mercredi 2 juillet 2025

C' EST EN BRETAGNE ! LE 21 SEPTEMBRE 2025 , VOUS ÊTES PRIS ! LA 10ème FÊTE DU COCHON VOUS ATTENDS !

 

 


 

 LE RASSEMBLEMENT DE LA DROITE NATIONALE ET SES AMIS (ES)  !

VENEZ NOMBREUX !


 

LA TRADITIONNELLE FÊTE DU COCHON SERA BIEN LE DIMANCHE 21 SEPTEMBRE 2025  À TRÉFFENDEL EN ILLE ET VILAINE ( 35 ) 

 

DANS UNE PROPRIÉTÉ PRIVÉE !

PARKING SURVEILLÉ  !

 

OUVERTURE VERS  11H30 !



 

AVEC COMME INVITÉ  PIERRE-NICOLAS  NUPS  SECRÉTAIRE GÉNÉRAL DU PDF !

 

Pierre-Nicolas Nups se présente aux Municipales à Neuves-Maisons (54) !

20 Juin 2025 |

 

L' AMI PIERRE CASSEN QUI NOUS HONORE DE SA PRÉSENCE COMME TOUS LES ANS !

 

HERVÉ COZIC  RESPONSABLE RÉGIONAL BRETAGNE DE   " PLACE D' ARMES !



NOMBREUX STAND ! Synthèse Nationale , Riposte  Laïque  et bien d' autres 

 
AVEC LE CONCERT DE  NOTRE AMI CHRISTOFF BZH ET SON DERNIER CD EN VENTE SUR NOTRE STAND !!
 

Musique. Christoff Bzh chante sa Bretagne 

...          Christoff bzh auteur-compositeur-interprète breton.
 


LE PRIX DU REPAS RESTE INCHANGÉ DEPUIS 4 ANS !
35 EUROS PAR PERSONNE ! 
 
APÉRITIFS  ( KIR )  !

ENTRÉE ,   COCHON GRILLÉ ET SES POMMES DE TERRES , FROMAGES , DESSERT
CAFÉ
 
VINS ROUGE  : UNE BOUTEILLE / 3 ,    ROSÉ ,  BLANC !

EAUX , JUS DE FRUITS ETC......;



LES RÉSERVATIONS SONT OUVERTES ! 

VOUS POUVEZ RÉSERVER AVANT DE PARTIR EN VACANCES ! 

 Seul , les réservations réglées  avant la fin AOÛT   ( chèques  )  seront retenues  !

 

Nous avons déjà des réservations !   Attention :  les places sont LIMITÉES !

POUR TOUT RENSEIGNEMENTS  :

JEAN-MARIE LEBRAUD 



 

Délégué Régional du PDF-BRETAGNE !

Tél : 06 09  53 93 84    Laissez un message !

Site:   pdfbretagne@orange.fr

Sur Facebook et Twitter


 Contact :  j-m.lebraud@orange.fr

 

Pour oubliés tous nos tracas ,   Vive  la Fête du cochon !

 

     Ils n'ont pas voulu de l'Algérie Française, nous ne voulons pas de la France algérienne c'est pourtant simple..






CANICULE : LA CHALEUR N' EST PAS UNE INVENTION MODERNE ! RAPPEL !

 REVUE DE PRESSE !

 



[POINT DE VUE] 

Canicule : quid de la Journée de solidarité, 22 ans plus tard ?

Toutes les générations versent au pot... et l'Etat empoche.
vieux 3ème âge personne âgée
Photo de CDC sur Unsplash

C’est officiel : il fait chaud.

 C’est un « épisode de chaleur », qu’on appelait autrefois tout simplement l’été, comme il y a maintenant des « épisodes neigeux » qui portaient autrefois le prosaïque nom d’hiver. 

La France est en vigilance orange, voire rouge. 

C’est l’occasion de se souvenir de la dernière canicule à avoir défrayé la chronique, celle de 2003 – et de ses conséquences sur nos « journées de solidarité ».

 

Dégager de l'argent pour les vieux

A cette époque, Jacques Chirac était président de la République.

 C’est vous dire si ça remonte. 

A l’été 2003, du fait des très fortes chaleurs, du fait de la solitude croissante des personnes âgées aussi, plus de quinze mille de nos anciens étaient morts, déshydratés, abandonnés, soumis à des caprices climatiques que la simple solidarité familiale aurait pu leur épargner.

 Or, comme il était plus simple de dégager de l’argent pour les vieux que de pousser leurs descendants ingrats à s’occuper d’eux, le gouvernement Raffarin décida, en juin 2004, qu’une journée de sept heures serait dorénavant non rémunérée pour les salariés français, tandis que les entreprises devraient verser une contribution financière

 

 En 2006, Dominique de Villepin, qui était alors Premier ministre de la France, jugea que cette journée portait ses fruits, tout en reconnaissant que les résultats concrets « n’étaient pas calculables ».

 Joli tour de force rhétorique.

La journée de solidarité a maintenant 22 ans, l’âge d’une certaine maturité. 

Elle rapporte chaque année environ trois milliards d’euros à l’Etat. 

On a voulu imposer jadis, dans un élan d’anticléricalisme bien républicain, que cette journée soit celle du lundi de Pentecôte, mais, comme on est en France, on est encore plus bordélique qu’anticlérical, et chacun s’arrange un peu comme il veut. 

Deux points clés nous aident, pour finir ce tour d’horizon, à comprendre à quoi rime cette loi : d’abord, depuis 2013, même les retraités cotisent de manière équivalente aux salariés, via un prélèvement sur leurs pensions ; ensuite, les parlementaires ne sont pas astreints à cette forme de solidarité, car leur traitement est une indemnité, non un salaire. 

En d’autres termes, cette loi est une gigantesque imposture, qui exclut la représentation nationale et taxe même les vieux, « en solidarité » avec eux-mêmes, on imagine.

 

Par un effet de cliquet désormais bien connu, il est probable qu’on ne reviendra pas sur cette journée de solidarité qui porte si mal son nom. 

Trois milliards qu’on pique dans la poche des Français en les faisant culpabiliser, vous parlez d’une aubaine !

 

Quid de la vraie solidarité entre générations ?

Il reste toutefois une question de fond : la solidarité entre les générations, la vraie, que devient-elle ?

 Les jeunes gens, de la génération de « Nicolas qui paie », reprochent aux « boomers » leurs « retraites géantes ». 

La majorité des plus âgés, qui ont l’impression de s’être sacrifiés toute leur vie (mais savent bien que ce n’est pas tout à fait vrai), votent massivement pour Macron afin de préserver leur patrimoine.

 Il y a une archipellisation des générations comme il y a une archipellisation de la société. 

Les anciens ont désormais la clim, mais leurs enfants et petits-enfants ne s’occupent pas beaucoup plus d’eux en période de fortes chaleurs.

 En revanche, pendant ce temps, l’Etat se sert dans les poches des uns et des autres, sans que la situation des personnes âgées ait vraiment changé pour autant…


Picture of Arnaud Florac
Par Arnaud Florac
Chroniqueur à BV 
 
 
ET AUSSI

1540, 1718, 1911 : des canicules mémorables qui ont frappé la France

Ceux qui nous ont précédés ont souffert, parfois bien plus violemment que nous, des caprices du ciel et du soleil.
Agence Rol, Public domain, via Wikimedia Commons
 
Agence Rol, Public domain, via Wikimedia Commons

 

À chaque nouvelle vague de chaleur, une idée revient comme une évidence : les fortes températures seraient un phénomène propre à notre époque, conséquence directe et exclusive de l’industrialisation et du réchauffement climatique.

 Pourtant, il est historiquement inexact de penser que nos ancêtres vivaient dans un monde à la météo paisible et constamment tempérée. 

En effet, les siècles passés ont connu eux aussi des sécheresses et des canicules extrêmes, notamment en 1540, en 1718 et en 1911.

 Replongeons-nous donc dans l’histoire brûlante des étés passés de l’Europe.

 

1540 : l’année sans pluie

L’été 1540 est resté dans les annales comme l’un des plus longs et plus secs que l’Europe ait jamais connus.

 Cette année-là, presque aucune goutte d’eau ne serait tombée sur certaines régions du continent pendant plusieurs mois.

 Les chroniques de l’époque rapportent des températures insoutenables, des fleuves à sec, des forêts dévastées par les incendies et des récoltes anéanties. 

À Bâle, le Rhin était si bas que l’on pouvait le traverser à pied. Rome souffrit également de cette sécheresse, au point que les moulins à eau cessèrent de fonctionner.

 

Selon certaines études, les températures moyennes, durant l’été 1540, auraient même dépassé de plusieurs degrés (entre 4,7 °C et 6,8 °C) celles enregistrées lors de la canicule de 2003. 

L’impact sur les régions touchées fut alors immense : famines, migrations, augmentation des maladies… et prières de masse pour obtenir la pluie.

 

1718-1719 : un climat saharien à Paris

Au tournant du XVIIIe siècle, et en plein « petit âge glaciaire », une autre série de vagues de chaleur meurtrières frappa la France et une partie de l’Europe.

 Entre 1718 et 1719, une sécheresse prolongée suivie d’un été brûlant provoqua ainsi une véritable catastrophe démographique. 

Selon l'historien Emmanuel Le Roy Ladurie, auprès de Libération en 2003, il y aurait eu « 700.000 [morts] lors des étés caniculaires de 1718-1719, avec même l'apparition de nuées de sauterelles et une forme de climat saharien sur l'Île-de-France ».

Si la famine joue un rôle majeur dans ce bilan, la chaleur extrême aggrave la situation sanitaire : dysenteries, typhus et épuisement généralisé minent une population déjà affaiblie.

 Le royaume, impuissant face à ces forces météorologiques qui le dépassent, laisse l’Église organiser des processions et des jeûnes pour implorer la pluie.

 

1911 : l’enfer sous la IIIe République

Bien plus proche de nous, l’été 1911 reste l’un des plus éprouvants du XXe siècle pour la France, qui subit une canicule d’une intensité remarquable.

 À Paris, les températures dépassent régulièrement les 35 °C, avec des pointes à 39 °C.

 Certains journaux, comme Gil Blas, vont même jusqu’à écrire : « Sur le boulevard, hier, le thermomètre marquait, à midi, exactement 47 degrés. » 

Dans toute la France, les fontaines sont prises d’assaut, les rues surchauffées deviennent impraticables, « les meilleurs puits tarissent », « tout grille par la campagne […] les maïs se recroquevillent, les betteraves cuisent dans la terre »

D’après RetroNews, près de 40.000 décès sont recensés, notamment chez les enfants et les personnes âgées.

 Cette canicule ne s’achèvera qu’en septembre 1911, après plus de 70 jours d’un été accablant et meurtrier où, « chaque soir, le soleil se couche dans des lueurs d’incendie ».

 

Ainsi, les canicules de 1540, de 1718-1719 et de 1911 rappellent avec force que la chaleur n’est pas une invention moderne. 

Si le dérèglement climatique actuel peut inquiéter à juste titre, nous ne devons pas oublier que les épisodes d’extrêmes chaleurs font partie intégrante de l’Histoire humaine.

 Ceux qui nous ont précédés, bien avant les usines et les moteurs à explosion, ont souffert, parfois bien plus violemment encore que nous, des caprices du ciel et du soleil.


Picture of Eric de Mascureau
Par Eric de Mascureau 
 
Chroniqueur à BV, licence d'histoire-patrimoine, master d'histoire de l'art 
 
Source et Publications :   https://www.bvoltaire.fr
 

ET AUSSI


Canicule : l’État ment, l’idéologie tue

30 Juin 2025, 06:17am


Canicule : l’État ment, l’idéologie tue

Alors que la France s’apprête à subir une vague de chaleur extrême, avec plus de 11 degrés au-dessus des normales saisonnières, le gouvernement ose déclarer, par la voix d’Agnès Pannier-Runacher : 

« Nous sommes prêts à affronter la canicule. »

 

Prêts où ça ?
- Les chambres d’hôpital ne sont pas climatisées.
- Les EHPAD n’ont aucun dispositif massif de rafraîchissement.
- Les écoles deviennent des étuves à ciel fermé, où les enfants et enseignants suffoquent sans qu’aucun plan structurel n’ait été mis en place.

La vérité, c’est que rien n’est prêt.
Et pourtant, la canicule tue.

Nous l’avons vu en 2003 : plus de 15.000 morts, majoritairement des personnes âgées et isolées.

Dans une déclaration consternante, Patrick Pelloux, médecin médiatique se réclamant de la gauche et ami de François Hollande, ose affirmer : « La climatisation aggrave le réchauffement climatique. »

Faut-il donc laisser mourir les Français pour sauver un dogme climato-taré ?

Quand les États-Unis maintiennent tout en dessous de 20°C, la France s’interdit la climatisation au nom d’une idéologie écologiste hors-sol. 

En l’espèce, les escrologistes veulent sauver la planète mais provoquer la mort de ses habitants.

 C’est un concept.

Cette logique « écologiste » n’a rien d’écologique : elle est climatophobe, inhumaine, anti-sociale et elle condamne à mort les plus vulnérables.


- Elle sacrifie nos aînés.
- Elle sacrifie nos malades.
- Elle sacrifie nos enfants.

Nous accusons l’État français de mettre en danger la vie de milliers de citoyens par obstination idéologique.

Nous refusons ce choix politique de l’abandon.

Nous exigeons la généralisation immédiate de la climatisation dans tous les lieux publics sensibles : hôpitaux, EHPAD, crèches, écoles.

Laisser mourir par idéologie n’est pas une politique : c’est un crime. 

Un crime d’État dont le gouvernement est responsable.

Par Pierre-Nicolas Nups -

 Secrétaire général du Parti de la France


 

 



 


L' OMS ( ORGANISATION MONDIALE DE LA SANTÉ ) UNE INSTITUTION CORROMPUE QUI EST COMPTABLE DE RIEN.......



LU, VU ET ENTENDU ! 


 
L'OMS, organisation totalement corrompue et déshonorée, s'est mise au service de Bill Gates, de l'industrie pharmaceutique, et de la Chine communiste.
 Aujourd'hui, l'OMS est proche de réaliser son vœu le plus cher : un pouvoir et un contrôle illimités.
 
 Photo : Le directeur général de l'OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, rend visite au président chinois Xi Jinping à Pékin, le 28 janvier 2020.
 (Photo de Naohiko Hatta/AFP via Getty Images)

 

L'Organisation mondiale de la santé (OMS) est très près aujourd'hui de voir son vœu le plus cher se réaliser : un pouvoir et un contrôle illimités.

Les États-membres ont jusqu'au 19 juillet seulement pour se retirer du Règlement sanitaire international. 

Il reste moins de deux mois pour interpellez vos députés et les inciter à se dresser CONTRE ce règlement. 

Jusqu'à présent, aucun pays n'a opté pour le retrait, et faute de couverture médiatique, la plupart des populations ignorent jusqu'à l'existence même du problème.

Le 1er juin 2024, les 194 États membres de l'OMS ont approuvé les amendements radicaux du Règlement sanitaire international de l'OMS qui confèrent au directeur général de l'organisation - actuellement le « Dr » Tedros Adhanom Ghebreyesus, un non-médecin qui, selon toute apparence, est dans la poche de la Chine - une autorité écrasante pour décréter un état d'urgence sanitaire au plan international. 

L'OMS se verra également reconnaitre le droit de signaler les urgences sanitaires potentielles.

« Approuvé » n'est pas le mot exact : les États membres n'ont pas voté ; ils se sont ralliés au consensus. 

Si aucun pays ne s'oppose aux amendements avant la date limite, ils sont considérés comme approuvés. 

Il n'est pas sûr que cette façon de faire soit légale

 La version finale aurait fait l'objet d'une temps de circulation très court et les négociations se sont largement déroulées à huis clos. 

Deux facteurs qui ne favorisent pas la transparence.

Les parlementaires des États membres de l'OMS savent-ils seulement ce que leurs gouvernements ont « approuvé » ?

Outre le Règlement sanitaire international, les 194 États membres de l'OMS ont, en avril 2025, donné un accord de principe historique à un Traité sur la pandémie, adopté le 20 mai lors de la 78e session de l'Assemblée mondiale de la Santé à Genève, en Suisse. 

Il devra toutefois être ratifié par au moins 60 États avant de pouvoir entrer en vigueur, ce qui signifie qu'il incombe aux citoyens d'empêcher cela. 

 D'autant que certains « détails » étonnants sont restés en suspens. 

Ainsi, le Système d'accès aux agents pathogènes et de partage des données (PABS) destiné à faciliter le partage des informations génétiques sur les pathogènes potentiellement pandémiques ne fait pas consensus.

 Cela n'a pas empêché l'OMS de s'octroyer des pouvoirs étendus en matière de traitement des urgences sanitaires pour tous les pays.

 

Frank Gaffney, président de l'Institute for the American Future, a écrit sur X peu avant l'adoption du traité :

« Dans moins d'un mois, un gouvernement mondial nous sera imposé indirectement, sinon directement, grâce à un nouveau Traité sur la pandémie que l'Organisation mondiale de la santé a finalisé hier et qu'elle prévoit d'adopter et de rendre juridiquement contraignant à la mi-mai.

Ce texte a de profondes implications pour la santé publique, les libertés individuelles et la souveraineté nationale.

« Si vous avez aimé la façon dont la crise du COVID-19 a été gérée – incompétence et corruption de l'OMS, influence insidieuse du Parti communiste chinois, principal responsable du problème, et tout bénéfice pour Big Pharma – vous allez adorer ce nouvel ordre mondial.

« D'autant qu'il est question d'y ajouter des cartes d'identité sanitaires universelles, des obligations vaccinales, une censure obligatoire, des transferts de technologie, des coûts financiers illimités et la prolifération de virus susceptibles de provoquer des pandémies – tout cela « géré » par des bureaucrates internationaux dotés de pouvoirs considérables et n'ayant de comptes à rendre à personne. »

 

Se félicitant de l'adoption du traité, le Dr Tedros s'est lancé dans un stupéfiant mensonge :

« Cet accord est une victoire pour la santé publique, la science et l'action multilatérale.

Collectivement, nous pourrons mieux protéger le monde contre les futures menaces de pandémie.

Cet accord témoigne également de la reconnaissance par la communauté internationale que nos citoyens, nos sociétés et nos économies ne doivent pas être exposés à de nouvelles pertes comme celles subies pendant la COVID-19. »

 

Suite à l'adoption du Traité sur la pandémie, le secrétaire américain à la Santé, Robert F. Kennedy Jr., a exhorté les pays membres à quitter l'OMS :

« Comme de nombreuses institutions traditionnelles, l'OMS est paralysée par une bureaucratie excessive, des paradigmes bien ancrés, des conflits d'intérêts et des jeux de pouvoir internationaux.

Si les États-Unis ont toujours fourni la majeure partie du financement, d'autres pays, comme la Chine, ont exercé une influence indue, au service de leurs propres intérêts.

La coopération mondiale en matière de santé reste essentielle pour le président des États-Unis et moi-même, mais elle ne fonctionne pas très bien sous l'égide de l'OMS, comme le démontrent les échecs de la pandémie de COVID-19. J'exhorte les ministres de la Santé du monde entier et l'OMS à considérer notre retrait de l'organisation comme un signal d'alarme ».

 

Personne sur cette planète n'a voté pour ce traité et, pire encore, personne ne sera autorisé à le critiquer : le projet initial de traité sur la pandémie contenait des dispositions contre la « désinformation » et les « infodémies ». 

Le texte adopté a atténué les restrictions à la liberté d'expression. 

Il exige « simplement » que les États membres diffusent « des informations opportunes, transparentes, exactes, fondées sur des données scientifiques et factuelles » afin de contrer les « récits trompeurs » pendant les pandémies. 

Toutefois, la boîte à outils de l'ONU s'est enrichie d'un autre instrument, le « Pacte mondial numérique » (PMN), qui vise à rendre impossible toute critique de ce nouveau règne de te rreur de l'ONU et de l'OMS.

 

Le PMN est un nouvel outil de censure totalitaire dont la fonction est de réduire au silence tout opposant au progressisme mondialiste. 

La seule information qui compte a été enterrée à la fin, au paragraphe 30 du PMN :

« Nous devons de toute urgence contrer et traiter... toutes les formes de discours de haine et de discrimination, de désinformation et de mésinformation...

Nous établirons et conforterons des mesures solides d'atténuation des risques et de réparation...

Nous nous engageons d'ici 2030 à : (a)...

Développer, en consultation avec toutes les parties prenantes, des méthodologies efficaces pour mesurer, surveiller et contrer toutes les formes de violence et d'abus qui surviennent dans l'espace numérique... exiger des plateformes de médias sociaux qu'elles mettent en place des mécanismes de signalement sûrs, sécurisés et accessibles pour que les utilisateurs et leurs défenseurs puissent signaler d'éventuelles violations des politiques. »

 

L'OMS est une agence des Nations Unies qui a pour objectif « officiel » de « promouvoir la santé, assurer la sécurité mondiale et servir les personnes vulnérables ».

 L'OMS reçoit une part importante de son financement de la Fondation Bill & Melinda Gates, contrôlée conjointement par l'activiste milliardaire lui-même, militant du climat et de la mondialisation, et par son ex-femme Melinda. 

La Fondation Bill & Melinda Gates a été pendant quelques années le deuxième plus grand donateur de l'OMS, après les États-Unis – avant que le président Donald J. Trump, dès son entrée en fonction en 2025, ne retire les États-Unis de l'organisation.

« Qu' une fondation privée devienne le principal donateur de l'OMS, serait une véritable révolution », a déclaré en 2020 Lawrence Gostin, directeur de la faculté de l'Institut O'Neill de l'Université de Georgetown et directeur du Centre collaborateur de l'OMS sur le droit national et mondial de la santé. 

À l'époque où l'OMS a été fondée, il « aurait été inimaginable » a-t-il ajouté, qu'une fondation privée dispose d'une telle influence. 

« Un seul riche philanthrope semble être en position de définir l'agenda de la santé mondiale », a déclaré Gostin, faisant référence à Gates.

Mais aujourd'hui tout semble possible.

 À commencer par laisser Gates et l'industrie pharmaceutique mettre l'OMS et ses États membres dans leurs poches, tout en leur donnant un pouvoir illimité.

 

Christine Anderson, députée allemande au Parlement européen du parti Alternative pour l'Allemagne, a déclaré ce mois-ci :

« Ils ont compris quelque chose pendant la COVID : ils ne pouvaient brider la liberté autant qu'ils le voulaient car, en démocratie, si un politicien va trop loin, il risque de ne pas être réélu.

La solution ?

Transférer l'autorité à un organisme non élu comme l'OMS. Ainsi, lorsque des mesures draconiennes seront imposées – confinement, vaccination obligatoire, ou quoi que ce soit d'autre – ils pourront dire : « Ah, nous n'y sommes pour rien.

Nous avons les mains liées. C'est l'OMS qui décide. »

 

Les modifications apportées à la réglementation sanitaire confèrent à l'OMS un pouvoir sans précédent ; au point que l'ancienne ministre de l'Intérieur britannique, Suella Braverman, a averti :

« Les propositions d'amendements au règlement sanitaire international de l'OMS et son prochain Traité sur la pandémie représentent la menace la plus grave pour la souveraineté nationale depuis une génération.

« Dans ces cadres juridiques se trouvent des propositions qui permettraient aux responsables non élus de l'OMS de déclarer des urgences de santé publique et d'émettre des recommandations, notamment sur les confinements, les fermetures de frontières et les exigences en matière de vaccins. »

 

Ces amendements à la règlementation incluent les passeports vaccinaux numériques et l'incitation à utiliser des outils numériques pour la documentation médicale.

 Les passeports vaccinaux numériques, non encore obligatoires, pourraient le devenir.

 Certains amendements rejetés incluaient des propositions de documents de santé numériques obligatoires et des dispositions pour l'approbation des certificats de vaccination en cas d'urgence, et même pour des vaccins en phase de recherche.

Il est insensé que les gouvernements nationaux aient conféré autant de pouvoir à l'OMS, une institution corrompue qui n'est comptable de rien, et qui s'est déshonorée en se mettant au service de Gates, de l'industrie pharmaceutique, et de la Chine communiste.

Pendant la Covid-19, l'OMS et le « Dr » Tedros ont même félicité la Chine pour sa gestion « extraordinaire » de la pandémie

. À ce jour, rien n'a été tenté pour que l'hypocrite OMS cesse de relayer la propagande du Parti communiste chinois sur le virus.

 La Chine non plus, n'a jamais payé le prix de son comportement. 

Non seulement, Pékin a répandu le virus dans le monde, mais il a délibérément menti sur sa transmissibilité interhumaine.

 

L'OMS reconnait qu'environ 15 millions de personnes sont mortes du Covid, un virus dont elle a refusé d'enrayer la propagation avant qu'il ne se transforme en pandémie.

 Et aujourd'hui, nous voilà priés d'agir comme si de rien n'était et d'attendre les instructions et conseils de l'OMS en cas de pandémie potentielle.

 En juin 2024, l'Union européenne a qualifié d' « historique » la modification des règles sanitaires.

 Le mot « historique » est juste, mais pas dans le sens que lui donne l'UE.

 

Comment cette OMS, non élue et corrompue, peut-elle être autorisée à déterminer l'irruption d'une pandémie et les moyens à mettre en place pour y faire face ? 

Cette OMS-là, doit-elle se voir conférer le pouvoir de recommander des restrictions, de vous confiner, d'interdire l'école à vos enfants et de vous obliger à vous vacciner ? 

Souhaitez-vous que le « Dr » Tedros décide de votre mode de vie ?

 

À l'évidence, compte tenu de ses performances passées, l'OMS poursuivra des objectifs strictement politiques sous couvert de « santé publique ». Selon Braverman :

« L'OMS insiste sur la nécessité pour le monde d'être préparé. Mais préparé à quoi ? Et aux conditions de qui ?

Il n'est pas difficile d'imaginer une future crise – réelle ou perçue – où les intérêts politiques se déguiseraient en santé publique, surtout à une époque où la censure numérique et la mainmise idéologique sont de plus en plus normalisées. »

 

Ce scénario imaginé par Braverman qui verrait des questions de santé publique servir de masque à des intérêts et projets politiques n'a rien de tiré par les cheveux.

 En mai 2024, l'OMS a déclaré :

« Dans un appel retentissant à l'action, la soixante-dix-septième Assemblée mondiale de la Santé a reconnu le changement climatique comme une menace sanitaire mondiale.

Elle a adopté une résolution affirmant le besoin urgent de mesures décisives pour parer aux immenses risques sanitaires posés par le changement climatique.

« La résolution, soutenue massivement par les États Membres, présente un aperçu de la menace existentielle que le changement climatique fait peser sur la santé humaine.

L'Assemblée de la Santé affirme qu'une action radicale est impérative pour préserver la santé de la planète, et souligner l'interdépendance entre durabilité environnementale et santé publique. »

 

Qu'est-ce que cela signifie ? 

Selon l'OMS et ses États membres (vos gouvernements), la santé publique est désormais étroitement liée au « changement climatique ».

 Si le militant climatique Bill Gates et ses acolytes de l'OMS en ont envie, ils peuvent déclarer une « pandémie climatique », imposer des confinements et déployer toutes les mesures qu'ils jugent nécessaires « pour sauver la planète ». 

En fait, depuis la Covid-19, Tedros, le corrompu sème la peur à l'aide de « prédictions » alarmistes selon lesquelles une nouvelle pandémie est « inévitable ».

Il y a une raison à cela : sans un risque « pandémique » omniprésent, imminent et aux sonorités terribles, l'OMS n'aurait aucune légitimité à concentrer entre ses mains autant de pouvoir. 

Cette confiscation du pouvoir peut générer un risque totalitaire incontrôlable, à moins que les législateurs de tous les pays ne se dressent pour exiger que leur gouvernement s'oppose aux amendements du Règlement sanitaire international – et s'en retirent.

Bienvenue au « ministère de la Vérité » de George Orwell. Les législateurs du monde entier doivent agir en urgence au nom des citoyens qui les ont élus.

 Aucun gouvernement ici ne semble avoir à cœur les intérêts de ses citoyens. Le temps presse, et vite.

 

Par Robert Williams est basé aux États-Unis.

 

Source et Publication :   https://fr.gatestoneinstitute.org/21719/organisation-mondiale-sante

 




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LE BILAN DE MACRON EST PLOMBÉ PAR DES INCOHÉRENCES, DES LOUVOIEMENTS ET D' UN ÉGO PROBLÉMATIQUE !

 


 

 REVUE DE PRESSE !

JDD, Régis Le Sommier • 

Relations internationales : les échecs à répétition du président Macron

Emmanuel Macron et Vladimir Poutine, en mai 2017 à Versailles. © Anthony Quittot

Par Régis Le Sommier.

Ce remarquable journaliste, homme de terrain et de réflexion, grand reporter qui ne hante pas que les plateaux TV mais surtout toutes les zones à haut risque, toutes les zones en guerre ou en conflit de la planète, sait toujours de quoi il parle et le dit en termes clairs, le synthétise de façon simple et exacte.

 Cet article, de la veine que nous venons de tenter de décrire est paru hier (1.07) dans le JDD.   

 

  

Tout commence le 29 mai 2017, sous les auspices du Roi-Soleil. 

Alors que rien ne l’y oblige, c’est à Versailles qu’Emmanuel Macron décide ce jour-là de recevoir Vladimir Poutine.

 Il vient à peine d’être élu. 

Moins d’un an auparavant, François Hollande avait signifié au même Poutine qu’il n’était pas le bienvenu en France.

 Les Russes venaient de mettre leur veto à l’arrêt des bombardements à Alep. 

Qu’importe, Macron veut tout changer.  On sait ce qu’il en est ressorti.  Quasiment rien. 

Le 18 février 2022, alors que s’annonce l’invasion de l’Ukraine, c’est un Poutine fort peu reconnaissant qui reçoit Macron au bout d’une table dont la longueur dit l’abîme qui s’est creusé entre les deux pays.

Le président français ne désarme pas.

 Il multiplie les coups de fil avec le Kremlin.

 L’Élysée diffuse un clip vidéo pour sa campagne électorale où l’on entend la voix de Poutine

 Les Russes sont furieux. C’est la rupture. 

Emmanuel Macron se place alors à l’avant-garde des partisans d’une aide appuyée à l’Ukraine, quitte à y envoyer des troupes, une mesure que même un pays résolument antirusse comme la Pologne n’envisage pas.

 

Burkina Faso

En 2017 toujours, Emmanuel Macron se rend à Ouagadougou.  

« Quelque part, vous me parlez comme si j’étais toujours une puissance coloniale, dit-il aux étudiants. 

Mais moi, je ne veux pas m’occuper de l’électricité dans les universités au Burkina Faso ! C’est le travail du président. » 

Les étudiants sont hilares. 

Vexé, le président Roch Marc Christian Kaboré quitte la pièce.

 « Du coup, il s’en va, fait Emmanuel Macron qui semble surpris. Reste là ! » 

 Et il ajoute, croyant détendre l’atmosphère : « Il est parti réparer la climatisation »

 L’incident, inutile, laissera plus de traces que le gouvernement français l’imagine.

 

Liban

En 2020, deux mois après la double explosion du port de Beyrouth, le président français se rend cette fois au Liban

 Il tient les partis libanais pour responsables des maux du pays, promet que les coupables seront châtiés, que l’aide internationale arrivera. 

 Encore aujourd’hui, rien de tout cela ne s’est produit. 

Cameroun Les bourdes diplomatiques s’accumulent. 

Au sommet de Montpellier sur l’Afrique, en octobre 2021, la France met à l’honneur les sociétés civiles et les diasporas, en excluant les leaders des pays concernés. 

Une faute de débutant quand on connaît le respect des hiérarchies des sociétés africaines.

 On peut citer aussi plus tard le projet de visite au Cameroun de Jean-Marc Berthon, ambassadeur pour les droits des personnes LGBT. 

Visite annulée car les autorités de ce pays, où l’homosexualité est criminalisée, ne veulent pas entendre parler de ces questions…

 

Niger

Il reste le Niger. Édifice fragile, mais personne ne semble s’en rendre compte… 

Lorsque la nouvelle du putsch parvient à Paris, le 31 juillet 2023, les autorités françaises condamnent aussitôt.

 La France risque de perdre une source d’approvisionnement en uranium et surtout la base aérienne autour de laquelle, depuis nos replis du Mali et du Burkina, s’articulent nos missions de lutte contre le djihadisme au Sahel.

 Le 31 août, les militaires au pouvoir au Niger décrètent que notre ambassadeur, Sylvain Itté, « ne jouit plus de privilèges et immunités attachés à son statut de membre du personnel diplomatique de l’ambassade de France ».

 Les choses empirent à la suite d’une allocution d’Emmanuel Macron dans laquelle il dit : « Je pense que notre politique est la bonne. 

Elle repose sur le courage du président Bazoum [qui a été renversé et est séquestré], sur l’engagement de notre ambassadeur sur le terrain qui reste malgré les pressions, malgré toutes les déclarations d’autorités illégitimes. »

  L’ambassadeur assiégé, presque prisonnier dans son ambassade, finit par partir. 

En Afrique de l’Ouest, le recul se poursuit et les Russes sont à l’affût.

En 2016, la fin de l’opération « Sangaris » en RCA avait ouvert les portes du pays à la milice Wagner. 

Depuis, elle a proposé ses services au Mali, au Burkina, au Soudan et à la Libye

 Après le Niger, c’est le Tchad qui réclame notre départ à la suite d’une visite du ministre des Affaires étrangères Jean-Noël Barrot.

 Même exigence au Sénégal, flambeau de la francophonie, où des politiques entendent que l’on retire les noms des personnalités françaises des rues de Dakar.  

« Je crois qu’on a oublié de nous dire merci. Ce n’est pas grave, ça viendra avec le temps, dira le président français. 

 L’ingratitude, je suis bien placé pour le savoir, c’est une maladie non transmissible à l’homme », ajoute-t-il. 

Comme dans tout ce qu’il accomplit, ce n’est jamais lui qui a tort. 

Sur l’Algérie, il tarde à réagir alors que l’écrivain Boualem Sansal est arrêté.

 La France apparaît comme faible alors que, lorsque Rima Hassan est arrêtée par les Israéliens devant Gaza, Paris exige aussitôt sa libération.

 Deux poids, deux mesures…

De revirement en revirement, la position française devient illisible

 

Gaza

Gaza justement.  La confusion domine lorsqu’on se remémore la position diplomatique française sur le conflit au départ. 

Emmanuel Macron avait proposé de réaffecter les moyens déployés dans la lutte contre Daech contre, cette fois, le Hamas. 

Brutalement ensuite, le président français a des mots très durs vis-à-vis d’Israël

 De revirement en revirement, la position française, qui au départ se veut médiatrice, dans la tradition gaullo-mitterrandienne, devient illisible.

 Macron s’attire les foudres des deux partis, jusqu’à proposer de reconnaître l’État palestinien, pour ajourner le sommet où il devait le faire à la suite de l’attaque contre l’Iran. 

À noter que, sur ce sujet, il lui arrive d’avoir des éclairs de lucidité, comme lorsqu’il rappelle que bombarder un pays depuis les airs n’a jamais conduit à sa libération.

 

Iran

Entre-temps, il est devenu la cible favorite de Donald Trump : « Le président Emmanuel Macron, de France, pour se faire de la publicité, a dit par erreur que j’avais quitté le sommet du G7 au Canada pour retourner à Washington pour travailler à un “cessez-le-feu” entre Israël et l’Iran. 

Faux ! » tempête-t-il sur son réseau Truth Social. 

« Volontairement ou pas, Emmanuel ne comprend jamais rien », conclut-il… 

Donald Trump va d’échec en échec notamment dans ses projets de paix.

 Ne pouvant pas systématiquement envoyer promener qui bon lui semble, il se rabat souvent sur le président français, pas toujours de façon justifiée. 

Mais c’est comme si, avec Macron, Trump savait qu’il n’y aura aucune conséquence…

 En matière internationale, le bilan du chef de l’État est plombé par des louvoiements, des incohérences, et un égo souvent problématique…  ■ 

 

Par  RÉGIS LE SOMMIER      https://www.jesuisfrancais.blog/2025/07/02/jdd

 

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