jeudi 25 avril 2024

HISTOIRE : EN 1695 , IL N' Y AVAIT PAS DE PEUPLE PALESTINIEN !

 TRIBUNES LIBRES !

Les antisémites ont pris le contrôle des universités occidentales : résistance !

L’HEURE EST GRAVE !… 

 Ce qu’il se passe sur les campus américains, en France et dans le monde civilisé est absolument horrible.

 Des foules antisémites ont pris le contrôle des grandes universités. 

Elles appellent à l’annihilation, à l’extermination d’Israël.

 Elles attaquent les étudiants juifs, bloquent les facultés juives, empêchent les étudiants de rentrer dans leurs amphis pour étudier et préparer leurs examens de fin d’année.

 

Les photos ci-dessus rappellent ce qui s’est passé dans les universités contrôlées par les Allemands, à Vienne dans les années 1938, et de nos jours à Columbia (USA) ; c’est tout simplement inacceptable. 

Nous devons y mettre un terme dit le Premier ministre d’Israël. 

Ces lynchages doivent être condamnés sans équivoque.

Le soutien de terroristes génocidaires islamiques aux cris de « mort à Israël », « morts aux Juifs » est un délit raciste et antisémite, qui devrait conduire directement à des peines de prison fermes les défenseurs zélés de Free Palestine, pro- islamistes, antisémites-antisionistes.  

Aux USA, suite aux interventions policières musclées, ont retenti les cris de haine suivants :

 « Mort à l’Amérique ».

Mais il y a pire : plusieurs présidents de ces universités américaines se sont comportés de façon lâche, honteuse, indigne, et ont accompagné idéologiquement ces blocages de haine qui se sont substitués aux désaccords, dont on peut faire débat.

Quelques responsables locaux et fédéraux ont réagi puis tenté d’empêcher le phénomène de haine antisémite de s’étendre. 

Mais il reste encore beaucoup à faire, nous dit le Premier ministre.

Cette poussée antisémite, d’allure exponentielle, aura des conséquences terribles en Amérique, en France, dans toutes les sociétés occidentales et même dans le monde.

Assurément, Israël tente de se défendre contre ces terroristes génocidaires.

 Des terroristes tellement courageux dans la guerre contre Israël qu’ils sont justes capables de se cacher derrière des civils palestiniens, et de tuer des bébés, des femmes âgées, de violer des jeunes filles en les humiliant, et d’autres civils israéliens sans défense.

 Voilà les héros des foules des campus et des manifestants pro-palestiniens de rues !

Malgré ces faits évidents, attestés et démontrés, c’est toujours Israël qui est accusé de génocide. Israël toujours accusé à tort dans l’ensemble du monde arabo-palestinien, est devenu le bouc émissaire idéal de l’ONU et des organisations islamiques.  

Le Hamas accuse Israël de famine et des crimes de guerre les plus abjects, oubliant au passage ses méfaits et le pogrom qui a provoqué cette guerre. 

 Mais ces diffamations ne sont ni neutres ni nouvelles, elles durent depuis 1948.

 

Or l’Histoire nous rappelle que les attaques antisémites ont toujours été précédées de diffamations et de calomnies. (Dixit : l’affaire Dreyfus).

Les mensonges lancés contre le peuple juif par la propagande du Hamas sont incroyables et relayés abondement par des milliers de médias compatissants de la planète, car selon le principe nazi de Goebbels, tous les mensonges répétés en boucle finissent par êtres crédibles.

 

Ce qui est devenu important pour nous tous, et pour tous ceux attachés aux valeurs de notre civilisation, c’est de nous lever ensemble, et de dire : « Ça suffit ! »

Nous devons nous lever courageusement et faire arrêter cette vague d’antisémitisme, car tel le canari dans la mine de charbon, elle précède les grandes conflagrations qui engloutissent le monde.

Il serait bon à tous : Juifs et non-Juifs, soucieux de notre avenir commun, de nos valeurs démocratiques communes, de notre civilisation commune, de faire la chose suivante :

« Se lever ; se faire entendre ;  s’unir pour faire cesser l’antisémitisme : maintenant » !

 

Par Patrick Granville.

 

 

Pour Rappel !

Découverte d’un livre écrit en 1695 par Hadrian Relandi : il n’y avait pas de peuple palestinien

 

 

Palestina, un Ouvrage Historique de 1695

Note introductive : découverte pour nous qui ne le connaissions pas, mais il semble qu’il y ait des exemplaires dans plusieurs musées par le monde, mais dommage, non traduits.


La présentation est bien sûr reprise, et j’espère, fidèle au contenu…

Ce “Voyage en Palestine”, a été écrit en 1695 par Hadrian Relandi et traite de la population qui composait alors le pays.

Il n’existait pas de “peuple palestinien”, Gaza était alors à 50 % juive et à 50 % chrétienne.

Par Raphael Aouate

 

Terredisrael.com – 20 mai 2009, texte repris le 30 décembre 2012

À une époque où il est de bon ton de remettre constamment en question la légitimité juive en Israël, la découverte d’un ouvrage historique capital sur cette question, écrit au 17ème siècle apporte un nouvel éclairage de la plus haute importance.

Voyage en Palestine“, est le titre d’une œuvre écrite en 1695, par Hadrian Relandi, cartographe, géographe, philologue et professeur de philosophie hollandais.

Le sous-titre de l’ouvrage, rédigé en Latin, s’intitule : “Monumentis Veteribus Illustrata”.

 Édité en 1714 aux Éditions Brodelet, cet ouvrage raconte une belle histoire qui commence de façon quasi anecdotique, dans un rayon d’une librairie de Budapest renfermant des antiquités littéraires dont une partie concerne le judaïsme : d’anciennes reliques, usées par le temps mais de grande valeur historique (et monétaire), parfois manuscrites, probablement dérobées, issues d’anciennes synagogues.

 

Cette pièce peut aujourd’hui être consultée à l’Université de Haïfa et sur sur Google*.
* : pour les amateurs de latin et autres langues

 

L’auteur de cet ouvrage, l’un des premiers orientalistes, connaissait les langues hébraïque, arabe et grecque (ancien).

En 1695, Relandi (ou Reland) est envoyé en voyage d’études en Israël, en Palestine d’alors, pour un objectif bien spécifique : recenser plus de 2 500 lieux (villes et villages) apparaissant dans le texte du Tanakh (Bible) ou de la Michna, dans leur appellation d’origine.

À chaque fois, Relandi y mentionne le nom hébraïque tel qu’il apparaît dans le texte et le verset exact auquel il se réfère.

 Relandi y fait également figurer son équivalent en latin-romain ou grec ancien. 

Outre ce remarquable travail linguistique, l’auteur opère surtout un recensement de l’époque, pour chaque localité visitée, en commençant par des considérations d’ordre général spécifiant que la terre d’Israël d’alors était très peu peuplée, pratiquement déserte.

La majorité de ses habitants se concentrait alors dans les villes de Jérusalem, Akko (Acre), Tsfat (Safed), Yafo, Tveria (Tibériade) et A’za (Gaza).

Le constat établi par le géographe conclut surtout à une présence juive dominante sur cette terre, quelques chrétiens et très peu de musulmans, dont la plupart étaient des Bédouins.

 

Quelques remarques extraites de cette passionnante étude :

– Aucune localité d’alors ne propose de nom arabe ou de source arabe.

– La grande majorité des villes et villages possèdent un nom hébreu, quelques-uns en grec ou latin-romain.

– Pratiquement aucune ville — qui porte aujourd’hui un nom en arabe – ne le  portait à l’époque, ni Haïfa, ni Yafo, ni Naplouse (Shkhem), Gaza ou Djénine.

– Dans les recherches de Relandi, il n’y a aucune trace de sources historiques ou philologiques établies avec des noms arabes, qui sont beaucoup plus tardifs, comme Ramallah, Al Khalil (Hébron) ou Al Qods (Jérusalem).

– En 1696, Ramallah s’appelle “Beteïlé” (du nom hébreu “Bet El”).

Hébron s’appelle “Hévrone” ou “Méa’rat Hamakhpéla” (Caveau des Patriarches). Le nom tardif d’Al khalil correspond au nom donné à Avraham Avinou en arabe.

– La plupart des villes étaient habitées par des Juifs, à l’exception de Naplouse (Shkhem) qui comptait 120 personnes issues d’une même famille musulmane, les “Natashe”, ainsi que 70 Samaritains.

– Nazareth, en Galilée, est une ville entièrement chrétienne avec 700 chrétiens.

– À Jérusalem, plus de 5 000 habitants, la grande majorité de la population est juive, avec quelques chrétiens.

 

Relandi n’évoque que quelques familles bédouines musulmanes isolées, composées d’ouvriers temporaires saisonniers, dans les domaines de l’agriculture ou de la construction.

– À Gaza, près de 550 personnes, 50 % de Juifs et 50 % de chrétiens.

 Les Juifs étaient essentiellement spécialisés dans l’agriculture : la vigne, les oliviers et le blé (Goush Katif). 

Les chrétiens s’occupaient davantage de commerce et de transport des différents produits de la région.

– Tibériade et Safed étaient des localités juives.

– On sait surtout que la pêche sur le Lac de Tibériade constituait le principal emploi de l’époque.

– Une ville comme Oum El Fah’em par exemple, était entièrement chrétienne  avec 10 familles.

 

Un résumé image que vous pouvez utiliser dans vos tweets ou ailleurs… 

L’une des conclusions qui découle de ces recherches est la contradiction définitive et rédhibitoire apportée aux arguments arabes, à savoir l’affirmation d’une légitimité palestinienne ou même d’un “peuple palestinien”.

On en veut pour preuve le fait même qu’un nom latin, celui de “Palestina”, ait été repris à son compte par le camp arabe.

Pat Jean-Paul Saint-Marc

Source :  https://resistancerepublicaine.com/

 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire