jeudi 22 février 2024

ENSAUVAGEMENT EN DORDOGNE ! TERRE DE GWERS ET DEMAIN TERRE D' ALLAH .

 

Ensauvagement. 

En Dordogne, un village « aujourd’hui terre des gwers, demain terre d’Allah » ?

Sauf à vivre couper du monde ou à être un gauchiste aveuglé par son idéologie, tout le monde (ou presque) a pu remarquer l’explosion de la délinquance dans les petites villes de l’Hexagone ces dernières années.

Cet « ensauvagement » jadis cantonné aux grandes métropoles et aux banlieues attenantes touche même désormais de nombreux villages de France. 

Lieu symbolique de quiétude s’il en est, la petite île bretonne de Molène avait vu son église saccagée en 2019. 

Quelques jours seulement après celle de Corlay, modeste commune du Centre-Bretagne.

Sans passer en revue toutes les affaires similaires survenues entre-temps, il va sans dire que cette délinquance rurale n’a pas diminué au cours des cinq dernières années.

 Elle s’accompagne même parfois de messages à portée politique…

 

Le village « terre de Blancs » bientôt « terre d’Allah » ?

L’affaire a été révélée par le quotidien Sud Ouest le 20 février. 

Dans la commune de Cherveix-Cubas, un village d’environ 600 habitants situé en Dordogne, un calvaire situé au bord d’une route départementale a été la cible de vandales dans la nuit du 19 au 20 février.

La croix se trouvant à une intersection s’est ainsi vu affublée d’un tag « Allah » peint en noir. 

Détail à relever, le titre de presse régional indique qu’un autre monument chrétien « avait subi un sort identique en décembre 2023, dans le même secteur ».

Dordogne

Le calvaire en question. 

Source : sudouest.fr

Pour sa part, le maire de la commune s’est dit « scandalisé » par cette dégradation.

 De son côté, France bleu Périgord a révélé qu’au total, trois tags ont été découverts dans la commune de Dordogne, le long de la départementale 5.

Si les deux premiers sont deux inscriptions avec le nom d’Allah sur des calvaires, le troisième tag, commis dans un arrêt de bus, semble encore plus explicite : « Aujourd’hui terre des gwers, demain terre d’Allah ».

 À savoir que le terme « Gwer » désigne tout à la fois les chrétiens, les non-musulmans et les Blancs.

Dordogne

Source : France bleu Périgord

En Dordogne, 200 ans d’histoire saccagés en 2 minutes

Autant dire que de tels mots ont laissé Jean-Marie Queyroi, l’édile de la commune de Dordogne, incrédule.
 « Je me demande quelles sont les motivations des gens qui ont écrit ça, si ce sont des adultes, et cela peut être très grave en cette période trouble », a-t-il fait remarquer.

Le maire de Cherveix-Cubas prévoit de déposer une plainte auprès de la gendarmerie. 

Selon Sud Ouest, les gendarmes de la compagnie de Périgueux auraient déjà effectué des prélèvements aux abords des lieux dégradés.

Pour sa part, le préfet de la Dordogne a condamné « cet acte de vandalisme », appuyant la volonté de Jean-Marie Queyroi de porter plainte suite à ces « faits inadmissibles ».

Alertée par un habitant de la situation, l’association SOS Calvaires a elle aussi réagi en écrivant sur le social X : « Il est triste de voir 200 ans d’histoire disparaître en 2 minutes de tag. »
 
 Une association qui n’exclut pas par ailleurs de déposer plainte pour ces actes de vandalisme.
 

Crédit photo : DR (photo d’illustration)
[cc] Breizh-info.com, 2024, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine


 

ET AUSSI

 

Assez de boniments, l’imam radicalisé du Gard ne sera jamais expulsé !

Assez de boniments, l’imam radicalisé du Gard ne sera jamais expulsé !

Darmanin joue les gros bras face à Mahjoub Mahjoubi, un imam de nationalité tunisienne qui a tenu des propos anti-Français.

 Du pur cinéma sans lendemain, car la France s’est dotée de lois qui paralysent l’exécutif et protègent les étrangers comme aucun autre pays.

Non seulement la France n’expulse quasiment plus personne, pas même les éléments les plus radicalisés, mais elle a même rapatrié de Syrie ou d’Irak les jihadistes qui ont combattu nos soldats sous la bannière de l’État islamique. 

C’est dire combien Macron entend lutter contre l’islam radical !

 

Qu’a donc dit cet imam de Bagnols-sur-Cèze au cours d’un prêche ?

“Toutes les gouvernances vont chuter, hamdulillah ( grâce à Dieu ). On n’aura plus tous ces drapeaux tricolores qui nous gangrènent, qui nous font mal à la tête, qui n’ont aucune valeur auprès d’Allah.

 La seule valeur qu’ils ont, c’est une valeur satanique…”

“Un lapsus”, se défend aujourd’hui l’imam.

Et c’est neuf jours après les faits que Gérald Darmanin prétend entamer une procédure d’expulsion, en annulant le titre de séjour de l’intéressé.

“Aucun appel à la haine ne restera sans réponse”, a déclaré le ministre de l’Intérieur.

Pipeau que tout cela.

 Car bien qu’inscrit au fichier des radicalisés FSPRT, cet imam bien connu des services de renseignement depuis des mois est tout simplement inexpulsable, comme le dit avec raison son avocat.

Car dans la patrie des droits de l’homme, la protection et la sécurité du peuple français passent après celles des étrangers, y compris ceux qui peuvent représenter une menace terroriste.

 

Mahjoub Mahjoubi bénéficie de multiples protections.

Menace à l’ordre public et appel à la haine ne sont pas synonymes d’expulsion.

1- Il vit en France depuis 1986, marié à une Française et père de cinq enfants scolarisés en France.

 Une ancienneté de résidence et et des liens personnels qui le rendent inexpulsable.

 

2- Il est en situation régulière et “une procédure d’expulsion ne peut résulter d’une décision de retrait de titre de séjour”

Par conséquent, cet imam peut dormir tranquille. 

Les lois le protègent et si d’aventure Darmanin s’obstine, la procédure sera longue. 

Et en définitive, parions qu’en dernier recours la CEDH ne manquerait pas de déclarer la procédure d’expulsion irrecevable, afin de protéger la famille de l’imam.

Il y a bien longtemps que les délires de la bien-pensance ont ligoté le pouvoir et que la menace à l’ordre public par des étrangers n’est plus sanctionnée. 

 

Toutes nos lois de protection des étrangers sont à repenser pour redonner à l’État l’autorité indispensable à la sécurité du pays.

Mais n’attendons rien de Macron dans ce domaine.

 

Source  : https://ripostelaique.com/


 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire