TRIBUNES LIBRES !
Le jihad et la haine islamiste anti-blancs gagnent même les terres reculées du Périgord
dans Politique —
par Rastignac — 21 février 2024
Cherveix-Cubas (24) : « Aujourd’hui terre
des GW / gwers (1) , demain terre d’Allah »
Le maire de Cherveix-Cubas, en terre périgordine, porte plainte après des tags “Allah” sur des calvaires et un abribus.
Ce mardi 20 février, après la découverte de plusieurs tags sur des calvaires et un abribus de sa commune, Jean-Marie Queyroi a effectivement porté plainte à la gendarmerie de Saint-Martial-d’Albarède pour ces dégradations, “j’espère que ces personnes seront démasquées et condamnées”.
Le premier magistrat de Cherveix-Cubas après avoir été appelé par le préfet de la Dordogne, a déclaré “nous sommes sur la même longueur d’onde”, et je suis “très en colère et scandalisé” par ce qui vient de se passer.
Un tag similaire découvert en décembre
Ce n’est pas la première fois qu’un calvaire est tagué en Dordogne. Le 24 décembre dernier, un éleveur de canards de Saint-Pantaly-d’Excideuil a retrouvé une inscription sur un calvaire installé en bordure de l’un de ses prés.
Douce France où même nos bells provinces sont touchées par la gangrène islamiste !
Le grand remplacement ? Un fantasme paraît-il…
Par Rastignac
(1) GW (Gwers) : désigne les Français, les blancs, les mécréants
ET AUSSI
« Chère Lucie du Périgord… »
Deux femmes, deux slogans, deux combats. L’une s’affichant à visage découvert et menacée de mort, l’autre planquée courageusement derrière son clavier et menaçant de se désabonner.
L’une sait ce que signifie ôter son voile, l’autre milite pour que les femmes aient le choix de le porter. « Mais Lucie, personne ne crie ça dans la rue en Iran !
Alors pourquoi nous inventer des slogans qu’on ne dit pas ? »
Quand une féministe franco-iranienne s’adresse à une féministe intersectionnelle, on pourrait jubiler, tant l’une semble déconnectée et perchée dans une idéologie obscurantiste.
Mais difficile de rire face au tragique de cette réalité : des femmes violées et torturées, quand elles ne sont pas jetées du haut d’un immeuble, pour avoir montré leurs cheveux.
« Féministe en carton »
Ainsi Mona Jafarian, présidente de Femme Azadi, association qui a pour objectif de porter la voix du peuple iranien dans sa révolution en menant des actions politiques, médiatiques et événementielles, répondait-elle à une « Lucie du Périgord » qui n’avait pas apprécié sa réponse à un post adressé à Jessie Louise (12 K abonnées sur son compte Doncvoilaquoi) sur Instagram.
Le post en question affirmait que les femmes américaines sont bien plus en danger de mort que les femmes iraniennes à cause des féminicides :
Et voilà comment la magie des réseaux sociaux nous livre cette réponse savoureuse à « Lucie du Périgord », qui met en lumière la lâcheté des féministes intersectionnelles, toujours promptes à descendre dans la rue contre les « violences faites aux femmes » mais éternellement silencieuses devant la menace islamiste.
« Ce fascisme a un nom, Lucie, ça s’appelle l’islamisme »
Ce que Mona Jafarian n’a pas manqué de lui faire remarquer à plusieurs reprises, dans cette lettre, non sans humour : « Tu as enfilé ta cape anti-colonialiste et anti-impérialiste, tu as décidé de battre le pavé contre l’homme blanc, mais surtout tu as décidé de devenir notre voix. »
Or, la Franco-Iranienne d’ironiser : « Nous connaissons la République islamique et, au mieux, tu as mangé trois pistaches dans ta vie. J'ai intégré le fait que jamais nous n'aurions votre soutien ou votre présence à nos manifestations. »
Mona Jafarian, vraisemblablement accusée de fasciste par cette Lucie du Périgord, remet donc les pendules à l'heure, rappelant les pendaisons, tortures ou lapidations : « Ce qui est fasciste, ce sont ce que subissent les femmes afghanes, iraniennes, yézidis et tant d’autres, et ce fascisme a un nom, Lucie, ça s’appelle l’islamisme. »
La courageuse militante d’en remettre une couche : « Faudrait pas qu’on commence à gêner votre lutte pour le port du voile en France », « tu es devenue complice consentante de l’obscurantisme », « sors de ton politiquement correct », et de conclure par ce que tout le monde serait tenté de penser tout bas : « J’aurais bien envie de t’envoyer faire un stage de féminisme en Iran. »
On ne peut qu’assister à cette joute avec un sentiment mêlé, entre jubilation et consternation, d’imaginer qu’en France, des femmes militent pour le port du voile quand d’autres, à des milliers de kilomètres, sont réprimées dans des bains de sang en scandant « femme, vie, liberté ».
Deux femmes, deux combats...
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