jeudi 20 juin 2024

L' ETHNOMASOCHISME DE LA COMMISSION EUROPÉEENNE .! UNE FACTURE POUR LES CONTRIBUABLES ......

 

 

Ethnomasochisme. 

La Commission européenne veut « décoloniser l’espace urbain » : une facture de plus de 300 000 € pour les contribuables


« Décoloniser l’espace urbain » des Européens, telle serait l’ambition de la Commission européenne selon un article du JDD publié le 18 juin.

 

Démontrer l’influence de « l’idéologie coloniale » dans les villes

La France et plusieurs autres pays de l’UE sont donc censés mettre en œuvre deux projets de « décolonisation de nos rues ». 

Devant se dérouler de 2024 à 2026, ce vaste programme devrait, à n’en pas douter, renforcer la défiance déjà forte d’une grande partie des Français à l’égard de la commission bruxelloise.

En pratique, le premier projet, intitulé « Explorer les paysages urbains de l’UE pour déconstruire les récits coloniaux » (EUrban DECO), après avoir été validé par la Commission européenne et sous la supervision de celle-ci, va avoir pour mission de démontrer comment « l’idéologie coloniale » serait « encore » influente dans l’environnement urbain, précise le titre de presse.

Au programme des travaux, la réalisation de cartes urbaines « révisées » de sept villes de l’UE. 

Des révisions qui vont donc consister à pointer du doigt les « références clés liées à l’héritage colonial » pour ensuite les renommer « du point de vue des peuples colonisés ».

 

Associer activement les « communautés d’immigrés »

Mais ce n’est pas tout !

 La commission présidée par Ursula von der Leyen souhaite placer le curseur de l’ethnomasochisme encore plus loin puisqu’il est question que le projet associe activement les « communautés d’immigrés » et les « associations de migrants » avec pour objectif d’attirer l’attention des responsables politiques de chaque pays afin d’« exiger » une action collective sur le sujet, précise le JDD.

Si la liste des sept villes européennes n’a pas encore été révélée, tout porte à croire qu’une ville française pourrait y figurer.

Quant au second projet intitulé « Marches de décolonisation urbaine dans l’UE » (UDEW), sa vocation est peu ou prou similaire au premier, à savoir faire culpabiliser les peuples européens par rapport à leur histoire.

 

Une facture de 300 000 € pour les contribuables européens

Cette deuxième initiative consisterait donc à réaliser, dans ces villes de l’UE, une cartographie supplémentaire des lieux dont les noms font encore référence à « leur passé colonialiste ».

Dans un deuxième temps, la mission des porteurs du projet UDEW serait aussi de permettre « en particulier » aux jeunes issus de l’immigration de « prendre conscience » du passé colonial de notre Vieux continent.

 

Enfin, il va de soi que ce sont les contribuables européens qui vont devoir régler la facture de ces deux projets, qui s’inscrivent dans le cadre du programme « Citoyens, égalité, droits et valeurs » (CERV). 

Ce programme planifié de 2021 à 2027 est doté d’un budget de 1,55 milliard d’euros. 

À eux seuls, ces deux projets auraient un coût de plus de 300 000 euros.

Une enveloppe qui n’a eu aucune difficulté à être débloquée puisque, comme l’indique le JDD, ce programme fait partie des priorités de financement de la Commission européenne, cette dernière tenant particulièrement à soutenir les projets qui feraient « mieux connaître les expériences marquantes de l’histoire européenne moderne » telles que « la migration, la décolonisation, l’esclavage et l’impérialisme [qui] sont ancrés dans l’histoire européenne et ont tous des conséquences pour la société d’aujourd’hui ».

 

A fortiori pour les autochtones d’Europe ?

 

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