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Emmanuel Macron et son obsession de museler la parole sur Internet
Depuis qu’il est aux manettes, Emmanuel Macron affiche une obsession : contrôler internet, museler les réseaux sociaux.
Ce n’est pas un hasard, c’est un projet politique assumé ;
derrière l'illusion d’un « débat » sur les « menaces pour la démocratie »
vient se profiler l’unique objectif : réduire au silence ce
contre-pouvoir si précieux, celui des peuples français et européens.
Car voilà la vérité : dans leur œil se dessine la crainte de cette
gronde populaire qui s’exprime, de cette réalité brute qu’ils ne
contrôlent pas. Ils veulent verrouiller le flux, filtrer le verbe,
interdire la parole libre.
Et pour ce faire, Macron s’appuie sur des
mécanismes d’État, mais aussi sur cette machinerie lourde qu’est la
Commission européenne : des entités non-élues qui, derrière des
injonctions idéologiques, entendent réguler, surveiller, rendre
infertile l’espace d’expression.
Ne vous y trompez pas : ce « débat » annoncé n’est qu'une mascarade.
Une de plus.
Le but n’est pas d’écouter, de comprendre ou de dialoguer, mais de préparer les mesures qui vont calibrer la parole.
Censure ou quasi-censure des réseaux sociaux, voilà le futur qu’ils nous dessinent. Ils paniquent devant la vérité, ils tremblent devant la colère qui monte.
Leur Système vacille, et que fait-on quand on sent l’effondrement arriver ?
On devient autoritaire, on fracasse les libertés.
Macron proclame vouloir « protéger la démocratie » mais c’est justement
la démocratie qu’il étouffe.
En silence - ou presque - se construit la version électronique de l’ordre moral d’État. Pour eux, la liberté d’expression est une menace.
Pour nous, elle est la dernière barricade.
Et tant que flottera la voix du peuple sur les réseaux, ils ne dormiront
pas tranquilles : d’où cette entreprise de neutralisation qu’ils
appellent « réforme ».
Thomas Joly -
Président du Parti de la France
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