Confrontés aux réalités, les forcenés de la bagnole électrique calent
Enfin une bonne nouvelle en provenance de la Kommandantur de Bruxelles !
La führerin von der la Hyène a fait sa grosse commission pour annoncer qu’elle renonçait au tout-électrique en 2035 et autoriserait une part limitée de voitures thermiques.
Trop bonne la frau Pustula !
Mais son revirement tactique est insuffisant pour pardonner aux Boches leurs diktats.
Liberté surveillée tout à fait dans les pratiques du IVe Reich
En Germanie, le chancelier Adolf Hitmerz n’a pas osé prononcer l’interdiction de l’AfD, le seul parti respectable de son pays, mais il l’a placé sous flicage permanent, écoutes téléphoniques, hacking des mails, infiltration de traîtres, espionnage des déplacements des dirigeants et des militants.
Et cascade de suicides et d’accidents en série.
Juste avant les élections.
Défiant les lois des probabilités.
Dans le même état d’esprit néo-gestapiste, l’Eurocrature teutonne a permis aux constructeurs de vraies voitures d’échapper à la faillite en leur accordant des autorisations de survie, précaires et révocables.
Plaçant les ingénieurs sous le contrôle des bureaucrates.
Une erreur déjà commise par le IIIe Reich qui a perdu ainsi son avance technologique.
Une chance pour nos anciens qui ont éradiqué la vermine hitlérienne.
Les écolos parlent de marche arrière.
En fait c’est du surplace provisoire.
À la merci de nouveaux diktats après les élections.
Du provisoire car pour le moment, les usines continuent à produire du thermique vendable tandis que les stocks de caisses à piles moisissent en plein air, livrées aux intempéries.
Et que de nombreux Européens ont déjà envisagé, à titre personnel, des mesures permettant de contrer la dictature réchauffiste.
Comme stocker assez de pièces de rechange pour faire durer leur bagnole jusqu’à 400.000 Km comme à Cuba.
Les dictatures rendent débrouillard.
Rien n’est vraiment gagné pour l’après 2035 car, connaissant la hargne exaltée des écolos-bolchos, il serait étonnant qu’ils ne mijotent pas d’autres perfidies.
La crise que traverse le secteur automobile en Europe justifie un moratoire, mais ce n’est pas un argument suffisant pour les dévots de la nouvelle religion réchauffiste.
Alors qu’il faudrait rendre leur liberté aux fabricants et le libre choix aux consommateurs.
Si tu veux rouler en calèche ou en char à bœufs, en pousse-pousse ou en rickshaw, en de Dion Bouton ou en Panhard Levassor, sans être tyrannisé par des petits caporaux hystériques, ce devrait être ton droit le plus absolu.
L’odieuse contrainte est en partie allégée mais pas supprimée.
Après 2035, les constructeurs pourront continuer à vendre une part limitée de voitures neuves équipées de moteurs thermiques ou hybrides.
Combien ? Encore un de ces pourcentages à géométrie variable qu’affectionne l’Eurocrature en fonction des passe-droits monnayés.
En échange d’un souffle de liberté, les constructeurs devront se soumettre à de nouveaux diktats, afin de compenser les émissions obsessionnelles de CO2.
La Grosse commission précise bien que l’UE, si elle assouplit l’objectif pour 2035, ne renonce pas à ses « ambitions climatiques » (sic) C’est quoi ça ?
Encore un délire né dans les cerveaux souffreteux d’écolos herbivores amoindris par la carence en protéines ?
Quand j’avance, tu recules, comment veux-tu… Air connu
Le commissaire européen Stéphane Séjourné, un ancien mignon de la bande à Macron, assure que la grosse commission a adopté une approche pragmatique face aux difficultés rencontrées par l’industrie automobile.
Il aurait défendu les nouvelles mesures libératrices avant d’être désigné pour les piloter.
Avec un tel pilote, on est sûrs de finir dans les décors !
« L’objectif reste le même, dit-il pour ne pas désavouer Pustula, les flexibilités sont des réalités pragmatiques au vu de l’adhésion des consommateurs et de la difficulté des constructeurs à proposer sur le marché du 100 % électrique pour 2035 ».
Du globi boulga de politicard pour gagner du temps…
Et ne pas reconnaître que cette évolution tactique a répondu à l’insistance des fabricants teutons, désemparés et désespérés face à la concurrence des États-Unis et de la Chine.
L’interdiction de vendre des voitures à moteur thermique à partir de 2035 était LA mesure emblématique du grand « Pacte vert européen ».
Une cornefesserie monumentale pour permettre au IVe Reich de satisfaire son obsession pathologique de réaliser la neutralité carbone en 2050.
Mais l’Eurocrature, face à la concurrence féroce de la Chine et aux tensions commerciales sans concession avec les États-Unis, a déjà repoussé ou élagué ces derniers mois plusieurs mesures environnementales, dans un virage pro-business accepté en tordant le nez.
Reculer pour mieux se faire sauter, ils ne sont plus à ça près.
Ah si ça pouvait fonctionner aussi pour déchirer les lois liberticides obligeant le web européen à s’aligner sur la doxa mondialiste.
Donald, James David, Elon, continuez à taper fort sur ces autocrates !
On compte sur vous !
Des nouveaux diktats pour les bagnoles mais pas pour les tanks destinés à l’Ukraine qui peuvent polluer à leur guise avec leurs fumées noires et défoncer les routes et les chemins.
En plus de l’interdiction de toutes les voitures neuves à moteur thermique en 2035, les Boches de la grosse commission voulaient asséner des directives draconiennes pour les contrôles techniques de celles qui roulent afin de les envoyer à la casse le plus vite possible.
Toujours des diktats que les parlements des pays concernés n’ont pas le droit de récuser.
En échange du sursis à la condamnation à mort de leur industrie, les constructeurs devront réduire de 90 % les émissions de CO2 de leurs véhicules par rapport aux niveaux de 2021, et compenser les 10 % d’émissions restantes en subissant un racket « volontaire » au profit des nouveaux oberführers en costard cravate ou tailleur guindé.
Mais l’organisation germanique n’est plus ce qu’elle était.
Logique et efficace.
Ces ânes n’ont pas compris qu’en taxant encore plus les fabricants, ceux-ci répartiront les contraintes financières sur les prix de vente.
Dans leur bêtise crasse, ces despotes à la mentalité de fonctionnaires devaient s’imaginer que si les gens achetaient moins de vraies autos, ils reporteraient leurs commandes sur des cacugnes à piles made in Germany.
La réalité depuis deux ans prouve que si la vente des voitures thermiques est atone, celle des électriques européennes n’a pas décollé pour autant.
La folie du tout électrique a profité aux Chinois, dont la firme BYD a vu ses parts de marché s’envoler avec leurs modèles aux prix attractifs.
Pour les citadins aux courts déplacements, qui disposent d’une prise idoine dans leur garage.
Un marché forcément limité à des privilégiés.
Car les techno bureaucrates aux payes mirobolantes ont oublié d’intégrer dans leurs modèles prédictifs la baisse du pouvoir d’achat des gueux.
Il n’y a pas un parangon standard pour l’électrification à marche forcée
Certains pays comme la Bulgarie, l’Italie, la Pologne, la Slovaquie et la Tchéquie plaidaient pour la « neutralité technologique », c’est-à-dire le maintien après 2035 des moteurs thermiques, en mettant en œuvre des technologies produisant moins de CO2 comme les hybrides rechargeables et les véhicules électriques équipés de prolongateurs d’autonomie à essence en cas de panne, avec le recours aux ersatz de carburants inventés pour la Wehrmacht.
Et bientôt le retour des gazogènes sur les tractions avant comme en 40 ?
L’Autriche goinfrée de subventions du Reich maintient le cap de l’électrification forcée, avec un succès mitigé, moins de 2% du parc automobile.
Quant à la Hongrie, elle a accueilli sur son sol les usines chinoises BYD pour fabriquer des petites voitures vendues à prix d’ami.
C’est bon contre le chômage.
Mais l’objectif de 10% de parts du marché fixé en 2023 est loin d’être atteint, il est de 7% aujourd’hui.
Restent des pays dirigés par des gros nuls comme la France et l’Espagne qui appellent l’UE à maintenir l’objectif 2035, afin disent-ils de ne pas décourager les acheteurs, et ne pas nuire à la filière des batteries de traction en pleine expansion paraît-il.
Mais surtout les autocrates de ces pays se pourlèchent les babines en enviant les juteuses commissions du IVe Reich empochées par les dociles Danois électrifiés à 63% et les serviles Norvégiens électrocutés à 93%.
Par Christian Navis
https://climatorealist.blogspot.com/
ET AUSSI
Arrêt de l’interdiction totale du thermique en 2035 : c’est la fête, vraiment ?
Victoire (minuscule) : l’UE enterre – enfin – l’interdiction totale des voitures neuves thermiques à partir de 2035.
C’est évidemment une victoire en trompe-l’œil !
Hier, l’Union européenne a enfin reculé : exit l’interdiction totale des voitures neuves thermiques en 2035.
On passe à « seulement » 90 % de réduction des émissions CO2, ce qui ouvre la porte à une part limitée d’essence, diesel et hybrides rechargeables… mais bardés de conditions, de compensations, de quotas et de taxes infernales.
Pour l’industrie française ?
Trop peu, beaucoup trop tard.
Usines déjà fermées, dizaines de milliers d’emplois envolés vers l’Allemagne ou la Chine, investissements électriques irréversibles.
Cet assouplissement de dernière minute ne ressuscitera pas la filière automobile tricolore.
On va pouvoir continuer à vendre des essence et diesel neufs… avec tellement de conditions, de quotas, de taxes et de paperasse que ça ne sauvera strictement rien pour l’industrie française.
Et le pire : Bruxelles ne lâche rien sur l’essentiel.
On continue à diaboliser le CO2, ce gaz vital qui fait pousser les plantes et nourrit la vie sur Terre.
On persiste dans cette imposture écolo punitive qui asphyxie notre industrie, ruine notre compétitivité et sacrifie des millions d’emplois au nom d’une idéologie verte mortifère.
Bref, on nous jette une miette pour calmer la révolte.
Le graphique du Sénat ci-dessous est clair…
Mais tant que cette écologie totalitaire tue la France, la guerre n’est pas finie : elle vient juste de commencer.
Pendant ce temps, l’industrie allemande caracole, à nos dépens… Normal, der Leyen veut restaurer le vieux rêve de Hitler.
L’Allemagne a été le moteur principal de cet assouplissement. Merz, les constructeurs (Volkswagen, BMW, Mercedes) et le lobby VDA ont exercé une pression intense depuis des mois pour obtenir cette flexibilité.
Leur argument : préserver la compétitivité des moteurs thermiques haut de gamme, les hybrides rechargeables et les prolongateurs d’autonomie (EREV), tout en intégrant les e-fuels et biocarburants.
Résultat : Berlin crie victoire. Volkswagen parle d’une décision « pragmatique et en phase avec le marché », BMW d’un « pas important reconnaissant la viabilité future du thermique ».
Pour l’Allemagne, cet assouplissement arrive à temps : il protège des dizaines de milliers d’emplois, maintient les investissements dans les technologies hybrides et évite une rupture brutale face à la concurrence chinoise.
L’industrie allemande n’a pas autant pivoté vers le 100 % électrique que prévu ; elle gagne un répit précieux pour continuer à vendre des modèles premium rentables.
Notre pauvre France, elle, ou plutôt nos dirigeants félons, avec l’Espagne et les pays nordiques… voulaient maintenir l’objectif de 100 % zéro émission pour rentabiliser les milliards investis dans l’électrique et protéger l’emploi dans les nouvelles filières…
Bref, défense de l’investissement électrique, mais trop tard et trop peu.
Macron et les autres félons voulaient des « flexibilités ciblées », la préférence européenne (ne profitant qu’à l’Allemagne, mais chut…), les aides aux petites entreprises mais sans toucher au cap climatique…
Bref un cautère sur une jambe de bois…
Résultat, la France a perdu. A tout perdu.
L’assouplissement arrive trop tard pour sauver notre filière thermique et il fragilise les investissements électriques en créant de l’incertitude !
Bruxelles a cédé à la pression allemande (tiens donc ! comme c’est étrange !).
C’est bien l’Allemagne qui dirige l’UE dans son seul intérêt.
Et pendant ce temps, la diabolisation du CO2 continue, coûte que coûte.
L’écologie punitive frappe encore plus fort les pays qui ont obéi trop vite.
Et surtout : l’UE ne renonce à rien sur le fond.
Elle continue de nous faire croire que le CO2 est un poison alors qu’il est littéralement la nourriture des plantes et l’indispensable de la vie.
Elle continue son imposture écolo qui coûte 4 milliards par an à la France en subventions, taxes et normes absurdes.
Bref : on a gagné une bataille de retardement.
Mais la guerre que l’écologie punitive mène à notre industrie et à notre dynamisme, elle, continue à fond.
Joyeux Noël quand même, et bon courage à tous les salariés de l’automobile française…
Par Christine Tasin




Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire