especially supporters of the People's Mojahedin Organization of Iran (PMOI/MEK). 
 
(Photo by Siavosh Hosseini/SOPA Images/LightRocket via Getty Images)
Maryam Rajavi, the president-elect of the NCrI, is seen...

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