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Alors que la France s’apprête à subir une vague de chaleur extrême, avec plus de 11 degrés au-dessus des normales saisonnières, le gouvernement ose déclarer, par la voix d’Agnès Pannier-Runacher :
« Nous sommes prêts à affronter la canicule. »
Prêts où ça ?
- Les chambres d’hôpital ne sont pas climatisées.
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Les EHPAD n’ont aucun dispositif massif de rafraîchissement.
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Les écoles deviennent des étuves à ciel fermé, où les enfants et enseignants suffoquent sans qu’aucun plan structurel n’ait été mis en place.
La vérité, c’est que rien n’est prêt.
Et pourtant, la canicule tue.
Nous l’avons vu en 2003 : plus de 15.000 morts, majoritairement des personnes âgées et isolées.
Dans une déclaration consternante, Patrick Pelloux, médecin médiatique se réclamant de la gauche et ami de François Hollande, ose affirmer : « La climatisation aggrave le réchauffement climatique. »
Faut-il donc laisser mourir les Français pour sauver un dogme climato-taré ?
Quand les États-Unis maintiennent tout en dessous de 20°C, la France s’interdit la climatisation au nom d’une idéologie écologiste hors-sol
. En l’espèce, les escrologistes veulent sauver la planète mais provoquer la mort de ses habitants.
C’est un concept.
Cette logique « écologiste » n’a rien d’écologique : elle est climatophobe, inhumaine, anti-sociale et elle condamne à mort les plus vulnérables.
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Elle sacrifie nos aînés.
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Elle sacrifie nos malades.
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Elle sacrifie nos enfants.
Nous accusons l’État français de mettre en danger la vie de milliers de citoyens par obstination idéologique.
Nous refusons ce choix politique de l’abandon.
Nous exigeons la généralisation immédiate de la climatisation dans tous les lieux publics sensibles : hôpitaux, EHPAD, crèches, écoles.
Laisser mourir par idéologie n’est pas une politique : c’est un crime.
Un crime d’État dont le gouvernement est responsable.
Par Pierre-Nicolas Nups -
Secrétaire général du Parti de la France
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