mercredi 21 février 2024

C' EST EN BRETAGNE ! ENSAUVAGEMENT , IMMIGRATION , DROGUES , JUSTICE !

 

 


 

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Trafic de drogue à Brest : un dealer condamné à 12 mois de prison dont 4 fermes

Un Brestois de 40 ans a été condamné à 12 mois de prison, dont 4 ferme, pour trafic de drogue après avoir été interpellé dimanche 18 février dans le quartier de Bellevue.

Interpellé suite à une forte odeur de cannabis

L’homme a été interpellé par la police alors qu’il se trouvait dans son véhicule. 

Intrigués par une forte odeur de cannabis, les fonctionnaires ont inspecté le véhicule et ont découvert un joint dissimulé à proximité du conducteur.

Lors de la fouille du véhicule, les policiers ont également découvert 253 grammes d’herbe, 462 grammes de résine de cannabis, 8 grammes de cocaïne et 75 pilules d’ecstasy. 3 080 euros ont également été saisis.

Le quadragénaire a reconnu le trafic de drogue, qui durait selon lui depuis une semaine. L’exploitation de son téléphone a permis d’identifier la vente de marchandises via le réseau Telegram. 

En revanche, aucun produit n’a été retrouvé à son domicile.

 

Brest. Trafic de drogue à Bellevue : 116 000 € en liquide et 3 kg de cocaïne chez le bénéficiaire du RSA

Il était une fois de plus question de trafic de drogue de grande ampleur devant le tribunal correctionnel de Brest lundi 19 février.

À la barre, se sont présentés trois individus âgés de 21 à 29 ans dans le cadre d’une affaire ayant débuté au mois de juin 2023.

 Suite à un renseignement, les investigations menées par la brigade des stupéfiants de Brest vont porter leurs fruits.

En effet, en observant les allées et venues dans un appartement situé à proximité du quartier « Prioritaire » brestois de Kerourien, les policiers vont constater que les lieux, habités par un ancien toxicomane, servent également d’entrepôt pour du trafic de drogue.

Les multiples visites quotidiennes rendues durant tout l’été 2023 par deux individus officiellement sans profession et dénommés Maoulana Hamada et Wacil Soufy chez l’ex-accro à l’héroïne retiennent l’attention des enquêteurs.

 Encore plus étrange, le binôme dispose même des clés du logement et effectue de fréquents allers-retours avec un autre quartier brestois, lui aussi « prioritaire » : Kerangoff.

Quartier Kerourien, de la drogue jusque dans le frigo…

La patience estivale de la brigade des stupéfiants sera récompensée lors d’une intervention menée le 11 septembre dernier dans l’appartement surveillé de la rue Bernanos.

À l’intérieur, les policiers vont découvrir d’importantes quantités de drogue, comme le rapporte Ouest-France : à savoir 365 pipettes de cocaïne, 1 kg de cannabis, 980 cachets d’ecstasy et de nombreux sachets de conditionnement.

Autant de preuves accablantes dissimulées dans toutes les pièces du logement. 

Et ce, jusque « dans le réfrigérateur derrière une plaquette de beurre », précise le quotidien régional…

Mais le coup de filet du jour ne s’arrête pas là puisque les policiers parviennent aussi à interpeller un individu caché dans le cellier, l’homme ayant sur lui la somme de 1 000 € en espèces.

 

116 000 € en liquide chez le bénéficiaire du RSA

Quant à la revente des produits stupéfiants, les trafiquants utilisaient les réseaux Telegram et Snapchat pour trouver des clients. 

Après avoir passé leurs commandes en ligne, ces derniers se faisaient livrés à domicile.

Puis l’enquête va conduire les policiers vers un autre appartement, cette fois situé dans le quartier Bellevue, secteur brestois lui aussi classé comme « prioritaire » et « sensible » malgré les flots de subventions déversés.

Le logement en question est occupé par un certain Waïl El Fadili. 

Officiellement bénéficiaire du RSA (Revenu de solidarité active), l’homme semble en réalité largement autonome financièrement.

 Et pour cause ! 

Les forces de l’ordre découvrent à son domicile plus de 3 kg de cocaïne, 21 kg de résine de cannabis, de l’herbe en grandes quantités, des centaines de sachets d’ecstasy pour un montant total estimé à 533 000 €. 

Sans oublier les près de 116 000 € en liquide situés à proximité d’une machine à compter les billets…

Ironie de cette affaire, Waïl El Fadili, Maoulana Hamada et Wacil Soufy se sont présentés libres devant le tribunal correctionnel de Brest   lundi dernier en raison d’une erreur de procédure.

 À l’issue de l’audience, le trio a été condamné à deux ans de prison accompagné d’une interdiction de séjour dans le Finistère d’une durée de cinq ans. 

Placés sous mandat de dépôt, les trois condamnés prenaient la direction de la prison dès leur sortie du tribunal.

Crédit photo : DR (photo d’illustration)
[cc] Breizh-info.com, 2024, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

Condamnation à 12 mois de prison

Ce mardi 20 février, l’homme a été condamné à 12 mois de prison, dont 4 ferme, lors d’une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité. 

Il a été incarcéré à l’issue de l’audience.

 

ET AUSSI

Brest. 

Il avait incité aux émeutes pour Nahel : un « influenceur » centrafricain écope d’une peine avec sursis

« Quel avenir pour les influenceurs ? », s’interrogeait un article de Breizh-Info il y a quelques jours…

En Bretagne, « magie » de l’immigration d’origine extra-européenne oblige, l’avenir d’un « influenceur » TikTok de nationalité centrafricaine semble soudain s’éclaircir, facilitée en cela par la mansuétude du tribunal correctionnel de Brest.

Jugé le 19 février, l’homme âgé de 20 ans a été reconnu coupable d’avoir incité à commettre des émeutes à Brest en juin 2023 suite au décès de Nahel Merzouk.

Le Centrafricain appelait à « faire du sale »

À l’époque, le Centrafricain, dont le titre de séjour expire le 17 mars 2024 , arborant masque et lunettes de soleil, avait appelé à une mobilisation violente à l’encontre des forces de l’ordre via des vidéos diffusées sur Snapchat et Telegram. 

Un réseau sur lequel il gérait une boucle intitulée « Emeutes Brest ». Avec un langage sans équivoque : « Appel à tous les frères. 

Ce soir, on se rassemble tous. 

On va faire du sale à tous ces fils de p…. de keufs. »

 

Outre ces différents appels, l’homme était également suspecté par les policiers brestois d’avoir eu un rôle de coordinateur vis-à-vis des émeutiers ayant sévi dans la ville finistérienne.

Se présentant à la barre du tribunal brestois comme un « créateur de contenu », l’Africain a tenté de justifier : « Les vidéos, je les ai faites parce qu’on m’a demandé de les faire ».

2 ans de prison ferme… transformés en 5 mois de sursis

À Brest, les divers appels à la mobilisation des émeutiers ne demeuraient pas sans conséquence puisque, dans la nuit du 29 au 30 juin 2023, des bâtiments publics furent saccagés et des magasins pillés après qu’un rassemblement hétéroclite de racailles de cité et d’extrémistes de gauche ait eu lieu place de la Liberté.

Par ailleurs, l’influenceur centrafricain avait également relayer un appel invitant à constituer « une cagnotte pour s’équiper et combattre la République ! ».

Interpellé deux mois après les émeutes à la suite d’une enquête d’identification, l’Africain devait donc répondre devant la justice du délit de « provocation directe suivie d’effet à un attroupement armé ».

Lors de sa garde à vue, il avait notamment expliqué aux policiers que son objectif était de provoquer des affrontements avec ces derniers en utilisant des mortiers, mais sans participer au pillage. 

Problème : l’influenceur TikTok a été identifié par des images de vidéosurveillance alors qu’il entrait dans un supermarché pillé lors d’une nuit d’émeutes…

Tandis que le procureur de la République, reprochant au prévenu de « cracher sur les policiers, sur la République », a requis deux ans de prison ferme à son encontre, le Centrafricain, « ayant fui son pays en guerre civile à l’âge de 9 ans », est finalement ressorti du tribunal de Brest avec une peine de douze mois de prison avec sursis assortie de 200 heures de travaux d’intérêt général. 

De quoi attendre plus sereinement le renouvellement de son titre de séjour…

 



 

ET EN PLUS !



La djihadiste Emilie König arrive à Rennes !

Voici un cadeau dont les Bretons se seraient bien passés : la djihadiste Emilie König, bretonne convertie à l’islam ayant recruté des jeunes filles pour Daesh devrait être transférée à la prison des femmes de Rennes !

Incarcérée au pavillon des femmes de Fresnes depuis sa mise en examen pour « association de malfaiteurs terroriste criminelle », Emilie König, originaire de Lorient, a eu trois enfants en Irak et en Syrie au sein du Daeshland et ce avec divers djihadistes. 

Première française fichée S, elle avait organisée une filière de recrutement depuis la Syrie et fait venir nombres de jeunes filles pour servir de femmes de réconfort et de ventres aux djihadistes locaux.

Arrêtée en décembre 2017 par les combattants kurdes des YPG, elle alimentera ensuite une propagande, via sa mère restée en France, pour faire croire que “les Kurdes torturaient leurs prisonniers” et que “ses enfants étaient en danger”.

 La réalité était finalement bien différente mais elle obtiendra tout de même son rapatriement, ainsi que celui de ses enfants, en juillet 2022 avec 15 autres djihadistes françaises.

Désormais désavouée et moquée par ses anciens compères djihadistes (elle a été notamment brocardée par l’agence de presse officielle de Daesh), elle a tout de même réussi a attendrir un juge français. 

Ses trois enfants étant placés en Bretagne, elle sera ainsi plus proche de ces derniers. 

A la prison des femmes de Rennes, elle intégrera un quartier spécialisé dans la prise en charge des radicalisées islamistes.


Lors de son procès à venir, elle risque jusqu’à 30 ans de prison.

 

 Source et Publications :   https://www.breizh-info.com/2024/02/21/230366/explosion-de-la-delinquance





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