« C’est l’histoire d’un mec », aurait dit Coluche…
Ça
se passe à Strasbourg. Un brave mec, commerçant, qui bosse et ne
demande rien à personne. Son commerce (Geox) marche correctement, si
bien qu’il a besoin d’un coup de main, un peu d’aide pour faire face à
la demande de la clientèle.
Il fait donc appel, tranquille, à une société d’intérim, qu’il semble bien connaitre.
Et là, tout se gâte…
Au
lieu de la jeune femme « normale », commerciale et « bien sous tous
rapports », qu’il se prépare à recevoir, c’est Fantômas qui franchit le
seuil de sa boutique « normale ». Une enfoulardée, mauvaise et excitée,
bien décidée à faire déraper celui qu’elle (ou ceux qui la manipulent) a
(ou ont) choisi comme cible.
Cerise
sur le gâteau, elle filme la scène, ainsi que la réaction (bien
naturelle) du brave homme, qui ne se voit décidément pas flanqué de
Fantômas pour l’assister dans sa boutique et qui le dit au téléphone à
son agence d’intérim.
Ne manquez pas la video, visible en page d’accueil de Minurne. https://www.minurne.org/
Ceci n’est pas un « fait divers », c’est une provocation,
une action organisée, fomentée pour déstabiliser un honnête homme en le
désignant à la vindicte publique, le faisant passer pour un raciste
antimusulman.
A peine rentrée chez elle, cette saleté publie la vidéo sur les réseaux sociaux. Elle sera vue plusieurs millions de fois dans l’après midi !
Ses
arguments (dans un français approximatif qui suffirait à lui seul, même
sans foulard, à la recaler pour n’importe quel travail en contact avec
la clientèle) (*) sont bien préparés, mesurés, calculés : « on est en république » « liberté égalité fraternité » « j’ai le droit de m’habiller comme je veux »… etc.
Ce
que vient de faire cette peste (de sa propre autorité ou sur ordre de
la hiérarchie salafiste ?) est loin d’être un anodin « fait divers ». ` Il
entre dans la stratégie générale d'importer coûte que coûte les codes
culturels de l'islam, même s'ils sont contraires aux lois et coutumes
françaises.
Si
cette provocation n'est pas punie sérieusement et rapidement, il y aura
bientôt des centaines d’affaires du genre « Geox » en France.
Une
épidémie susceptible, non seulement de tuer un fonds de commerce, mais
aussi d’accrocher une cible sur le dos de nos compatriotes, avec les
conséquences que l'on sait. Comme pour Samuel Paty, comme pour Dominique
Bernard, et bien d’autres qui vont suivre si le gouvernement ne répond
pas par une réaction rapide, à la mesure de la provocation.
Le
risque, comme d’habitude, est que cette affaire se noie dans les
méandres du « juridisme », souvent à l’opposé du simple bon sens. On
entend déjà certains « experts » prétendre que, concernant la tenue
vestimentaire, si le voile doit être interdit sur le lieu de travail, ce
doit être précisé dans le « règlement intérieur » !
Belle
pirouette manipulatrice des gens de mauvaise foi. Ce fameux « règlement
intérieur » n’est obligatoire que dans les établissements de plus de 50
salariés, je serais étonné que ce soit le cas de cette boutique !
Ne
nous laissons pas embarquer dans des manœuvres dilatoires de prétendus
ou auto-déclarés « juristes ». Ceux de nos lecteurs qui ont dirigé ou
dirigent des entreprises sont parfaitement conscients de la nécessité de
recruter des collaborateurs présentant une tenue correcte et non
provocante pour la clientèle.
Qu’une
personne se présente à un entretien d’embauche avec un voile est une
provocation pure et simple, et le responsable du recrutement, qu’il le
dise ouvertement (ce qui est plutôt courageux et honnête) ou qu’il en
fasse secrètement un motif de refus, sera objectivement hostile à ce
genre de candidature.
Ne
nous trompons pas. Cette « agression » qui se voudrait banale est de
même nature que le meurtre de Bordeaux. Et ce, même si, dans ce cas
récent, c’est un islamiste afghan extrémiste qui a tué un algérien
manifestement intégré, assassiné… parce qu’il consommait de l’alcool
pendant l'Aïd ! A-t-on déjà vu, en France, un homme assassiné parce
qu’il buvait dans la rue ?
Il
faut comprendre que nous sommes tous visés, français de souche comme
d’origine étrangère, ou immigrés respectueux du pays dans lequel ils ont
choisi de vivre et de travailler. Nous devons nous défendre, et non
nous perdre dans des débats ésotériques et filandreux. Si l'État ne s'en
charge pas, nous verrons apparaitre ici et là des milices privées
d'autodéfense.
L’approche
des Jeux Olympiques risque de voir éclater un peu partout en France des
événements qu’on a du mal à imaginer aujourd’hui, à la hauteur de la
haine que voue à notre pays cette engeance islamiste violente et
extrémiste, qui nous a déclaré la guerre et a décidé de déstabiliser
notre pays en attendant de s’en emparer.
Rappelons
qu’il y a eu en 2023, 323 000 personnes entrées légalement dans notre
pays. Combien viennent « pour travailler » (comme le prétendent la
gauche et la Nupes), combien viennent pour profiter d'allocations de
toutes sortes, et combien ne viennent que pour déstabiliser la France ?
Et surtout, surtout, combien sont entrés illégalement ?
Par Marc Le Stahler
MINURNE-INFO 738
13 avril 2024
ET AUSSI
À chaque jour son nouvel échec du vivre
ensemble. Celui du 11 avril s’est déroulé dans la boutique Geox de
Strasbourg. Une jeune intérimaire s’est rendue sur son lieu de travail,
affublée d’un voile islamique, causant la stupeur de son employeur. « Vous n'avez pas la tenue adéquate. Je ne peux pas vous garder, si vous ne souhaitez pas garder la tenue adéquate, tenta-t-il d’expliquer à la jeune femme qui n’en démordait pas. Je vous demande de récupérer vos affaires et de sortir. C'est un lieu privé. » En face, la pieuse musulmane resta droite dans ses bottes, sûre de son bon droit. « Sur mon contrat, ce n'est pas écrit que je ne dois pas mettre le voile »,
lui répondit-elle. Avant, enfin, d’accepter de quitter les lieux, la
femme ne manqua pas de se poser en victime, à grand renfort de « Vous déformez mes propos ! » et autres « Liberté, égalité, fraternité ! »
intempestifs. Elle prit aussi soin de filmer la scène à l’insu de
l’employeur, puis de partager l’enregistrement sur les réseaux sociaux.
En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, des dizaines de tweets insultants et menaçants fleurirent sur X, émanant la plupart du temps de comptes affublés de petits drapeaux algériens, marocains ou palestiniens. Morceaux choisis : « Ce chien doit être identifié et affiché sur les réseaux sociaux », « Sale race », « J’lui aurais tellement écrasé le crâne et brûlé son magasin », « Quand la vermine française laisse libre cours à ses instincts primaires », « Je l’aurais étranglé ! », « Strasbourg, allez lui apprendre les bonnes manières… »
Parmi la meute des défenseurs de la religion de paix et d’amour, on retrouve notamment le CCIE, « heureux héritier » du CCIF dont la responsabilité dans l’assassinat islamiste de Samuel Paty avait été pointée par le gouvernement. « Mobilisons-nous pour interpeller Geox et condamner cette discrimination inacceptable ! », lança l’association.
SOS Racisme en soutien de la meute
Croulant sous les menaces, le gérant strasbourgeois annonça, dans le
courant de l’après-midi, qu’il fermait boutique. Il a, depuis, porté
plainte pour « diffamation, injures raciales et appels malveillants » et une cagnotte de soutien a été lancée sur Internet
BFM TV
relaya l’information et sollicita l’éclairage d’un juriste de SOS
Racisme. Mais loin de défendre l’homme menacé de mort et victime
d’insultes racistes, l’expert prit le parti de la musulmane. « Les
seules possibilités pour lesquelles on peut interdire le port du voile,
c’est pour des raisons de santé ou de sécurité. Ça n’a pas l’air d’être
le cas dans le magasin Geox. […] c’est possible qu’il y ait une discrimination. »
Invité, une nouvelle fois, par le journaliste à condamner plus
clairement les insultes et les menaces, le juriste y consentit seulement
du bout des lèvres : « C’est regrettable que ce gérant ait des
menaces de mort, ; par contre, ce serait regrettable aussi pour cette
personne d’avoir été discriminée… »
Sauf que le refus du port du voile peut parfaitement être fondé. Comme le rappellent l’article L1321-2-1 du Code du travail ainsi qu’un arrêt de la Cour de justice de l’Union européenne,
une entreprise peut se doter d’un règlement intérieur inscrivant le
principe de neutralité et restreignant la manifestation des convictions
religieuses des salariés. Rien n’indique donc que la jeune intérimaire
était en droit de causer son esclandre. Sans parler du fait que filmer
une personne dans un lieu privé ou transmettre son image sans son accord
est sanctionné d'un an d'emprisonnement et de 45.000 € d'amende.
Une offensive islamiste bien rodée
Au-delà des arguties juridiques, cette affaire illustre avant tout le
pouvoir de nuisance de certaines minorités aussi radicales
qu’organisées. Elles excellent, désormais, dans une stratégie qui tient
en trois mots : provocation, victimisation, intimidation. Effet garanti. On nous a déjà fait le coup sur les terrains de foot (les fameuses « hijabeuses »), dans les piscines (l’affaire du burkini à Grenoble), à l’école (tout récemment au lycée Maurice-Ravel). Les revendications sur le lieu de travail s’inscrivent dans cette même
offensive islamiste qui vise à imposer le voile et transformer la France
en usant alternativement des pleurs et des menaces de mort.
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