jeudi 11 décembre 2025

L' INSTITUT POUR LA JUSTICE DANS L' ÉMISSION " COMPLÉMENT D' ENQUÊTE "

 

J’ai été interviewé par Complément d’enquête !

Courriel de Pierre-Marie Sève - Institut pour la Justice : J’ai été interviewé par Complément d’enquête !

détails


Chers amis,


Il y a quelques semaines, un journaliste de l’émission Complément d’enquête nous a écrit. 


Il nous a expliqué faire un sujet sur “les juges et les citoyens”.


Et dans ce cadre, il a pensé à nous (nous sommes flattés !) et voulait nous interviewer.


Pour être honnête, je me doute bien que Complément d’enquête n’a pas pour but d’aider à transmettre les propositions de l’IPJ.


Mais, c’est une émission du service public (que nous finançons tous) et elle est très regardée.

 Et puis, on n'est jamais à l’abri d’une bonne surprise dans le montage...


Alors, j’ai accepté.


Nous avions rendez-vous dans un café de Paris où nous avons l’habitude d’organiser nos rendez-vous.


 

Un entretien cordial


Le journaliste était là, avec son cadreur.

 Après quelques plans de coupe, nous avons débuté l’entretien.


Celui-ci devait durer 45 minutes et il a finalement duré 1h15 ! 

J’ai répondu à une quarantaine de questions ! C’est long !


Le journaliste, accompagné de son caméraman, m’a interrogé sur notre vision de la Justice, sur notre documentaire, mais surtout… sur l’IPJ.


Je pensais parler “Justice”, et les ¾ de l’entretien portaient finalement sur l’Institut pour la Justice :


  • Quels sont nos financements ? Réponse : 13 000 Français ordinaires… 0 subvention, 0 milliardaire. Et non, Pierre-Edouard Stérin ne finance pas l’IPJ…


  • Nos pétitions sont-elles “bidonnées” avec de fausses signatures ? Evidemment que non. Ce serait stupide de notre part, et nous avons même ajouté une sécurité anti-robots sur nos pétitions depuis un an.


  • Et nous avons évidemment eu le droit à “êtes vous d’extrême droite ?”. 

    Réponse : nos principales propositions sont partagées par 80-90% des Français… 

    Si c’est ça être d’extrême droite…


 

Bref, l’entretien était long, mais cordial, car l’IPJ n’a pas de secret à cacher.


Sur 40 questions, il y en a évidemment 2 ou 3 où j’étais surpris, donc moins à l’aise, mais ce sont des questions assez connexes…


Mais, je regrette cependant la fin de l’entretien…


 

L’entretien sans fin


Car le journaliste m’a posé une “dernière question”.

 Puis, une autre “dernière question”. 

Puis une autre…


Bref, j’ai compris que cela n’allait jamais s’arrêter.

 Or, nous avions convenu d’un horaire qui s’étirait sérieusement.


J’ai donc dû me lever seul et prendre unanimement congé de mon interlocuteur qui exigeait de continuer l’entretien.


Pas très classe de sa part, car selon le montage, cela pourrait donner l’impression que je ne voulais pas répondre à ces questions…


Mais heureusement, nous avons également tout enregistré de notre côté ! L’enregistrement est clair, je n’ai rien voulu esquiver !

 

Pourquoi avoir accepté ?


Récemment, l’émission Complément d’enquête s’est illustrée en niant le lien immigration et délinquance.


Clairement, cette émission n’a pas envie de promouvoir une Justice plus protectrice des victimes et des citoyens.


 

Nous le savons très bien. 

Mais, nous avons accepté de les recevoir.


  1. D’abord, car c’est bon signe que ce genre d’émission s’intéresse à l’IPJ. Cela montre que nous gênons le statu quo sur la Justice.
  2. Deuxièmement, car, que nous acceptions ou non l’entretien, Complément d’enquête a décidé d’enquêter sur nous. Autant avoir une chance de faire entendre notre point de vue.
  3. Et enfin, car l’IPJ se sent réellement droit dans ses bottes. Comme toujours, il est toujours possible de chercher la petite bête. 


Mais, nous sommes confiants en notre sincérité et notre professionnalisme…


C’est d’ailleurs grâce à vous.


L’Institut pour la Justice compte 13 000 membres donateurs, et c’est grâce à ces membres  que nous pouvons faire notre travail avec confiance et indépendance.


L’émission Complément d’enquête devrait sortir au printemps 2026. 

 

Certes, je ne m’attends pas à grand-chose de positif, mais je pense que nous ne pouvions pas faire mieux !


D’ici là, je vous tiendrai au courant des avancées de l’affaire…


Si vous n’êtes pas encore membre de l’Institut pour la Justice, faites un don maintenant.

 Pour que l’Institut pour la Justice continue à rester réellement indépendant, des Français ordinaires doivent s’engager.

JE FAIS UN DON

Un grand merci d’avance !


Avec tout mon dévouement,


Pierre-Marie Sève

Directeur général de l'Institut pour la Justice

 


 

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