mercredi 2 juillet 2025

IMMIGRATION / ISLAMISATION : ILS SONT MUSULMANS PAR IGNORANCE ! ( SALEM BENAMMAR )



TRIBUNE LIBRE !

Ils sont musulmans par ignorance

Qu’est-ce ce que vous en savez de l’origine du mot Allah ?


Qu’est-ce ce que vous en savez de l’origine du nom de Mohamed et de son histoire ?
Qu’est-ce que vous en savez du vrai sens du mot islam ?


Qu’est-ce ce que vous en savez de l’existence de la Mecque au temps de Mahomet ?
Qu’est-ce ce que vous en savez de sa migration de la Mecque vers Médine ?


Qu’est-ce ce que vous en savez de la pierre noire de la Ka’aba ?


Qu’est-ce vous en savez de l’étymologie du mot Coran ?

Qu’est-ce vous en savez de l’histoire de la « révélation », pourquoi ce qui était supposé être descendu du ciel pendant 23 ans est aussi descendu sur cet homme en une seule nuit ramadanesque ?


Qu’est-ce ce que vous en savez du passage de l’écriture cunéiforme du Coran à son écriture dans la langue arabe au VIIIe siècle ?


Qu’est-ce ce que vous en savez de la soi-disant parole incréée du Coran et de celui qui l’a décrétée ?

Qu’est-ce que vous en savez du voyage nocturne de Mahomet al isra wal miraj ?


Qu’est-ce que vous en savez de la monture ailée de Mahomet, est-elle inédite dans l’histoire des mythes et légendes ?


Qu’est-ce ce que vous en savez de la liturgie de votre religion et de ses sources d’influence ?


Qu’est-ce ce que vous savez de tout cela, vous qui prétendez tout savoir, qui confondez le mot islam avec le mot paix et qui ne savez pas que le mot amour est inexistant dans le Coran ?

 Ne savez-vous pas qu’un livre sans auteur ne peut être que l’œuvre de plusieurs auteurs anonymes ? 

Un travail de compilation et un vulgaire plagiat.

 

Par Salem Benammar       https://ripostelaique.com

 


 

Delogu en Algérie : la diplomatie du bled et le reniement des siens

Photo : Wikimedia / Creative Commons

Il voulait jouer les messagers de paix, tendant la main au régime algérien. Il s’est retrouvé renvoyé dans ses cordes par son propre camp.  

Sébastien Delogu, député LFI des Bouches-du-Rhône, a cru bon de se rendre en Algérie, où il a flatté le pouvoir en place, dénigré la France, et oublié dans la foulée deux prisonniers politiques français : le journaliste Christophe Gleizes et l’écrivain Boualem Sansal.

Une visite en forme de démonstration : Delogu, plus que député de la nation française, est ambassadeur de lui-même, représentant d’un imaginaire postcolonial dans lequel l’Algérie est toujours la victime et la France, toujours coupable.


L’accueil triomphal et le silence complice

Il a vanté, la voix mielleuse, l’ »accueil extraordinaire » qu’il a reçu, comme s’il découvrait le sens de l’hospitalité.

 Il a salué le peuple algérien pour « les valeurs qui sont les siennes » – sans préciser lesquelles, ni évoquer celles piétinées par la justice du régime, qui jette en prison un écrivain et un journaliste.

 

Pas un mot sur Boualem Sansal, ni sur Christophe Gleizes

. Pas un frémissement de solidarité.  Rien. 

 Delogu a traversé l’Algérie comme un touriste de la repentance, pressé de montrer patte blanche. 

Le député de Marseille a préféré tacler Bruno Retailleau plutôt que de défendre la liberté d’expression ou ses compatriotes emprisonnés.

 

LFI lâche l’un des siens (pour une fois)

Face au tollé, LFI a d’abord laissé faire.

 Puis, voyant le vent tourner sur les réseaux sociaux, le parti a désavoué son député, le reléguant au rang de « voix personnelle » – manière élégante de dire : « Il nous embarrasse. »

 Mieux encore, le mouvement mélenchoniste a dû se fendre d’un message officiel pour demander la libération de Gleizes et Sansal, comme si ce rappel de base n’allait pas de soi.

 

À force de jouer avec les régimes autoritaires dès lors qu’ils sont anti-occidentaux, la gauche radicale se perd dans ses propres contradictions. 

Comment dénoncer Israël comme un État d’apartheid, tout en léchant les bottes d’un régime qui jette en prison écrivains et journalistes ?

Delogu a franchi une ligne que même son propre camp ne pouvait plus défendre sans perdre la face.

Quant à la France officielle ?

 Elle regarde passer les humiliations. 

L’ambassade n’a pas bougé.

 L’Élysée, muet. 

Et l’Assemblée nationale continue d’héberger des élus qui font allégeance à d’autres patries que la leur.

 

Delogu aurait pu défendre la liberté. Il a préféré défendre ses émotions. 

Mais la politique n’est pas une thérapie familiale ni un pèlerinage mémoriel.

 Encore faut-il s’en souvenir.

 

Source :  https://lalettrepatriote.com 


 ET AUSSI

Comment l’Algérie expulse ses migrants dans le désert à bas bruit : « Eux ne s’embarrassent pas de l’État de droit »

Cette enquête est parue dans Le Figaro le 1er juillet. 

Ce sont des faits simples et bruts, à tous les sens. 

Ils parlent d’eux-mêmes.

 Le commentaire est inutile. 

 

Puis, les autorités nigériennes elles-mêmes ont brisé le tabou.

 À la télévision publique en mai, le général Ibrah Boulama Issa, gouverneur d’Agadez, ville carrefour pour les migrants venus de Côte d’Ivoire, du Mali, du Niger, du Burkina, a alerté sur une «vague de refoulement sans précédent de migrants en provenance d’Algérie». 

 Dans la localité frontalière d’Assamaka, les centres de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), l’organisme onusien, sont en situation de «surpopulation», a indiqué le gouverneur. 

Avec ce chiffre record : 16.000 personnes, selon le décompte du site d’information InfoMigrants, expulsées en mars et avril d’Algérie vers le Niger. 

Soit, en deux mois, l’équivalent de l’année précédente en six mois.

 

Tabou en Algérie

Dans ce carrefour migratoire, porte vers l’Europe pour les Subsahariens en quête d’une vie meilleure, hommes, femmes et enfants arrivent par milliers pour traverser la Méditerranée ou s’installer dans le pays dit «de transit»

 Mais l’Algérie n’a aucune politique d’accueil.

 Malgré son statut d’État partie à la Convention sur les réfugiés, elle ne s’est jamais dotée d’un cadre juridique pour un processus de demande d’asile ou un statut des réfugiés.

 La présence de ces étrangers, souvent tolérée, n’a jamais été légalisée.

 «Les migrants arrivent en Algérie, travaillent pour se faire un peu d‘argent et payer les passeurs, notamment sur des chantiers à Oran. 

Ils se font exploiter, parfois comme des esclaves», rapporte Daoud Imoulayen, ancien rédacteur en chef d’un site francophone algérien vivant en France.

 

La pratique dure depuis des années.

 En 2018 déjà, Human Rights Watch la documentait par des récits glaçants de migrants laissés sans nourriture, parfois sans eau, sans argent également, passés à tabac, rackettés par les gardes-frontières. 

L’ancien ambassadeur de France à Alger Xavier Driencourt a lui-même été témoin de convois de migrants aperçus sur la route vers le Sud algérien, passant par Ghardaïa et El Golea.

 Près d’une «trentaine de cars à la file» encadrés par la gendarmerie, avec à leur bord «80 personnes» chacun selon ses estimations.

 Les autorités opèrent dans la plus grande discrétion.

Aux yeux des autorités, pas de sujet. 

Dans les médias d’État algériens, pas un mot.  

«Ces expulsions de subsahariens sont organisées par l’armée et tout ce qui concerne l’armée est tabou en Algérie», relève Daoud Imoulayen.

 Sur les réseaux sociaux, des images percent le tabou.

 Sur Facebook, une vidéo qui totalise 11.000 vues montre par exemple un migrant nageant dans une rivière, traqué depuis la rive par la gendarmerie algérienne.

 Ou à Tamanrasset, au sud du pays, des migrants se sont filmés après une «attaque» par des habitants locaux.

 En Algérie où règne un «racisme» assumé, l’origine de ces migrants constitue une double peine.

 «Une chose est sûre, on ne dira jamais rien des Irakiens, des Libyens, des Syriens en Algérie. 

Mais ceux qu’on appelle « kahlouches », « nègres », sont maltraités. 

Dès que c’est de couleur, on expulse», souligne le journaliste Daoud Imoulayen.

 

 

Omerta politique

«Ce qui est indigne, c’est que personne n’en parle en Europe», pointe l’ex-diplomate Xavier Driencourt. 

«Les ONG des droits des migrants sur notre continent n’évoquent jamais le sujet».

 Le régime algérien, lui, verrouille l’information.

 En avril, chose rare, le président Abdelmadjid Tebboune s’est exprimé sur le sujet.

 En marge d’une visite à la préfecture de Béchar, dans le sud-ouest, le chef de l’État a affirmé ne voir «pas de problème à ce que les migrants subsahariens travaillent en Algérie», se disant même prêt à légaliser la présence des travailleurs subsahariens sans papier, à condition qu’elle soit «organisée» et régulée de manière concertée avec les pays de départ.

 «Les chantiers sont là et les gens ont besoin de main-d’œuvre, notamment dans le BTP et l’agriculture», a affirmé le président.

 Le quotidien algérien El Watan a souligné le caractère inédit de ces propos : «C’est la première fois, en tout cas, que cette question est évoquée officiellement et par le premier magistrat du pays».

Le régime envisagerait donc une régularisation du processus d’accueil ? 

Le chef d’État n’a toutefois pas manqué de rappeler la nécessité d’une «vigilance accrue» face au risque de «terrorisme» que présente ce phénomène migratoire. 

«Sans une préparation minutieuse, nous risquons d’accueillir un travailleur qui pourrait, par la suite, se révéler lié à des réseaux terroristes ou à des trafics de drogue», a-t-il précisé. 

Une prudence au regard de sa sécurité intérieure qui tranche avec les reproches d’Alger vis-à-vis de Paris. 

Lorsqu’au nom de sa propre sécurité, la France cherche à expulser des ressortissants algériens jugés dangereux, Alger reproche volontiers à l’ancien allié de ne pas respecter les droits des migrants et les procédures administratives.

 Pour exemple, le 17 mars dernier, le ministère algérien des Affaires étrangères rejetait une «liste» entière de ressortissants algériens sous Obligation de quitter le territoire français (OQTF), rappelant son attachement aux procédures devant se faire via les «canaux d’usage» entre préfectures françaises et consulats algériens. 

Le communiqué du ministère des Affaires étrangères rappelait combien importait à ses yeux le «respect des droits des personnes faisant l’objet de mesures d’éloignement».

«Ils viennent nous faire la morale mais c’est un comble, alors qu’eux-mêmes ne s’embarrassent pas de l’État de droit», tance Xavier Driencourt.

 En janvier également, après le renvoi vers Alger de l’influenceur algérien Doualemn, le régime algérien a refusé de le reprendre, dénonçant un acte « précipité, arbitraire et abusif » inspiré par « l’extrême‑droite revancharde, en violation des droits fondamentaux de son ressortissant»

Peu soucieuse du motif de l’expulsion – une vidéo sur TikTok dans laquelle l’activiste algérien appelait à infliger une «sévère correction» à un opposant au pouvoir en Algérie sur le territoire français – Alger rappelait à Paris les droits de défense de l’intéressé tels qu’énoncés dans la Convention consulaire de 1974.

 

Opacité totale

Tandis que le régime subtilise sur les règles du droit français en matière d’expulsion, sur son territoire, le taux des reconduites aux frontières ne fait qu’augmenter.

 Entre 2015 et 2018, les autorités évoquaient 27.000 migrants expulsés en trois ans. Ils étaient 26.000 en 2023, 31.000 en 2024.

 Les ONG africaines déplorent le silence général des instances africaines sur ce phénomène.

 De l’Union africaine à la Cédéao en passant par la Cemac, silence général sur ces ressortissants des pays membres violemment refoulés. 

Contactée, l’OIM elle-même n’a pas donné suite à nos demandes. «Elle a peur de perdre son siège algérien, à juste titre», indique Mathieu Tardis, ancien responsable du Centre migrations et citoyennetés de l’Ifri.

 «Quant aux États africains, il s’agit de leurs ressortissants, cela les mettrait face à leurs responsabilités». L’Office français de l’immigration et de l’intégration (OFII) confirme une grande opacité du régime sur la question migratoire. 

Alors que l’organisme d’État dispose de bureaux au Maroc et en Tunisie, en Algérie, «toutes les tentatives pour ouvrir un bureau se sont heurtées à un mur», confie au Figaro son directeur Didier Leschi.

« L’Algérie cache sa politique brutale aux regards extérieurs, la presse algérienne qui n’a rien de libre n’en fait aucun écho.

 Cela n’empêche pas, sans honte, Alger de vouloir nous donner des leçons de défense des droits de l’homme », tance le directeur, estimant, au regard de ses informations et des récits de migrants, qu’il y a «très certainement plus de décès dans le désert qu’en Méditerranée sans que cela émeuve beaucoup».

 

Ce silence politique permet à l’Algérie de passer sous les projecteurs, souvent braqués sur ses voisins.

 En Libye, les rapports de l’ONU, Amnesty International, Human Rights Watch ou encore Médecins Sans Frontières ont largement documenté les trafics humains, viols de femmes et d’enfants, esclavages, rançonnages.

 La Tunisie, elle, assume ouvertement sa politique de refoulement par la voix de son président Kaïs Saïed, qui en 2023 accusait d’un complot autour de ces «vagues d’immigration clandestine», qui visaient selon lui à «changer la composition démographique» de son pays. 

`Le Maroc, plus discret, procède aussi à des «rafles» quelque peu aléatoires, selon les témoignages recueillis, y compris sur des réfugiés ou des demandeurs d’asile. 

En 2024, près de 59.000 migrants auraient été interpellés sur le territoire par les forces de sécurité d’après un décompte officiel.

 

« Consensus » avec l’Italie

Avec la Tunisie, qui use des mêmes méthodes d’expulsion en plein désert, l’Algérie met en place une coopération. 

Selon les autorités de Tunis, plus de 70% des migrants arrivant sur leur territoire passent par la frontière avec l’Algérie. 

Le 19 mars, une réunion «contre l’immigration clandestine» a réuni à Alger les ministres de l’Intérieur des deux pays, ainsi que des représentants des forces de sécurité, police, douanes, gardes-frontières et un délégué du ministère de la défense.

 Là encore, rien n’a filtré des discussions.

 En bout de chaîne, l’Italie, et à travers elle l’Europe. 

En avril, Rome a alloué 20 millions d’euros à la Tunisie, la Libye et l’Algérie via l’OIM, pour financer des retours volontaires d’environ 3300 migrants depuis ces trois pays.

 

 Le 20 juin, lors d’un sommet à Rome co-présidé par Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, la première ministre italienne Giorgia Meloni a dit souhaiter accélérer la mise en œuvre du plan Mattei : une aide financière aux États de transit contre une réduction des flux migratoires.

 

En février 2024 déjà, l’Algérie signait avec l’Italie un accord global en matière de sécurité, visant notamment, selon les médias officiels, « le contrôle de l’immigration clandestine »

 Aucun montant n’a filtré de cet accord. 

Le ministre algérien de l’Intérieur Brahim Merad s’était félicité à cette occasion que les deux États soient « parvenus à un consensus sur nos visions », son homologue italien Matteo Piantedosi se disant pour sa part confiant dans les efforts « significatifs » engagés par l’Algérie pour freiner les flux.

 

Les méthodes musclées de l’Algérie seraient-elles dont dissuasives pour les migrants ? 

Pas vraiment, selon Blamassi Touré, expert en migration internationale et coordinateur du pôle développement de France terre d’asile en Tunisie.  

«Les migrants se retrouvent dans un pays qui n’est souvent pas le leur, démunis, sans rien.

 Repartir chez eux serait à la fois un coût et un échec.

 Alors ils repayent le même passeur et reviennent à la charge. 

Les passeurs en profitent, font des propositions à moitié prix, et les enferment dans un engrenage infernal». ■  

 

Par ÉLISABETH PIERSON

 Source et Publication :     https://www.jesuisfrancais.blog/2025/07/02/


 

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