jeudi 4 décembre 2025

SQUAT : SOYEZ PROPRIÉTAIRES , VOUS TERMINERAIENT UN JOUR EN PRISON ? ON EST CHEZ LES FOUS !


VIDÉO – Squatteurs : quand l’État punit les propriétaires qui défendent leur bien

Justice inversée, abandon de l’État, impuissance face aux squatteurs : dans un entretien coup de poing diffusé sur Radio Courtoisie, Yann Vallerie, rédacteur en chef de Breizh-info.com, tire la sonnette d’alarme. Le cas d’Andernos illustre une nouvelle fois la tragédie française de la propriété bafouée.

En pleine trêve hivernale, période durant laquelle les expulsions sont suspendues même en cas d’occupation illégale, un fait divers hallucinant a récemment défrayé la chronique à Andernos-les-Bains, en Gironde. Une propriétaire a été condamnée à douze mois de prison avec sursis pour avoir – selon la justice – « commandité » une expulsion musclée de l’individu qui squattait sa maison. Deux hommes ayant délogé le squatteur ont été incarcérés trois mois en détention provisoire avant de recevoir eux aussi une peine de prison avec sursis.

Quand défendre sa maison devient un crime

Dans son intervention sur Radio Courtoisie, Yann Vallerie dénonce l’absurdité d’une justice qui, au lieu de protéger les victimes, criminalise les propriétaires. « Cette femme, Karine Lelouche, a hérité de la maison de son père. Elle comptait la vendre pour payer les droits de succession. En la retrouvant squattée, elle a tout tenté : appels aux forces de l’ordre, à l’administration… sans aucun résultat. »

À bout, elle accepte la proposition de deux hommes qui, contre rémunération, dégagent le squatteur. Une opération expéditive mais efficace – ce que l’État lui-même n’a pas su faire. Résultat : une propriétaire condamnée, des exécutants jetés en prison, et un squatteur qui… porte plainte. « Cette inversion totale des responsabilités est intolérable. La France est devenue un pays où défendre son bien est puni plus lourdement que l’envahir », s’indigne Yann Vallerie.

L’État complice, les politiques absents

Au micro de Liselotte sur Radio Courtoisie, le rédacteur en chef de Breizh-info ne mâche pas ses mots : « L’État ne veut plus protéger les Français. Il préfère des citoyens dociles, impuissants, qui payent et se taisent. » Il fustige également l’absence de réaction politique. « Où sont les députés ? Où sont les élus censés représenter les propriétaires abandonnés ? Ils brillent par leur lâcheté. »

Vallerie rappelle d’ailleurs le précédent de Maryvonne, cette retraitée bretonne dont la maison principale avait été squattée à Rennes en 2015. Là encore, il fallut une mobilisation citoyenne – et non institutionnelle – pour obtenir le départ des squatteurs.

Derrière ces affaires se profile une remise en question plus large : celle du droit de propriété, pourtant fondement de toute société libre. « L’extrême gauche rêve d’abolir l’héritage et la propriété. L’État, lui, se frotte les mains : il veut des individus dépendants, sous perfusion d’aides sociales, sans racines ni biens à transmettre. »

Yann Vallerie évoque également une idée inquiétante en gestation dans certains cercles : la récupération automatique des biens immobiliers par l’État au bout de 99 ans. « Ce projet, né en Espagne sous l’impulsion socialiste, vise à déposséder les familles de leur patrimoine. Une société sans propriétaire est une société d’esclaves. »

Vers un mouvement national de résistance ?

Face à cette situation, la résignation n’est pas une option. Le journaliste appelle à la constitution de collectifs d’action et de soutien. « Tant que les cas seront isolés, les propriétaires seront broyés un par un. Mais le jour où un mouvement national, structuré et déterminé, se lèvera contre les squatters et leurs protecteurs, l’État ne pourra plus faire la sourde oreille. »

Il conclut avec gravité : « On ne demande pas l’anarchie. On demande le respect d’un droit fondamental : le droit de vivre et de disposer de ce qui nous appartient. Si l’État ne l’assure plus, alors les citoyens ont le devoir – et non simplement le droit – de se défendre. »

Crédit photo : DR
[cc] Article relu et corrigé par ChatGPT. Breizh-info.com, 2025, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

 



 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

ET AUSSI

 


Un garagiste, surpris en pleine nuit par plusieurs salauds venus cambrioler son établissement, a réagi en ouvrant le feu pour défendre son gagne-pain et protéger sa famille. 
Cette affaire, survenue en Isère, illustre une fois de plus le renversement des valeurs qui gangrène notre justice. 
 
Aujourd’hui, ce ne sont pas les agresseurs qui sont sur le banc des accusés, mais le père de famille qui a accompli son rôle de père et donc de protecteur.
 
 Nous dénonçons ce système où l’on traite les victimes comme des coupables, où la justice semble craindre davantage la légitime défense des gens honnêtes plutôt que la vermine qui saccage notre Nation.
 
 Le Parti de la France rappelle que la sécurité des Français doit être la priorité absolue
 
. Protéger ses biens et sa famille n’est pas un crime : c’est un droit élémentaire, et même un devoir.
 
 Nous demandons que la justice redevienne un instrument d’ordre et non idéologique, et qu’elle cesse de s'en prendre aux Français honnêtes qui s'arrachent tous les jours au travail pour essayer de survivre dans cette société pourrie par la gauche. 
 
Qu'on foute la paix aux Français !
 
 Le syndicat de la magistrature, les juges rouges et corrompus sont un fléau. 
 
Par Thomas Petit - 
Membre du Conseil national du Parti de la France
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