jeudi 18 décembre 2025

LYCÉES PARISIENS : AVEC LA SACRO-SAINTE MIXITÉ SOCIALE !. L' ÉGALITÉ AVANT LE NIVEAU !

 REVUE DE PRESSE !

Lycées parisiens : l’excellence sacrifiée sur l’autel de la diversité

DR

Il fut un temps où certains noms faisaient encore rêver.

 Condorcet, Charlemagne, Fénelon, Sophie-Germain… 

Des lycées publics parisiens réputés pour leur exigence, leur rigueur, leurs résultats. 

Des établissements où le travail payait, où l’effort était récompensé, où l’excellence n’était pas un crime. 

Ce temps semble révolu.

 

Depuis la réforme Affelnet, mise en place au nom de la sacro-sainte mixité sociale, ces bastions scolaires voient leur niveau chuter.

 Non pas par accident, mais par choix politique assumé. Le message est clair : l’excellence dérange, l’élitisme gêne, le mérite encombre.

 

L’égalité avant le niveau

Affelnet repose sur un principe simple, presque caricatural : l’origine sociale pèse désormais autant, voire plus, que les résultats scolaires pour intégrer un lycée réputé. 

Les notes deviennent suspectes, le travail presque indécent. 

Ce qui compte, ce n’est plus ce que l’élève sait, mais d’où il vient.

Officiellement, la réforme est un succès. 

Les statistiques s’améliorent, la ségrégation sociale baisse, les graphiques rassurent. 

Dans les salles de classe, en revanche, le tableau est moins flatteur.

 Les taux de mentions « très bien » s’effondrent, les classements reculent, l’excellence se dilue.

À Condorcet, les mentions « très bien » ont presque été divisées par deux. 

À Charlemagne, les « félicitations du jury » deviennent une rareté.

 Partout, le même constat revient, murmuré par les enseignants et les parents : le niveau baisse.

Punir ceux qui travaillent

Le plus cruel, dans cette mécanique, reste le message envoyé aux élèves. 

Pendant des années, on leur répète que le travail est la clé, que l’effort paie, que la persévérance ouvre les portes. 

Puis, au moment décisif, on leur explique que non, finalement, ce ne sera pas suffisant.

Des collégiens brillants se retrouvent orientés vers des lycées qu’ils n’ont pas choisis, pendant que d’autres, moins armés scolairement, sont propulsés dans des établissements où ils peinent à suivre.

 Les uns s’ennuient, les autres décrochent. M

ais l’idéologie, elle, se porte très bien.

Le cadeau empoisonné

Même les bénéficiaires du système ne sont pas toujours gagnants. 

Intégrer un lycée exigeant sans en avoir les bases solides relève souvent du cadeau empoisonné. 

Les professeurs n’abaissent pas leurs exigences, les programmes restent les mêmes, et les écarts se creusent.

Résultat : découragement, perte de confiance, sentiment d’échec. 

Une mixité scolaire décrétée d’en haut qui produit surtout de la frustration en bas.

L’exception qui confirme la règle

Pendant ce temps, Henri-IV et Louis-le-Grand continuent de prospérer. 

Curieusement, ces deux lycées ont bénéficié d’aménagements spécifiques, de quotas savamment calibrés, de règles sur mesure. 

La mixité, oui, mais sans toucher au niveau. 

L’égalité, mais pas pour tout le monde.

 

Ainsi va l’école publique parisienne : on affaiblit les lycées d’excellence ordinaires, on protège les sanctuaires intouchables, et on s’étonne ensuite de voir les familles fuir vers le privé.

Affelnet a abîmé ce qui faisait encore tenir l’école publique : la promesse que le travail pouvait suffire.

Une promesse rompue.

 

 Source : https://lalettrepatriote.com/

 


 

dimanche, 14 décembre 2025

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12:35 Publié dans IGNACE, Livres

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