mardi 6 mai 2025

L' EXTRÊME DROITE NE PASSERA PAS ! LE NUMÉRO DE MAI DE " CAUSEUR " ........

 

Découvrez le sommaire de notre numéro de mai


Le gouvernement des juges est une réalité – n’en déplaise aux progressistes que l’expression enrage – et le traitement infligé par la Justice à Nicolas Sarkozy et Marine Le Pen le prouve.

 Selon Élisabeth Lévy, qui présente notre dossier du mois, des magistrats, s’appuyant sur une interprétation extensive de la loi, prétendent mieux savoir que nous pour qui il ne faut pas voter. 

Désormais, il faut craindre pour notre démocratie, car « on voit mal pourquoi les juges s’autolimiteraient dès lors que leurs sorties de route ne suscitent que de vagues protestations ».

 Quant à Éric Zemmour, il a été condamné à 10 000 euros d’amende mais, comme le souligne Jean-Baptiste Roques, la Justice ne lui reproche pas d’avoir réécrit l’histoire de la Shoah mais de l’avoir mal racontée.

 Pour Alain Finkielkraut, se confiant à Jonathan Siksou, le pouvoir judiciaire bafoue l’État de droit afin d’assouvir ses pulsions justicières. 

Tous les moyens lui semblent bons pour écarter les responsables politiques considérés comme déviants et pour punir ceux qui osent contester ses pratiques et son corporatisme. 

Jean-Baptiste Roques soutient que les jugements portés sur les personnalités politiques par les juges – ces pères-la-morale – ne s’appuient sur aucun texte de loi ni aucune jurisprudence mais reflètent une part d’idéologie et un certain désir de revanche sociale. 

Pour le philosophe Pierre-Henri Tavoillot, la sévérité excessive de la peine prononcée contre Marine Le Pen marque un certain effacement de la politique en France, qui risque de basculer d’une démocratie à une « nomocratie », le pouvoir des normes.

 

Le numéro de mai est disponible aujourd’hui sur la boutique en ligne, et demain chez votre marchand de journaux !

 

L’avocat de Marine Le Pen (qui s’est lui aussi confié à Elisabeth Lévy et à Jean-Baptiste Roques) estime que le procès des attachés parlementaires du FN est purement politique : les motivations écrites des juges en témoignent. 

Rodolphe Bosselut dénonce aussi le non-respect du droit de la défense, son interprétation des faits reprochés ayant été retenue comme une circonstance aggravante.

 Enfin, l’avocat de Gérard Depardieu, Jérémie Assous, nous parle des attaques des féministes et des reproches de ses confrères (et consœurs) qu’il subit depuis sa prestation remarquée dans le procès de l’acteur pour agressions sexuelles. 

Accusé notamment de machisme et de misogynie, le jeune ténor du barreau explique pourquoi il refuse de faire profil bas.

Dans son édito du mois, Elisabeth Lévy commente la sollicitude publique pour la maladie mentale, décrétée grande cause nationale tous les quatre matins. 

On ne compte plus les célébrités, de Pamela Anderson à Lady Gaga, qui ont cru devoir annoncer au monde qu’elles souffraient de dépression, pensées suicidaires ou anorexie. 

L’exemple de Nicolas Demorand, qui raconte sa condition bipolaire dans Intérieur nuit,a suscité une salve de vocations, de nombreux people ayant annoncé qu’eux aussi souffraient de troubles psychiatriques. 

Reste le danger que la société du soin et du câlinage narcissique soit en train de fabriquer des générations de faibles, englués dans une perpétuelle demande d’attention et de reconnaissance, ignorant la force et répugnant à la violence, même pour se défendre.

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Parmi nos chroniqueurs réguliers, Olivier Dartigolles analyse les tenants et aboutissants de l’affaire Bétharram ; Emmanuelle Ménard commente la lutte contre le narcotrafic, le nouvel engouement pour le vin chez les jeunes, et l’inéligibilité de Marine Le Pen ; et Jean-Jacques Netter inspecte les comptes publics de l’UE pour conclure que la réindustrialisation de la France et de l’UE n’est pas proche. 

 Ivan Rioufol et Gilles-William Goldnadel se penchent sur le racisme antiblanc dont l’existence et de plus en plus reconnue.

Le 1er avril à Lyon-II, le cours d’un géographe mondialement reconnu est brutalement interrompu par des militants pro-palestiniens masqués. 

 Le professeur Balanche est soutenu très mollement par la présidente de son université qui l’accuse ensuite de propos complotistes. 

Pierre Vermeren (qui vient de publier aux Presses universitaires de France Face à l’obscurantisme woke, avec Emmanuelle Hénin et Xavier-Laurent Salvador) montre comment cet incident illustre la soumission aux islamistes d’une partie du monde académique. 

Arnaud Benedetti, professeur et rédacteur en chef de la Revue politique et parlementaire, explique pourquoi les luttes de clan au sein des classes politiques algériennes ne présagent pas d’une libération rapide de Boualem Sansal.

 

Aujourd’hui en France, le trafic – sur internet ou dans la rue – des dérivés morphiniques (antalgiques, somnifères, neuroleptiques et autres opioïdes) est en pleine expansion et se révèle bien plus juteux que celui des stupéfiants « tradi ».

 Patrick Eudeline nous fait découvrir ce nouveau commerce qui fait des ravages. 

Avec Les #Gueux, Alexandre Jardin a lancé la fronde contre les zones à faibles émissions. 

Selon lui, ces ZFE visent à purifier l’air des riches en chassant les pauvres des centres-villes. 

Dans un entretien avec Vincent Roy, il explique combien cette ségrégation au nom de l’écologie trahit le cynisme d’une partie de nos élites.

 

Gil Mihaely raconte comment les tarifs douaniers ont souvent joué un rôle central dans l’économie des États-Unis, tandis que j’explique pourquoi la nouvelle guerre tarifaire lancée par Donald Trump vise surtout la Chine. 

Cette dernière contourne les règles du commerce international pour dominer des secteurs-clefs. 

Nina Pravda, rédactrice en chef du média numérique Contre-Poison, nous emmène au Canada dont le précédent Premier ministre, Justin Trudeau, qui a ouvert les portes à une immigration massive, a fait le « premier État postnational ».

Nos pages culture s’ouvrent sur une icône transsexuelle, Stella Rocha. 

Celle qui a commencé sa transition dans son Brésil natal et n’a jamais adhéré à un militantisme hargneux, se livre sans tabou et avec humour, dans un entretien avec Yannis Ezziadi, sur son passé et sa nouvelle vie de comédienne. 

Seuls les artistes peuvent mettre la violence en majesté. 

Deux expositions en témoignent : Artemisia Gentileschi fait du crime un théâtre baroque et Guillaume Bresson chorégraphie les bastons contemporaines. 

Pour Georgia Ray, 400 ans les séparent mais ils drapent la brutalité d’une même virtuosité. 

Le musée Picasso explore la tristement célèbre exposition d’« art dégénéré » de 1937. 

Malheureusement, selon Pierre Lamalattie, une présentation binaire et des omissions critiquables occultent les accointances que certaines figures de l’art moderne ont pu entretenir avec le régime nazi. 

 L’histoire est complexe.

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Philippe Lacoche apprécie le foisonnement d’anecdotes et de rencontres insolites dans la réédition augmentée de Rock en Vrac du romancier et critique musical Michel Embareck. Vincent Roy trouve une leçon d’Histoire dans le nouveau polar de Joseph Macé-Scaron qui est une plongée macabre dans le Maine-et-Loire.

 La prestigieuse collection La Pléiade vient de sortir un volume consacré aux œuvres de Virginia Woolf dont Alexandra Lemasson salue le chef-d’œuvre, Mrs Dalloway, un des premiers romans à intégrer le « flux de conscience ».

 Pour Jean Chauvet, l’échec d’une nouvelle comédie française est compensé par un film décapant sur l’histoire politique roumaine et la ressortie en salle de deux Cocteau.

 Emmanuel Tresmontant a bu un vin qui provient de la plus petite appellation du Beaujolais, celle de Chénas, le village le plus élevé et montagnard de la région. 

Il nous recommande ce nectar car les lecteurs de Causeur ne peuvent que viser haut.

 

Source et Publication :    https://www.causeur.fr


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MACRON ET VON DER LOYEN A LA RECHERCHE DE CHERCHEURS INTERNATIONAUX ........

 


 

[TRIBUNE] 

Il vaut mieux un petit laboratoire chez soi qu’un grand avec d’autres 

Ce 5 mai, E. Macron et U. von der Leyen lancent « Choose Europe for Science » afin d'attirer des scientifiques étrangers
© European Union-Wikimedia Commons
© European Union-Wikimedia Commons

Ce nouvel adage devrait s’appliquer à la recherche française. 

Ce 5 mai, Emmanuel Macron, accompagné de Mme von der Leyen, lançait Choose Europe for Science, un appel à « la grande communauté de la recherche », à l’image de la dernière grand-messe dédiée à l’IA de début février 2025. 

Quelques semaines plus tôt, le 18 avril, une plate-forme affublée du nom de Choose France for Science était également lancée pour préparer l’accueil des chercheurs internationaux.

 On peut y lire que « la France s’engage pour faire rempart face aux attaques que subissent les libertés académiques dans le monde ».

Si une poignée de chercheurs, pour motifs idéologiques, envisageait de fuir les États-Unis à la suite de l’arrivée au pouvoir de Donald Trump, la réaction épidermique des premiers jours s’est éteinte. 

On voit mal des chercheurs américains venir ici pour s’aligner aux salaires locaux acceptés par nos scientifiques patriotes qui ont, eux, choisi de ne pas émigrer pour exercer chez eux, en France.

Ces initiatives vont de facto dévaloriser nos organismes de recherche et nous faire glisser insidieusement dans un mécanisme anglo-saxon, sachant que la France a sa propre histoire des sciences et une culture alternative scientifique, d’enseignement et de méthodes.

Espérons que la recherche publique ne se sépare pas en deux mondes : celui des chercheurs locaux et celui des stars américaines, public visé par l’événement, payées plus, positionnées comme patrons, ce qui serait une injustice épouvantable pour nos scientifiques français qui mettent des décennies à progresser dans la lourdeur de l’avancement hiérarchique académique.

 

Investissements étrangers et perte de souveraineté

Est-ce un gage opportuniste pour attirer les milliards à investir des pays du Golfe en devenant un « hôtel à chercheurs » ?

 Lors du sommet sur l’IA, justement, c’est une mise de 30 à 50 milliards qui était avancée par les Émirats arabes unis pour, principalement, construire leur data center sur notre territoire.

 En avril, l’Arabie saoudite annonçait être prête à investir 150 milliards de dollars dans les start-up d’IA européennes.

Comment réagir à ce tourbillon qui déplace le barycentre du vieux monde occidental vers l’Asie et, ici, le Moyen-Orient ? 

Vise-t-on aussi de meilleures places dans le classement de Shanghai ?

 La France doit-elle jouer ce jeu ? 

Le monde scientifique est-il devenu une foire aux bestiaux pour des financements étrangers en France de forces extérieures qui prendraient la direction du secteur de la recherche, dans l’Union européenne, avec leurs propres dogmes et intérêts imposés à nos institutions ?

Il y a un émerveillement quasiment morbide à partager ses découvertes dans un universalisme béat. 

Il est admis qu’une start-up qui gagne, d’ailleurs souvent issue des laboratoires publics justement, c’est une start-up « licornisable », proie idéale, piquousée de soutiens et de fonds publics, pour que des tiers étrangers en tirent les bénéfices ou une petite poignée d’entrepreneurs du système.

Scientifiques, chercheurs, patrons de recherche et développement de grands groupes, battez-vous ! Soyez patriotes ! 

Ne soyez pas les traîtres indirects d’un déclassement de notre nation. 

L’accélération de cette vente à la découpe de nos laboratoires est létale, à l’échelle d’une décennie, pour la France.

Bientôt, nos talents français, le cerveau déformé à la doxa mondialiste, travailleront sur notre sol pour le seul bénéfice de puissances du Moyen-Orient. 

Nous deviendrons alors une véritable « colonie numérique », un tiers-monde du cerveau jusqu’à ce que notre source soit tarie, tarée même ! Pauvre France...


Picture of Lionel Mazurié
Par Lionel Mazurié
Vice-président de Debout La France, chargé du Numérique 
 
 
 

 
ET AUSSI
 
 
Roumanie : Ursula von der Leyen, involontaire alliée électorale de G. Simion !
 
Merci à "l’establishment poussiéreux et corrompu qui a dirigé le pays comme un cartel pendant 35 ans", nous lance un élu
Licence Creative Commons
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Les conservateurs sont aux portes du pouvoir en Roumanie.

 Le 4 mai 2025, George Simion, leader de l’Alliance pour l’unité des Roumains (AUR), a survolé le premier tour de l’élection présidentielle roumaine, avec 40,5 % des voix, un score qui ébranle le paysage politique. 

Ce nationaliste, inspiré par Donald Trump, a su canaliser la fureur d’une population lassée des élites pro-européennes et des partis traditionnels, discrédités par des scandales et une inertie persistante. 

L’annulation controversée du scrutin de novembre 2024, où l’ultranationaliste Călin Georgescu fut disqualifié pour des soupçons d’ingérence russe, a galvanisé les partisans de Simion, qui se présente comme le héraut d’un « peuple trahi »

 Mais ce succès est-il uniquement local ? 

Les politiques d’Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, ont-elles, sans le vouloir, propulsé Simion en alimentant un rejet de l’UE qu’il exploite avec maestria ?

 

Un mécontentement amplifié par Bruxelles

Contactée par BV, Georgiana Teodorescu, eurodéputée AUR, le parti de Simion, pointe la responsabilité de von der Leyen : « Oui, on pourrait dire qu’Ursula von der Leyen est, sans le vouloir, une agente électorale de facto pour George Simion.

 Malheureusement, le prix payé par les Européens pour ses politiques défaillantes est bien trop élevé. » 

L'élue dénonce une UE déconnectée qui, face à une inflation roumaine de 10 % en 2024 et à des fermetures d’usines, privilégie « l’aide aux migrants et aux pays non membres de l’UE ».

 Gheorghe Piperea, eurodéputé AUR lui aussi, renchérit : « Ursula von der Leyen a été son meilleur agent de communication, assure-t-il à BV.  

C’est une dirigeante aux penchants totalitaires, incapable d’expliquer comment elle dépense l’argent public européen. » 

 Autant de critiques résonnent dans un pays où le Pacte vert et l’accueil des migrants sont perçus comme des diktats bruxellois.

Simion, avec sa rhétorique souverainiste et sa maîtrise de TikTok, fustige les « bureaucrates bruxellois » et l’aide à l’Ukraine, un sujet clivant dans un pays frontalier du conflit. 

Teodorescu ajoute : « Le problème démographique de l’Union européenne ne peut pas être résolu efficacement par l’arrivée de migrants mais en construisant des politiques qui encouragent les citoyens européens à avoir des enfants. »

  Piperea attribue l’essor de Simion à « l’establishment poussiéreux, corrompu et dépourvu de droiture, qui a dirigé la Roumanie comme un cartel pendant 35 ans », mais aussi au « contexte géopolitique international, marqué par le retour au pouvoir du conservateur Donald Trump ».

 L’annulation du scrutin de 2024, vue comme une ingérence de l’UE, a amplifié ce rejet. 

Un rejet salué en France par des figures comme Marion Maréchal ou Marine Le Pen, qui qualifie les résultats du candidat conservateur de « boomerang » contre von der Leyen.

 

Une rupture portée par la désillusion

Les Roumains se détourneraient-ils massivement de Bruxelles ? 

Teodorescu lie l’essor de Simion à un ras-le-bol général : « Les Roumains en ont assez des vieux partis, de tous ceux qui ont dirigé la Roumanie au cours des 35 dernières années et qui continuent de le faire.

 Le vote d’hier a été un vote de rupture avec le passé, un pas déterminé vers la dignité, la confiance et la reconstruction. » 

 Les partis traditionnels, comme le PSD et le PNL, minés par la corruption et l’inefficacité, ont laissé un vide que Simion a comblé avec sa vision d’une « Roumanie souveraine », hostile aux revendications LGBT et à l’influence de l’UE.

Piperea insiste : « Aujourd’hui, quiconque s’oppose à cette Frau von der Leyen peut gagner des élections. 

» Teodorescu complète : « L’ascension de George Simion s’inscrit dans le contexte d’un profond mécontentement social, d’une désillusion vis-à-vis des politiques mondialistes, d’un appauvrissement général et d’un piétinement des valeurs démocratiques. » 

 L’annulation du scrutin de 2024 a renforcé l’idée d’une « dictature » européenne, un thème que Simion exploite en promettant de « rendre le pouvoir à Georgescu [dont la candidature avait été annulée par la Cour constitutionnelle roumaine, NDLR] »

 

Les initiatives de von der Leyen, comme les sanctions contre TikTok ou les mises en garde sur la démocratie, ont offert à Simion un ennemi idéal : une UE perçue comme arrogante, face à laquelle il suffit de soigner son image de résistant.

 
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Par Julien Tellier
Journaliste
 
Source et Publications :     https://www.bvoltaire.fr/roumanie-
 

 

POLITIQUE ! MACRON CHEZ LES FRÈRES 3 POINTS À LA GRANDE LOGE DE FRANCE !

 TRIBUNE LIBRE  !

Emmanuel Macron à la Grande Loge de France : au moins, c’est clair !

Le Président s'est rendu, ce lundi 5 mai, chez les francs-maçons pour y prononcer un discours sur la laïcité.
Capture d'écran Présidence de la République
Capture d'écran Présidence de la République

Le président de la République s'est rendu, ce lundi 5 mai, à la Grande Loge de France, plus précisément au temple Pierre-Brossolette, un ancien couvent situé dans le XVIIe arrondissement de Paris.

 C’est la première fois de l’histoire de la République qu’un Président va rendre visite à cette obédience, réputée moins à gauche que le Grand Orient ; plus « spirituelle », plus traditionnelle et plus chic aussi.

 Il y prononçait un discours sur la laïcité, à l’occasion du 120e anniversaire de la loi dite de 1905 qui sépare les Églises et l’État – et qui a surtout permis la spoliation des biens du clergé, l’expulsion des congrégations et la fracturation (déjà !) de la France entre cathos et laïcards. 

La IIIe République, très maçonnique par ailleurs, n’en restera pas à ce scandale, puisque ce sera aussi l’époque de l’affaire des fiches : on découvrit alors que le général André, ministre de la Guerre et franc-maçon, tenait le compte des officiers catholiques afin de les retarder dans leur avancement. 

Mais tout ça, c’est du passé !

 

Il y a une parenté évidente entre la République et la franc-maçonnerie - et même, le grand maître de la GLDF l’a dit, entre les « frères » et les valeurs de l’Europe « qui sont des valeurs maçonniques, comme le rappelle l’Hymne à la Joie »

 « Liberté, égalité, fraternité » était la devise des maçons avant d’être celle de notre pays -

 Emmanuel Macron en est convenu dans son discours. 

Les maçons ont saisi la plupart des leviers de pouvoir dès la chute de la monarchie, et depuis, ils ont « travaillé en loge » les principaux textes dits sociétaux. Avortement, euthanasie, mariage pour tous, PMA et, depuis peu (nous en avons parlé), « aide active à mourir », tout cela a été médité – et parfois partiellement rédigé - par les « frères ». 

Le Président s’en est félicité, faisant notamment mémoire de Pierre Simon, ancien grand maître de la GLDF et promoteur de la contraception, puis de l’avortement.

Du côté des clins d’œil, bravo à celui ou celle qui a écrit le discours présidentiel. 

Une allusion au XIXe siècle, pour commencer, quand la franc-maçonnerie, « atelier de la République », a préservé les valeurs de celle-ci (qui sont d’abord des valeurs maçonniques) ; ensuite, un petit mot plus érudit sur les commentaires éventuels qui suivront cette connivence « qui n’a rien d’un complot » (tu parles) : « Vous ne confondrez pas les commentaires de l’après avec le verbe du commencement. »

Évidemment, on a reconnu la référence au prologue de l’Évangile selon saint Jean (« Au commencement était le Verbe »), dont les maçons des degrés supérieurs font l’exégèse jusqu’à l’étourdissement. 

Et puis, en guise de formule finale : « J’ai dit », comme si notre Président venait simplement de faire une « planche » lors d’une tenue. 

Bref, on l’a compris mais Macron le répète quand même en clair : « La République en franc-maçonnerie est plus que chez elle, elle est dans son foyer et dans son cœur. » 

 Le Président a toujours aimé laisser des indices – fallacieux, comme souvent - sur son éventuelle appartenance à la maçonnerie. 

Mais au-delà du cinéma, « réunir ce qui est épars », vieux mantra maçonnique, n’était-il pas une version poétique de l’« en même temps » ?

« Pour le bien de l'humanité »

Il a rendu hommage à ces deux figures héroïques de la GLDF que furent Hubert Germain (dernier compagnon de la Libération) et Arnaud Beltrame (initié à Rueil au sein de la loge Jérôme-Bonaparte, puis accueilli à Carcassonne). 

On peut y voir une tentative de se concilier la franc-maçonnerie « de droite », celle des républicains déistes et patriotes : c’est d’ailleurs exactement le profil de Thierry Zaveroni, l’actuel grand maître, qui est un ancien marin-pompier.

On peut aussi se dire, plus prosaïquement, que ce mandat crépusculaire bouffe à tous les râteliers.

Qu’attend notre Président des francs-maçons, alors ? 

D’abord, qu’ils soient une force d’opposition aux « lumières noires » venues des États-Unis : la guerre des étoiles, en somme.

 Plus clairement (on ne fait que citer Emmanuel Macron) : « Les francs-maçons sont aux avant-postes de la bataille qui importe, si nous voulons façonner le siècle pour le bien de l’humanité. » 

Tiens, ça y est, la liberté humaniste de chacun a subitement disparu. 

C’est tout de même marrant.

Ensuite, ils ont pour mission de défendre la loi de 1905 contre deux instrumentalisations : en faire un instrument pour lutter contre l’islamisation ; en faire une raison d’attaquer les massacres antichrétiens qui sont l’ADN de la République. 

Bref, surtout, il faut que le bateau continue à couler normalement, et même un petit peu plus vite si c’est possible.

En tout cas, au moins, c’est clair ! 

On ne verra pas Macron, sac au dos, au pélé de Chartres, mais pour aller rendre hommage aux francs-maçons et à la loi de 1905, il y a du monde. 

Tiens, à ce propos : les francs-maçons, si attachés à la liberté de conscience, ont-ils pris position contre l’islamisation de l’espace public ou contre la coercition des femmes et des jeunes dans certains quartiers perdus ?  Non. Jamais.

 À se demander si leur but n’est pas uniquement l’écrasement du catholicisme…

« Gémissons, gémissons, gémissons, mais espérons », disent les « frangins », quand ils parlent d’un défunt qui n’a pas eu le temps de « rectifier » tous ses défauts. 

La formule n’est pas sans parenté avec cette prosternation « humaniste et républicaine », qui participe de l’interminable agonie du macronisme.


Picture of Arnaud Florac
ParArnaud Florac
 
Chroniqueur à BV    https://www.bvoltaire.fr/



ET AUSSI

Emmanuel Macron chez les franc-maçons : la République dévoile son vrai visage

6 Mai 2025 | Non classé | 0 commentaires

Ce 5 mai, Emmanuel Macron, président d’une République qui se prétend « neutre » et « laïque », s’est rendu, tout sourire, dans le temple feutré de la Grande Loge de France. À l’occasion du 120e anniversaire de la loi de 1905, il a rendu hommage à ce texte sacré du catéchisme républicain, chez ceux-là mêmes qui ont toujours combattu la tradition catholique.

Ce n’est pas une coïncidence. Ce n’est jamais une coïncidence. Car derrière les beaux mots de « liberté » et de « tolérance » se cache depuis plus d’un siècle un projet de déconstruction de la France millénaire. La loi de 1905 ? Une opération de dépossession, un vol institutionnalisé, un acte de guerre contre les clochers, les monastères et la civilisation chrétienne qui a fait notre pays. On nous parle de « neutralité » de l’État, mais c’est un mensonge : l’État moderne s’est contenté de remplacer une foi par une autre, le Christ par Marianne, l’autel par le temple maçon.

Et aujourd’hui, que voyons-nous ? Le chef de l’État vient, en personne, rendre hommage à ceux qui, dans l’ombre, ont accompagné toutes les « avancées » sociétales : avortement, mariage pour tous, PMA sans père, euthanasie. Tout ce qui déracine, tout ce qui dissout. L’idéologie des Lumières, devenue folle, agit comme un acide sur le socle de la France : la famille, la religion, la patrie.

Là où l’on attendrait un président au-dessus des partis, garant de l’unité nationale, on trouve un grand prêtre d’un nouveau clergé progressiste, aligné avec les loges, les cercles, les clubs où se décident, à huis clos, les contours du monde de demain.

Le Parti de la France, lui, rendra sa dignité à l’État. Il restaurera une vraie séparation : non plus entre l’Église et l’État — cette fracture est consommée — mais entre l’État et la franc-maçonnerie. L’appartenance à des réseaux initiatiques, quels qu’ils soient, sera incompatible avec l’exercice de fonctions souveraines : juges, officiers, hauts fonctionnaires devront leur allégeance uniquement à la Nation et au peuple français — et à eux seuls.

Thomas Joly –

 Président du Parti de la France

LES " NULS SONT BIEN AU POUVOIR ...... ( MARC LE STAHLER )

TRIBUNE LIBRE !

BAYROU / LOMBARD : LES NULS AU POUVOIR !



     

     

« Nous dépensons trop par rapport à nos recettes »…
« Nous n’avons pas assez de ressources, parce que nous ne produisons pas assez »
(François Bayrou, Premier Ministre)

Quand nous avons créé ce blog, avec mon ami l’Imprécateur, nous ne pensions pas que la France allait tomber si bas.

 C’était en 2014, et le Premier ministre d’alors (Manuel Valls) avait pris un plaisir sadique à nous faire taire.

 Pas par décision judiciaire, non, mais en faisant pression sur notre hébergeur d’alors, situé à Evry, ville dont Valls avait été maire avant de devenir Premier ministre. 

C’est grâce à nos amis de Résistance Républicaine et de Riposte Laïque que nous avons pu continuer de paraître… en allant nous faire voir ailleurs. 

Je veux dire, hors de l’Hexagone et même de l’Union Européenne…

Nous luttons, depuis cette date, aux côtés de tous les sites de résistance et à la mesure de nos moyens, pour retenir un peu la France de sombrer. 

 Et dans les périodes de doute, nous pensons à nos résistants de toujours, ceux qui ont fait et maintenu la France coûte que coûte dans ses heures difficiles. 

Dieu merci, nous bénéficions aujourd’hui de ce haut-parleur qu’est internet et que sont les blogs pour atteindre tous les amis de la Résistance… 

Aujourd’hui, ce sont les citations en introduction qui m’ont incité à rédiger cet article.

 Comment peut-on imaginer que, dans la période que nous traversons, dans l’état de quasi faillite où se trouve la France, un Chef de gouvernement et un Ministre de l’économie puissent proférer pareilles stupidités ? 

Montrant simultanément leur inculture économique, leur incompétence crasse et leur mépris du pays qu’ils ont en charge ?

 Sans parler de Bayrou qui confond allègrement, dans un raccourci vertigineux, le système solaire et la galaxie…

Je vais répéter à nouveau ce que vous savez sans doute déjà, mes chers amis : comment il faut s’y prendre pour remettre notre économie sur les rails, ce dont sont manifestement incapables ces minables individus au pouvoir, qui pour certains, sont pourtant sortis des « Grandes Écoles »… 

Enfin de ce qu’il en reste…

Le bilan initial est clair : la France est endettée, et ce depuis des années. 

1974 très exactement, sous le septennat Giscard d’Estaing, c’est-à-dire un demi-siècle ! 

Et elle accroit chaque année cet endettement.

 Quand je dis « la France », j’évoque naturellement l’État. 

C’est lui qui, chaque année, dépense plus qu’il ne gagne, et qu’il doit faire appel à l’emprunt pour équilibrer ses comptes. 

Évidemment, comme il doit emprunter pour fonctionner, il rembourse chaque année un montant d’intérêts qui va croissant.

 Ce poste budgétaire (le « service de la dette »), représentant les frais financiers à rembourser aux banques et organismes prêteurs est de 55 milliards d’euros par an, soit environ 900 € par Français.

 C’est l’un des premiers postes de dépenses de l’État.

 

Le problème étant posé, comment faire pour le résoudre ?

J’y viens, mais la pire des solutions, celle qu’utilisent évidemment les imbéciles qui nous gouvernent, est de fixer arbitrairement comme objectif des pourcentages de réduction. 

Vous entendrez dire, par exemple, « pour le budget 2026, on se fixera un déficit de 5 % ». 

Ce qui signifie en clair qu’on va planifier un objectif de déficit des recettes (les impôts) par rapport aux dépenses (le coût de l’État).

 En d’autres termes, l’État s’engage à NE dépenser QUE 5 % de plus que ce qu’il gagne…
 

Essayez de faire ça avec votre budget familial !

Bon, ce n’est évidemment pas la bonne méthode, et j’ai déjà dû écrire plusieurs fois comment il fallait faire.

Il faut comprendre que le taux de déficit (ici, 5 %) n’est que la résultante des déséquilibres de chaque ministère. 

Il convient donc de prendre le problème à la base, de mettre à plat et d’analyser chaque charge de l’État, par ministère et par nature.

En d’autres termes, il faut se poser les questions suivantes :

  • Cette charge est-elle nécessaire, utile ?
  • Est-elle correctement gérée ?
  • Les résultats constatés (sur les exercices antérieurs) sont-ils probants ?
  • Les méthodes sont elles au point ? Peut-on les améliorer ?
  • Pourrait-on sous-traiter cette tâche à la sphère privée (à moindre coût et avec un résultat garanti) ?
  • Etc…

 

Une fois réalisée l’ensemble de ces études (qu’on nomme simplement « contrôle de gestion » dans le privé), on constatera, selon les cas, qu’on pourrait aisément réduire sérieusement le coût de fonctionnement de l’État, mais selon des taux d’économie différents selon les cas. 

Et il y a gros à parier que la résultante pour l’ensemble des ministères donnera un montant de réductions, variables selon les cas, mais sans doute globalement supérieur à 5 %.

Et selon un calcul intelligent, négocié et adapté à chaque ministère et à chaque type d’activité.

Je n’invente rien. Cette méthode a fonctionné sous Sarkozy ; elle se nommait RGPP (Révision Générale des Politiques Publiques). 

 Elle a fait partie de ce que ce pauvre Hollande a supprimé en accédant à l’Elysée (c’est même ainsi qu’on identifie les bonnes décisions à prendre pour le prochain quinquennat : déjà remettre en place tout ce qu’Hollande a supprimé !). 

En reprenant les citations en tête de cet article, les 2 intéressés, s’ils avaient la moindre compétence en matière de gestion, auraient dû dire : 

(Concernant Eric Lombard) – « Nous allons nous efforcer d’optimiser la charge de la dépense publique » ;
(Concernant François Bayrou) – « Nous dépensons trop » ; il pouvait à la limite effectivement ajouter « par rapport à nos recettes », mais c’est idiot et superflu.


Quand à sa 2ème assertion : « nous n’avons pas assez de ressources parce que nous ne produisons pas assez », elle aurait été du genre à déclencher l’hilarité générale d’un amphi de 1ère année en Sciences Économiques avant que l’Université française ne soit transformée en capharnaüm islamo gauchiste…

Par Marc Le Stahler

 

Source  et Publication :   https://observatoiredumensonge.com/2025/05/06/ 



LE JOURNAL " RIVAROL " MENACÉ DE DISPARITION À COURT TERME .......

 

samedi, 03 mai 2025

RIVAROL MENACÉ DE DISPARITION À COURT TERME

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Notre confrère et ami Rivarol traverse actuellement une dure période. 

Depuis près de 75 ans, cet hebdomadaire d'opposition nationale mène un combat héroïque, en prenant souvent des risques importants, pour défendre notre Nation et notre Civilisation.

Certes, il nous arrive parfois d'être en désaccord avec certains articles, plus sur la forme que sur le fond, et certaines appréciations. 

Mais qu'importe... 

 Rivarol a toujours été, et doit rester, l'un des principaux vecteurs de la pensée non-conformiste. Voilà pourquoi il faut le soutenir aujourd'hui.

Son directeur, Jérôme Bourbon, lance un appel que nous relayons bien volontiers. 

En aidant Rivarol a traverser les épreuves auxquelles il est confronté, vous soutenez aussi le même combat que celui que nous menons pour la France et pour la Civilisation européenne.

Roland Hélie

directeur de Synthèse nationale

 

RIVAROL MENACÉ DE

DISPARITION À COURT TERME

Jérôme Bourbon, directeur de Rivarol

On ne doit céder à aucun affolement mais il faut regarder la vérité en face : si rien n’est fait, et si la tendance actuelle se poursuit, nous disparaîtrons d’ici quelques mois.

 Nous ne passerons pas l’année, et peut-être même pas l’été. 

Ce serait d’autant plus fâcheux que nous envisageons d’organiser un banquet (à prix réduit) pour nos trois quarts de siècle l’année prochaine. 

Rivarol soufflera en effet ses 75 bougies le 18 janvier 2026. 

Dans moins de neuf mois. 

Il y a longtemps que nous ne nous sommes pas retrouvés pour partager un moment convivial et chaleureux. 

D’abord à cause des ahurissantes  restrictions de liberté liées à la gestion gouvernementale du Covid de 2020 à 2022. 

Puis à cause de la circulaire Darmanin du 9 mai 2023 qui a interdit toute manifestation de « l’extrême droite ». 

Toutes choses qui nous ont hélas contraints à renoncer à fêter nos 70 ans dans le cadre d’un banquet comme nous le souhaitions. 

Nous avons aujourd’hui plusieurs pistes pour organiser en province chez des sympathisants une belle journée rivarolienne courant 2026.

 Il serait triste de devoir y renoncer parce que nous aurions entre-temps disparu.

 

Rivarol est de surcroît la dernière publication historique de la droite nationale et nationaliste en France après les disparitions successives ces dernières années du Libre journal de la France courtoise de Serge de Beketch (2007), de National-Hebdo et Français d’abord (2008), de l’Action française 2000 (2018), de Minute (2020), de Présent (2022) et de Militant (2024). 

Il faut absolument que nous continuions à paraître car Rivarol, ce n’est pas une exagération ni une forfanterie de le dire, n’a pas d’équivalent actuellement dans la presse. 

Ni par sa liberté de ton et d’analyse. 

Ni par la constance de ses positions. 

Ni par la liberté de ses rédacteurs et de son courrier des lecteurs, ce qui est aujourd’hui unique dans la presse. 

Si nous disparaissions, c’en serait fini des chroniques si talentueuses de l’ami Hannibal, des éditoriaux de votre serviteur, d’un droit aux lettres très libre, des contributions des différents rédacteurs et chroniqueurs, de Robert Spieler à Jean Terrien, de Léon Camus à Henri de Fersan, de Scipion de Salm à Paul-André Delorme, de Jean Beaumont à Jean-Philippe Robiquet, de Michelle Favard-Jirard à François-Xavier Rochette. 

On peut certes préférer tel rédacteur à tel autre, telle rubrique à telle autre.

 On peut trouver Rivarol trop ceci ou pas assez cela mais s’il disparaissait c’en serait fini de cette magnifique aventure de presse qui aura traversé les décennies et qui est aujourd’hui unique en Europe, le National Zeitung ayant disparu outre-Rhin en 2019 tout comme le Secolo d’Italia, le périodique de droite nationale fondé à Rome en 1952, et qui a définitivement cessé de paraître en 2012 dans son format papier.

En outre, il est vain de croire que lorsqu’un journal disparaît, il peut renaître de ses cendres. 

Les quelques expériences passées n’ont à cet égard pas été concluantes : la nouvelle version du Choc du mois n’aura duré qu’un lustre, les différentes résurrections du Crapouillot ont toutes été éphémères, la revue Flash fondé par d’anciens de National-Hebdo aura été une étoile filante.

 De même, le Nouveau Présent qui devait succéder au quotidien éponyme disparu le 30 juin 2022 n’aura été qu’un effet d’annonce et s’est réduit à un très modeste blog, quasiment vide de contenu.

 L’expérience l’atteste : quand un journal meurt, il ne renaît pas.

 Ou alors sa résurrection ne dure pas.

 C’est pourquoi il convient de maintenir Rivarol la tête hors de l’eau. 

Et de poursuivre, de maintenir contre vents et marées cette formidable aventure commencée en janvier 1951.

AIDEZ-NOUS AVANT

QU’IL NE SOIT TROP TARD !

Notre situation financière est aujourd’hui tellement dégradée que nous ne pouvons plus attendre.

 Il nous faut, partout où nous le pouvons encore, prendre urgemment des mesures d’économie. 

Si nous devons impérativement payer la Poste, l’imprimeur, le routeur, le régleur, les différents prestataires, il faut réduire la voilure partout où c’est possible. 

C’est pourquoi, dès le mois prochain, et pour une durée indéterminée, nous supprimerons le seize pages qui paraît traditionnellement le dernier mercredi de chaque mois, pour le remplacer par un douze pages comme c’est le cas pour les autres éditions.

 Nous économiserons partout où nous le pourrons encore mais cela ne sera pas suffisant pour tenir sans votre aide active et massive. 

 

Merci d’avance pour vos dons, vos abonnements, vos réabonnements anticipés. 

N’hésitez pas à abonner de la famille, des amis, des connaissances.

 Que ceux qui peuvent le faire sans se mettre en difficulté n’hésitent pas à souscrire à des abonnements de longue durée, à vie (2000 euros), de deux ans (340 euros), de propagande (300 euros) ou de soutien (250 euros) ou procèdent par prélèvement ou virement mensuel du montant de leur choix. 

Quelques gros dons ou un ou deux legs seraient évidemment de nature à nous redonner de l’oxygène car si les procès sont angoissants, se dire que demain ou après-demain on ne pourra plus payer l’imprimeur et qu’on devra mettre la clé sous la porte est une vraie torture. 

Tout ce qui peut nous aider à faire face à nos charges est le bienvenu, les petits dons comme les grands, sachant que les petits ruisseaux font les grandes rivières. 

Ne tardez pas. Tout geste nous est précieux et vital. 

La survie de notre publication en dépend. A TRÈS COURT TERME. 

Tout peut en effet s’arrêter brutalement dans quelques semaines ou quelques mois.

 L’avenir de Rivarol est plus que jamais entre vos mains.

 

Pour aider Rivarol : consultez son site cliquez ici (vous trouverez toutes les indications pour cela) ou faites un don cliquez là

 

10:06 Publié dans Combat nationaliste et identitaire

 

 

ET AUSSI

Dîner PdF/Rivarol 

samedi 31 mai à Amiens

28 Avr 2025 

Samedi 31 mai à Amiens (19h30), le Parti de la France invite le sulfureux Directeur de Rivarol, Jérôme Bourbon, pour un dîner-débat où le politiquement correct ne sera pas de mise !

 

Repas tout compris : 40 € (paiement sur place)

Réservation obligatoire au 07.66.51.27.24 ou partidelafrancesomme@gmail.com