samedi 6 avril 2024

MACRON , EN FIN DE RÈGNE , FIN DE RÉGIME ( HILAIRE DE CRÉMIERS )

 REVUE DE PRESSE !




Emmanuel Macron, un Président contre la France

 

Dans une nouvelle déclaration scandaleuse, Emmanuel Macron a une fois de plus montré son mépris flagrant envers la France et les Français. 

Cette fois-ci, ses propos ont atteint un niveau de mépris inouï envers notre nation, en accusant la France de ne pas avoir agi pour empêcher le génocide au Rwanda voire de l’avoir encouragé. 

Cette accusation, non seulement infondée mais également insultante pour la mémoire de ceux qui ont travaillé sans relâche pour protéger les droits de l’homme et promouvoir la paix, démontre clairement à quel point Macron est déconnecté de la réalité et du sentiment patriotique.

https://www.jeuneafrique.com/1554716/politique/pour-emmanuel-macron-la-france-na-pas-eu-la-volonte-darreter-le-genocide-au-rwanda/

 

L’accusation proférée à Alger, en 2017, où Macron a osé insinuer que la France était complice de crimes contre l’humanité pour sa présence en Algérie durant 130 ans, est une trahison flagrante envers les millions de Français qui ont servi et sacrifié leur vie pour défendre les valeurs de liberté et de justice dans le monde entier. 

C’est une honte qu’un Président français puisse rabaisser ainsi sa propre nation sur la scène internationale, dans le seul but de servir ses ambitions politiques européennes.

En outre, Macron a publiquement nié l’existence d’une culture française, déclarant que la culture française n’existe pas.

 Cette déclaration est une insulte à l’histoire, à la richesse culturelle et à l’identité même de la France.

 Cela montre à quel point Macron est déconnecté de la réalité et de l’essence même de notre nation.

Mais les attaques de Macron contre les Français ne s’arrêtent pas là. Il les a qualifiés d’analphabètes, de fumeurs de clopes et de fainéants, de Gaulois réfractaires, les méprisant ouvertement.

 Cette arrogance et ce mépris pour son propre peuple sont révélateurs de son véritable état d’esprit : celui d’une élite arrogante qui considère les Français comme des pions dans son jeu politique européen.

Il est désolant de constater que notre propre Président, censé être le garant de l’intégrité et de la dignité de la France, préfère s’agenouiller devant l’Europe et poursuivre ses chimères d’une présidence européenne plutôt que de défendre les intérêts de notre nation.

 Macron semble être plus préoccupé par ses aspirations personnelles à diriger une Europe unie, qu’il imagine être un État fédéral, que par le bien-être et la souveraineté de la France.

Cette attitude égoïste et désinvolte envers notre pays révèle le vrai visage de Macron : un opportuniste politique qui sacrifie les intérêts nationaux sur l’autel de ses ambitions personnelles.

Imagine-t-on un Président américain dénigrer la bannière étoilée pour ses multiples interventions, souvent injustifiées, à travers le monde ? Non bien sûr.

Aucun autre Président français n’a eu une attitude aussi déloyale à l’égard de notre pays.

 C’est une évidence depuis Louis-Napoléon Bonaparte, le premier d’entre eux, jusqu’à Nicolas Sarkozy.

En conclusion, Macron a une fois de plus prouvé qu’il ne mérite pas la confiance des Français, car ses actions démontrent clairement son manque de respect pour notre nation et ses citoyens

. Il est temps pour la France de se libérer de l’emprise de ce Président indigne et de choisir des dirigeants qui mettront véritablement les intérêts de la France et de son peuple au premier plan.

Il est grand temps que les Français ouvrent les yeux sur la véritable nature de leur Président et exigent des comptes pour sa trahison envers la France et son peuple.

Par Jean-Jacques Fifre    https://ripostelaique.com/


Pour sauver Riposte Laïque :

https://ripostelaique.com/nous-aider

Chèque à l’ordre de Riposte Laïque, BP 32, 27140 Gisors

 




Et en foi de quoi les jeunes auraient-ils confiance, justement, en Emmanuel Macron ? 

Quand 3/4 des Français l’ont perdue !

 

Cet éditorial du Figaro d’hier vendredi, comme presque toujours ceux de Vincent Trémolet de Villers, est nourri de bonnes intentions et fourmille d’idées justes, parfois vigoureuses, reprises de la sagesse traditionnelle. 

Ce qui est méritoire dans un contexte politico-social, où tout s’effondre, comme son président, dont la personnalité sans fondements solides, et même tout le contraire, ajoute au malheur français. 

Lequel, d’ailleurs, à différents degrés, est le mêmee partout en Europe. 

 

Pour y faire face, Vincent Trémolet de Villers espère en un « retour à la discipline démocratique », termes en soi contradictoires, au moins en France où depuis 1789, démocratique veut dire Révolution, celle justement dont nous vivons sans-doute une phase extrême, peut-être ultime.

 Au point qu’une importante partie de l’opinion serait désormais favorable à un « pouvoir autoritaire » pour la durée qu’il faudra. 

C’est que même une victoire électorale du camp « national », en plus divisé contre lui-même, ne serait qu’une solution temporaire, toujours remise en question. 

Un « régime autoritaire » disposerait, sans-doute d’un temps plus long et d’une efficacité plus certaine. Il ne comporte pas, toutefois, de solution de renouvellement et de survie qui lui soit propre. 

C’est ce qu’avait compris le général Franco en Espagne et qu’a raté le général de Gaulle. 

Au fond, là est peut-être la seule solution, en cas de crise grave, pour sortir le Pays de l’ornière et du déclin. 

Et pour le doter enfin d’un Etat enfin libéré des partis, de l’Argent et de l’instabilité mortelle, on le voit bien, du Régime né voici deux siècles et demi sur ces bords de la Seine où l’on s’apprête à organiser dans le trouble le plus grand les prochaines Olympiades !  G.P.  

 

Ces derniers jours abracadabrantesques où l’Élysée a montré tout et le contraire ont donné l’impression d’un bateau sans quille.

« la France harcelée par la violence ordinaire »

L’école est frappée en plein cœur par une entreprise de décivilisation ivre de son pouvoir.

C’est la même société qui vote des lois sur la discrimination capillaire dans l’entreprise et laisse une jeune fille se faire battre à mort devant son école.

 Le même microcosme qui surveille, collecte, signale les « violences symboliques », tandis qu’explose sur le trottoir une sauvagerie de temps barbares.

 Le même pouvoir qui promeut les cours d’empathie et assiste désemparé au départ d’un proviseur menacé de mort parce qu’il a dit à une lycéenne de retirer son voile, au lynchage d’un jeune élève.

 Samara, nouvelle victime d’une litanie insoutenable de crimes où s’étreignent l’inhumanité et l’impunité, nouveau drame d’un grand renversement qui donne la primauté à la force sur le droit, à la cruauté sur la civilité, à la meute sur l’autorité.

Si l’on en croit sa mère, l’islamisme, dans cette histoire, mêle son poison au ricanement, au harcèlement, aux pulsions noires de l’adolescence. 

L’enquête nous dira ce qu’il en est, mais il n’est malheureusement pas besoin d’attendre pour faire clignoter tous les signaux d’alarme. 

C’est la France entière qui se sent harcelée par la violence ordinaire

 L’école, qui devrait être le sanctuaire de la transmission, le temple de l’instruction, le refuge de l’émancipation, est frappée en plein cœur par une entreprise de décivilisation ivre de son pouvoir.

Entendons-nous : en chaque homme, « ce nœud complexe d’appétits violents » (Saint-Exupéry), existe une part de férocité irréductible, mais le génie d’une société est de surmonter cette sauvagerie par le savant mélange de l’autorité intangible, de la maîtrise des pulsions et de l’élévation des sentiments.

 En déifiant l’individu, nous avons atomisé les piliers de l’autorité (ni maître ni père) ; en nous acharnant contre notre passé, nous avons méthodiquement déconstruit les murs porteurs d’une société (frontières, famille, culture, coutumes). 

Reste le chaos, tempéré par une élite de professeurs, de policiers, d’infirmières, de parents qui, dans la tempête, tiennent ce qu’ils peuvent.

Le pouvoir, lui, commente et se noie dans un océan de mots, quand tout le pays attend une discipline démocratique capable, sans trembler, de protéger nos libertés élémentaires et la vie de nos enfants.   

 

Par 

 ET AUSSI


« Macron, fin de règne, fin de régime… », par Hilaire de Crémiers ▬ 

 Une analyse de 11min sur le site de Politique Magazine.

 

 VIDÉO:  https://www.youtube.com/watch?v=hU2HDG8ZTMQ

 

Abonnez-vous à Politique Magazine pour poursuivre les réflexions sur les sujets d’actualité.

Publié sur le site de Politique Magazine le 19 mars 2024 –

 Par Henri Baclet

 


 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire