vendredi 12 septembre 2025

LE COMMUNIQUÉ DE LA PRÉSIDENTE DE L' INSTITUT " POUR " LA JUSTICE !

 


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Chère Madame, cher Monsieur, 
 

 

Ce visage me hante. 

 

Ce visage si beau, qui se crispe de peur, de douleur et qui rend son dernier souffle.

La photo de cette jeune femme a fait le tour du monde. 

La vidéo de sa mise à mort aussi. 
 

Cela se passe dans le métro de la ville de Charlotte aux Etats-Unis. Irina, réfugiée ukrainienne de 23 ans, s’installe dans la rame.

 

 Elle envoie un texto à son petit ami pour lui dire qu’elle sort de la pizzeria où elle travaille, qu’elle vient le retrouver. 
 

Mais le passager derrière elle en a décidé autrement. 
 

D’un seul coup, il se lève et assène un coup de couteau dans le cou d’Irina.

 Le choc est rapide mais très violent.

 La jeune femme se recroqueville sur elle-même.

 

 Son bourreau, un Afro-Américain de 34 ans, quitte le train tranquillement en disant “je l’ai eue cette blanche”. 
 

Les passagers autour n’ont pas moufté.

 

 La vidéo qui a circulé sur les réseaux sociaux est glaçante : on les voit rester immobiles quand Irina se fait agresser, et ils ne bougent pas davantage lorsqu’elle s’effondre sur le sol. 

 

Tout est pitoyable.

 Ce criminel qui s’en prend à Irina, sa détresse à elle, qu’on lit sur son visage et qui nous prend aux tripes, la passivité des gens autour. 

 

Irina était arrivée aux Etats-Unis pour fuir la guerre.  

 

Sa famille la croyait en sécurité loin des bombes. 

Quelle ironie. 
 

Ses proches ignoraient certainement que si les Etats-Unis ne sont pas en guerre, ils sont quand même malades de la Justice idéologique qui sévit dans certains états. 

 

Le tueur d’Irina avait déjà eu 12 condamnations. Il était sorti de prison en 2020, après avoir purgé une peine de cinq ans pour un vol à main armée. 
 

Probablement schizophrène, sa mère a blâmé publiquement la justice de l’avoir libéré. 

 Elle le savait dangereux.

 

 Elle. Elle avait bien voulu voir et reconnaître ce que la Justice refuse trop souvent : il existe des gens dangereux dont il faut protéger la société. 
 

Un homme sur le réseau social X a bien résumé la chose en mettant comme légende à cette tragique photo “L’Amérique ne sera plus jamais la même”. 
 

Cet homme, c’est Charlie Kirk. 

Son nom ne vous disait probablement rien avant hier. 
 

Mais aux Etats-Unis, il était une figure de la droite conservatrice, un militant politique très talentueux. 

Il était écouté et suivi par 7 millions de personnes sur Instagram, près de 4 millions sur YouTube. 
 

En plus d’émissions en podcast, il animait notamment des rencontres appelées 

Prouvez-moi que j’ai tort” lors desquelles le micro était ouvert à toutes les personnes désirant débattre avec lui.

 

 Parce que oui, 

Charlie Kirk appartenait à la droite conservatrice et était un véritable démocrate, qui aimait le débat et la joute politique plus que quiconque. 
 

Il a été abattu mercredi alors même qu’il débattait sur le campus d’une université. 

 

Il a reçu une balle dans le cou, et il est mort quelques heures plus tard. 

 

Laissant derrière lui une femme et deux petites filles. 

Il aurait eu 32 ans le mois prochain. 
 

Je vais vous faire grâce des horreurs que j’ai lues sur les réseaux sociaux depuis la mort de Charlie Kirk. 

Vous avez peut-être entendu des réactions indignes dans les médias, certains commentateurs ont tenté d’expliquer que “lorsque l’on sème le vent, on récolte la tempête”…. et que pour ne pas être abattu, peut-être aurait-il fallu que Charlie Kirk ne milite pas auprès de Donald Trump. 

 

C’est hallucinant. 

 

Certains de nos donneurs de leçons en chefs, sont à deux doigts de nous dire que finalement, il l’avait un peu cherché… 

 

On marche sur la tête. 

 

Et je suis très inquiète parce que très souvent, ce qui naît aux Etats-Unis arrive chez nous. 

 

Voyez la théorie du genre ou le wokisme. 
 

En France, aujourd’hui, les gens qui s’engagent sur le terrain des idées reçoivent des menaces et des intimidations. 

 

 Le témoignage d’Erik Tegner, rédacteur en chef du média Frontières en est l’exemple même. Il a raconté hier être suivi et menacé par un individu parfaitement identifié, qui a déjà fait de la prison pour une attaque au couteau il y a quelques années.

 

Erik Tegner raconte que bien sûr, son affaire a été devant le tribunal.

 

 Mais la juge de la liberté et de la détention s’est montrée particulièrement laxiste puisque l’homme a été placé sous un contrôle judiciaire absurde…

 

il doit pointer une fois par semaine au commissariat. 
 

Les policiers, eux-mêmes, sont désolés pour Erik Tegner qui confesse avoir peur pour sa vie et qui hésite, certains jours, à tout arrêter. 
 

Erik Tegner a 31 ans, lui aussi. 

 

Alors que va-t-il se passer ? 

 

Si tous les gens qui ont des valeurs, des idées et qui s’engagent sont menacés, ils finiront par renoncer

 

 Et on ne pourra pas leur en vouloir. 

 

Leur sécurité et celle de leur famille passent avant tout. 

 

Mais cela en dit long sur notre société qui dérive. 

 

La gauche totalitaire ne veut pas débattre. 

 

Mais elle ne veut pas non plus que vivent les idées qui ne sont pas les siennes. 

 

Non, elle veut réduire au silence ses opposants, par quelque moyen que ce soit.

 C’est très grave. 

 

“Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’à la mort pour que vous ayez le droit de le dire ».

 

 Le fameux mot que Voltaire n’a jamais prononcé semble bien loin aujourd’hui. 
 

On entend plutôt la gauche totalitaire dire : “Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, et je vous battrai jusqu’à la mort pour que vous vous taisiez »

 

Juste après la mort de Charlie Kirk, Damien Rieu, influenceur de droite très actif sur les réseaux sociaux, a reçu plus de 32 000 menaces de mort. 

 

32 000 menaces de mort.

 

 Ces apologies de crimes et ces menaces de mort sont des infractions pénales. 

 

Si seulement la Justice se montrait à la hauteur ! 

 

Bien trop rongée par son idéologie, comment lui faire confiance ? 

 

La protection des victimes est-elle vraiment sa priorité ? 

 

Il y a beaucoup à perdre dans ce combat, mais il faut le mener.

 

 L’Institut pour la Justice est et sera toujours avec ceux qui disent la vérité, voient la réalité et affrontent l’insécurité. 


On ne nous réduira pas au silence, bien au contraire. 

 

Mais soyez à nos côtés.

 

 Nous avons besoin de vous pour continuer à nous battre, à débattre, à faire avancer nos idées, convaincre le plus grand nombre et changer les choses. 

 

Faites, si vous plaît, un don, même minime, à l’Institut pour la Justice. 

 

Merci beaucoup.

JE FAIS UN DON

Vive la jeunesse courageuse et engagée par amour pour la France et les Français.

 

Bien sincèrement,

Axelle Theillier
Présidente de l'Institut pour la Justice

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L'Institut pour la Justice est une association loi 1901 en faveur d'une Justice plus protectrice des citoyens et plus équitable vis-à-vis des victimes.

 





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