mardi 3 juin 2025

LE MEURTRE D' HICHEM MIRAOUI ! NOUS SOMMES DANS UN ÉTAT DE SOUMISSION ! LA FRANCE DANS LA REPENTANCE !

 REVUE DE PRESSE !

Fusillade mortelle dans le Var: qui était Hichem, 35 ans, tué pour des motifs racistes?

Ce lundi 2 juin, le village de Puget-sur-Argens se réveillait sous le choc du meurtre d’Hichem Miraoui, ressortissant tunisien et coiffeur apprécié de tous. 

Le parquet national antiterroriste s’est saisi de ce dossier.

P. Zamari 
 Publié le 02/06/2025 à 18:31, mis à jour le 03/06/2025 à 11:37

En ce lundi matin, l’émotion est forte sur la rue du général de Gaulle, au cœur de Puget-sur-Argens. 

C’est là que la victime du meurtre de samedi soir travaillait depuis plusieurs années, dans le salon de coiffure  "Facekoop coiffure".

Devant la vitrine, de nombreux habitants sont spontanément venus déposer des hommages fleuris, en dévoilant l’identité de la victime, "Hichem Miraoui".

 Les autorités n’ont pas confirmé cette identité ce lundi, mais plusieurs Pugétois rencontrés l’ont fait, "même si pour tout le monde, c’était simplement Hichem ". 

Selon nos informations, son scooter a bel et bien été retrouvé devant son domicile, où le drame a eu lieu.

"C’était quelqu’un de très gentil, de très respectueux, jamais un mot plus haut que l’autre, et toujours prêt à aider quiconque, même des inconnus ", témoignent Marie, Anne, Yvette et Marouel, qui peinent à cacher leurs émotions. 

"C’était un Tunisien, comme moi, on était proches, c’était comme un frère ", poursuit Marouel Gharssali, très ému. 

"Il était originaire de Kairouan, et moi de Byzerte. 

Il était connu ici dans le village, mais en bien uniquement, pour sa gentillesse. 

Avant de s’installer aux Meissugues, il avait habité pendant plusieurs années un petit studio en haut de la rue. Il aimait tout le monde, et je crois pouvoir dire que tout le monde l’aimait aussi..."

"Quelle horreur, c’était un si brave jeune homme"

Devant le salon de coiffure, très émus eux aussi, Sofiane et Rayane, deux collègues d’Hichem ont le plus grand mal à cacher leur peine. 

"Il était très serviable, très gentil. C’est un vrai drame ce qu’il s’est passé... "

Passant inopinément par là en promenant son chien, Mégane découvre le décès d’Hichem.

 "Quelle horreur, c’était un si brave jeune homme, il coiffait mon fils de cinq ans, et s’entendait si bien avec lui...

 Prise par l’émotion, la jeune femme disparaît, avant de revenir quelques minutes plus tard avec sa compagne, Angy, pour déposer un mot en hommage au jeune homme tué sur la devanture de la boutique. 

"Il était si doux, si calme... Il avait un petit oiseau, dans une cage, dans le salon de coiffure.

 Quand il coiffait notre fils, il le sortait, pour qu’il puisse le caresser ".

 Source :  https://www.varmatin.com


 SUR TWITTER

@ThomasJoly732
 
Le meurtre d’Hichem Miraoui à Puget-sur-Argens est un drame. 
 
Un meurtre sordide, terrible, comme il en existe malheureusement dans toutes les sociétés humaines. 
 
La justice doit passer.  Le coupable doit être puni.
 
 Mais ce qui est fascinant – ou plutôt consternant – c’est l’instrumentalisation frénétique, délirante, presque hystérique de ce fait divers par l’ensemble du système politico-médiatique. 
 
 Qu’un différend de voisinage, aussi ignoble soit-il, déclenche la saisie du parquet antiterroriste, que le Ministre de l'Intérieur, Bruno Retailleau, se précipite pour rencontrer l’ambassadeur tunisien, penaud, tête basse, comme un collégien pris en faute, voilà qui dit tout de l’état de soumission mentale dans lequel se trouvent nos gouvernants.
 
 Les réactions politiques sont d’une indécence rare. Toute la gauche, et même une partie de la droite – ou ce qu’il en reste – y voit un « climat raciste » instauré par « l’extrême-droite ». 
 
Même Marine Le Pen et Jordan Bardella se sentent obligés de hurler avec les loups, suppliant - en vain - la presse de gauche de leur accorder le brevet de l’antiracisme républicain.
 
 Mais de qui se moque-t-on ? 
 
Ce meurtre est certes tragique mais il est isolé.
 
 Il ne traduit aucune dynamique collective, aucun « climat », aucune stratégie idéologique. 
 
En revanche, les agressions quotidiennes contre des Français de souche, dans l’indifférence politico-médiatique, traduisent bel et bien un basculement civilisationnel. 
 
Où est le parquet antiterroriste quand des jeunes femmes françaises sont violées par des migrants ? 
 
Où sont les ministres quand un Français est poignardé parce qu’il est blanc ? 
 
Où sont les caméras, les tweets, les larmes sur commande ?
 
 Ce battage n’a qu’un but : culpabiliser encore un peu plus le peuple français, le convaincre que le vivre-ensemble est une obligation morale et que tout refus en est une trahison.
 
 Mais ce drame révèle au contraire l’échec absolu du multiculturalisme.
 
 Quand des voisins ne peuvent plus vivre ensemble sans que le soupçon racial vienne tout parasiter, c’est que le modèle est mort.
 
 Définitivement.
 
 La France se dissout dans la repentance.
 
 Elle s’accuse, elle s’excuse, elle se renie. 
 
Mais cette mascarade ne trompe plus personne. 
 
  Thomas Joly -
 Président du Parti de la France
 
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