TRIBUNE LIBRE !
La France de Macron livre les patriotes aux futurs assassins de la gauche Pol Pot
La mort de Charles Kirk est un événement qui a bien sûr des conséquences énormes aux États-Unis, mais aussi en France et dans toute l’Europe.
Elle crée, dans notre pays, deux phénomènes complémentaires. Les militants de la gauche totalitaire, que nous appellerons la gauche Pol Pot, se prennent à rêver de la grande épuration qu’ils appellent de leurs vœux.
Sur les réseaux sociaux, ils fantasment à l’idée que des milices, comme dans les régimes communistes, exécuteraient des milliers de « fachos », qu’ils soient influenceurs, journalistes ou hommes politiques.
Par contre, ceux qui ont un engagement patriotique ne peuvent que s’identifier à Charles Kirk et se dire qu’ils sont des cibles potentielles pour les psychopathes de gauche, et ils n’ont hélas pas tort.
Le fondateur de Frontières, Erik Tegnér, déjà agressé par des gauchistes à Plouha, a révélé sur le plateau de Christine Kelly la réalité de menaces de mort subies de la part d’un islamiste, mis en liberté par un salaud de juge, et les conséquences que cela implique dans sa vie professionnelle et privée.
La jeune Louise Morice, agressée à l’Assemblée nationale par des députés de gauche, témoigne elle aussi de ses inquiétudes.
Ce midi sur Europe 1, @erik_tegner a mis des mots sur ce que nous vivons depuis plus d’un an : des menaces qui s’accumulent, jour après jour, un conflit de loyauté déchirant entre notre engagement et notre sécurité.
À deux ans de la présidentielle, je suis convaincu que la… pic.twitter.com/VSA6mmvh37
— Louise Morice (@louise_morice_) September 11, 2025
Nous pourrions ajouter, bien que les médias n’en aient guère parlé, qu’après l’Apéro saucisson pinard et les Assises internationales contre l’islamisation de nos pays, des repérages ont été organisés par les islamistes de Forsane Alizza sur les lieux d’habitation connus des principaux organisateurs, et que Christine Tasin a dû, sur les conseil des services de renseignements, déménager précipitamment, l’État se disant incapable d’assurer une protection efficace de sa personne.
Que dire des jeunes patriotes, militants du FN, de Reconquête, de la Cocarde, de l’Uni, agressés et menacés régulièrement, insultés, salis, obligés de prendre des précautions quotidiennes pour survivre, tout simplement, dans un milieu hostile ou indifférent ?
Que dire des demandes d’interdiction, parfois couronnées de succès, qui frappent toutes nos initiatives militantes, comme les rassemblements contre l’invasion migratoire de nos campagnes, mais aussi des spectacles culturels comme Mémoires de la Cité à Moulins ou Le Canon Français à Bourges ?
Comment tolérer les intimidations qui se développent contre ceux qui veulent passer outre les oukases de la gauche Pol Pot ?
La vérité est là, toute nue, toute crue. L’État français protège des miliciens, des assassins en puissance, des nostalgiques de Staline, Mao ou Pol Pot qu’elle laisse attaquer des réunions publiques au nom d’un alibi bidon contre un prétendu péril fasciste.
L’État français laisse des journalistes mentir aux Français, en faisant passer des patriotes sincères pour des nostalgiques d’Adolf Hitler.
L’État français laisse des juges pourris condamner lourdement les meilleurs de ses enfants, parce qu’ils ne veulent pas que notre pays meure, quand ils relaxent les agresseurs gauchistes et les racailles islamisées.
Les politiciens français cautionnent, par idéologie pour la gauche, et par lâcheté pour la droite, cette chasse aux patriotes qui s’organise dans notre pays depuis cinquante ans, et qui s’accélère dangereusement parce que nos idées sont devenues majoritaires et que la gauche est prête à tout pour empêcher qu’elles ne s’appliquent.
Un excellent article de Julien Dir, sur Breizh Info, met des mots intéressants sur cette situation.
Mais évitons la démagogie, une trop grande partie du peuple français, par sa lâcheté devant ces agressions, et surtout dans les urnes, est complice de ce totalitarisme qui s’installe en France et des menaces que subissent les meilleurs des nôtres.
Pour protéger ses enfants, un gouvernement patriote devra désarmer les milices gauchistes, et frapper durement les agresseurs, mettant fin à leur impunité.
Il devra assécher les finances de ces groupes, associations, syndicats et partis politiques, qui, grâce à des dizaines de milliers de permanents, payés par nos sous, permettent à la gauche d’imposer sa terreur et sa violence aux Français qui veulent sauver leur pays.
Il est important, certes, de comprendre la guerre idéologique qui nous est menée, et il faut faire circuler cette vidéo de l’ancien agent soviétique Youri Bezmenov, qui explique comment on pourrit la jeunesse d’un pays, et comment on inverse toutes les valeurs pour déstabiliser une Nation.
Mais nous ne sommes plus seulement dans l’analyse de la situation, nous devons entrer dans une résistance physique plus active.
Dans l’article mentionné ci-dessus, l’auteur concluait par ces phrases.
Charlie Kirk est tombé parce qu’il incarnait ce que la gauche ne supporte pas : la jeunesse de droite, belle, joyeuse, confiante, prête à s’opposer au rouleau compresseur idéologique.
Sa mort ne doit pas nous abattre, mais nous réveiller.
Comme les attentats qui ont visé Trump, elle rappelle une évidence : la guerre politique n’est plus seulement symbolique, elle est physique.
Alors, cessons de nous bercer d’illusions.
L’ennemi est devant nous, et il nous considère comme des ennemis à abattre.
À nous d’intégrer cette réalité, de cesser de tendre la joue, et de nous préparer aux luttes qui viennent.
Charlie Kirk n’est pas seulement une victime : il est un signal, un martyre.
L’histoire retiendra son nom, non comme celui d’un mort parmi d’autres, mais comme celui d’un homme tombé parce qu’il refusait de se taire.
Regardez bien leur gueule, aux Mélenchon, Panot, Bompard, Portes, Arnault, Léaument, Obono, Garrido, Corbière, Tondelier, Faure, Vallaud, Brossat, Roussel, Taché, à tous ces miliciens qui se disent antifascistes, à tous ces chefs syndicaux qui prétendent défendre les travailleurs, tous ces journaleux à la Legrand-Cohen ou Aphatie qui donnent des leçons de déontologie, à tous ces juges pourris du Syndicat de la Magistrature, ils portent sur eux les traits haineux de tous les assassins totalitaires et des ennemis de la liberté.
Ils sont prêts à justifier tous les assassinats des nôtres, au nom des valeurs de la République et de la démocratie.
Ils sont prêts à livrer le pays aux islamistes, plutôt que de nous permettre de sauver la France.
Dans ce contexte, il est important de ne pas être une cible sans défense face à l’ennemi.
Les représailles, cela a toujours existé, même si l’État français interdit aux nôtres de se défendre.
La peur peut et doit changer de camp.
Il ne faut donc jamais oublier cette phrase, reprise par Robert Paturel, formateur au GIGN : plutôt jugé par douze que porté par six.
Ni celle-ci : pour un oeil les deux yeux, pour une dent, toute la gueule…
Source : https://ripostelaique.com/la-france-de-macron-
Soutien total à Erik Tegnér menacé de mort !
Soutien total à Erik Tegnér menacé de mort !
Il y a un peu plus d’un mois, Erik Tegnér, victime d’une agression pendant ses vacances en Bretagne, recevait le soutien de Synthèse nationale et de la droite nationale locale, Reconquête! en tête. cliquez ici et cliquez là.
Aujourd’hui, il est menacé de mort par un islamiste d’origine marocaine laissé en liberté. Synthèse nationale salue son engagement, son courage et lui renouvelle tout son soutien.
Depuis plusieurs années, les insultes, les menaces, les agressions plus ou moins violentes (sans parler des interdictions et des dissolutions injustifiées) se multiplient contre les contempteurs de la pensée conforme, à commencer par les nationaux, nationalistes et identitaires.
Et ce dans la plus parfaite impunité, le plus souvent.
Cet état de fait n’a que trop duré.
Que les pouvoirs publics agissent, rapidement et fermement, avant que l’irréparable ne soit commis contre l’un de ces opposants !
Par Roland Hélie
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