[Dans vos commentaires]
@« Sept ans de Macronie… sept ans de marches blanches »
Samara ou Shemseddine, Viry-Châtillon ou Bordeaux…
Ces derniers jours, l’actualité a été marquée par des agressions, des passages à tabac, virant dans certains cas au drame. Tenue vestimentaire, affaire de réputation, consommation d’alcool..
Au-delà des motifs futiles invoqués pour tenter d’expliquer ce déclenchement de la violence, ces affaires se ressemblent.
À chaque fois, le rapport à la pratique de l’islam (port du voile, honneur, jeûne…) apparaît en toile de fond.
Avancée de la charia
Un point sur lequel revient Jean Kast dans son article « Montpellier, Bordeaux, Achenheim : en France, la charia installe sa loi ».
Comme commente Alfred Germain : « Systématiquement et immédiatement, les autorités, par le biais des médias, annoncent que la piste terroriste est écartée.
C’est bien une façon de […] mettre un voile sur l’actualité. Tous ces faits démontrent une avancée notoire de la charia en France et même en Europe.
La guerre civile sera inévitable et nos dirigeants sont des pleutres, des lâches et des couards. »
Un sentiment partagé par de nombreux lecteurs de BV. Telle Gisèle Clarke, qui écrit : « Devant l’indéniable, les politiques continuent à refuser les constats qui pourraient être la base de réelles réformes et ils ne changeront pas.
C’est à nous de les changer et d’élire des personnes qui auront le courage d’effectuer les changements nécessaires. »
Et elle conclut : « Aux urnes en juin et aux prochaines élections, c’est notre seule arme. »
Jill, de son côté, appelle à un « référendum » sur l’immigration.
Mais voter suffira-t-il ?
Comme le souligne Ré-zo-ré, « prendre conscience ne suffit pas, ce n’est que le début.
Maintenant, il faut s’affirmer, s’imposer et se faire respecter tant que nous sommes encore chez nous, mais si on continue ce laxisme bienveillant, on n’aura que ce qu’on mérite. »
Mais pour certains, il est déjà trop tard. Bruno, par exemple, se désole : « Le vivre ensemble est définitivement enterré, tout comme le côte-à-côte.
Nous sommes passé de l’évitement à la fuite, et maintenant
au face-à-face.
Le message est clair, les récalcitrants sont harcelés, battus à mort, poignardés. »
Violences partout
Dans l’un de ses éditos, intitulé « Viry-Châtillon : l’héritage des "Peace and Love" ? La violence et la haine », Marc Baudriller revient lui aussi sur cette semaine de violences.
Comme l’écrit Bernard Guilon, « les violences à l’hôpital, violences en banlieue, violences à la sortie de l’école, violences dans l’école, violences contre les profs, violences entre élèves, violences anti-flics, violences contre les touristes, les vieilles dames, les enfants…
Lorsque la loi républicaine est (volontairement) abandonnée, elle est immédiatement remplacée par la loi de la jungle. »
Un Jour Ailleurs ne voit qu’une seule issue possible : « l’affrontement ».
Et Brun de conclure : « Finalement, sept ans de République en marche pourraient se résumer en sept ans de marches blanches. Et dire qu’il reste encore trois années à tirer ; les Français n’ont pas fini d’user leurs souliers. »
Courage des féministes de Némésis
Mais pendant ce temps-là, alors que les attaques au couteau semblent se multiplier, les élus écologistes regardent ailleurs.
À Besançon, alors que des militantes du collectif Némésis appelaient à expulser les violeurs étrangers, le maire de la ville a décidé de porter plainte contre elles.
Clémence de Longraye revient sur cet épisode dans son article « Interpellation d’une militante de Némésis : le maire écolo-wokiste de Besançon récidive ».
De nombreux lecteurs de BV saluent « le courage » de ces jeunes féministes et les applaudissent.
Comme le résume Crusader : « Moi, je dis respect à ces jeunes filles ! Elles dénoncent le fait que beaucoup de femmes sont victimes d’individus sous OQTF.
Les pancartes brandies par ces femmes ne font que dire la vérité ; mais la vérité dérange… »
D’autres lecteurs rappellent que le maire écologiste a été élu par des Français qui sont donc responsables de sa politique.
Michel Bigot, notamment, commente ainsi : « Que voulez-vous ? Ils l’ont voulue, il l’ont eue…
Les Français finiront-ils par se rendre compte qu’ils détiennent la seule arme dont la détention est autorisée – et même recommandée, dès 18 ans ?
Le droit de vote. »
Et au royaume des aveugles, « Sandrine Rousseau s’insurge » contre l'élévation de Michel Sardou à la dignité de grand officier dans l’ordre national du Mérite, rappelle Jean Kast.
Jde de Saules s’inquiète : « S’exprime ici toute la radicalité du prisme idéologique au travers duquel la gauche voit l’actualité.
Tout ce qui n’est pas strictement conforme à sa vision n’est pas seulement en désaccord avec elle mais est immédiatement dénoncé comme étant strictement inadmissible, voire comme étant sans droit à exister. »
Bugs63 préfère ironiser : « Dans vingt ans, qui sera toujours connu et qui aura disparu des mémoires ? J'ai mon idée... »
ET AUSSI
Immigration et violences sexuelles : une surreprésentation des étrangers dans les mis en cause
« Violeurs étrangers dehors ».
Trois mots inscrits sur une pancarte brandie par une militante du collectif féministe identitaire Némésis qui lui valent une plainte pour « incitation à la haine raciale » et dix heures de garde à vue.
Trois mots repris sur des affiches agitées par le groupe Rassemblement national au conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté qui entraîne à nouveau le dépôt d’une plainte pour « incitation à la haine raciale ».
Et un mot-dièse [une tendance, NDLR] devenu viral sur les réseaux sociaux qui suscite l’indignation des néo-féministes, outrées qu’on puisse établir un lien entre immigration et violences sexuelles.
Depuis l’action militante du collectif Némésis lors du carnaval de Besançon, le 7 avril dernier, le débat sur les auteurs de violences sexuelles revient au cœur du débat public.
Et les chiffres parlent d’eux-mêmes…
13 % d’étrangers dans les agressions sexuelles
« Violée par un migrant sous OQTF », « Agressée par un étranger en situation régulière », « Un Algérien sous double OQTF en garde à vue après le viol d’une femme de 20 ans »…
À lire la rubrique faits divers, les étrangers semblent surreprésentés parmi les agresseurs de violences sexuelles.
Si les mis en cause d’agressions sexuelles restent majoritairement français, comme aiment tant à le souligner les néo-féministes et l'extrême gauche pour ne pas regarder la réalité en face, force est de constater que la part des étrangers auteurs de violences sexuelles est non négligeable.
En effet, selon les dernières données complètes du ministère de l’Intérieur (page 13 du rapport), c’est-à-dire selon le cadre de l’INSEE, les individus qui résident en France mais qui ne possèdent pas la nationalité française représentent 13 % des mis en cause pour agressions sexuelles.
Or, en 2022, les étrangers représentaient 7,8 % de la population, selon l’INSEE.
Statistiquement, il y a donc bel et bien une surreprésentation des étrangers parmi les mis en cause dans les affaires de violences sexuelles.
À ce sujet — Interpellation d’une militante de Némésis : le maire écolo-wokiste de Besançon récidive
Et, dans le cas précis des agressions sexuelles dans les transports en commun, la part des étrangers impliqués explose : 31 % au niveau national, 61 % en Île-de-France (page 10 du rapport), avec 23 % des mis en cause originaires d’Afrique, 17 % du Maghreb et seulement 5 % originaires de l'Union européenne hors la France.
Un fléau européen
Un fléau qui est loin de concerner seulement la France.
Comme le résumait l’essayiste américano-néerlandaise, Ayaan Hirsi Ali, d’origine somalienne, dans son ouvrage Proie : immigration, islam, et l’érosion des droits des femmes (2021) : « Un nombre croissant de femmes européennes s’interrogent sur leur sécurité. […]
Ce n’est un secret pour personne – même s’il est impoli ou politiquement incorrect de le souligner – que les auteurs de ces actes sont, de manière disproportionnée, de jeunes hommes immigrés originaires du Moyen-Orient, d’Asie du Sud et de diverses régions d’Afrique. »
Allemagne, Italie, Autriche, Suède… nos voisins européens sont confrontés au même phénomène.
Depuis la tragique nuit de la Saint-Sylvestre de Cologne en 2015 au cours de laquelle 1.200 femmes furent agressées - dont environ 650 agressions sexuelles - par des hommes majoritairement issus de l’immigration, l’Allemagne connaît, elle aussi, cette surreprésentation des étrangers mis en cause dans les affaires de violences sexuelles.
Bien qu’ils ne représentent que 16 % de la population outre-Rhin, les étrangers représenteraient 37 % des mis en cause dans les affaires de viol.
Même constat en Italie, où les étrangers ne représentent que 9 % de la population mais 42 % des suspects de violences sexuelles.
L'Allemagne accepte, désormais, de faire le lien entre immigration et délinquance. À quand la France ?
Thématiques : immigration viols
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