dimanche 21 décembre 2025

FRANCE TÉLÉVISION C' EST LA CHAMBRE D' ÉCHO IDÉOLOGIQUE ! PAYÉE PAR LES CONTRIBUABLES !

 

France Télévisions, chambre d’écho idéologique

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Les médias reflètent-ils encore l’opinion des Français ou bien seulement celle de leurs rédactions ? 

La question n’est pas nouvelle, mais une récente étude vient lui donner une réponse chiffrée, méthodique et, pour tout dire, accablante pour l’audiovisuel public.

Pendant plus de cent heures d’antenne, entre septembre et décembre, l’institut Hexagone a minutieusement chronométré le temps de parole politique sur les grandes matinales radio et télévision. 

Un travail fastidieux, presque ingrat, mais indispensable à l’heure où l’on invoque le pluralisme comme un totem… sans jamais vérifier s’il existe encore.


Première surprise – ou plutôt première confirmation. 

Le premier courant politique en voix n’est pas le premier au micro. Loin de là. 

Le bloc RN-UDR, arrivé largement en tête lors des dernières législatives, se retrouve relégué à la portion congrue sur les grandes antennes, avec des chiffres particulièrement faibles sur le service public.

 

 France Inter et France 2 affichent une sous-représentation qui n’a plus rien d’anecdotique.

La droite dans son ensemble n’est guère mieux traitée.

 Alors qu’elle rassemble près de la moitié des intentions de vote, elle ne dépasse pas le tiers du temps de parole dans les émissions analysées.

 Là encore, le décrochage est brutal sur les médias d’État, pendant que la gauche, elle, bénéficie d’une exposition confortable, régulière, presque naturelle.

 

Mais c’est sur France 5 que le déséquilibre prend des allures de caricature. 

Dans plusieurs émissions phares, l’effacement de la droite est qualifié de « quasi total ». 

Les chiffres parlent d’eux-mêmes : quelques pourcents de temps de parole ici, une présence symbolique là, pendant que le plateau devient un espace idéologiquement balisé, sans aspérité ni contradiction réelle.

On objectera, comme souvent, que certains médias privés pratiquent aussi leurs propres biais. 

L’étude le reconnaît. 

Mais elle rappelle une différence essentielle : sur certaines chaînes, la faible présence de la gauche relève d’un choix assumé de boycott.

 

 Sur le service public, en revanche, la faiblesse de la droite résulte d’un simple manque d’invitations.  Nuance décisive.

Autre angle mort régulièrement invoqué pour masquer la réalité : les invités « sans étiquette ». 

Présentés comme neutres, techniques ou purement académiques, ils occupent une part considérable du temps d’antenne. 

Or, lorsqu’on s’intéresse à leurs prises de position passées, à leurs engagements ou à leurs travaux, la couleur idéologique apparaît souvent très marquée, et rarement à droite.

 

Ce constat n’est d’ailleurs pas isolé. 

Déjà, un rapport antérieur avait démontré que la majorité des intervenants politiquement identifiables sur l’audiovisuel public se situaient à gauche ou dans l’orbite macroniste, laissant à la droite une place résiduelle, presque décorative.

Le paradoxe est désormais criant.

 L’institution qui devrait incarner le pluralisme en premier lieu est précisément celle qui s’en écarte le plus. 

 

Financée par l’impôt de tous, elle donne pourtant l’impression de parler au nom de quelques-uns seulement.

Reste une question, désormais posée publiquement : combien de temps encore cette situation pourra-t-elle perdurer sans provoquer une remise en cause profonde du système ?

 La commission d’enquête parlementaire en cours apportera peut-être un début de réponse. 

Encore faudra-t-il accepter d’en regarder les conclusions sans détour, ni faux-semblants.

À défaut, l’audiovisuel public continuera de jouer son rôle favori : celui d’un miroir soigneusement orienté, où la France réelle peine de plus en plus à se reconnaître.

Source :    https://lalettrepatriote.com/france-televisions-

 

ET AUSSI

Audiovisuel public : la mainmise de la gauche confirmée par une nouvelle étude

Dans certaines émissions de France 5 notamment, l’invisibilisation de la droite est « quasi totale ».
Capture d'écran
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Les médias reflètent-ils l’opinion des Français ? 

 

C’est afin de répondre à cette question que l’institut Hexagone s’est attelé à une tâche aussi laborieuse que nécessaire : chronométrer le temps de parole des invités et représentants politiques dans les émissions de télévision et de radio. 

Pas moins de cent heures d’antenne, du 1er septembre au 3 décembre 2025, ont ainsi été passées au tamis. 

Pour chaque intervenant, son étiquette politique, son courant idéologique et son temps de parole effectif ont été notés. Un travail titanesque.

Première conclusion de cette étude : « Le premier parti en voix n’est pas le premier au micro. »

 

  Alors qu’il comptait pour 33 % des voix lors des élections législatives de 2024, le bloc RN + UDR a eu seulement droit à 15 %, en moyenne, du temps de parole dans les sept matinales analysées (France 2, TF1, BFM/RMC, CNews/Europe 1, France Inter, RTL, Sud Radio). 

Le score de la droite nationale est tout particulièrement faible, sur le service public : 10 % du temps de parole sur France Inter et 9 % sur France 2. Une sous-représentation qui interroge.

 

Le phénomène ne touche pas seulement le RN et son allié UDR. C’est la droite dans son ensemble qui s’avère sous-exposée. 

Le bloc conservateur allant de LR à Reconquête pèse pour près de 50 % des intentions de vote… mais seulement 36 % du temps de parole sur les matinales. 

Sans surprise, cette disproportion est très marquée sur l’audiovisuel d’État : 23 % sur France 2 et France Inter.

 Le bloc de gauche, lui, culmine à 30-35 %. 

De même, le parti présidentiel n’a pas dépassé les 20 %, lors des législatives, et n’est plus crédité que de 16 % d’intentions de vote, mais bénéficie de 28 % de temps d’antenne sur TF1 et jusqu’à 35 % sur France 2

 

La mainmise de la gauche sur le service public

Quand on s’intéresse en particulier aux émissions d’actualité et de politique diffusées sur France 5, la mainmise de la gauche apparaît avec encore plus de force. 

L’invisibilisation de la droite – au sens large – y est « quasi totale », observe l’institut Hexagone : elle n’a que 14 % du temps de parole dans C ce soir, 7 % dans C dans l’air et 4 % dans C politique 

À l’inverse, le bloc de gauche règne en maître sur le plateau C ce soir (44 %) et C politique (48 %).

 Dans C dans l’air, c’est surtout le centre qui est mis à l’honneur (58 % du temps de parole).

 

En conclusion, l’étude ajoute deux indications d’importance. La première concerne la faible présence de la gauche dans la matinale de CNews (7 % du temps de parole) : « Si la gauche est faible sur CNews, c'est à cause du boycott par la gauche... alors que le RN est faible sur le service public par manque d'invitations », rappelle ainsi Hexagone.

 

 La seconde porte sur le sujet des invités « sans étiquette », qui comptent pour pas moins de 24 % du temps de parole dans la matinale de France Inter.

 Il s’agit de personnalités et « experts » jugés non partisans, mais qui s’avèrent la plupart du temps très marqués à gauche.

 Hexagone cite, notamment, l'économiste Gabriel Zucman, la patronne de la CGT Sophie Binet ou encore le président de la Cour des comptes Pierre Moscovici.

 On pourrait aussi évoquer le cas de l’économiste Julia Cagé, régulièrement présentée sur Radio France comme une banale « professeur à Sciences Po Paris » alors qu’elle a participé à la rédaction du programme du Nouveau Front populaire…

 

Au printemps 2024, déjà, l'Institut Thomas More avait publié un rapport démontrant, chiffres à l'appui, que l'audiovisuel public déroge à ses obligations légales d'impartialité et de pluralisme. Il avait passé au crible trois chaînes et trois stations du service public et découvert que, sur les

inrvenants marqués politiquement, la moitié entraient dans la catégorie « gauches », 21 % étaient de sensibilité macroniste et 4 %, seulement, tenaient un discours pouant être considéré comme de droite…

« S’il y a un acteur médiatique auquel incombe l’obligation de pluralisme en premier lieu, c’est l’audiovisuel public, qui est financé par l’impôt de tous les Français », rappelait l’institut libéral, en 2024.

 Espérons que la commission d’enquête portant précisément sur ce sujet, et qui se tient actuellement à l’Assemblée nationale, permette enfin de mettre au pas nos médias d’État…

 

 Source :https://www.bvoltaire.fr/audiovisuel-public-la-mainmise-de-la-gauche-confirmee-par-une-nouvelle-etude

 

 


 
 
ET AUSSI 

Audiovisuel public : Xavier Bertrand au secours de Cohen-Legrand


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La commission d’enquête parlementaire sur l’audiovisuel public est vraiment de plus en plus étonnante. 

On se souvient que lors de la commission d’enquête sur Bolloré, le rapporteur, Aurélien Saintoul, avait multiplié les attaques agressives contre Cyril Hanouna et Vincent Bolloré, et qu’il s’était fait remettre en place par les deux hommes. 

A l’époque, ni Yael Braun-Pivet, ni Xavier Bertrand n’avaient réagi, de même qu’ils étaient restés silencieux quand l’Arcom a fermé C8, qui avait pourtant les meilleurs résultats de la TNT.

Mais nous constatons par contre un traitement tout-à-fait différent pour cette commission et son rapporteur, Charles Alloncle, député UDR de Ciotti.

 Alors qu’il respecte les interlocuteurs, mais pose des questions extrêmement précises, il a été d’abord recadré par le président, Jérémie Patrier-Leitus, un macroniste, mais surtout, il a été ciblé par la présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, invité par… France Inter !

Toute la gauche le cible dans les médias, et réclame la fin de cette commission d’enquête qui dérange les petits copains.

 Et comme toujours, le coup de pied de l’âne vient de Xavier Bertrand, qu’on présente comme un homme de droite, qui vole au secours de l’audiovisuel public, et donc d’Ernotte, Cohen et Legrand.

https://www.lejdd.fr/politique/procureur-a-un-proces-xavier-bertrand-attaque-charles-alloncle-et-vole-au-secours-de-laudiovisuel-public-165172

Il est vrai que cette planche pourrie se vantait de voter communiste contre le RN…

 Source : https://pierrecassen.ripostelaique.com/2025/12/21/audiovisuel-public


 

 

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