Chère amie, Cher ami,
Depuis près d’un an, nous alertons sur les graves dérives qui ont lieu dans les classes lors des séances d’éducation à la sexualité.
Et nous recevons quasi quotidiennement des témoignages concrets et détaillés de la part de parents dont les enfants ont été victimes de cette « éducation » institutionnelle et obligatoire à la sexualité à l’École, sur fond d’idéologie du genre.
Ainsi,
hier, des parents nous informaient que leur fils en classe de
seconde devait préparer un exposé en binôme avec un camarade de classe
sur le thème : « expliquer et défendre la théorie du genre »…
Exit la liberté de conscience… Et bienvenue dans le monde de l'endoctrinement par les mots !
OUI, c’est une erreur sémantique de parler de théorie quand il s’agit d’une idéologie du genre.
La consigne que vous venez de lire a été donnée pour une matière purement scientifique, puisqu’il s’agit d’un devoir de SVT !
Depuis un an, chaque semaine, nous recevons des appels à l’aide de parents à la suite de séances d’éducation à la sexualité qui ont eu lieu dans les écoles de leurs enfants, avec une augmentation inquiétante ces derniers mois.
Ces
parents n’avaient pas été informés en amont ni de la date, ni du
contenu des séances, ni de la qualité et des compétences des
intervenants.
Des contenus clairement inadaptés à l’âge de leurs enfants ont été présentés lors des séances, et les conséquences sont importantes !
Les
enfants rentrent choqués de ces séances d’éducation à la sexualité, qui
leur sont présentées comme un enseignement à part entière… au même
titre que les mathématiques ou le français !
Ils sont sidérés et déboussolés.
Ils
ressentent d’eux-mêmes le malaise de cette « éducation » qui relève de
leur intimité, et intuitivement, ils savent que cela n’a rien à voir avec les leçons des matières « habituelles ».
Beaucoup
d’enfants n’osent pas parler des contenus auxquels ils ont été exposés,
et faire part du malaise, du dégoût et du choc que cela a généré sur
eux.
Et
de nombreux parents n’ont pas conscience que parler un langage sexuel
et évoquer la sexualité adulte dans le cadre collectif scolaire à des
enfants prépubères est une erreur, puisque les adultes ne tiennent
absolument pas compte de là où en sont les enfants dans leur
développement physiologique, affectif et cognitif.
C’est la raison pour laquelle il y a encore trop de parents et grands-parents qui ont du mal à croire :
- Que les dérives qui nous sont rapportées ont réellement eu lieu dans les classes ;
- Qu’elles se produisent régulièrement, dans tous types d'établissements de toutes les régions de France.
Mais
en réalité, quand un exemple de dérive parvient jusqu’à votre
Association, il y en a sûrement plusieurs centaines dont on ne parle
pas !
Dans notre rapport d’analyse sur l’éducation à la sexualité dans le cadre scolaire,
réalisé avec des experts de l’enfance et de l’adolescence, nous avons
détaillé plusieurs cas concrets (vous pouvez les retrouver à partir de
la page 69 du rapport).
Attention, certains contenus sont vraiment choquants !
Et
malheureusement, ils sont directement rapportés par des enfants
bouleversés et sidérés, dont le comportement a tellement été perturbé
qu’ils ont eu besoin de se confier à leurs parents.
Ils racontent avec leurs mots ce à quoi ils ont assisté et ce qu’ils ont retenu des séances d’éducation à la sexualité dispensées dans le programme scolaire de leur école.
Je vous invite à découvrir ci-dessous les extraits de 12 cas concrets parmi la centaine de cas que nous avons reçus…
… Et à rejoindre les 35 547 signataires (dont près de 3 000 médecins et professionnels de santé) de notre grande pétition NON à l’éducation à la sexualité à l’École, qui veulent que cela cesse !
Pensez aussi à transmettre ce message autour de vous, pour alerter vos proches sur les risques des séances d'éducation à la sexualité pour les enfants.
Bien sûr, nous sommes favorables à la prévention, mais pas à la sexualisation précoce des enfants.
Il faut les laisser grandir, ils en ont absolument besoin.
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