lundi 19 février 2024

MACRON ET L' ENTRETIEN DE TOUS LES CULOTS AU JOURNAL COMMUNISTE " L' HUMANITÉ " !

 REVUE DE PRESSE !

 

Emmanuel Macron donne un entretien à l’Humanité, le journal le plus abominablement collabo et d’Hitler et de Staline de notre histoire

Bernard Antony, président de l’AGRIF, fondateur de Chrétienté-Solidarité, directeur de la revue Reconquête, communique :

À propos de la panthéonisation du résistant communiste franco-arménien Manouchian, Emmanuel macron n’a pas hésité à donner un entretien au journal communiste l’Humanité !

Doit-on mettre au compte de son abyssale ignorance l’oubli que ce journal, volé après la mort de Jaurès au Parti socialiste par le Parti communiste, a été en effet simultanément collabo d’Hitler et de son complice Staline pendant le pacte germano-soviétique de 1939 à 1941 et puis, après l’heureuse défaite du nazisme, collabo avec le communisme et jusqu’à sa mort en 1953 avec le génocideur Staline, responsable de plusieurs dizaines de millions de morts dans les exterminations de masse, des innombrables liquidations individuelles et dans le génocide de l’Holodomor en Ukraine ?

Missak Manouchian en 1944 ne pouvait savoir l’atroce bilan de la monstruosité communiste.

 Mais lorsqu’Emmanuel Macron prétend interdire que des membres du Rassemblement National assistent à la cérémonie du Panthéon, c’est ni plus ni moins injurier la mémoire de tous les grands résistants qui ont fait partie du Front National.

 Et pour ne citer qu’eux aujourd’hui : Michel de Camaret, compagnon de la Libération et auprès de qui j’avais l’honneur de siéger au Parlement européen, ou encore Jean-Baptiste Biaggi, grand héros de la Résistance (président d’honneur de Chrétienté-Solidarité), de Pierre Closterman, le légendaire aviateur de la France Libre, compagnon de la Libération, et on trouvera dans un prochain numéro de Reconquête une liste plus ample de tous ces héros qui, après avoir servi la France contre l’occupant nazi et puis dans les guerres d’Indochine et d’Algérie, furent aussi des grands hommes du Front National.

 Par  Bernard Antony    président de l’AGRIF    

Source : https://www.lagrif.fr/ 

 

ET AUSSI

Le couple Manouchian au Panthéon : la nouvelle lubie d’Emmanuel Macron !

Au prix que coûte le fonctionnement de l’Élysée aux contribuables, ces derniers seraient en droit d’attendre que les conseillers d’Emmanuel Macron lui transmettent des fiches dignes de ce nom, et pas seulement la recension de l’horoscope de Télé 7 Jours.

 La preuve par la panthéonisation précipitée de Missak Manouchian et de son épouse, Mélinée.

Tout d’abord, résumons. 

Il s’agit là de célébrer la mémoire de résistants ; ceux du groupe Manouchian. 

Seulement voilà, c’est un peu plus complexe que ça, sachant que derrière cet intitulé tardif, il y a la FTP-MOI (Francs-tireurs et partisans-Main d’œuvre immigrée). 

Soit 23 résistants fusillés le 21 février 1944 au Mont-Valérien par les troupes d’occupation.

 Leur point commun ? Ils étaient tous étrangers et majoritairement Juifs, à en croire la fameuse « Affiche rouge » alors placardée sur les murs de France et évoquant ce « crime au service du judaïsme ».

Résultat, l’historienne Annette Wievorka, à l’occasion d’un entretien accordé au Monde, ce 16 février, s’insurge : « Parler de “Groupe Manouchian” ne correspond à rien.

 Ce dernier n’a pas constitué de groupe. Il a fait partie d’une organisation globale où il a exercé des responsabilités

. L’expression, au demeurant, est tardive : elle apparaît en 1954, lorsque les communistes parisiens obtiennent qu’une rue soit nommée “Groupe-Manouchian”. »

 

Le rôle inavouable du PCF…

Pourquoi de tels arrangements historiques ? 

Tout simplement parce que le PCF, vainqueur à la Libération, a pris ses aises avec son passé durant l’Occupation.

 Une fois encore, rappelons que jusqu’à la rupture du pacte germano-soviétique, il était allié passif de l’occupant et qu’il lui fallait ensuite se refaire d’urgence une virginité patriotique.

 Et donc effacer tout ce que la FTP-MOI pouvait représenter « d’étranger ».

D’où le poème Strophes pour se souvenir, de Louis Aragon, dont Léo Ferré tire sa chanson, L’Affiche rouge.

 Et là, le grand silence sur la judaïté de ces résistants. 

Annette Wievorka : « Le mot “juif” n’apparaît pas une seule fois dans le poème d’Aragon. » 

Nous sommes dans les années 50 et, poursuit-elle : « On ne peut comprendre ce poème sans le replacer dans le contexte soviétique », celui du « Procès des blouses blanches », soit celui de ces médecins juifs suspectés d’avoir voulu empoisonner Joseph Staline, ce qui conduisit l’URSS à poursuivre la politique antisémite qu’on sait. 

Annette Wievorka, toujours : « Aragon écrit au service d’un parti qui est lui-même au service de l’URSS. » 

 D’où la « déjudaïsation » de la FTP-MOI et la mise à l’honneur du couple Manoukian qui, d’origine arménienne, fait peut-être un peu moins désordre dans le paysage.

Ce que confirme un journaliste bien connu de nos lecteurs, Benoît Rayski, pilier historique de BV, dont le père, Adam Rayski, fut l’un des dirigeants de ce réseau de résistance hors du commun, et qui nous confirme : « Après la guerre, le PCF se voulait plus français que les Français, tant il avait à se faire pardonner de sa collaboration, durant les premiers temps de l’occupation. » 

C’est donc cette forme métaphorique d’épuration ethnique qu’Emmanuel Macron s’apprête à faire entrer au Panthéon, complaisant ainsi à la politique plus ou moins antisémite d’un parti ne se situant alors ni vraiment à gauche ou à droite, mais plutôt à l’Est, tel que l’affirmait Léon Blum en son temps.

 

La FTP-MOI trop « juive » aux yeux des communistes ?

Les propos de Benoît Rayski sont d’autant plus à prendre au sérieux, qu’il en profite pour tordre le cou à cette hypothèse, souvent répandue dans certains milieux de droite, ayant longtemps voulu que le PCF ait dénoncé la FTP-MOI aux armées allemandes : « C’est parfaitement faux. Celui qui a trahi mon père et les siens n’était autre que Joseph Davidovitch, le commissaire politique du réseau. Je ne saurais le juger a posteriori, sachant qu’il a avoué sous la torture. » 

 Ce qui est parfaitement logique : on n’est jamais trahi que par les siens, ce que confirme son père, Adam Rayski, même s’il admet avoir été lâché par le PCF : « En mai 1943, devant le bilan des pertes des organisations juives, j’ai demandé le repli. 

Le transfert de notre direction dans la zone Sud. Le Parti a refusé, qualifiant cette attitude de “capitularde”. »

 

Et Benoît Rayski de rappeler que lors des premières commémorations du martyr de la FTP-MOI, au siècle dernier, son père se trouva bien seul, à la tête de son association, l’Union des Juifs pour la résistance et l’entraide, alors que les représentants du PCF étaient aux abonnés absents…

Et aujourd’hui ?

 Malgré les bisbilles internes à ce qui reste du PCF, Annette Wieviorka persiste : « La mémoire n’est pas l’histoire. (…) Chacun doit être dans son rôle. 

Celui du Président de la République est de conduire une politique de mémoire. 

 Celui de l’historien est de déconstruire les légendes pour essayer de faire émerger des récits plus conformes aux faits.

 Le problème commence quand les rôles se confondent et que les politiques prétendent lire l’histoire. »

 

Benoît Rayski, qui s’y connaît mieux que quiconque en ces deux domaines, est plus cruel encore : « Emmanuel Macron a eu tort.

 Tout le monde a le droit de célébrer la FTP-MOI, même Marine Le Pen. 

Le PCF, un peu moins. Mais ce parti n’existe plus. 

C’est heureux et c’est plutôt une bonne chose. Paix à ses cendres. » 

 On ne saurait mieux dire.

 

 ET AUSSI

 
 

Remettons les Pendules à l' Heure  !!!

Arc républicain, L’Huma, Manouchian et Le Pen : rappel de faits historiques à Macronescu

L’arc républicain, c’est nouveau, ça vient de sortir. Encore une arme fatale destinée à éliminer le RN.

Macronescu, interrogé par le journal l’Humanité le 18 février, a voulu plaire à cette fraction d’électorat. L’Huma lui a demandé si Marine Le Pen, « héritière des bourreaux de Manouchian », ne pouvait pas saper le sens de la cérémonie par sa présence.

L’Huma ne manque pas d’air. Les héritiers des bourreaux de Manouchian, ce sont plutôt les successeurs des collaborateurs Doriot, Déat, Laval, Thorez le communiste déserteur…

L’Huma devrait faire profil bas, quand on pense que les communistes ont attendu la rupture du pacte germano-soviétique, en juin 1941, pour cesser de collaborer avec l’Allemagne.

Les communistes avant cette rupture étaient des collabos et ils ont même participé à des sabotages de l’armée française.

Il a fallu des années pour apprendre que Georges Marchais, longtemps secrétaire du Parti communiste français, s’est engagé en Allemagne dans le STO (Service du Travail Obligatoire), ce qui fait désordre pour un parti qui se prétend celui des fusillés (en revendiquant 75.000 fusillés, alors qu’il n’y a eu que 4.000 fusillés en France, qui n’étaient pas tous communistes).

Il ne faut pas oublier que pendant la campagne de France, en 1940, des avions dont les commandes avaient été sciées sont tombés, des chars ont vu leurs chenilles être cassées, les empêchant d’avancer, des trains de munitions ont été détournés, par l’action des communistes français.

Ils ont aussi transmis aux Allemands les codes secrets de l’armée de terre.

Et cela a contribué de manière déterminante à la défaite et… à l’arrivée en France des bourreaux de Manouchian.

Alors n’est-ce pas les journaleux menteurs de l’Huma qui descendent des bourreaux de Manouchian, plutôt que Marine Le Pen ?

 

Et quand on pense que les premiers résistants étaient de droite, raison de plus pour l’Huma de faire profil bas.

Concernant les descendants des bourreaux de Manouchian, de qui descend Marine Le Pen ?

 De Jean-Marie Le Pen.

 Or Jean-Marie Le Pen a fait de la résistance.  Il s’y est engagé à seize ans.

 Il a participé au combat du maquis de Saint Marcel le 18 juin 1944.   Il y est allé avec le pistolet 6,35 de son père.

Sa présence à ce combat a été attestée par Michel de Camaret, compagnon de la Libération, devant le tribunal judiciaire de Paris.

Plus tard, en novembre 1944, Jean-Marie Le Pen a voulu s’engager dans le corps franc commandé par le colonel Valin de la Vaissière, mais celui-ci lui a répondu qu’à seize ans il était trop jeune, qu’il devait passer son baccalauréat et soutenir sa mère veuve.

Et de qui descend Jean-Marie Le Pen ? 

De Jean Le Pen, patron pêcheur, dont le bateau a sauté sur une mine en 1942 et dont le nom est inscrit sur la monument aux morts de La Trinité.

 Jean-Marie Le Pen de ce fait est devenu pupille de la nation.

 

Tout cela est parfaitement su, connu, noté, attesté, mais on continue à dire que Le Pen était un collabo et maintenant le voilà désigné en tant que bourreau de Manouchian par le journal L’Humanité ! 

Ils n’ont pas honte de mentir aussi effrontément ? 

Aucun mensonge ne les rebute.

 

La Dingo mentait effrontément également quand elle soutenait que le FN était un parti qui avait soutenu pendant la guerre la collaboration avec les nazis : le FN n’a été créé qu’en 1972 !

Quant à la Borne, elle s’est permis de dire que le RN est l’héritier de Pétain. 

N’est ce pas Mitterrand qui était l’héritier de Pétain, avec sa décoration de la Francisque ?

 

Macronescu a répondu à L’Huma en disant que le RN ne fait pas partie de l’arc républicain. 

Et que le rapport à l’histoire fait que le RN devrait avoir la décence de ne pas aller à la panthéonisation de Manouchian compte tenu de la nature du combat de Manouchian !

Macronescu fait donc partie des menteurs qui perpétuent les mensonges sur Le Pen.

Ce qui est comique, c’est qu’Attal, touché par un rare éclair de lucidité, disait quinze jours auparavant que l’arc républicain, c’est l’hémicycle.

 Et qu’on ne peut pas faire le tri parmi les députés élus par les Français.`

 Macronescu et son Premier ministre feraient donc bien d’accorder leurs violons. 

Car quelle cacophonie !

Bref cette notion nouvelle d’arc républicain, pure novlangue, a fait que Macronescu s’est pris, une fois de plus, les pieds dans le tapis.

Macronescu a une fois de plus ajouté que les valeurs de Le Pen ne sont pas les siennes. 

Quoi, les valeurs de la résistance ne sont pas les siennes ? 

Est-ce une manière de s’avouer collabo ?

Une manière d’avouer que la France, que notre civilisation, ce n’est pas son truc ?

Car toute la macronerie participe activement à la défaite de la France et collabore avec l’islamisation du pays.

Probablement cette nouvelle péripétie a-t-elle été inventée pour lutter contre les résultats pronostiqués excellents du RN aux européennes.

En attendant, Marine, dont le grand -père est mort pour la France et dont le père a fait de la résistance, va quand même assister à la Panthéonisation.

 Un pied de nez fait à Macronescu.

 

Par Sophie Durand    https://ripostelaique.com/

 

ET AUSSI 

[EDITO] 

Macron, le culot : fustiger l’extrême-droite depuis le média du parti aux millions de morts

Dans un entretien accordé à L’Humanité, c’est à dire, pour le dire autrement, dans le bulletin de liaison historique du parti aux centaines de millions de morts, Emmanuel Macron a affirmé que Reconquête et le RN ne faisaient pas partie  « de l’arc républicain »

 Bientôt, dans la gazette de La Libre Pensée, le président de la République accusera sans doute Marine Le Pen et Éric Zemmour de manquer de charité chrétienne ?

Sur la forme, c’est évidemment un immense cadeau que le président fait à ce journal moribond,  en soins palliatifs depuis des années, sous perfusion perpétuelle, dernier dinosaure de la presse d’avant-guerre française au service des idéologies mortifères du XXe siècle, dont la survie devrait, dans un pays normal, sembler aussi peu indispensable que celle de Je Suis partout.

 

La rédaction en question n’en revient pas elle-même : « C’est une première qui n’allait pas de soi. En cent-vingt ans d’histoire, L’humanité n’avait jamais réalisé d’entretien avec un président de la République en exercice ». 

C’est à retenir !

 Ce que Mitterrand et Hollande n’avaient pas osé, Emmanuel Macron l’a fait. 

Il est temps que cesse la mythologie d’un président « en même temps » à droite et à gauche, séduisant les mamies bigoudis et papis ramollis craignant pour leur portefeuille : c’est bien la voix du parti communiste - je répète, du parti communiste ! - qu’il a fait rentrer sous les ors de l’Élysée, comme le montre la photo en haut de l'entretien, quand il avait fallu des mois de négociations laborieuses au journaliste Louis de Raguenel, alors à Valeurs actuelles, pour décrocher un entretien entre deux avions à Mayotte. 

Entretien qui avait bien failli in extremis capoter en raison de la farouche opposition des proches d’Emmanuel Macron.

Dans la même logique, le site écolo d’extrême-gauche Reporterre a pu poser une question à la dernière conférence de presse à l’Élysée.

 BV, lui, n’a pas seulement eu le droit d’y entrer

Quant au média spécialisé dans le contenu vidéo Brut, lui aussi d’extrême-gauche, il a eu par deux fois les honneurs d’un entretien avec le Président.

 

Sur le fond, on retrouve Emmanuel Macaméléon.

 Il n’aime rien tant que mettre la panoplie adaptée à chaque circonstance : en treillis pour visiter les militaires, en combinaison de vol pour les pilotes, en antifa chez Brut - où il parle de « violences policières », et en bourgeois réac à VA où il promet 100 % d’exécutions d’OQTF. 

À l’Humanité, sa cible est donc l’extrême-droite.

 L’arc républicain, que nul ne sait définir, a pour seule fonction de tirer ses flèches sur l’extrême-droite.

 Et tant pis s’il y a à peine quelques jours, le 9 février dernier il estimait « tout à fait normal » d’avoir de discuter avec le RN à l’Assemblée nationale, attendu qu’ « On ne va pas considérer que telle ou telle formation politique aurait moins de droits parlementaires, moins de reconnaissance ».

Le Président estime que le Rassemblement national « serait inspiré » de ne pas assister mercredi à la cérémonielle panthéonisation du résistant communiste étranger Missak Manouchian.

Ce qui ne manque pas de sel… et de paradoxe : le reproche incessant fait par le gouvernement au RN porte sur une supposée proximité avec la Russie de Vladimir Poutine. 

Or Missak Manouchian, à l’instar de l’Humanité, était évidemment infiniment plus proche de cette URSS célébrée par Poutine - qui multiplie les statues de Staline - et dont le maître du Kremlin est, en ancien du KGB, un pur produit, que Marine Le Pen, ataviquement pourfendeuse depuis l'enfance du communisme.

Emmanuel Macron accordera-t-il aussi, à l’autre bout du spectre, au journal de l'Action française, un entretien lors de l'entrée au Panthéon du résistant catholique et royaliste Honoré d’Estienne d’Orves ? 

Non bien sûr. Déjà parce que cette panthéonisation est de la pure science fiction.

 Si dans la résistance il y avait, selon la formule d’Aragon, la rose et le réséda, seul le réséda a le droit d’entrer dans le saint des saints laïc.

 

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