TRIBUNES LIBRES !
Pourquoi est-il interdit de donner le prénom des mineurs assassins ?
FRANCOCIDES. LE MASSACRE DES INNOCENTS
Il paraît que la loi interdit aux journalistes de donner le prénom des mineurs délinquants.
On se demande pourquoi, si ce n’est que la plupart du temps, ce sont des Mohamed ou des Abdel, et qu’il ne faut pas stigmatiser.
Ben voyons !
Donc, les assassins de Philippe s’appelleraient John et Ruben, ouf, on a échappé à Kevin et Matteo.
Les zigs ont le profil diversité, sans doute coranisés. Fascinés par l’argent facile, la drogue et la violence gratuite.
Récit glaçant du massacre d’un de nos gamins de 22 ans.
https://www.lefigaro.fr/faits-divers/connus-de-la-justice-biberonnes-au-rap-desoeuvres-qui-sont-les-mineurs-suspectes-de-l-assassinat-de-philippe-a-grande-synthe-20240419
Une bien longue procédure contre cette petite ordure.
Mieux que de longs discours, ce rappel qui ne concerne évidemment pas tout le monde.
LES ARROSEURS ARROSÉS
Énorme ! Moussa et Nunez viennent d’interdire la manif de Rachid et des islamiques contre le racisme, l’islamophobie et les violences policières.
Il va être intéressant de voir comment les choses vont évoluer. Vont-ils faire le coup des Traoré, et imposer leurs manifs, en force, ou vont-ils se coucher ?
Les juges vont-ils annuler l’interdiction ?
En tous cas, les Insoumis, qui demandent régulièrement interdictions et dissolutions de leurs opposants politiques, hurlent à la démocratie menacée et à l’atteinte aux libertés.
Une superbe bande de nazes versus hypocrisie clinique.
Rima Hassan, l’Hamas-compatible de Méluche, convoquée chez les flics pour apologie du terrorisme. Loulou-3-doses va-t-il dégainer sa seringue ?
https://twitter.com/LouisBoyard/status/1781339509868675336/photo/1
Excellent reportage de Livre noir sur la face cachée des milices de gauche, et notamment de La Jeune Garde, à Lyon, et de son président, le cogneur nazillon Raphaël Arnault.
Les Khmers façon Goebbels sont d’autre part des indicateurs de police, qui balancent aux flics des infos sur les “fachos”. D’où leur impunité totale.
LES SALAUDS IRONT EN ENFER
Les islamiques multiplient les menaces contre Isabelle Surply, coupable d’avoir fait expulser un imam radicalisé. Bien qu’elle soit élue, aucun soutien des autres groupes politiques.
Ils auront la guerre et le déshonneur.
Plein de planches pourries chez les LR, notamment sur l’islam. Les derniers rejetons du gaullisme se vautrent dans la collaboration.
Rachid Méluche veut plus que jamais la fermeture de CNews.
https://www.bvoltaire.fr/satir
La député LREM Sira Sylla condamnée pour harcèlement de ses collaborateurs.
Dans la suite de Prisca Thevenot, de Taubira, de Dati, d’Avia, et de
nombre de membres de la diversité, qui, quand ils ont des
responsabilités, aiment humilier leurs subordonnées. Le post-colonial et ses diarrhées haineuses. https://www.ouest-france.fr/so
ÉDUC NAZE
On touche le fond : https://www.fdesouche.com/2024/04/20/concours-de-recrutement-de-profs-de-math-capes-une-epreuve-ecrite-de-niveau-lycee/
PANIQUE À WEIMAR (1933-2024)
Nous voyagerons à l’intérieur de nous-mêmes. Passionnant exercice.
BRUXELLES-GANGS ET TRUANDS
Tom BENOIT (@TomBenoit_) a posté à 11:00 AM on ven., avr. 19, 2024 : L’Union des marchés de capitaux, ce concept flou, ne peut avoir qu’une finalité ; la politisation de l’épargne, la mise en danger des comptes bancaires de Européens…
Explications précises au sujet d’un
concept aussi « génial »qu’ambigu. Alors que le système monétaire… https://t.co/UbPe6T0MRq
(https://x.com/TomBenoit_/
Imprimez chez vous ces fiches et distribuez les partout en France.
(https://x.com/verity_france/
Les cagnottes, notamment lancées par Jean Messiha, un moyen de résister pour les patriotes. https://www.bvoltaire.fr/jean-
Retour sur la mise en garde à vue de Marc Doyer, proche de Philippot. https://lemediaen442.fr/interv
Pour Tarik Ramadan, le jugement du jour : Notre-Dame, sculpture du XIIIe siècle.
BIZARRES-ÉTRANGES
Onfray est vraiment un drôle de bonhomme.
Au moment où la France doit rassembler d’urgence les morceaux éparpillés de son identité, il sape un pilier maître de notre histoire, expédiant dans les poubelles de l’oubli et de la culpabilité honteuse quelques dizaines de millions de ses compatriotes.
Bravo l’artiste !
Onfray me vient en aide, qui l’eût cru ? (Allah, fort réjoui !)
Par Danielle Moulins et Jean Sobieski
Sans la violence, point d’islam
L’islam, depuis sa création au VIIIe siècle au Khorasan par les Abbassides, a comme base la violence sacrée, le mensonge, la falsification et le totem sacralisé de l’ignorance.
La seule foi qui existe dans le coran et la sunna, c’est la contrainte par l’épée. A part l’idéologie sanguinaire, ici-bas et dans l’au-delà, il n’y a pas dans le coran et la sunna, aucune preuve d’amour pour l’humain, la tolérance, la paix, le respect du prochain et encore moins envers la femme.
Les oulémas mentent suivis des idiots utiles occidentaux, en affirmant que l’islam est une religion de paix et d’amour. Mahomet, le ‘beau modèle’ pour l’humanité dans sa globalité, par ses paroles et ses gestes, illustre le contraire de ce que tentent de vendre les musulmans.
En effet, Mohammed Ibn Abdallah le mecquois, le prétendu Envoyé d’Allah sur terre a dit, selon la tradition islamique :
« J’ai reçu l’ordre de combattre les gens jusqu’à ce qu’ils témoignent qu’il n’y a pas de divinité en dehors d’Allah et que Mohammed est le Messager d’Allah, qu’ils accomplissent la prière et qu’ils s’acquittent de l’aumône légale.
S’ils font cela, leur sang et leurs biens seront préservés, à l’exception de ce que l’islam impose. Et c’est à Allah, le Haut et le Puissant, qu’Il appartient de les juger. » (sahih Boukhari N° 6924 et sahih Muslim N° 2946)
Et Allah exige à son tour, dans la sourate 9, verset 5 de combattre les infidèles:
« Après que les mois sacrés expirent les associateurs où que vous les trouviez. Capturez-les, assiégez-les et guettez-les dans toute embuscade. Si ensuite ils se repentent, accomplissent la Salat et acquittent la Zakat, alors laissez-leur la voie libre, car Allah est Pardonneur et Miséricordieux. »
Les versets 5 et 29 de la sourate 9 (le repentir) sont appelés ayats seif (versets de l’épée) qui ont abrogé une bonne partie du coran révélé à la Mecque.
Où est-elle donc passée cette tolérance islamique ?
D’après les exégètes de l’islam, dans leurs explications farfelues (tafassirs), l’islam doit combattre les mécréants jusqu’à ce qu’ils se soumettent à la loi d’Allah ou bien qu’ils soient enchaînés et vendus comme esclaves.
Quant aux gens du Livre (juifs, chrétiens et sabéens), ils doivent payer l’impôt de l’humiliation tout devenant des dhimmis. Et c’est ce qui attend les idiots utiles occidentaux.
La violence est inhérente à l’islam. Mahomet a combattu sa propre famille, avant de s’attaquer aux juifs de Médine qu’ils l’avaient pourtant accueilli, puis aux tribus arabes qui n’avaient pas cru à son message. Autour de lui, il avait semé la terreur et la désolation.
Avec l’aide des sâaliks (les brigands et les coupeurs de route), il avait volé et violé sans aucun scrupule. Il les avait motivés en cassant tous les codes d’honneur qui régissaient les bédouins de l’époque.
Ainsi, il avait réussi à imposer son idéologie sanguinaire, misogyne, esclavagiste, raciste, barbare par la terreur de l’épée au nom d’un dieu, qui est, lui-même, orgueilleux, capricieux, vengeur et surtout égorgeur.
L’islam a décrété l’immoralité tels que les mariages el-moutäa, le orfi ou le misraya (la prostitution halal), le mariage du djihad (où la femme change de partenaire selon l’humeur de l’émir), le mariage de l’offrande réservé uniquement à Mahomet (sourate 33, verset 50), le mariage de l’inceste (sourate 33, verset 37), le mariage pré-pubère ou pédophile (sourate 65, verset 4)…
Cette immoralité est changeante comme la météo.
Après la mort de l’Apôtre d’Allah, ses compagnons, les plus proches s’étaient entre-tués pour sa succession au point qu’ils avaient oublié de l’enterrer durant trois jours pendant qu’ils étaient en discussion dans un lieu appelé al-Saqîfa Bani Sâïda afin de désigner le futur commandeur des croyants (calife).
Durant cette réunion, Abu Bakr el-Saddiq (père d’Aïcha et beau-père de Mahomet) avec l’appui d’Omar Ibn Khateb, fut désigné comme le successeur du prophète de l’islam malgré l’opposition des Ansar – la tribu arabe de Médine qui avait accueilli et protégé Mahomet lors de sa fuite de la Mecque en 622 – car eux avaient choisi un homme de leur tribu du nom de Sa’d Ibn Ubâda pour hériter du titre de calife.
Ali Ibn Abi Taleb gendre et cousin de Mahomet ainsi que sa famille (Ahl-al-Bayt- les Bani Hichem), n’avaient pas assisté à ce conclave de la Saqîfa, car ils étaient occupés à enterrer leur bien-aimé Mohammed Ibn Abdallah.
Cette absence permit à Abu Bakr el-Saddiq, le premier calife ‘bien guidé’ d’asseoir son pouvoir mais les partisans d’Ali n’avaient pas accepté ce coup de force. Et pour rendre illégitime son accession au titre de calife, ils avaient rendu publique le dernier prêche de Mahomet où il recommandait à ses compagnons que le pouvoir devait revenir à sa la famille les Bani Hicham, c’est-à-dire Ali Ibn Abi Taleb en déclarant : « Écoutez-moi tous, dit-il.
Le moment est venu où je dois vous quitter. Il me faut partir, en toute hâte, car déjà j’entends, là-haut, le tambour qui bat la retraite. Vous savez ce que j’ai souffert, combien j’ai rencontré d’obstacles sur la route qui m’était tracée. Toute ma vie, la flèche de la méchanceté m’a pris pour cible.
Et pourtant c’est bien moi qui ai ouvert la voie de la Religion. C’est Dieu qui m’avait envoyé vers vous. Il avait fait descendre en moi son Verbe, et l’Esprit-Saint avait choisi ma demeure pour son habitacle.
Écoutez maintenant mes dernières volontés.
C’est sur l’ordre de Dieu que je vous les dicte : d’abord, ne commettez nulle injustice à l’égard de ma famille ; ensuite, observez la parole de Dieu, telle que je vous l’ai transmise, sans rien ajouter, sans rien omettre. Et puis, sachez-le bien, l’Éternel vient de m’ordonner d’instituer, comme mon successeur, Ali, qui est l’ami de Dieu.
Nul, en dehors d’Ali, ne doit s’asseoir à ma place, car, si aux yeux du vulgaire, nous paraissons séparés l’un de l’autre, nos deux corps sont, en réalité, issus d’un seul et même rayon de lumière. »
De nos jours, les chiites font rappeler aux sunnites ce prêche pour leur signifier qu’ils ont trahi le message de Mahomet.
Juste après la mort du prophète, certaines tribus arabes refusèrent de s’acquitter de l’impôt de la zakat versé au trésor du califat. Abu Bakr el-Saddiq, le premier calife ‘bien guidé’ (père d’Aïcha et beau-père de Mahomet) et les autres compagnons considèrent ces tribus comme étant des ennemis de l’islam en leur déclarant la guerre de la al-ridaa (guerre de l’apostasie) qui fut menée par le sanguinaire Khalid ibn al-Walid surnommé ‘Seif Islam – la glaive de l’islam’ qui fit un véritable carnage contre ces tribus récalcitrantes à payer l’impôt de la zakat.
Il ne se gêna nullement de tuer et de violer tout en sachant que ces hommes et leurs femmes de ces tribus étaient avant tout des musulmans. Comme lui !
Cette bataille de l’apostasie est rapportée dans sahih Muslim (N°174 et 180).
Après la mort en 634 d’Abu Bakr el-Saddiq, ce fut Omar Ibn Khateb (beau-père de Mahomet et gendre d’Ali qui lui succéda en suivant le testament laissé par le calife disparu.
Le calife Omar ‘bien guidé’ fut assassiné en 644 à l’intérieur de la mosquée de Médine.
Et quelques jours plus tard, ce fut Othman ibn Affân (compagnon et gendre du prophète, un Koraïchite) qui fut désigné comme le troisième calife ‘bien guidé’.
Les partisans d’Ali Ibn Abi Taleb avaient considéré cette désignation comme un coup d’État. Cette décision fut la première annonce de la fitna (guerre civile entre les musulmans).
Le règne d’Othman Ibn Affân fut marqué par de nombreuses révoltes à l’intérieur de l’islam qui débouchèrent par son assassinat au sein de la mosquée de Médine, en 656. Il fut enterré dans le cimetière juif de Médine. Pour ses adversaires, il était avide d’argent comme un juif.
Il fallait attendre la prise du pouvoir par Muawiya Ibn Abi Sufyan en 661 pour que ce cimetière fût déclaré musulman.
Othman ibn Affân ordonna la compilation du coran selon le récit islamique.
Le califat revint ensuite à Ali Ibn Abi Taleb (le quatrième calife ‘bien guidé’) qui fut tué en 661 à son tour à l’intérieur de la mosquée de Koufa en Irak actuel (anciennement Al-Hira, capitale de la tribu arabe Lakhmide vassale des Perses Sassanides) où il avait transféré la capitale du califat.
Durant son règne, Ali Ibn Abi Taleb mena deux guerres contre ses adversaires, celle du chameau menée par Aïcha, l’épouse favorite de Mahomet, appelée la bataille du chameau en 656, près de Bassorah (Irak actuel) et celle de Siffin (près de la ville syrienne de Raqqa qui fut la capitale de l’État islamique -Daech) le long du fleuve de l’Euphrate, en 657 face au gouverneur de Damas Muawiya Ibn Abi Sufyan.
A la mort d’Ali, le monde musulman se divisa entre sunnites, chiites et ibadites qui continuent de s’entre-tuer depuis quatorze (XIV) siècles, sans aucune perceptive de réconciliation.
Ainsi, l’islam est né par l’épée et disparaîtra dans le sang, selon le récit islamique.
Comme l’islam est basé sur le mensonge et la falsification historique, la véracité de la tradition rapportée par les exégètes islamiques est remise en cause actuellement par les historiens révisionnistes notamment ceux de l’Institut pour la recherche sur l’histoire de l’islam naissant et du coran (Inârah) basé en Allemagne.
L’histoire de l’islam telle que décrite par les oulémas (la tradition islamique) n’est-elle pas l’œuvre des califats abbassides originaires du Khorasan pour noyer le poisson ? Si tel est le cas, c’est une véritable hérésie historique dans lequel le monde vit depuis 1400 ans.
Comme l’archéologie est en train de parler, un jour ou l’autre, la vraie histoire de l’islam se dévoilera et les masques tomberont… Inchallah !
Par Hamdane Ammar
Source et Publications : https://ripostelaique.com/
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire