TRIBUNE LIBRE !
Face à la tyrannie immigrationniste, tous les moyens sont bons !
Un article d’hier expliquait fort bien les faits sur Riposte laïque, concernant un maire et son équipe qui ont préféré démissionner plutôt que de céder au totalitarisme judiciaire qui imposait à l’élu d’une commune de Seine-et-Marne – Chessy, à côté de chez Mickey – de marier un individu sous OQTF « périmée » :
Cette démarche devrait faire jurisprudence, à savoir que tous les fonctionnaires d’État, et au-delà, devraient menacer de démissionner face à la tyrannie immigrationniste, soutenue par la justice.
Imaginez un peu un soignant agressé pour la énième fois aux urgences, comme cela se produit à peu près tous les jours, qui annoncerait dans la foulée qu’il jette l’éponge – la blouse dans ce cas –, suivi aussitôt de ses collègues.
Soudain, le brave citoyen qui se moque de tout – sauf de sa nouvelle voiture et de ses vacances – prendrait concrètement la mesure d’une immigration sauvage sur sa petite vie.
Bien sûr, il y a la peur de perdre son emploi, ce qui, à bien y réfléchir, est moins grave que de perdre la vie, et c’est précisément ce que risquent les enseignants – Samuel Paty et Dominique Bernard en savent quelque chose ! – ; les chauffeurs des transports en commun –Philippe Monguillo en a fait la fatale expérience à Bayonne en juillet 2020 – ; les forces de l’ordre – inutile de faire la liste des victimes de l’immigration dans leurs rangs, elle serait trop longue – ; les pompiers ; les facteurs, etc.
Depuis ses exigences confessionnelles, avec le terrorisme dans certains cas, jusqu’au trafic de drogue, la diversité est en train de détruire la France.
Non que des autochtones se comportent tous de façon exemplaire, mais il faut bien admettre, à la lumière des faits et rien que des faits, que ces agressions, de plus en plus souvent meurtrières, portent, pour leur grande majorité, une signature : la diversité, accueillie sans discernement et à profusion depuis des décennies, parce que les grands patrons voulaient à l’origine une main-d’œuvre pas chère et docile.
Merci à eux, protégés dans leurs forteresses, nous en retirons tout le « bénéfice » !
Merci aussi à la gauche qui, à grands renforts d’aides et d’excuses, a favorisé ces populations allogènes tout en dénigrant les Français d’origine.
Jadis, les marchés de Noël offraient un réconfort illuminé, désormais ils sont quadrillés par des hommes et des femmes en armes pour nous protéger.
Ce qui ne rassure cependant pas certains visiteurs potentiels qui, finalement, renoncent, de peur d’un attentat, comme sur le marché de Noël de Strasbourg, le 11 décembre 2018, ayant fait cinq victimes et perpétré par un fidèle coranique.
Jadis encore, nous entrions dans les salles de spectacle ou les musées en toute insouciance, et, à présent, nous passons des portiques de sécurité – scannés dans une machine à l’occasion, notamment pour visiter la Sainte-Chapelle de Paris – et sommes fouillés comme dans un aéroport.
Partout la diversité et ses mœurs incompatibles nous infligent leur ombre effrayante.
Car partout où l’on pose le regard, on constate que nous sommes harcelés, attaqués par des individus qui non seulement sont incapables de vivre dans une société occidentale mais encore entendent imposer leur tyrannie culturelle et surtout confessionnelle, aidés depuis un bon moment par une justice d’ultragauche pétrie des sentiments les meilleurs à leur endroit, et bouffie de haine au nôtre.
Dernier assaut en date, un fast-food halal lyonnais n’a rien trouvé de mieux que d’installer une salle exclusivement réservée aux femmes, lesquelles femmes, malgré les affirmations du contraire de la direction, ne pourront certainement pas se rendre à terme dans l’autre salle dite mixte, quant à elle cooptée par les hommes.
Mieux encore, ce restaurant possède une salle de prière, certainement pas destinée à invoquer le nom du Christ ou de Yahvé !
D’ailleurs, cette mode du « réservé aux femmes » ne vient pas de nulle part et elle valide en quelque sorte la charia.
Parce que, plutôt que d’éduquer des hommes transformés en bêtes lubriques au moindre décolleté féminin, on préfère parquer lesdites femmes dans des enclos réservés, ce qui rappelle furieusement les pays islamiques.
C’est pourquoi la démission en masse des édiles et des employés du privé et du public qui subiraient les attaques de la diversité et leurs protecteurs magistrats – obliger à marier un OQTF est une attaque ! –, serait non seulement une marque de révolte patriotique, mais constituerait surtout un fort moyen de pression face aux immigrationnistes de tout poil – car il paralyserait le pays –, et particulièrement les juges qui ont pouvoir de vie et de mort sur nous, entre autres lorsqu’ils libèrent des terroristes islamiques capables de passer à l’acte à n’importe quel moment :
Et pour preuve – s’il en fallait encore une – que le pouvoir ne respecte ni les clauses de conscience ni la liberté en général, la préfecture de Seine-et-Marne a refusé mercredi la démission du maire de Chessy et ses adjoints.
Raison invoquée : « Prévenir toute perturbation éventuelle du fonctionnement de la commune »… !
Autrement dit, la France est bel et bien une dictature idéologique de gauche.
Enfin, le danger n’est pas le soutien de tel ou tel à la Russie actuelle, comme le prétend le détestable et apatride dans l’âme Jean-Noël Barrot : le danger est l’immigration et son cortège de règles violentes et incompatibles avec notre mode de vie, et tous les moyens doivent être mobilisés pour en finir avec la caste qui nous impose cette immigration.
L’immigration n’est pas une chance : elle est notre tombeau.
À nous de voir si nous voulons être enterrés tout de suite ou pas…
Source : https://ripostelaique.com
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