Une fois de plus, l’extrême gauche a fait parler d’elle par la violence et le vandalisme.
Ce dimanche 2 mars, à Lorient, une manifestation réunissant environ 1 800 personnes, prétendument contre l’« extrême droite », a dégénéré en cortège de casseurs, s’en prenant aux forces de l’ordre et détruisant des commerces et des locaux politiques.
Une énième démonstration de l’impunité totale dont bénéficient ces groupuscules, quelques jours seulement après l’agression sauvage de militants de droite à Rennes.
Vitrines brisées, tirs de mortiers et violence en toute impunité
Si le rassemblement, organisé par une centaine d’associations et de collectifs de gauche, s’annonçait « festif et pacifique », la réalité fut bien différente.
Tags haineux, vitrines fracassées, projectiles contre la police, tirs de mortiers d’artifice : voilà le véritable visage de cette prétendue lutte contre l’« extrême droite ».
Des banques et des agences d’intérim ont été attaquées, le local du Parti socialiste vandalisé, avec l’inscription « À bas les traîtres » et enfin les forces de l’ordre visées par des jets de pierres et des tirs de mortiers
Malgré ces violences, seulement quatre interpellations ont été annoncées par la préfecture, confirmant une tolérance coupable vis-à-vis de ces groupuscules radicaux.
L’extrême gauche s’acharne, quelques jours après une violente agression à Rennes
Cette manifestation sous tension intervient alors que, jeudi dernier à Rennes, des militants de droite de l’UNI ont été violemment attaqués par des antifas.
Passés à tabac devant la faculté de droit, ils ont subi un véritable lynchage, sous les yeux de la sécurité de l’université qui a refusé de leur ouvrir les portes pour leur permettre de se mettre à l’abri
Bilan : traumatisme crânien, hématomes, affaires volées.
Et des suspects liés à des groupuscules d’extrême gauche placés en garde à vue.
Le collectif “Défense collective”, visé par une tentative de dissolution, serait impliqué dans l’attaque.
Pour Gilles Pennelle, eurodéputé du Rassemblement national, l’affaire est symptomatique de la complaisance du pouvoir envers ces milices d’extrême gauche.
Il a ainsi dénoncé le soutien affiché par une députée LFI venue au commissariat pour défendre les agresseurs, confirmant les liens étroits entre la gauche radicale et ces groupuscules violents.
Face aux scènes de chaos à Lorient, quelques responsables politiques de gauche ont timidement condamné les dégradations, tout en continuant à encenser la mobilisation.
Damien Girard, député écologiste du Morbihan, a ainsi parlé d’une « belle mobilisation », regrettant simplement qu’une « minorité de casseurs » ait pu entacher l’image du cortège.
Une déclaration qui masque mal le laxisme idéologique de la gauche face à ses propres extrémistes.
Depuis plusieurs années, les violences d’extrême gauche sont systématiquement relativisées par les médias et les responsables politiques, alors qu’elles se multiplient partout en France.
On a vu des attaques contre des militants de droite à Rennes, des blocages et saccages d’universités, mais la presse relaie beaucoup moins que lorsque des militants d’extrême gauche sont pris à partie.
Cette situation révèle une dangereuse asymétrie judiciaire et médiatique : alors que toute manifestation de la droite ou des opposants à l’idéologie dominante est immédiatement qualifiée de « menace pour la République », les exactions de l’extrême gauche passent sous silence ou sont justifiées au nom de causes prétendument humanistes.
Les évènements de Lorient et de Rennes ne sont pas des faits isolés.
Ils s’inscrivent dans une escalade de la radicalité de l’extrême gauche, qui agit en toute impunité, bénéficiant d’une tolérance bienveillante des pouvoirs publics.
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