mercredi 3 décembre 2025

LA MACRONIE ? UNE CARCASSE VIDE ! LA FAUSSE DROITE CHERCHE UN RÉANIMATEUR !

 

La macronie ? 

Une carcasse vide

Frederic Legrand - COMEO / Shutterstock

Le dernier baromètre Ifop-Fiducial a beau porter la griffe du Figaro, il pourrait figurer sans rougir dans un manuel de sciences politiques pour étudiants de première année : quand un pouvoir s’épuise, l’électorat se tourne vers les figures qu’il identifie comme capables d’assumer la rupture. 

Ce qui ressort de cette enquête, c’est un double mouvement brutal : l’effondrement de toute dynamique présidentielle… et la cristallisation autour du tandem Bardella – Le Pen.

Le RN conforté dans sa position de premier bloc politique

Les Français ne s’y trompent pas : selon le sondage, Jordan Bardella demeure de loin la candidature souhaitée par le plus grand nombre. 

Quatre Français sur dix aimeraient le voir se présenter, un score auquel aucun autre prétendant ne s’approche vraiment. 

Marine Le Pen suit de près, malgré les incertitudes judiciaires qui l’empêchent pour l’heure de s’afficher en candidate. 

L’opinion semble avoir tranché : que ce soit l’héritière ou son successeur, le courant national reste la seule force politique solide, identifiable, cohérente.


Les chiffres sont implacables.

 Trois quarts des sondés sont persuadés que Bardella sera dans la course.

 Autrement dit : la société a intégré son rôle de prétendant sérieux. 

La normalisation du RN n’est plus un débat d’éditorialistes ; c’est un fait sociologique.

Le bloc central en pièces détachées

Face à cela, la macronie ressemble à une carcasse politique que chacun démonte pour récupérer quelques pièces avant la mise à la casse. 

Édouard Philippe, jusqu’ici présenté comme l’homme du consensus, voit son attractivité reculer. 

Gabriel Attal et Gérald Darmanin suscitent davantage de pronostics que de désirs : les Français pensent qu’ils seront candidats — mais sans en vouloir véritablement.

Vous retrouvez là l’éternel mirage du centre : une multitude d’itinéraires personnels, aucune colonne vertébrale collective. 

Ce que le sondage révèle, c’est moins la force du RN que le vide sidéral laissé par le macronisme finissant. 

Après huit ans de règne, il ne reste rien.

La (fausse) droite à la recherche d’un réanimateur

Du côté des Républicains, c’est l’hémorragie. Bruno Retailleau, pourtant l’une des rares voix structurées du camp conservateur, chute lourdement.

 Wauquiez ne décolle pas, Bertrand stagne. 

Chacun avance, mais sans souffle. 

Les Français ne leur ferment pas la porte, mais ils n’y discernent pas davantage l’ombre d’un renouveau.

La décomposition de la droite traditionnelle est désormais une constante des analyses politiques : ce sondage ne fait que confirmer l’incapacité de ce camp à produire un visage, un récit, une volonté.

Une gauche morcelée, sans figure, sans élan

Côté gauche, rien ne change : une dispersion totale, des ambitions concurrentes, une absence de leader naturel. 

Raphaël Glucksmann devance les autres, mais sans créer la moindre dynamique populaire. 

Mélenchon, malgré ses outrances, conserve un socle de crédibilité interne — au point que 60 % des Français pensent qu’il tentera une quatrième fois sa chance. 

Une gauche qui mise sur Mélenchon pour exister prouve qu’elle ne sait plus ce qu’elle veut être.

Les Français ne croient plus en la république

Au fond, ce sondage raconte quelque chose de simple : les électeurs ne croient plus en ceux qui incarnent la continuité du pouvoir. 

 Ils n’attendent plus rien d’un système qui a produit confiscation démocratique, immobilisme économique, chaos migratoire et déclassement social.

Le seul bloc jugé capable d’incarner une rupture cohérente reste le RN — avec toutes les questions que cela pose, et toutes les peurs que cela réveille chez ceux qui se croyaient installés pour l’éternité.

Une élection qui s’annonce sismogénique

Si la tendance perdure, l’élection de 2027 pourrait devenir l’un des plus grands télescopages entre les élites politiques et l’opinion depuis des décennies. 

Le sondage du Figaro n’est pas un épiphénomène : c’est un thermomètre. 

Il dit la fièvre, la fatigue, la lassitude, et peut-être l’envie d’autre chose.

Il reste un an et demi, mais les lignes sont déjà tracées. 

Le bloc central s’essouffle. 

Le bloc national s’installe.

 La gauche flotte.

 La droite se cherche. 

L’équation est simple : plus rien n’est figé, sauf le besoin de changement.

 

Source :https://lalettrepatriote.com/ vide/ 

 

ET AUSSI

La France de Macron, laboratoire mondial de la censure numérique


Le rapport de Pascal Clérotte et Thomas Fazi, publié le 3 septembre 2025 sous le titre « Comment la France a inventé le complexe industriel de censure », est une enquête édifiante sur la manière dont l’État français a systématiquement construit, depuis des décennies, un dispositif de contrôle et de restriction de la liberté d’expression en ligne. 

Ce travail, produit pour Civilization Works et basé sur les « Twitter Files France », révèle comment la France de Macron est devenue le laboratoire d’un modèle de censure institutionnalisée, mêlant lois, pressions politiques, activisme d’ONG financées par l’État, et collaboration avec les géants du numérique.

L’originalité de ce rapport réside dans sa démonstration : la censure ne s’impose pas seulement par la loi, mais par un écosystème complexe où l’État, les ONG, les médias, et les plateformes numériques agissent de concert pour imposer une orthodoxie idéologique. 

Les auteurs montrent que ce « complexe industriel de censure » ne se limite pas à la France, mais vise à s’exporter à l’échelle européenne, voire mondiale, sous couvert de lutte contre la désinformation et les discours de haine.

Le rapport replace la genèse de ce système dans l’histoire récente. 

Dès 1972, la loi Pleven contre le racisme et l’antisémitisme pose les bases d’un arsenal juridique utilisé pour restreindre la liberté d’expression. 

Mais c’est sous la présidence d’Emmanuel Macron, à partir de 2018, que ce dispositif se systématise.

 Les auteurs montrent comment l’État français a instrumentalisé des ONG (SOS Racisme, LICRA, UEJF, SOS Homophobie) pour contourner les limites légales de la censure préventive, en les utilisant comme relais pour exercer des pressions sur les plateformes numériques.

 

1. Les racines historiques et juridiques du complexe censuro-industriel

C’est sous la présidence d’Emmanuel Macron, à partir de 2018, que le dispositif de censure se systématise et prend une dimension industrielle. 

Le rapport montre comment l’Élysée a joué un rôle central dans la coordination entre les ministères, les ONG, et les plateformes numériques pour imposer une censure toujours plus stricte des contenus en ligne.

1.1. La loi Pleven (1972) : un socle juridique pour la censure

Le rapport replace la genèse du complexe censuro-industriel dans l’histoire juridique française. 

Dès 1972, la loi Pleven crée un délit de provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence envers une personne ou un groupe en raison de son origine ou de son appartenance religieuse. 

Si cette loi était initialement présentée comme un outil de lutte contre le racisme, elle a progressivement été utilisée pour restreindre la liberté d’expression, notamment en criminalisant des opinions ou des débats légitimes.

Clérotte et Fazi soulignent que cette loi a ouvert la voie à une judiciarisation croissante de la parole, où des associations et des ONG peuvent se porter parties civiles pour faire condamner des propos, même en l’absence de victime directe. 

Ce mécanisme a été renforcé par les lois successives, notamment la loi Gayssot (1990) sur la contestation des crimes contre l’humanité, et plus récemment, les lois contre le cyberharcèlement et la haine en ligne.

1.2. Le rôle des ONG : des relais de l’État pour contourner la loi

L’un des mécanismes les plus pernicieux mis en lumière par le rapport est l’utilisation d’ONG   (SOS Racisme, LICRA, UEJF, SOS Homophobie) comme instruments de censure indirecte. 

Ces organisations, financées par des subventions publiques ou la commission de Bruxelles, agissent en tant que « forces de l’ordre privées » : elles signalent massivement des contenus, intentent des poursuites judiciaires, et exercent des pressions publiques pour imposer aux plateformes des pratiques de censure bien plus strictes que ce que la loi autorise.

Le rapport cite des cas concrets où ces ONG ont exigé un accès aux données internes de Twitter, et ont poussé à la mise en place de systèmes de censure automatisée, permettant une censure préventive des contenus jugés « problématiques ». 

Ces pratiques contournent l’interdiction légale pour l’État d’imposer une telle censure, en délégant cette tâche à des acteurs privés.

 

2. La collaboration avec les géants du numérique et l’exportation du modèle français

2.1. Le régime Macron et Twitter : une relation de pression et d’influence

Les « Twitter Files France » révèlent des échanges internes montrant que l’Élysée, sous Macron, a cherché à établir un contact direct avec les dirigeants de Twitter pour influencer les politiques de modération.

 Le rapport cite des courriels et des comptes-rendus de réunion où des responsables français exigent la suppression de comptes ou de tweets, et poussent à l’adoption de mécanismes de censure préventive.

Un épisode particulièrement révélateur est la tentative de Macron d’obtenir de Jack Dorsey la suppression de comptes critiques envers sa politique migratoire ou sa gestion de la crise des Gilets jaunes. 

Ces pressions ont parfois abouti, malgré l’absence de base légale claire [1].

2.2. Le Digital Services Act (DSA) : une censure européenne sous influence française

Le rapport analyse aussi le rôle de l’Union européenne, notamment via le Digital Services Act (DSA), qui permet de sous-traiter à l’Europe une censure inconstitutionnelle aux États-Unis, contournant ainsi le Premier amendement. 

Clérotte et Fazi montrent comment la France a été un acteur clé dans la promotion de ce texte, qui impose aux plateformes numériques des obligations de modération toujours plus strictes, sous peine d’amendes colossales.

Le DSA, présenté comme un outil de régulation des contenus haineux, est en réalité un mécanisme de contrôle idéologique, où des concepts flous comme la « désinformation » ou la « haine en ligne » servent à justifier la suppression de contenus légitimes. 

Le rapport cite des exemples de comptes ou de publications suspendus pour avoir critiqué la politique migratoire européenne ou les mesures sanitaires pendant la crise du Covid-19.

2.3. Exemples concrets de résistance et de contournement

Face à ce système, des résistances s’organisent. Par exemple, des médias indépendants comme Le Média ou Sud Radio, ainsi que des chaînes YouTube comme Thinkerview, continuent de couvrir les affaires de censure et de donner la parole à des voix marginalisées.

 Des outils comme les VPN, les navigateurs axés sur la vie privée (Brave, Tor), ou les plateformes décentralisées (Mastodon, PeerTube) permettent de contourner la censure et de préserver l’anonymat.

Des initiatives comme « Censored.fr » ou les observatoires de la censure recensent les cas de suppression de contenus et les pressions sur les plateformes, offrant une contre-information précieuse.

 

3. La « sécurité cognitive » et le panoptique numérique

3.1. VIGINUM et la lutte contre les « fake news » : une nouvelle forme de censure

Le rapport consacre une section importante à l’analyse du concept de « sécurité cognitive », popularisé par des rapports comme ceux de VIGINUM (Vigilance et protection contre les ingérences numériques). 

Ce concept, présenté comme une réponse à la menace des « fausses nouvelles » et des ingérences étrangères, sert en réalité de prétexte à une surveillance de masse et à une conformité narrative imposée.

Clérotte et Fazi montrent comment VIGINUM, en collaboration avec des ONG et des médias, a contribué à la création d’un « panoptique numérique » : un système où la menace d’amendes écrasantes, la délégation de la censure aux ONG, et le contrôle algorithmique visent à éliminer l’anonymat et à imposer une orthodoxe idéologique.

 

3.2. L’élimination de l’anonymat et le contrôle algorithmique

Le rapport souligne aussi les tentatives du régime Macron pour éliminer l’anonymat en ligne, via l’imposition d’identifiants numériques ou la vérification systématique des comptes.

 Ces mesures, présentées comme des outils de lutte contre la cybercriminalité, sont en réalité des instruments de contrôle social, permettant de tracer et de sanctionner les utilisateurs dont les opinions dérangent.

Parallèlement, les plateformes sont incitées à adopter des algorithmes de censure toujours plus agressifs, capables de détecter et de supprimer automatiquement des contenus jugés « problématiques ». 

Ces algorithmes, souvent opaques et biaisés, sont conçus en collaboration avec les ONG et les autorités, ce qui renforce la censure préventive.

 

4. Propositions concrètes pour contrer le complexe censuro-industriel

4.1. Actions juridiques et politiques

a. Dénoncer et attaquer les abus des ONG subventionnées

  • Porter plainte pour abus de procédure : Les ONG comme la LICRA, l’UEJF ou SOS Racisme utilisent systématiquement les poursuites judiciaires pour faire taire des opinions. Il est possible de contre-attaquer en déposant des plaintes pour abus de procédure, harcèlement judiciaire, ou atteinte à la liberté d’expression. 
  • Des avocats spécialisés dans la défense des libertés numériques (comme ceux du Syndicat des avocats de France ou de l’Observatoire des libertés numériques) peuvent accompagner ces démarches ;
  • Exiger la transparence des financements publics : Utiliser les outils de la loi sur la transparence (CADA, demandes d’accès aux documents administratifs) pour obtenir et publier les montants et les conditions des subventions publiques accordées à ces ONG. Rendre publics les liens entre ces associations et l’État.

b. Contester les lois liberticides

  • Saisir le Conseil constitutionnel et la CEDH : plusieurs lois (loi Avia, loi contre les fake news, DSA) sont contestables au regard de la Constitution et de la Convention européenne des droits de l’homme.
  •  Des recours collectifs peuvent être organisés, avec le soutien d’associations de défense des libertés (LDH, Quadrature du Net, etc.) ;
  • Mobiliser les élus critiques : soutenir et relayer les propositions de loi visant à abroger ou à réformer les textes les plus liberticides, portées par des députés ou sénateurs opposés à la censure (ex : groupe LR, RN, ou certains LFI).

c. Protéger les lanceurs d’alerte et les médias indépendants

  • Créer un fonds de défense juridique : mettre en place une caisse de solidarité pour financer les procédures judiciaires des journalistes, blogueurs ou citoyens poursuivis pour leurs opinions ;
  • Promouvoir le statut de lanceur d’alerte : étendre la protection des lanceurs d’alerte aux cas de censure ou de pression sur les plateformes numériques.

 

4.2. Solutions technologiques et alternatives numériques

a. Utiliser et promouvoir des plateformes décentralisées

  • Migrer vers des réseaux sociaux alternatifs : encourager l’utilisation de plateformes comme Mastodon, Bluesky, ou Rumble, qui offrent une modération plus transparente et moins soumise aux pressions étatiques. Mais ils sont dominés par la gauche et l’extrême gauche ;
  • Soutenir les projets open-source : financer et promouvoir des alternatives open-source aux géants du numérique (ex : PeerTube pour la vidéo, Matrix pour la messagerie, WriteFreely pour les blogs).

b. Contourner la censure algorithmique

  • Utiliser des outils de contournement : VPN, navigateurs axés sur la vie privée (Brave, Tor), et extensions anti-censure (uBlock Origin, Privacy Badger) pour accéder à des contenus bloqués [2] ;
  • Créer des miroirs de sites censurés : héberger des copies de sites ou de comptes suspendus sur des serveurs à l’étranger ou via des réseaux décentralisés (IPFS).

c. Développer des outils de vérification citoyenne

  • Lancer des observatoires de la censure : créer des bases de données collaboratives (comme « Censored.fr ») pour recenser les cas de censure, les signalements abusifs, et les pressions sur les plateformes ;
  • Former à l’auto-hébergement : organiser des ateliers pour apprendre à héberger soi-même ses contenus (blogs, vidéos, podcasts) et à sécuriser ses communications.

 

4.3. Stratégies médiatiques et contre-narratifs

a. Créer et amplifier des médias indépendants

  • Lancer des médias alternatifs : soutenir ou créer des sites, chaînes YouTube, podcasts, ou newsletters dédiés à la dénonciation de la censure et à la diffusion d’informations non filtrées par le complexe censuro-industriel ;
  • Collaborer avec des journalistes critiques : travailler avec des reporters indépendants (comme ceux de Le Média, Sud Radio, ou des chaînes YouTube comme Thinkerview) pour couvrir les affaires de censure et les pressions étatiques.

b. Dénoncer les mécanismes de censure

  • Publier des enquêtes et des rapports : rédiger et diffuser des contre-rapports, comme celui de Clérotte et Fazi, pour exposer les méthodes de censure et les acteurs impliqués ;
  • Utiliser l’humour et la satire : créer des contenus viraux (mèmes, vidéos parodiques, comptes Twitter satiriques) pour ridiculiser les censeurs et sensibiliser le grand public.

c. Organiser des campagnes de mobilisation

  • Lancer des pétitions et des appels : mobiliser l’opinion publique via des pétitions (Change.org, MesOpinions) ou des tribunes collectives pour exiger la fin des pressions sur les plateformes ;
  • Boycotter les annonceurs complices : identifier et cibler les entreprises qui financent (via la publicité) les médias ou les ONG complices de la censure, et organiser des campagnes de boycott.

 

4.4. Mobilisation citoyenne et éducation populaire

a. Former et informer le public

  • Organiser des conférences et des débats : inviter des experts (juristes, journalistes, chercheurs) pour expliquer les mécanismes de la censure et les moyens de s’en protéger ;
  • Créer des guides pratiques : diffuser des fiches synthétiques sur les droits en ligne, les recours possibles, et les outils pour contourner la censure.

b. Construire des réseaux de solidarité

  • Créer des groupes locaux de résistance : mettre en place des collectifs (associations, groupes Telegram, listes de diffusion) pour échanger des informations, organiser des actions, et soutenir les victimes de censure ;
  • Soutenir les victimes : offrir un accompagnement juridique, médiatique et technique aux personnes censurées (aide à la réactivation de comptes, hébergement de contenus, relais médiatique).

c. Agir politiquement

  • Interpeller les élus : organiser des rencontres avec des maires, députés, ou sénateurs pour les sensibiliser à la question de la censure et leur demander de s’engager contre les lois liberticides ;
  • Participer aux consultations publiques : répondre massivement aux consultations de l’ARCEP, de la CNIL, ou de la Commission européenne pour défendre la liberté d’expression et s’opposer aux projets de régulation abusive.

Conclusion : Une résistance multiforme et déterminée

Le complexe industriel de censure mis en place en France n’est pas une fatalité. 

En combinant actions juridiques, solutions technologiques, contre-narratifs médiatiques et mobilisation citoyenne, il est possible de le contrecarrer et de défendre la liberté d’expression.

 L’enjeu est de taille : il s’agit de préserver l’espace public numérique comme lieu de débat démocratique, face à ceux qui veulent en faire un instrument de contrôle idéologique.

Par Jean Lamolie

[1] Sur X la censure macroniene est omniprésente. Les comptes de la mouvance patriote sont systématiquement bloqués

[2] Vérification faite sur ces réseaux  seules la gauche et l’extrême gauche sont présentes. Il faudrait que la mouvance patriote les investisse.

 




Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire