mercredi 24 avril 2024

RENNES ( 35 ) , LES AGENTS MUNICIPAUX VIENNENT AU TRAVAIL LA PEUR AU VENTRE !

 



Ensauvagement. 

2 Français sur 3 favorables à un couvre-feu pour les mineurs 

Certains jugeront ce réveil trop « long» ou « tardif » mais, quotidiennement confrontés à une insécurité de plus en plus perceptible dans l’Hexagone, une majorité de Français semblent désormais favorables à la fin du laxisme dans ce domaine.

Une tendance qui est une nouvelle fois confirmée par un sondage réalisé auprès d’un échantillon représentatif d’un peu plus de 1 000 personnes les 18 et 19 avril par l’institut CSA pour le compte des médias CNEWS, Europe 1 et le JDD. 

À la lecture des résultats publiés le dimanche 21 avril, nous apprenons que plus de deux Français sur trois (67 %) considèrent qu’il est nécessaire de généraliser le couvre-feu pour les mineurs à partir de 23h dans l’ensemble des villes de France afin de les éloigner de la délinquance.

couvre-feu

Source : CNews

En revanche, une proportion de 33% des individus sondés s’oppose à cette proposition. Plus précisément, une légère disparité apparaît entre les réponses des hommes (63 % favorables) et celles des femmes (70 % favorables).

Couvre-feu : des différences générationnelles

Les différences se révèlent plus prononcées selon les tranches d’âge, notamment chez les personnes âgées de 18 à 24 ans, où le «non» l’emporte avec 51%, tandis que le «oui» atteint 49%. 

Cette tendance représente une différence de 26 points par rapport aux sondés de 65 ans et plus, parmi lesquels 75% sont favorables à la mesure.

Un écart notable est également observé selon les catégories socio-professionnelles : les individus sans emploi sont nettement plus enclins à soutenir un couvre-feu pour les mineurs, avec 72% d’approbation, par rapport aux CSP+ qui sont 59 % à y être favorables. 

Il est également intéressant de noter que la majorité des résidents des zones rurales se prononcent en faveur d’un renforcement des mesures pour les jeunes, avec un pourcentage de 69%.

En zone urbaine, cette approbation d’un couvre-feu à partir de 23 h pour les mineurs atteint même 74 % chez les personnes interrogées résidant dans des villes comptant entre 20 000 et 99 999 habitants. 

Cette forte proportion de réponses favorables pourrait notamment s’expliquer par la recrudescence d’incidents entre « jeunes » au cours des derniers mois dans ces villes françaises de taille moyenne.

85 % des sympathisants RN favorables au couvre-feu

Enfin, en ce qui concerne les préférences politiques des sondés, une forte adhésion à la mesure est observée chez les répondants affiliés à la droite : ils expriment un soutien massif, avec un taux de 80% en faveur d’un tel couvre-feu.

 Tandis que chez les partisans du Parti socialiste, cette mesure est approuvée par 56 % des personnes interrogées.

Quant aux sympathisants de Renaissance, 63 % ont répondu favorablement à la question du sondage. 

Du côté des électeurs des Républicains, cette approbation d’un couvre-feu pour les mineurs à partir de 23 h en France atteint 82 %.

 Seulement 3 points derrière les soutiens du Rassemblement national, parmi lesquels la mesure est plébiscitée à 85 %.

Lors d’un discours prononcé à Viry-Châtillon le 18 avril dernier sur le thème de la lutte contre la violence chez les mineurs, le Premier ministre Gabriel Attal avait évoqué la possibilité d’instaurer un couvre-feu pour ces derniers.

 
  •   ET AUSSI


  • A Rennes, des agents municipaux de Rennes contrôlés par des dealers au quotidien

    Depuis plusieurs mois, des agents municipaux qui travaillent dans le quartier du Blosne à Rennes vivent un véritable enfer.

     Ils sont régulièrement contrôlés, fouillés, et même menacés par des dealers. 

     Cette situation intolérable a poussé deux syndicats à déposer un préavis de grève illimitée.

     

    Témoignages poignants

    “Se faire fouiller par des dealers en allant bosser, c’est juste délirant”, raconte Serge*, jardinier au Blosne, au Télégramme.  

    “On est littéralement surveillés par plusieurs dealers quand on intervient sur ce secteur. 

    C’est même déjà arrivé qu’on nous interdise le passage. Impossible de se sentir en sécurité”.

    “Je reçois régulièrement des coups de pression et des insultes de la part des dealers”, témoigne un agent de propreté.  

    “C’est franchement angoissant. 

    Je touche 1 500 € par mois pour ramasser des déchets, je veux juste gagner ma croûte tranquillement… sans terminer à l’hôpital”.

     

    Cette situation est devenue intolérable pour les agents municipaux, qui vivent dans un climat anxiogène permanent. 

    Face à l’inaction de la mairie, les syndicats SUD CT 35 et CGT Ville de Rennes ont déposé un préavis de grève illimitée, à partir du lundi 29 avril, concernant les agents travaillant dans les quartiers dits « prioritaires ».

    Les agents municipaux viennent au travail la peur au ventre. 

    Ou ne viennent tout simplement plus faire leur travail.

    Suite au dépôt de ce préavis de grève, une rencontre doit avoir lieu entre les syndicats et la municipalité, ce jeudi 25 avril, en présence du directeur des ressources humaines de Rennes Métropole.

    Peut-être les élus rennais vont-ils proposer une rénovation « inclusive » du quartier du Blosne, pour permettre à agents municipaux et dealers de « bien vivre ensemble » ?

     Le gauchisme, cette gangrène absolue qui est en train de tout détruire, partout…Au nom d’une utopie, ils sont prêts à tous les aveuglements, tous les renoncements. 

    Il suffit de voir quelles conséquences humaines ont eu les socialismes et les communismes dans le monde au 20ème siècle pour avoir un avant goût de ce qui nous attend demain. 

    « C’est pour votre bien » qu’ils disaient….

     
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