TRIBUNES LIBRES !
Ces ordures, lâches devant les dealers, envoient les tanks contre les paysans de l’Ariège

Nous l’avouons, nous avons davantage confiance en notre ami Alain de Peretti que dans le ministère de l’Agriculture du gouvernement Macron.
Aussi, quand Alain nous dit que la dermatose nodulaire n’est pas transmissible à l’homme et ne représente aucun danger, nous le croyons, parce que son vécu parle, comme le confirme l’appel qu’il a lancé il y a quelques jours.
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Cet argument est repris lors d’un reportage de Frontières, présent sur place.
« Ce n’est pas une maladie très grave : la mortalité avoisine 5 %. La dermatose nodulaire contagieuse n’est pas transmissible à l’homme et n’altère quasiment pas la qualité de la viande ou du lait. » : @Baudouin_wissel
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— Frontières (@Frontieresmedia) December 11, 2025
Quand les paysans comme Sébastien Béraud ou Pierre-Guillaume Mercadal nous disent que c’est monstrueux d’abattre des troupeaux par centaines pour des raisons bidons, et que cela cache la volonté de détruire l’agriculture française pour briser notre souveraineté alimentaire et imposer les règles du Mercosur, nous avons tendance à les croire.
Et quand, en Ariège, parce que c’est la goutte d’eau qui fait déborder le vase, tout un département et toute une profession se mobilisent, parce qu’on va abattre deux cents bêtes supplémentaires, qui ne représentent aucun danger pour le consommateur, nous avons tendance à soutenir ces paysans, parce que leur discours nous parle et nous va droit au cœur, bien que nous ne soyons pas, pour la plupart d’entre nous, des spécialistes des questions agricoles.
Mais quand nous voyons l’appareil d’État qui se met en place contre les agriculteurs, quand nous voyons des véritables tanks, appelés des Centaure, s’en prendre aux véhicules des paysans, durement achetés à la sueur de leur travail, et que nous voyons l’État de Macron s’en prendre à eux comme s’ils étaient des délinquants, quand ils foutent une paix royale aux racailles et aux dealers, présents sur 1500 points en France, alors, oui, nous traitons d’ordures et de salauds tous les complices de cette agression contre le peuple français et ses paysans qui ne veulent pas mourir.
Les forces de l’ordre déblaient la route et retournent les véhicules en travers. Un canon à eau et des blindés type Centaure sont en route pour déloger le rassemblement aux Bordes-sur-Arize. pic.twitter.com/LWPLoyXzLB
— Baudouin Wisselmann (@Baudouin_wissel) December 11, 2025
Ils ont tout fait pour saboter le mouvement, mais les paysans les plus déterminés ne sont pas tombés dans le piège.
C’est un esprit de résistance qui se dessine dans l’Ariège, et on peut penser que cohabitent peut-être des gauchistes et des patriotes, unis contre un régime qui gaze les paysans, mais aussi les bêtes qui vont mourir, asphyxiées.
Nous sommes vraiment dirigés par des ordures.
Ordures, Macron, Lecornu, la ministre de l’Agriculture, le gouvernement, le préfet…
Ordures, les forces de l’ordre complices ! Ils ne connaissent pas l’histoire des braves pioupious du 17e ?
https://www.youtube.com/watch?v=MBLW22wHnTw
Ordures les députés qui ont sauvé Lecornu, en votant leur plan pourri qui va creuser le déficit de la Sécu de 17 milliards à 24 milliards et qui, encore pire, ont sauvé Macron.
Ordures les vétérinaires qui, alors qu’ils sont payés pour soigner les bêtes, les abattent sans vergogne.
Ordures tous les politicards qui depuis 40 ans laissent crever nos campagnes et arrosent de milliards les banlieues islamisées pour acheter la paix sociale, tout en continuant à imposer des millions d’immigrés, majoritairement musulmans, à nos compatriotes, dans un pays par ailleurs ruiné.
À l’heure où nous bouclons cet édito, nous ignorons comment les choses vont tourner cette nuit.
Mais il est évident que la haine de ce régime va s’aggraver et que des représailles contre tous les symboles de l’État, ses préfectures, ses commissariats, ses gendarmeries, ses tribunaux, sans parler des permanences de députés collabos, vont souffrir.
Et peut-être pas seulement eux…
ET AUSSI
Ariège : On ne massacre pas un troupeau impunément

On croyait avoir tout vu : l’industrialisation des terres, la mise au pas des campagnes, la réduction du vivant à des tableaux Excel.
Mais voilà qu’aujourd’hui, au nom d’une DNC brandie comme un talisman bureaucratique, on exécute des troupeaux entiers, on rase des lignées, on efface cent ans de sélection comme on clique sur “supprimer”.
C’est un monde qui s’effondre, et il faudrait encore applaudir ?
Il faudrait encore se taire ?
Le crime : tuer le vivant au nom de la gestion du vivant, et abattre des animaux pour ne pas qu’ils meurent !
Un troupeau n’est pas un stock. Une vache n’est pas un produit périmé.
Un animal n’est pas remplaçable.
Chaque bovin porte une mémoire génétique unique, tissée par le temps, par les terroirs, par la sueur d’hommes et de femmes qui travaillent avec le vivant — pas contre lui.
Et pourtant, on abat. On abat en masse.
On abat pour rien : par réflexe, par protocole, par confort administratif.
On détruit même la viande, à grand renfort de camions, comme si la planète croulait sous la nourriture.
Quel luxe répugnant : gaspiller des tonnes de viande consommable pendant que des éleveurs voient leur vie partir à l’équarrissage.
La trahison : quand ceux qui devraient protéger deviennent les agents du désastre
La profession vétérinaire institutionnelle devrait être la gardienne des valeurs de la vie.
Guérir, accompagner, comprendre.
Mais une partie de ses structures s’est muée en bras armé bureaucratique de la procédure : on valide des abattages comme on approuverait une commande de fournitures.
Où est passé la vocation de soigner ?
Les associations de protection animale, si promptes à s’indigner pour un chien oublié dans une voiture, restent muettes face à des centaines de bovins condamnés sans procès.
Là, plus de cris, plus de vidéos larmoyantes. Silence radio.
Quant aux porte-étendards de l’écologie de salon, il faudrait leur rappeler une vérité simple :
les prairies existent parce que les vaches y vivent, les paysages survivent parce que les paysans les entretiennent, la biodiversité se maintient parce que l’élevage extensif structure les écosystèmes.
Mais non : depuis leurs bureaux citadins, ils rêvent d’un monde “naturel” sans paysans — un désert de friches stériles sous un vernis vert, couvert d’éoliennes et de « fermes » photovoltaïques.
Et que dire de nos médias « labellisés » qui préfèrent disserter des derniers soubresauts d’un système à l’agonie plutôt que braquer les projecteurs sur ce qui se passe dans nos campagnes ?
Le refus : les paysans ne se laisseront pas effacer
On pensait les éleveurs résignés, dociles, voués à l’effacement. Erreur fatale.
Une colère sourde monte des campagnes, une colère de racines, de terre, de bêtes vivantes.
Les tracteurs bloquent les routes.
Les éleveurs veillent leurs troupeaux condamnés comme on veille des martyrs.
Les collectifs se lèvent, les voix se libèrent, et les mensonges officiels se fissurent.
Parce qu’à un moment donné, il faut dire NON.
Non à la mort automatique.
Non au sacrifice du vivant.
Non à ce système qui détruit au lieu de protéger.
La vérité : ce ne sont pas les paysans qu’on abat — c’est notre avenir
À chaque bête qu’on tue pour satisfaire un protocole, à chaque lignée qu’on efface pour éviter un examen, c’est notre rapport au vivant qu’on mutile.
L’agriculture paysanne ne demande pas la charité.
Elle réclame la raison, la science, la prudence — la vraie, pas celle qui tue à l’aveugle.
Ce texte est une alerte. Un cri.
Une rupture du silence.
Parce qu’on ne massacre pas un troupeau impunément.
Parce qu’on ne balaye pas un patrimoine génétique comme de la sciure.
Parce qu’on ne piétine pas ceux qui nourrissent le pays sans provoquer une révolte de dignité.
La résistance paysanne ne fait que commencer.
Et cette fois, elle ne se laissera plus étouffer.
L’Ariège est une terre de résistance, souhaitons que s’y produise l’étincelle qui enflammera la plaine et qui mettra fin à ce cauchemar !
Par Alain de Peretti
Source et Publication : https://ripostelaique.com
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