mardi 20 février 2024

EN FRANCE , C' EST LA CHARIA AVANT LES BOEUFS .....

 TRIBUNES LIBRES !

L’insécurité et la violence sont bien les conséquences de l’immigration

Nous avons encore droit aux discours des pleureuses de la gauche qui s’apitoient sur les discriminations.

Un employeur, quand il le peut, qui n’embauche pas des Africains, qu’ils soient du nord ou subsahariens, est un raciste en puissance.

 C’est cette mentalité-là qui considère que tous les hommes sont interchangeables qui pose un vrai souci de fond.

Un demandeur d’emploi n’est pas le même individu que n’importe quel autre demandeur d’emploi selon qu’il soit d’Afrique ou d’Europe.

 Ce n’est pas raciste que de faire un constat qui se vérifie tous les jours. 

Il faudrait dire au MEDEF, qui recherche la diminution des coûts salariaux, que la rentabilité ne sera pas la même selon l’individu, son cursus scolaire, sa religion, sa mentalité, etc.

 Prenons le ramadan par exemple ! 

On ne trouve pas les chiffres des coûts pour la Sécurité Sociale, lors de cette période, et au sujet des salariés en arrêts de maladie pour fatigue.

 On ne pourra pas les comparer avec ceux qui font le carême.

 

De même pour les familles issues de l’immigration. 

Les coûts sont supportés par les contribuables, les employeurs.

   

Les absences médicales auprès de divers services, des chantiers, des hôpitaux, de la RATP, de la SNCF, d’EDF, etc., ne sont pas non plus comptabilisées. 

Certes, il y a des jeunes immigrés, et des enfants d’immigrés qui sont sérieux et qui paient, finalement, les turpitudes de leurs congénères.

Si une communauté étrangère s’adapte et produit de bons fruits, elle est immédiatement intégrée, si les fruits sont pourris, elle est rejetée ! 

 C’est à peu près ce que disait de Gaulle.

 Finalement, s’ils faisaient l’effort de parler un français correct, de s’habiller autrement qu’en jogging à capuche et s’ils étaient polis, courtois, corrects avec les femmes, propres sur eux, sans poser de soucis avec leurs us et coutumes, (voile, halal, etc.) ils auraient toutes les chances d’être embauchés.

 

Petite comparaison. Taux de chômage (Insee)

Immigrés maghrébins : 13,7 %  immigrés portugais : 4,5 % – descendants d’immigrés maghrébins : 14,5 %  descendants d’immigrés portugais : 5,5 %

 

Reste l’insécurité bien réelle ! 

 Elle fut cachée par les médias, par les politiques et ceux qui en parlaient étaient des salauds d’extrême droite, des vilains “fachos”. 

Pourtant, le lien entre l’insécurité et l’immigration existe. 

On ne compte plus le nombre de viols, de meurtres, de cambriolages, d’agressions gratuites. 

Ce ne sont plus des faits divers, mais bien des faits de société. 

Il y a peu, on a pu apprendre que le commissaire à l’immigration de la Commission de von der Lahyiène a dit au responsable de Frontex – qui a rejoint le RN depuis – que son rôle était d’accueillir les immigrés et non de les empêcher d’entrer en Europe.

 

Ce qui est clairement de la haute trahison des peuples.

Mêmes chiffres à peu près pour l’Allemagne

 

Venons-en aux pleureuses qui, bien entendu, tentent de culpabiliser les Français, les employeurs et considèrent l’immigré comme une victime permanente.

 

D’après ces pleureuses, la France ne donne pas leurs chances aux enfants qui brûlent les écoles pendant leurs vacances, détruisent des bibliothèques, des centres de sports, pillent les magasins à la moindre occasion, tant ils s’ennuient et ne peuvent pas aller au bord de la mer. 

Tous les vacanciers en bord de plage, sur les pistes en montagne, dans les villages de vacances, savent bien ce que les voyous des cités, amenés par un SOS quelque chose, un secours catholique, ou un secours populaire, sont capables de faire, pour pourrir les vacances de leurs voisins. 

 

Par Gérard Brazon    https://ripostelaique.com/




ET AUSSI


TRIBUNE LIBRE !

En France, on préfère mettre la charia avant les bœufs

Il n’est pas question ici de traiter nos compatriotes de bœufs, mais on peut sans hésiter reprendre la définition du général de Gaulle qui affirmait, en bon connaisseur, que nous étions des moutons et remplacer ce sympathique ovidé devenu prospère et sacré dans notre beau pays, notamment pour les raisons religieuses que vous savez, par le non moins sympathique bovin.

Depuis le XVIe siècle, l’aphorisme qui titre ce billet « mettre la charia, pardon, la charrue, avant les bœufs » explique le repos du paysan qui démonte la charrue pour la mettre devant les bœufs, signifiant ainsi la fin du labeur. 

Elle est plus généralement, depuis lors, utilisée pour signifier que l’on fait le travail dans le désordre, tout à l’envers. 

C’est ce qui se passe en France depuis plusieurs décennies ou l’on tente d’expliquer une montée exponentielle de la violence, des agressions sur les femmes, de la hardiesse des racailles – locales ou importées fraîchement -, de l’islam et du coût exorbitant de ces éléments pour notre pays.

 Il conviendrait pourtant de commencer à mettre drastiquement de l’ordre dans toutes ces occurrences – et de le maintenir vraiment – pour diminuer significativement le poids des dépenses qu’elles engendrent et les attribuer de droit aux Français, surtout les plus pauvres d’entre eux, qui s’inscrivent dans un comportement républicain « normal ».

Faire le travail à l’envers, c’est une habitude en France, où les différentes gouvernements, de gauche comme de droite, depuis une bonne vingtaine d’années (mais on peut remonter bien plus loin), au lieu de s’atteler à remettre notre pays sur des bases solides, économiques, sociétales et rurales, tentent de nous faire croire qu’ils combattent avec ardeur le fléau de l’islam, corpus de l’islam radical, lui-même consubstantiel à l’islamisme.

 L’ensemble de ces édiles oublie tout simplement et malhonnêtement qu’ils sont à l’origine de sa présence massive dans notre société – depuis Valéry Giscard d’Estaing et son Premier ministre Jacques Chirac en 1974 -, du fait de leur soumission, de leur calcul électoral, économique ou idéologique ou encore de leur – supposée – ignorance qui n’est en fait qu’une vaste tromperie, car ils savent très bien ce qu’ils font.

« C’est quand le pouvoir restera ancré dans la puissance populaire que marchera la société, ce qui est clairement de l’ordre de l’idéal démocratique. »

 Or, que vivons-nous, toujours selon le sociologue Michel Maffesoli à qui nous devons cette première affirmation ? « Une démocratie qui n’est plus le pouvoir du peuple, mais le pouvoir sur le peuple. »

 Ajoutons « contre le peuple » si l’on se réfère à la mascarade de la Loi immigration de 2023 et l’on peut dès lors affirmer que c’est une volonté des gouvernements successifs de laisser s’installer dans notre pays une « charia insidieuse ».

 En d’autres termes, laisser le pouvoir grandissant d’une religion peser sur le pouvoir du peuple aidée en cela par des responsables politiques constitue tout à la fois un déni flagrant de la Loi de 1905 et un déni patent de démocratie. 

C’est aussi la preuve de la complicité objective et parfaitement assumée des édiles, élus par le peuple, qui favorisent l’installation d’une population de culture exogène dans notre pays, contre l’avis du peuple ou dans son ignorance entretenue des véritables enjeux de civilisation ou en comptant sur sa naïveté idéologique et sa méconnaissance de l’Histoire.

 (Il serait utile de redonner au peuple des éléments d’analyse sur les causes multiples du déclin de l’Empire romain et de la conquête d’Al Andalus, par exemple. 

Écouter également la présentation du livre de Michel de Jaeger « Les grandes invasions européennes » par Mathieu Bock-Côté dans son émission du 17 février dernier sur CNews) –

 À voir et écouter ici.

 

Mais revenons à nos bœufs. 

On le comprend bien, cet animal utilisé depuis la nuit des temps pour différentes tâches a le mérite d’être parfaitement « résilient » mais, disons-le sans hésiter, aussi un peu stupide en cela qu’il fait son travail sans se poser de question, sans réfléchir… une bonne pâture en récompense suffit à le rendre docile.

 Un peu comme une majorité de Français, aujourd’hui, qui se laisse mener à coup de trique dans les ornières d’un futur sociétal boueux, sale et dangereux, faute d’entretien et de nettoyage, sans rechigner, sans meugler autrement que dans les stades pour hurler sa joie habillé d’un maillot de footeux ou vautré sur le canapé, devant BFM-TV et les chaînes du service public de France Télévision. 

Ces dernières – et quelques autres comme LCI, gavées de publicité-réclame (de plus en plus noir et blanc), de Kho-Lantha ou autres Feux de l’amour, sont les pâturages de beaucoup de nos concitoyens qui n’osent plus se poser la question de savoir si « l’information » savamment distillée à coup de mensonges idéologiques et factuels est le reflet de la « vraie réalité » ou de celle dans laquelle cette « intelligentsia » tente de les tenir. 

« Ça doit être vrai, puisqu’ils le disent à la télé ! » vient toujours en résonance du sempiternel poncif « moi j’en connais un très gentil, il boit même du vin, alors vos idées racistes… ».

 Ils ne réalisent pas que, le jour venu, comme cela se passait dans les grandes conquêtes musulmanes, « su’ l’Coran ! », il préféreront faire allégeance à la religion de paix et d’amour que de la renier, ce qui les entraînerait irrémédiablement vers la mort, selon la lecture exégétique du Coran !

Nos compatriotes – et c’est peut-être une excuse pour justifier leur désengagement politique – sont en France harassés de lois, de règles et d’injonctions en tous genres, ou encore, comme nous l’écrivons plus avant, trompés par nos têtes « pensantes », politiques, intellectuels ou journalistes.

 Ils sont dès lors lassés de se battre et ne vont plus voter, préférant s’en remettre « à ceux qui savent » (ou croient savoir) pour donner au Pays une direction qui leur offrira des jours meilleurs… comme des bœufs se laissant mener au pâturage tous les jours… puis à l’abattoir, sans rechigner, après une vie de labeur !

Dans le même temps, de nombreux gages, légaux, sociétaux et économiques, sont donnés à l’ensemble de cette population exogène dont un grand nombre des adeptes installe peu à peu sa charia dans le paysage institutionnel français, aidé en cela par un pouvoir politique qui s’appuie sans relâche sur l’idée d’un  vivre-ensemble fantasmé. 

Devant cette allégeance et cette soumission, elle est ainsi devenue très vite plus soucieuse de ses droits que de ses devoirs, vivant à contre-sens de notre culture et des règles de notre société greco-judéo-chrétienne qu’elle combat aujourd’hui ouvertement au prétexte qu’elle ne correspond pas à son substrat religio-culturel.

 Dans cet esprit, nos gouvernements acceptent de plus en plus, sous des prétextes insidieux de tolérance et de droits humains, l’instauration insidieuse de leur charia comme une règle d’apaisement, parfaitement conforme à notre Constitution et à l’idée qu’ils défendent de la laïcité qui devrait justement nous en protéger.

 

Et pendant ce temps-là, les bœufs continuent à tirer le pays pour le faire avancer !

Bien sûr, on peut trouver des excuses à nos bœufs français, ballottés qu’ils sont par les injonctions bien-pensantes qui martèlent à longueur d’émissions de télévision, de radio ou de pages dans les quotidiens (tous de gauche) que la peste brune est de retour alors qu’en fait c’est la peste verte barbare qui recommence et poursuit une invasion qu’elle a jadis raté, faute d’argent, celui du pétrole principalement car elle n’est pas capable de produire autre chose, faute de créativité, de développement économique et de production “marchandable”.

Aujourd’hui en France – mais en Europe également – seuls les agriculteurs ont osé défier le pouvoir et l’état, vassaux soumis à l’Europe félonne qui, face à ces professionnels de la terre, n’a pas osé sortir la trique car il y a, sous-jacente, la perception d’une « grande force tranquille » qui pourrait entraîner une partie importante du troupeau des bœufs indolents, mais peut-être également à cause du soutien moral discret d’une partie des forces de l’ordre qui s’identifie à cette lutte car elle pourrait bien devenir la leur un jour.

 Aussi le ministre de l’Intérieur, en concertation étroite avec son président, a-t-il préféré user de la ruse des déclarations d’intention généreuses pour endormir nos paysans, avec la complicité et le calcul européen de certains syndicats… 

Mais il ne s’y sont pas laissé prendre ; il se dit ici et là qu’il se préparent à une action de force durant le Salon de l’agriculture. 

On arrive contre la clôture des promesses qui risque bien, cette fois-ci, de s’aplatir sous le choc des taureaux !

Pendant ce temps, on va mener les bœufs au pâturage des vacances de février ; il n’aura alors d’autre préoccupation – que l’on peut à bien des égards trouver légitime – que de prendre du bon temps en souriant lorsqu’un micro-trottoir de BFM-TV passera par là, l’interrogeant sur ses astuces de voyage pour contourner la sempiternelle grève des contrôleurs de la SNCF et la météo superbe qui, n’en doutons pas, fera oublier le réchauff’ment qui m’astique… pardon, climatique et la signature carbone !

 Il nous dira même qu’il est ravi que Mouloud, le cuistot du restaurant d’altitude, qui vient d’arriver clandestinement du Sahel par Lampedussa via Menton et qui fait discrètement sa prière toutes les cinq heures dans la réserve, devrait obtenir bientôt son permis de travail parce que, comme chacun le sait, en hiver, la raclette est un métier en tension.

Le bœuf… ce n’est pas ce taureau à qui on a coupé les… ?

Par Jean-Louis Chollet    



ET AUSSI




Djihad en France : femme brûlée, octogénaire violée et coups de couteau…

Cynthia avait 45 ans, elle était mère de famille, femme de ménage et apparemment se sentait si seule qu’elle cherchait l’amour.

 Et elle n’a rien trouvé de mieux que de s’acoquiner avec un homme qu’on appelait Karim. 

Comment des femmes françaises peuvent-elles avoir une relation avec un musulman, en ignorant où les embarque ce genre d’histoire, trop souvent ? 

Car un homme musulman, dans les textes sacrés, ne peut tolérer qu’une femme, encore davantage si elle n’est pas musulmane, puisse le quitter. 

Que du classique, il lui avait volé son téléphone (un grand classique) pour le revendre dans les multiples trafics qui se déroulent sur notre sol. 

Et bien sûr, quand elle a voulu mettre fin à cette histoire, comprenant sans doute trop tard dans quoi elle s’était embarquée, les choses se sont compliquées, avec menaces et harcèlement. 

 Et cela s’est terminé de manière sordide, une opération punitive menée par le nommé Karim, en fuite, et deux complices.

 On a retrouvé la malheureuse les pieds et les mains liés, dans une maison inhabitée. 

On préfère ne pas penser à ce qu’ont été ses derniers instants de vie. 

Une fois qu’ils l’ont assassinée, ils ont fait brûler son corps, là encore une grande tradition venue d’outre-Méditerranée.

 Une façon de montrer aux autres femmes, françaises ou musulmanes, qu’on ne quitte pas un disciple d’Allah comme cela. 

Elle s’appelait Cynthia, elle laisse deux orphelins, victimes de la barbarie musulmane et de la candeur de leur mère.

https://actu17.fr/enquetes/corps-ligote-et-calcine-a-sainte-foy-les-lyon-cynthia-etait-une-mere-de-famille-de-45-ans.html

 

Quelle peut-être l’origine d’un homme de 35 ans qui rentre en plein après-midi dans la maison d’une femme de plus de 80 ans, veut lui voler de l’argent, lui prend son téléphone et, devant l’absence de butin conséquent, viole la pauvre dame ? 

Les médias nous parlent d’un suspect de 35 ans arrêté, sans nous en dire davantage.

 Donc, on a compris et on connaît sa religion. 

Avant l’invasion migratoire, il n’y avait jamais de viols aussi sordides de personnes âgées mais depuis quelques années, le djihad par l’agression sexuelle de vieilles dames se met en place.

https://actu17.fr/faits-divers/la-penne-sur-huveaune-une-octogenaire-violee-a-son-domicile-un-suspect-interpelle.html

Sinon, à Nantes et à Bordeaux, hélas, que du classique, dans une France où les coups de couteau se comptent tous les jours par centaines, souvent donnés par des personnes d’origine arabo-musulmane à des Français.

 On assiste très souvent à une complicité de masse avec l’agresseur et donc à l’attaque des pompiers et des policiers qui viennent essayer de secourir les victimes.

https://www.fdesouche.com/2024/02/18/nantes-44-un-homme-au-poignarde-au-thorax-hier-soir-dans-le-centre-ville-une-trentaine-de-personnes-prennent-a-partie-les-secours-et-les-policiers/

 

Et parfois, on minimise ces agressions en nous expliquant que la personne grièvement blessée n’est plus en danger de mort, sans bien évidemment évoquer l’insupportable agression qu’elle a subie ni les séquelles physiques et psychologiques qu’elle conservera à vie.

https://www.fdesouche.com/2024/02/18/bordeaux-33-un-adolescent-poignarde-au-thorax-en-plein-centre-ville-hier-soir-il-est-grievement-blesse-le-ou-les-auteurs-sont-en-fuite/

Autre registre, moins connu, uriner sur la viande de porc en plein magasin…

Lecteur vidéo
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https://resistancerepublicaine.com/wp-content/uploads/2024/02/video-2024-02-16-21-40-21.mp4

 

Ce djihad quotidien contre nos compatriotes, sous la forme de crime, de viols et d’agressions au couteau, est dissimulé par des médias et des journalistes qui reprochent justement à CNews d’en parler de temps en temps.

Par Jeanne Bourdillon


Source et Publications :   https://ripostelaique.com/ 




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