jeudi 11 avril 2024

ÉDUCATION NATIONALE ? CES PROPOS CHOQUANTS TENUS EN CLASSE ...;

 REVUE DE PRESSE !

Oui, ces propos choquants ont bien été tenus en classe…

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Chère amie, Cher ami,

 

Depuis près d’un an, nous alertons sur les graves dérives qui ont lieu dans les classes lors des séances d’éducation à la sexualité.
 

Et nous recevons quasi quotidiennement des témoignages concrets et détaillés de la part de parents dont les enfants ont été victimes de cette « éducation » institutionnelle et obligatoire à la sexualité à l’École, sur fond d’idéologie du genre.
 

Ainsi, hier, des parents nous informaient que leur fils en classe de seconde devait préparer un exposé en binôme avec un camarade de classe sur le thème : « expliquer et défendre la théorie du genre »… 
 

Exit la liberté de conscience… Et bienvenue dans le monde de l'endoctrinement par les mots ! 
 

OUI, c’est une erreur sémantique de parler de théorie quand il s’agit d’une idéologie du genre.  

 

La consigne que vous venez de lire a été donnée pour une matière purement scientifique, puisqu’il s’agit d’un devoir de SVT !

 

Depuis un an, chaque semaine, nous recevons des appels à l’aide de parents à la suite de séances d’éducation à la sexualité qui ont eu lieu dans les écoles de leurs enfants, avec une augmentation inquiétante ces derniers mois. 

 

Ces parents n’avaient pas été informés en amont ni de la date, ni du contenu des séances, ni de la qualité et des compétences des intervenants.
 

Des contenus clairement inadaptés à l’âge de leurs enfants ont été présentés lors des séances, et les conséquences sont importantes !

 

Les enfants rentrent choqués de ces séances d’éducation à la sexualité, qui leur sont présentées comme un enseignement à part entière… au même titre que les mathématiques ou le français !
 

Ils sont sidérés et déboussolés.

 

Ils ressentent d’eux-mêmes le malaise de cette « éducation » qui relève de leur intimité, et intuitivement, ils savent que cela n’a rien à voir avec les leçons des matières « habituelles ».

 

Beaucoup d’enfants n’osent pas parler des contenus auxquels ils ont été exposés, et faire part du malaise, du dégoût et du choc que cela a généré sur eux. 

 

Et de nombreux parents n’ont pas conscience que parler un langage sexuel et évoquer la sexualité adulte dans le cadre collectif scolaire à des enfants prépubères est une erreur, puisque les adultes ne tiennent absolument pas compte de là où en sont les enfants dans leur développement physiologique, affectif et cognitif. 
 

C’est la raison pour laquelle il y a encore trop de parents et grands-parents qui ont du mal à croire :

 

  1. Que les dérives qui nous sont rapportées ont réellement eu lieu dans les classes ;
  2. Qu’elles se produisent régulièrement, dans tous types d'établissements de toutes les régions de France.

 

Mais en réalité, quand un exemple de dérive parvient jusqu’à votre Association, il y en a sûrement plusieurs centaines dont on ne parle pas !
 

Dans notre rapport d’analyse sur l’éducation à la sexualité dans le cadre scolaire, réalisé avec des experts de l’enfance et de l’adolescence, nous avons détaillé plusieurs cas concrets (vous pouvez les retrouver à partir de la page 69 du rapport).
 

Attention, certains contenus sont vraiment choquants ! 

 

Et malheureusement, ils sont directement rapportés par des enfants bouleversés et sidérés, dont le comportement a tellement été perturbé qu’ils ont eu besoin de se confier à leurs parents. 
 

Ils racontent avec leurs mots ce à quoi ils ont assisté et ce qu’ils ont retenu des séances d’éducation à la sexualité dispensées dans le programme scolaire de leur école.

 

Je vous invite à découvrir ci-dessous les extraits de 12 cas concrets parmi la centaine de cas que nous avons reçus…
 

… Et à rejoindre les 35 547 signataires (dont près de 3 000 médecins et professionnels de santé) de notre grande pétition NON à l’éducation à la sexualité à l’École, qui veulent que cela cesse !

 

Pensez aussi à transmettre ce message autour de vous, pour alerter vos proches sur les risques des séances d'éducation à la sexualité pour les enfants.

 

Bien sûr, nous sommes favorables à la prévention, mais pas à la sexualisation précoce des enfants. 

 

Il faut les laisser grandir, ils en ont absolument besoin.

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Cas concret #1

 

Propos tenus par une infirmière en classe de CM2 :

 

« Pour le plaisir une fille suce le pénis du garçon. » 

 

« Le garçon suce le vagin de la fille et peut avaler quelque chose. » 

 

« Pour le plaisir la fille peut caresser délicatement les testicules du garçon. » 

 

« On peut faire le sexe dans les fesses. »

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Cas concret #2

 

Propos tenus par une infirmière en classe de CM2 :

 

« Les garçons peuvent faire l'amour tout seuls. Pour se faire plaisir ils pressent, pressent, pressent, et le sperme sort. »
 

« Pour les filles, le clitoris, petite boule à l'entrée du sexe, grossit quand on fait quelque chose qu'on apprécie. »

 

L'infirmière a ensuite montré des préservatifs, et a dit : « Il faut que ce soit mouillé pour que ça ne s’accroche pas au corps de la fille. ».

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Cas concret #3

 

Contenu de l’intervention d’une association en classe de CM2 :

 

« Être en sueur, le zizi qui explose... »

 

« On a parlé de comment on fait les bébés. La femme monte sur l’homme et son zizi gonfle. Il va presque exploser. L’homme doit mettre un truc en plastique. » 
 

« Le corps nous appartient, du coup on est libre de choisir si on veut devenir une fille ou un garçon, on peut changer quand on veut même si la nature nous a faits différents. »

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Cas concret #4

 

Activité imposée par une enseignante de SVT en classe de 4e :

 

L’enseignante a demandé à chaque élève de la classe de mettre un préservatif sur un pénis factice ;

 

Une enfant, abusée sexuellement à 5 ans dans des conditions particulièrement difficiles par son demi-frère (situation connue de l’établissement scolaire), n’a pas voulu « se prêter » à l’exercice ;


Elle a demandé l’autorisation de sortir de la classe, accompagnée d’une camarade, elle aussi réticente ;

 

L’enseignante a refusé, l’obligeant à obéir avant de quitter la salle ; 

 

L’enfant a été contrainte de poser le préservatif sur le pénis factice.

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NON, la sexualité, ce n’est pas comme les mathématiques ! 

 

NON, l’éducation à la sexualité à l’école n’est pas dans l’intérêt des enfants ! 


OUI, je signe la pétition pour exiger l’interdiction de l’éducation à la sexualité dispensée à des enfants de moins de 12 ans.

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Je signe la pétition maintenant >>>
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Cas concret #5

 

Contenu de l’intervention d’un professeur en classe de CM1/CM2 :

 

Le professeur a décrit la masturbation, l'érection, le sperme ;

 

Le plaisir des rapports sexuels par l’anus et le vagin a été évoqué ;

 

Il a aussi expliqué aux enfants que les garçons peuvent aimer d’autres garçons ;

 

Et que les garçons peuvent devenir des filles en changeant de genre ;

 

Il a aussi fait visionner aux enfants une vidéo YouTube sur la reproduction et la menstruation pour les filles.

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Cas concret #6

 

Contenu de l’intervention d’une enseignante en moyenne section de maternelle :

 

Lecture collective en classe avant la sieste du livre « Zizis et zézettes » ;
 

Démarche pédagogique à l’initiative de la maîtresse après qu’un garçon ait touché les parties intimes d’un autre enfant ;

 

Thèmes inadaptés abordés et montrés : 

 

- Les organes internes du sexe féminin et du sexe masculin,

- Plusieurs situations d’érection du petit garçon

- La masturbation de la petite fille / du petit garçon

- La nudité des parents

- Le sexe de la maman / du papa

 

Présentation de la masturbation comme « des caresses qu’on se fait pour se sentir bien ».

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Cas concret #7

 

Propos tenus par une infirmière en classe de CM2 :

 

Question d’un enfant : « Est-ce qu’une fille peut toucher le zizi d’un garçon ? »
 

Réponses de l’infirmière : 

 

« Oui, une fille peut sucer pour donner du plaisir. »

 

« Il faut que le sexe du papa soit très dur pour entrer dans le vagin. »

 

Le sexe de l’homme se recouvre d'une « barrière qui empêche le pipi de sortir pendant l’acte. »

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Cas concret #8

 

Contenu de l’intervention d’une infirmière scolaire en classe de CM2 :

 

Lors de la seconde séance d’éducation à la sexualité, l’infirmière a montré à la classe un dessin en gros plan du sexe d'une femme en train d'accoucher ; 
 

Les enfants ont été choqués et se sont caché les yeux ; 
 

L'infirmière et la maîtresse les ont obligés à regarder et à écouter les commentaires qui accompagnaient le visuel.

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À 6 ans, lisez-moi des histoires d’amitié, pas de transidentité, 

 

À 7 ans, apprenez-moi les synonymes, pas les parties intimes, 

 

À 8 ans, expliquez-moi toutes les émotions, pas l’érection, 

 

À 9 ans, parlez-moi des bienfaits de l’alimentation, pas de la masturbation, 

 

À 10 ans, enseignez-moi les divisions, pas l’éjaculation !

 

Signez la pétition dès maintenant pour protéger les enfants :

OUI, je signe la pétition !
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Cas concret #9

 

Contenu de l’intervention d’une infirmière en classe de 5e :

 

L’infirmière a montré comment mettre un préservatif en utilisant une bouteille en plastique, en précisant : 

 

« On peut faire l’amour par devant et par derrière »

 

« Les enfants peuvent se masturber dans un coin » 

 

Un élève choqué a rapporté ces phrases à un copain de classe qui n’avait pas participé à la séance, en terminant par : 

 

« Ça, ce n’est qu’un petit détail, je ne te raconte pas le reste, sinon tu meurs tout de suite. »

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Cas concret #10

 

Contenu de l’intervention d’une association en classe de CE1 :

 

- Récit de l’intervenant impliquant de gentils extraterrestres qui viennent étudier les êtres humains et cherchent comment différencier et reconnaître un garçon et une fille ;

 

- Chacun peut porter des jupes, des robes et des pantalons ;

 

- Présentation d'un dessin de petite fille nue sous la douche avec un sexe de garçon ;
 

- Présentation d'un dessin de petit garçon nu sous la douche avec un sexe de fille ;
 

- L’intervenant explique « qu'une petite fille peut naître avec une zézette ou un zizi, et qu'un petit garçon peut naître avec un zizi ou une zézette » ou « avec les deux sexes ».

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Cas concret #11

 

Contenu de l’intervention d’une association en classe de CE1 :

 

« Ce qu'est le pénis et le vagin »
 

« Comment on fait des bébés »
 

« On peut se faire plaisir par les fesses »

 

L’intervention a été faite avec des supports en images et une vidéo dans laquelle les enfants ont dit voir : 
 

« Un monsieur et une dame dans des positions, la dame sautait sur le monsieur, ils étaient tout nus, le monsieur avait le zizi levé »

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Cas concret #12

 

Contenu de l’intervention d’une enseignante en classe de CM1 :

 

L’enseignante a montré aux enfants :

 

- des corps nus d’hommes et de femmes adultes, 

- un schéma des sexes,

- des mots sur la sexualité à relier.

 

Elle leur a expliqué que : 

 

- La puberté « permet de pouvoir se reproduire » ;

- Les règles, c’est l’« écoulement d'un peu de sang par le vagin tous les mois » ;

- L’éjaculation, c’est l’« émission d'un liquide blanchâtre appelé sperme par le pénis ».

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Si vous souhaitez connaître tous les détails sur ces cas concrets qui se sont déroulés dans des classes, rendez-vous sur la page 69 de notre rapport d’analyse sur l’éducation à la sexualité dans le cadre scolaire :

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Et signez la pétition dès aujourd’hui, pour éviter que d’autres dérives se produisent !

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Je signe la pétition maintenant >>>

Priorité à l'Éducation !

Sophie Audugé,
Déléguée Générale de SOS Éducation

P.S. : Agissez avec nous pour protéger les enfants !

 

L’éducation à la sexualité consomme du temps scolaire, au détriment d’autres apprentissages, ce qui n’est pas acceptable quand un élève sur deux entre en 6e sans savoir lire… 
 

Mais surtout, elle est réalisée par des personnes qui n’ont pas la formation nécessaire pour assurer la mission de prévention et, le cas échéant, accueillir la parole d’un enfant victime. 

 

La mise en abîme du système de santé scolaire : absence de médecins, d’infirmières, de psychologues… fait que cet « enseignement », réalisé sans cadre et sans espace de dialogue sous la direction de professionnels de la santé, constitue une mise en risque pour l’enfant

 

Actuellement, l’éducation à la sexualité diffuse l’idéologie du genre comme un savoir en la présentant comme une théorie, ce qu’elle n’est pas. 

 

Diffuser des idéologies n’est pas le rôle de l’École, dont la mission est d'instruire des connaissances approuvées par la science

 

Vous partagez avec nous la vision d’une École qui instruit et qui protège les enfants ?

 

Signez la pétition dès maintenant, pour dire NON à l’éducation à la sexualité à l’École !

OUI, je signe la pétition !

Les enfants ont besoin de vous.

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