mardi 9 avril 2024

URSULA VON DER LOYEN DE PLUS EN PLUS IMPOPULAIRE EN FRANCE !

 TRIBUNES LIBRES !

 
 


Ursula von der Leyen : c’est en France qu’elle est la plus impopulaire !

 

Au mois de février dernier, Ursula von der Leyen, l’actuelle présidente de la Commission européenne, confirmait son intention de diriger cette dernière pour cinq ans de plus lors d’une réunion de l’Union chrétienne-démocrate (CDU), son parti politique.

Le 7 mars, lors du congrès du Parti populaire européen (PPE) à Bucarest, la candidature d’Ursula von der Leyen à un second mandat était entérinée par 400 voix contre 89. 
Par ailleurs, il s’avère que la présidente de la Commission européenne était la seule candidate en lice.

En pratique, la désignation du prochain président de la Commission par les dirigeants des 27 États membres de l’UE interviendra après les élections européennes prévues du 6 au 9 juin. 

Pour l’instant, les enquêtes d’opinion à l’échelle européenne tendent à indiquer que le PPE devrait rester le premier groupe au Parlement européen.

Seul un tiers des Européens convaincus par von der Leyen ?

Pour autant, la popularité d’Ursula von der Leyen auprès des électeurs européens laisse à désirer. 

Selon un sondage réalisé par Ipsos pour Euronews dont les résultats ont été publiés le 3 avril dernier, seuls 37 % des électeurs interrogés dans tous les pays de l’UE ont une opinion positive du travail de la Commission européenne dirigée par Ursula von der Leyen.

À cette question « Avez-vous une opinion positive ou négative du travail de la Commission européenne, actuellement dirigée par Ursula von der Leyen ? », 31 % ont répondu par la négative et 32 % ont répondu par un « je ne sais pas ».

Parmi ces réponses des 26 000 citoyens européens de 18 États membres, il faut relever les disparités entre les différents États européens. 

L’approbation de l’action de la Commission européenne et de sa présidente est particulièrement faible en France, où seulement 18 % des personnes interrogées se disent satisfaites du travail mené. En parallèle, 36 % des Français ont une opinion négative de la Commission et d’Ursula von der Leyen.

 

Une plus forte popularité au Portugal

Le rejet l’emporte également sur l’approbation en République tchèque (21 % contre 38 %), en Hongrie (23 % contre 38 %), en Slovaquie (26 % contre 37 %), en Bulgarie (33 % contre 36 %), en Autriche (35 % contre 41 %) et en Pologne (36 % contre 37 %).

En revanche, c’est au Portugal et au Danemark que la Commission européenne et sa présidente sont les mieux perçus avec respectivement 61 % et 54 % d’opinions positives.

 

À l’échelle européenne, ils sont ainsi une majorité d’électeurs (63 %) à considérer le travail de la Commission de manière négative ou à ne pas avoir d’opinion.

 

Von der Leyen : les électeurs du RN et de l’AfD très critiques

Malgré tout, tout porte à croire que la politicienne de la CDU pourra conserver son poste après les élections européennes.

 Une fois la désignation du président de la Commission européenne déterminée par les chefs d’État membres et de gouvernement, elle sera soumise au vote du Parlement européen.

Les chrétiens-démocrates, les sociaux-démocrates, les libéraux et les Verts devraient y conserver une majorité et approuver la nomination d’Ursula von der Leyen.

 

L’enquête d’opinion montre que les électeurs des partis appartenant au groupe Identité et Démocratie (ID) – tels que le Rassemblement national en France, la Lega en Italie ou l’Alternative pour l’Allemagne (AfD) – sont les plus critiques à l’égard du travail de la Commission, 61 % d’entre eux le jugeant négatif et seulement 12 % positif.

Selon Euronews, les résultats « indiquent également qu’environ un tiers des Européens n’en savent pas assez sur la Commission pour pouvoir se faire une opinion sur son travail ».

 

Crédit photo : DR (photo d’illustration)
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ET AUSSI




Immigration et insécurité : en Allemagne, 26 migrants totalisent plus de 1 000 délits

Longtemps contesté par les médias « mainstream » et les tenants du politiquement correct, le lien entre immigration et insécurité est désormais un fait avéré. En France, mais aussi chez nos voisins européens.

En Allemagne, selon le ministère de l’Intérieur du Land de Basse-Saxe, le Land recenserait actuellement sur son territoire 26 individus multirécidivistes ayant déposé une demande d’asile dans le pays.

Et, tenez-vous bien, en additionnant leurs « palmarès » respectifs, ces 26 immigrés ont déjà été fichés pour 1 005 crimes et délits. 

 À ce nombre s’ajoutent les actes pour lesquels la police ne les a pas attrapés. Les infractions au droit des étrangers ont également été prises en compte.

 

Plus de 100 crimes et délits imputés à un migrant irakien

Ces informations ont été communiquées la semaine dernière lors d’une réponse du gouvernement du Land de Basse-Saxe à une question du député AfD Stephan Bothe. 

Ainsi, à lui seul, un Irakien aurait commis 105 crimes et délits après avoir vu sa demande d’asile être acceptée par l’Allemagne en 2016.

De son côté, un migrant ivoirien, dont la demande d’asile déposée en 2018 en Allemagne n’a pas encore fait l’objet d’une décision définitive, compterait 102 crimes et délits à son actif.

 Vient ensuite un Soudanais, qui a obtenu une tolérance malgré le rejet de sa demande d’asile, avec 86 faits lui étant imputés.

Dans le même registre, sept autres migrants multirécidivistes dont la demande d’asile a été rejetée sont, curieusement, eux aussi « tolérés » en Basse-Saxe.

Allemagne

Stephan Bothe. Source : page Facebook

Une seule expulsion envisagée parmi les multirécidivistes

Pour les autres migrants multirécidivistes, la procédure d’asile est toujours en cours ou ils ont obtenu la « protection subsidiaire » ou effectivement l’asile ou un « permis de séjour ». 

Des situations administratives diverses qui ont néanmoins la même conséquence : la présence sur le territoire allemand d’individus potentiellement dangereux.

Évidemment, la question des expulsions se pose alors rapidement. Mais, à l’instar de la France, le laxisme de l’Allemagne en la matière est flagrant. Sur les 26 migrants multirécidivistes  évoqués, un seul d’entre eux, un afghan ayant commis 29 infractions et disposant d’un « permis de séjour » serait actuellement menacé d’expulsion selon le ministère de l’Intérieur du Land de Basse-Saxe. 

Un renvoi vers son pays d’origine peu probable en réalité puisque l’Allemagne n’expulse pas, en principe, vers l’Afghanistan.

En attendant, comble du grotesque, la plupart de cette vingtaine de multirécidivistes étrangers sont toujours en liberté sur le territoire allemand.

 En effet, le ministère de l’Intérieur du Land a indiqué que « les personnes qui sont en détention et dont la durée de détention à exécuter est d’au moins deux ans ne sont plus classées ou maintenues dans la catégorie des multirécidivistes ». 

Au total, selon ces mêmes autorités de Basse-Saxe, 13 multirécidivistes étrangers (parmi lesquels on ne compte pas uniquement des demandeurs d’asile) seraient actuellement en prison.

Syriens et Soudanais sur le podium…

De 2021 à 2023, le ministère de l’Intérieur du Land de Basse-Saxe a enregistré un total de 1 837 délits commis par des étrangers qui sont également considérés comme des multirécidivistes. 

Cela ne comprend pas seulement les demandeurs d’asile mentionnés ci-dessus. 385 délits sont à mettre sur le compte de multirécidivistes syriens, 37 autres sont enregistrés par les autorités comme « apatrides syriens ». 

Viennent ensuite les Soudanais (218), les migrants de Côte d’Ivoire (156) et de Roumanie (135). 41 crimes ont été commis par des auteurs qui ont entre-temps obtenu la nationalité allemande.

Stephan Bothe, porte-parole du groupe AfD au Landtag de Basse-Saxe pour les affaires intérieures, parle d’un « traitement scandaleux des demandeurs d’asile hautement criminels ». 

Tout autre action qu’ « enfermer et expulser » est inacceptable selon lui.

Le député de l’AfD a également critiqué le fait que les demandeurs d’asile, même s’ils sont enregistrés comme multirécidivistes et multidélinquants, « n’ont souvent pas à craindre la détention ou l’expulsion ». 

Un constat peu ou prou similaire peut s’appliquer à l’Hexagone…

Crédit photo : DR (photo d’illustration)
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