jeudi 20 juin 2024

LÉGISLATIVES : LA PROVOC DE MACRON , JE LEUR AI BALANCÉ UNE GRENADE DÉGOUPILLÉE......

 


 

Sans majorité absolue, Jordan Bardella ne sera pas Premier ministre

dans Politique par 19 juin 2024
Bardella, futur 1er ministre de Macron ?
 
Bardella, futur 1er ministre de Macron ?

Jordan Bardella, le candidat probable au poste de Premier ministre après les futures élections législatives pose ses conditions. 

Certainement sage décision après les déclarations provocantes d’Emmanuel Macron.

 

Les déclarations provocantes de Macron : « Je leur ai balancé ma grenade dégoupillée dans les jambes. 

Maintenant, on va voir comment ils s’en sortent »

Durant les commémorations à Oradour-sur-Glane, Emmanuel Macron aurait échangé brièvement avec un grand patron, proche de l’Élysée.

 Leurs propos sont rapportés dans un article du Monde, publié vendredi dernier.

 « Ça va, pas trop dures, ces journées ? », aurait demandé l’entrepreneur. 

« Mais pas du tout ! Je prépare ça depuis des semaines, et je suis ravi. 

Je leur ai balancé ma grenade dégoupillée dans les jambes. 

Maintenant, on va voir comment ils s’en sortent », aurait répondu Emmanuel Macron.

Paon qui se pavane ? Président vengeur ? Mythomane amer ? 

Quoi qu’il en soit, ces déclarations de Macron, à la suite de la défaite cuisante des élections européennes, correspondent bien au personnage narcissique qui règne à l’Elysée.

 

Sans majorité absolue, Bardella refuse d’être « le collaborateur du président de la République

Ces révélations ont-elles éclairé la récente décision de Jordan Bardella de ne pas accepter le poste de Premier ministre si le Rassemblement National n’obtient pas la majorité absolue à l’Assemblée nationale ?

Hier mardi 18 juin, interrogé sur Europe 1 et CNews, le président du Rassemblement national a ainsi affirmé qu’il refuserait Matignon si son parti n’obtenait pas de majorité absolue le 7 juillet 2024.

 « Si demain, les Français plaçaient le pays dans une situation de majorité relative (…), alors on ne pourrait pas changer les choses », a-t-il déclaré, refusant d’être « le collaborateur du président de la République ». 

D’un Président qui, de toute façon, ne ferait que mettre des bâtons dans les roues du gouvernement de cohabitation, pour « griller » le Rassemblement National pour 2027.

Par Francesca de Villasmundo

 

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Des élections suivies d’une insurrection : tout bénéfice pour Macron

  Politique par

  19 juin 2024

Des élections suivies d'une insurrection : tout bénéfice pour Macron

Les hypothèses vont bon train.

 Quelle stratégie adoptera Emmanuel Macron après l’annonce des résultats des élections législatives anticipées ? 

Un blocage des institutions accompagné d’un climat insurrectionnel est sérieusement envisagé.

 Dans ce cas, Emmanuel Macron dispose d’une arme exceptionnelle : le recours à l’article 16 de la Constitution, qui lui confère les pleins pouvoirs !

 

Situation d’exception sans contre-pouvoir

Selon différents médias, Emmanuel Macron a déjà discuté de cette hypothèse avec son proche entourage.

Il est bien possible qu’au soir du 7 juillet, aucun parti politique ne dispose d’une majorité absolue. Est-ce de nature à entraîner un blocage des institutions. 

Certains croient à ce scénario. 

D’autres prédisent que, dans tous cas, la France basculera dans une atmosphère d’insurrection et d’émeutes. 

Alors que le ministère de l’Intérieur a prévu de concentrer les effectifs des services de police et de gendarmerie sur la sécurité des Jeux Olympiques, la situation pourrait rapidement dégénérer en ce mois de juillet dans de nombreuses villes de France devenues hors de contrôle.

Ce serait alors une opportunité pour Emmanuel Macron  de se saisir, en tant que président de la république, de l’article 16 de la Constitution, et de s’arroger les pleins pouvoirs.

Les conditions pour actionner l’article 16 de la Constitution sont une menace insurrectionnelle, susceptible de remettre en cause l’intégrité du territoire ou l’interruption du fonctionnement régulier des pouvoirs publics.

Ce deuxième cas pourrait être choisi par Emmanuel Macron après ces législatives. Le chef de l’État pourrait alors s’arroger tous les pouvoirs.

Il peut prendre seul cette décision et maintenir cette situation aussi longtemps qu’il le juge nécessaire. Après 60 jours, le Conseil constitutionnel, s’il est saisi, pourra simplement émettre un avis sur le bien-fondé ou non du recours à cette situation d’exception.

Par Léo Kersauzie

 

Source et Publication :   https://www.medias-presse.info/






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