samedi 8 mars 2025

C' EST LA JOURNÉE DE LA FEMME ! UNE QUÉGUERRE ENTRES LES HOMMES ET LES FEMMES ? QUE FONT LES FÉMINISTES ???


RÉACTIONS !

Chaque 8 mars, une étrange cérémonie se répète : la Journée internationale des droits des femmes. 
 
Une journée qui, à bien y regarder, relève d’une absurdité presque insultante. 
 
Pourquoi faudrait-il un jour spécifique pour honorer la moitié de l’Humanité, comme si être une femme était une anomalie, une catégorie à part qu’il faudrait encourager ou protéger ?
 
C’est là une condescendance insupportable.
 
 Aimer les femmes, c’est d’abord les considérer comme une évidence, et non comme une cause politique. 
 
Mais les féministes, ces insatiables militantes du chaos social, ne célèbrent pas cette journée pour les bonnes raisons. 
 
Leur combat n’a rien à voir avec la mise en valeur de la féminité ; il s’agit au contraire d’un rejet de tout ce qui fait l’essence même de la femme. 
 
Elles revendiquent l’avortement de masse comme une victoire, brandissent le divorce comme une libération, glorifient l’asservissement des femmes au marché du travail au détriment de leur rôle familial. 
 
Elles prônent la déconstruction des identités sexuelles, encouragent une misandrie latente et ringardisent le modèle familial traditionnel qui a pourtant bâti notre civilisation.
 
 Pire encore, elles se rendent coupables d’un silence complice face aux véritables menaces pesant sur les femmes françaises : l’explosion des violences liées à l’immigration afro-musulmane.
 
 Là où le féminisme devrait défendre celles qui sont les premières victimes de cette insécurité grandissante, il détourne le regard, préférant accuser le patriarcat occidental, coupable commode et imaginaire. 
 
 Le féminisme moderne n’aspire qu’à une chose : transformer la femme en un homme comme les autres.
 
Il faut qu’elle travaille, qu’elle boive, qu’elle séduise et qu’elle consomme comme un homme. 
 
Mais les femmes n’ont pas vocation à singer les hommes.
 
 Elles ne seront jamais leur reflet, et c’est tant mieux. Leur grandeur ne réside pas dans une imitation servile de la virilité, mais dans ce qu’elles sont intrinsèquement : la beauté, la douceur, l’élégance, l’équilibre du foyer, la force tranquille de la transmission. 
 
Ce ne sont pas des rôles imposés mais des qualités naturelles que la société devrait exalter au lieu de les nier. 
 Car c’est bien là que réside la vérité : la femme est un trésor. 
Elle est le complément parfait de l’homme, son alliée, son inspiration. 
Elle accomplit l’acte le plus noble qui soit : elle donne la vie. 
Aucun progrès technologique, aucune idéologie ne pourra jamais remplacer l’amour d’une mère, cet amour originel qui fonde les sociétés et façonne les civilisations. 
 
Voilà ce qu’il faut célébrer. 
Non pas une énième revendication politique mais un hommage sincère à celles qui, par leur présence et leur rôle unique, donnent un sens au monde.
 En ce 8 mars, au lieu de se perdre dans des luttes stériles et destructrices, il est temps de se souvenir que la véritable grandeur féminine ne réside pas dans l’affrontement, mais dans l’harmonie. 
 
 Thomas Joly - 
 
Président du Parti de la France  
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Encore un 8 mars où l’on ne vous dira pas que l’écart salarial homme-femme est somme toute assez logique 

[tribune libre]


Aujourd’hui 8 mars, nous sommes internationalement sommés de célébrer les femmes, leurs droits et de rappeler les injustices dont elles sont encore aujourd’hui victimes. 

Une de ces injustices, l’inégalité professionnelle avec les hommes, est pour les uns un mythe, pour les autres un intolérable résidu de patriarcat. 

Et si la vérité se situait au milieu ? 

Un milieu qui ne doit rien au statistiques….

« Les femmes gagnent en moyenne 13,9 % de moins que les hommes à travail équivalent », « non c’est 23,6 %, mais non c’est 15,5 %, ou plutôt 35,2 % ». 

Chacun y va de son numéro, avec « selon une étude » devant on peut faire gober à peu près tout… 

Et puis, comme dit l’adage, un mensonge répété cent fois devient une vérité.

Tant pis s’il suffisait de lire – correctement – les sources pour se rendre compte que le fameux pourcentage est plutôt de l’ordre des 4 %. (1)

Bah oui, parce que les données de l’Insee qui nous disent qu’ « En 2022, le revenu salarial moyen des femmes est inférieur de 23,5 % à celui des hommes dans le secteur privé. » ou encore que « à temps de travail identique, le salaire moyen des femmes est inférieur de 14,9 % à celui des hommes », nous disent surtout qu’ « À poste comparable, c’est-à-dire à même profession exercée pour le même employeur, l’écart de salaire en équivalent temps plein se réduit à 4,0 %.« 

Ce qui signifie, sans trop d’effort intellectuel, que les pourcentages précédents étaient biaisés, puisqu’ils comparaient des postes différents, chez des employeurs différents, sans qui plus est prendre en compte « le moindre volume de travail annuel des femmes, qui sont à la fois moins souvent en emploi au cours de l’année, et davantage à temps partiel ».

 

Bref, l’écart salarial, en comparant des choses comparables, serait de l’ordre de 4 %… pas de quoi fouetter un chat. 

Ce que ces statistiques mettent en évidence c’est que les femmes travaillent trois fois plus en temps partiel que les hommes.

 Et il faut vraiment ne jamais avoir travaillé de sa vie pour ignorer que les emplois à temps partiels ne sont pas – la plupart du temps – subis mais  voulus et durement négociés, par les mères notamment.

Et au lieu de célébrer ce privilège sexiste – essayez de demander un emploi à à mi-temps si vous êtes un homme, vous serez au pire mal reçu, au mieux moqué –  que font les féministes 2.0 ? 

Elles crient encore à l’injustice !

 

 Parce que ce qui les fait enrager, c’est que les femmes ne soient pas totalement, exactement, intrinsèquement comme les hommes. 

 Oui, elles haïssent la féminité et ont du mal à digérer qu’il y ait – encore – des mères qui préfèrent reléguer au second plan leur carrière.

N’est-ce pas leur égérie, Simone de Beauvoir, qui décrétait que : « Aucune femme ne devrait être autorisée à rester à la maison pour élever ses enfants.

 La société devrait être totalement différente. Les femmes ne devraient pas avoir ce choix, précisément parce que s’il y a un tel choix, trop de femmes le choisiront » ?

 
Bref, cette année encore, on ne liera pas que ces statistiques ignorent le fondement de toute cette affaire, à savoir, l‘approche différente au travail des hommes et des femmes
 
Ainsi, on n’entendra pas parler de la compétitivité, voire de l’agressivité dont font montre les hommes à la recherche d’une situation professionnelle par laquelle ils se définiront bien plus que les femmes, pour qui – dans la majorité des cas – le poste de travail ne représente qu’un moyen de gagner sa vie (qui sont souvent les postes où l’on gagne moins).
 
On n’entendra pas parler de la disponibilité des hommes à se déplacer plus facilement pour un emploi qui les intéresse, et à occuper un poste au sein duquel il y a beaucoup de déplacements (qui sont aussi souvent des postes où l’on gagne plus).
 
On n’entendra pas parler de la propension des hommes à effectuer les métiers les plus dangereux, les plus pénibles, ceux où les heures supplémentaires sont nécessaires (qui sont aussi souvent des postes où l’on gagne plus).
 
Cette année encore, on oubliera de préciser que les chiffres avancés ne prennent pas en compte le talent de négociation, l’expérience professionnelle, l’ancienneté, les interruptions de carrière, les absences, la force physique… en un mot la productivité… ( toutes ces choses qui font que les hommes occupent souvent des postes où l’on gagne plus).
 
Par contre, on nous dira encore, que si les femmes font des choix professionnels différents des hommes, c’est à cause des stéréotypes de genre, parce que les petites filles sont éduquées de manière sexiste, le patriarcat régnant indécrottablement..
 
Et puis tant pis pour les faits, comme disait Jean-Jacques Rousseau ! 
Tant pis si les pays retenus les plus avancés en matière d’égalité des sexes, comme les pays scandinaves, entérinent les disparités professionnelles entre les femmes et les hommes, notamment en ce qui concerne les choix de carrière, où le beau sexe continue de s’orienter vers les métiers liés au service à la personne quand la gente masculine, déconstruite au possible, continue de préférer les sciences dures et l’ingénierie. 
 
C’est ce qu’on appelle le paradoxe norvégien.

En conclusion, le léger écart salarial qui persiste s’explique par une dévotion à la carrière que les femmes dans leur grande majorité ne manifestent pas autant que les hommes, qui s’arrogent donc les postes les mieux rémunérés.

 Et pour le reste, les inégalités professionnelles qui, dans une infime mesure, persistent, elle n’est souvent que le ressort de patrons qui préfèrent employer des hommes, les pensant plus productifs.

 Sinon, on ne comprend pas pourquoi, à l’heure du profit-roi, les employeurs n’embaucheraient pas que des femmes si, à compétences égales, ils ont l’occasion de les payer moins !

Par Audrey D’Aguanno

(1) Chiffre lui aussi contestable (on serait autour des 3 %), mais on ne va pas chipoter et on va surtout se baser sur lui parce qu’il émane de l’Insee, qui est la source principale sur laquelle se basent les défenseurs de l’inégalité salariale.

 
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