Jean-Marie Le Pen et Brigitte Bardot : le même amour de la France et de la liberté
Vues : 1 847
On savait que cela arriverait un jour, mais on avait envie que cela soit le plus tard possible.
On se doutait que Jean-Marie Le Pen, à 96 ans, ne serait pas éternel, mais on aurait aimé qu’il vive jusqu’à cent ans.
On n’ignorait pas que Brigitte Bardot, à 91 ans, nous quitterait un jour, mais pas tout de suite…
Mais on ne pouvait pas deviner que cela arriverait la même année, en 2025, lors de la première semaine pour le fondateur du Front national, et lors de la dernière semaine pour notre Brigitte nationale.
Tous deux ont eu des parcours différents, mais le même amour de la France et de sa grandeur. Ils n’ont jamais craint de s’engager totalement au service de leurs convictions, quitte à en payer le prix cher.
Ils incarnaient la France, mais aussi et surtout la liberté, sans laquelle notre pays n’est plus ce symbole que le monde entier nous enviait.
Ils n’hésitaient pas, chacun avec leurs mots, à expliquer leur refus d’une colonisation à l’envers, d’une invasion, des pratiques barbares qui n’avaient rien à faire sur notre sol. Ils aimaient le parler vrai, le parler cru.
Bien sûr, ils l’ont payé cher, tout au long de leur vie, par des campagnes de presse haineuses à leur encontre, et également par de nombreux procès.
De minables procureurs de la République, des misérables maîtres-censeurs croyaient qu’à coups de procès, de condamnations et de lourdes amendes, voire de menaces de prison, il feraient taire ces deux indomptables patriotes, épris de liberté.
Jusqu’au bout, ils sont restés ce qu’ils ont été toute leur vie : des belles personnes, des combattants au service de la France, qui n’ont jamais caché leur mépris pour les collabos et les traîtres qui dirigent ce pays depuis trop longtemps.
Brigitte Bardot méritait ce magnifique hommage que lui rend, dans les colonnes de Synthèse nationale, Patrick Parment.
La mort de Brigitte Bardot nous touche car au-delà de l’actrice, il y avait une femme aux convictions profondes qui défendait une certaine idée de la France très éloignée de la tambouille que la gauche et le mainstream nous vendent depuis des décennies.
Elle était l’incarnation d’une France gauloise, sans gauloiserie pour autant, que défendaient aussi les Gilets jaunes auxquels elle avait apporté son soutien.
Il n’est pas interdit de dire non plus qu’elle fut l’une des plus belles femmes indo-européennes qui soit, renvoyant Marilyn Monroe au niveau de mère Teresa.
On ne saurait lui reprocher non plus d’avoir cédé aux avances de tous ces hommes qui lui cavalaient après, de Gilbert Bécaud à Serge Gainsbourg.
Tout comme elle fut le phantasme de bien des gamins boutonneux ou pas.
Bien évidemment, les médias officiels ne s’en tiennent qu’à l’actrice, omettant de signaler au passage qu’elle était contre l’immigration, l’islam, l’abattage halal des animaux, le communautarisme et le métissage de notre pays.
Pas par racisme mais bien pour la défense et le respect de notre identité culturelle.
C’est aussi la raison pour laquelle elle ne se privait pas de critiquer cette classe politique, indigne à ses yeux, veule et lâche.
On ne peut que lui pardonner sa défense parfois excessive des animaux, mais son combat était noble.
Et, en la matière, elle a fait reculer bien des pratiques comme celle concernant le massacre des bébés phoques.
D’autant que sa parole dépassait largement nos frontières.
Oui, Brigitte Bardot était une icône et la République gaullienne ne s’y est pas trompée en la prenant comme modèle, en 1968, pour la statue de Marianne figurant dans toutes nos mairies.
Elle incarnait la France que nous aimons. Adieu Brigitte et merci.
On ose espérer que Macron ne tuera pas une deuxième fois Brigitte Bardot en se mettant en scène pour lui rendre hommage au nom de la Nation, lui qui incarne tout ce que la sublime actrice détestait.
Source : https://ripostelaique.com/jean-marie-le-pen-et-brigitte-bardot-

Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire