mardi 3 juin 2025

POLOGNE : LE NATIONALISTE PATRIOTE KAROL NAWROCKI ÉLU PRÉSIDENT I

 REVUE DE PRESSE !

Nouveau désaveu pour Bruxelles !

 Tandis que France Inter criait lundi matin à la « catastrophe », les nationalistes français saluent la victoire du conservateur Karol Nawrocki en Pologne

Karol Nawrocki. Wojciech Olkusnik/East Ne/SIPA / © Wojciech Olkusnik/SIPA

Les méandres, nuances, contradictions de la politique polonaise sont souvent obscurs et, comme l’Histoire nous le rappelle, parfois dangereux pour l’ordre et la paix.

 En l’occurrence, c’est tout au moins, une nouvelle et salutaire menace qui se lève à l’Est à l’encontre de l’oligarchie bruxelloise dont les marges de manœuvre, si elles sont encore presque intactes, finiront bien par être atteintes si la contestation des peuples continue de grandir et que bascule le rapport des forces en Europe en leur faveur. 

C’est ce que nous souhaitons, en tout cas, dans ces colonnes.

 JSF   

Gouvernée par le centriste Donald Tusk, la Pologne confirme néanmoins avec ce vote son ancrage dans l’axe conservateur d’Europe centrale, composé du Premier ministre hongrois Viktor Orban et de son homologue slovaque Robert Fico, tous deux critiques de Bruxelles et promoteurs d’une souveraineté nationale forte.

 L’UE devra donc composer avec une ligne dure de Varsovie sur le sujet des frontières.

Le candidat défait, Rafal Trzaskowski, soutenu par la Plateforme civique de Donald Tusk, n’était pas pour autant un progressiste radical en la matière : le maire de Varsovie refusait la politique des quotas, entendait suspendre le droit d’asile pour les migrants arrivant de Biélorussie et proposait de limiter les aides sociales en faveur des réfugiés ukrainiens.

L’élection de Karol Nawrocki à la présidence de Pologne a été saluée par de nombreuses personnalités politiques en France.

La cheffe de file des députés du Rassemblement national, Marine Le Pen, a rédigé sur le réseau social X un message de félicitations.

 « Face à une Commission européenne dont les politiques autoritaires et les visées fédéralistes brutalisent les souverainetés nationales, la victoire de Karol Nawrocki à l’élection présidentielle polonaise est une bonne nouvelle, soutient la multiple candidate à la présidentielle. 

Elle est un désaveu pour l’oligarchie de Bruxelles qui entend imposer aux États membres une uniformisation de leur législation en dehors de toute volonté démocratique ».

Avec 50,90 % des voix, le national conservateur Karol Nawrocki , soutenu par le parti PiS, s’est imposé sur le fil face à son rival centriste, Rafal Trzaskowski, en promettant de combattre tout mécanisme contraignant issu du Pacte sur la migration et l’asile, de préserver l’identité nationale polonaise et de rejeter le fédéralisme européen.

 

Tacle à l’UE

Jordan Bardella a également adressé ses félicitations au candidat du PiS, parti conservateur de Pologne. 

« Le peuple polonais a parlé et son choix libre et démocratique doit être respecté, y compris par les dirigeants bruxellois qui espéraient ardemment sa défaite », lance le président du RN.

La victoire de l’historien de profession a également suscité la joie de Marion Maréchal.

 La députée Identité et Liberté a exprimé sa satisfaction sur X : « Félicitations à Nawrocki, et à nos alliés du PIS pour cette belle victoire à la présidentielle, en Pologne.

 L’Europe n’a jamais été aussi proche de basculer à droite ».

« Une claque pour l’Union européenne, un espoir pour tous les peuples qui refusent la soumission à une technocratie hors-sol, a de même jugé le président de Debout La France, Nicolas Dupont-Aignan. 

La Pologne montre la voie du sursaut national. 

À quand la France ?«

Cette victoire du PiS a un goût de revanche, le parti conservateur a perdu les élections législatives de 2023.

 C’est donc une cohabitation qui se profile, entre un Parlement dominé par des forces centristes, et le président nationaliste-conservateur. ■

Source :https://www.jesuisfrancais.blog/2025/06/03



Pologne : le patriote Karol Nawrocki élu président

La dictature européiste n’a pas réussi à truquer l’élection

Mais on a eu chaud ! Pendant toute la campagne électorale, des sondages gouvernementaux préparaient les esprits.

 Ils donnaient le nationaliste Karol Nawrocki distancé de vingt points par Rafał Trzaskowski, un snobinard gauche caviar européiste, chouchou de la nomenklatura. 

Les plus zélés des faiseurs d’opinion affirmaient sans sourciller que le futur vainqueur serait éliminé dès le premier tour !

Durant toute la durée du dépouillement, les médias menteurs ne cessaient d’annoncer une légère avance au candidat européiste. 

Le truc classique pour brouiller les pistes. 

Et à la dernière minute, trouver des « bulletins miracle » qui déclarent élu le désigné par le Nouvel Ordre Mondial et la bande à Pustula.

 

La recette a fonctionné aux USA en 2020, en Moldavie l’an dernier et en Roumanie cette année. 

Mais là, il semblerait que malgré les listes falsifiées et les morts revenus voter, l’écart était trop important. 

 Même s’ils l’ont ramené à 49/51 pour ne pas humilier leur favori.

 

Karol Nawrocki, un nom qu’il va falloir retenir

Ah ces Polacks, ils ne peuvent pas s’appeler Dugland, Panzani ou Mamadou comme tout le monde. 

On va quand même faire un effort pour s’en souvenir, ce type a l’air d’un mec bien.

Âgé de 42 ans, le représentant du parti Droit et Justice donne des renvois aigres aux mondialistes. 

Il clame haut et fort son admiration pour Donald Trump qui l’a reçu à la Maison-Blanche avant le premier tour. 

Cette rencontre a soulevé en Pologne des accusations d’ingérence américaine dans l’élection. 

 D’autant que la secrétaire américaine à la Sécurité intérieure, Kristi Noem, a soutenu Nawrocki lors d’une conférence fin mai en Pologne.

 Mais c’est toujours pareil.

 Le droit de soutenir des candidats que l’Eurocrature s’octroie, elle voudrait l’interdire aux autres.

Histoire de déplaire un peu plus aux européistes, il a invité les réfugies ukrainiens à déguerpir. 

Ces gens créent trop de problèmes et coûtent trop cher. 

Qu’ils aillent donc se battre pour leur pays, puisqu’ils l’aiment tant. 

Le Zygomyr recrute. 

Profitez-en !

 

Question l’Ukraine, il joue avec le feu

Le sentiment anti-russe des Polonais est aussi vivace que leur détestation des Boches. 

Et ils ne manquent pas de bonnes raisons pour ça.

 Envahis, occupés, dépouillés, assassinés. 

Ces gens ne sont pas des amnésiques Bisounours formatés par les merdias comme en France.

Sans que son pays cesse, pour le moment, de servir de gare de transit à l’armement destiné à l’Ukraine, le nouveau président s’oppose fermement à l’adhésion de ce pays à l’Otan et dénonce les aides accordées aux réfugiés ukrainiens par l’Eurocrature. 

Avec l’argent détourné par Bruxelles dans les contributions polonaises quand les injonctions de Pustula ne suffisent pas.

 La Pologne a connu un boom économique récent, plus de 3 % de croissance annuelle, et les rapaces se pressent pour s’emparer du magot.

 

Dans une vidéo, Karol a déclaré que les prestations sociales devraient être destinées aux Polonais et que, dans les files d’attente chez les médecins et dans les hôpitaux, les Polonais devraient avoir la priorité. 

 Enfin quelqu’un qui n’a pas honte d’afficher sa préférence nationale ! 

Avec son slogan « La Pologne d’abord, les Polonais d’abord », Karol Nawrocki a fustigé l’Eurocrature qui a imposé plus d’un million de parasites ukrainiens dans son pays.

 « Pour la plupart des fainéants, des profiteurs, des malappris et des voyous » selon lui.

Il a également reproché à Kiev d’avoir fait preuve d’ingratitude pour les efforts que les Polonais ont consenti en leur faveur, et il a accusé le clown Zygomyr d’insolence et d’arrogance quand il a débarqué à Varsovie comme en territoire conquis. 

Tempêtant, éructant, glapissant et trouvant qu’on n’en faisait jamais assez pour sa pomme. 

Avant de présenter la liste de ses exigences comme à Paris, Londres, Berlin et Washington au temps du gaga zombie.

 

Un parcours irréprochable

Né à Gdansk en 1983 dans une famille anticommuniste, Karol Nawrocki a été champion de boxe amateur dans sa jeunesse. 

Ce qui ne l’a pas empêché de récolter un doctorat en histoire et un MBA en commerce et management international. 

Mens sana in corpore sano.

 

Il a été directeur du musée de la Seconde Guerre mondiale et depuis 2021, il dirige l’Institut de la mémoire nationale chargé d’enquêter sur les crimes nazis et communistes. 

 Enfin quelqu’un qui traite à égalité les deux variétés les plus abjectes du socialisme. 

Il n’absout pas les uns pour accabler les autres.

 

Un bémol que Vladimir serait avisé de rectifier : l’an dernier, le Kremlin a ajouté Nawrocki sur sa liste des personnes recherchées en raison de ses démarches entreprises pour déboulonner des monuments de l’ère soviétique. 

Une gaffe, alors que le Polonais pourrait devenir un allié de circonstance contre l’Allemagne.

 

Il a ciblé Pustula et Hitmerz pendant sa campagne électorale, en réclamant que Berlin verse à la Pologne des réparations pour les saccages et les massacres commis pendant la Seconde Guerre mondiale. 

Mais aussi en prônant la mise en place de contrôles à la frontière avec son voisin afin d’empêcher l’entrée de migrants dont les Boches se débarrassent pour ne pas donner du grain à moudre à l’AfD. 

Après la tentative grossière de la néo Gestapo de l’interdire.

 

Des lancers de boules puantes

Lorsqu’il est apparu qu’il avait une chance d’être élu malgré les sondages truqués, on a essayé de le mouiller dans un scandale immobilier monté de toutes pièces. 

Après quoi, il s’est trouvé d’anciens condisciples pour prétendre qu’il aurait été portier dans un bordel quand il était étudiant. 

Un petit boulot comme un autre. 

Si c’est vrai, c’est moins croustillant que l’histoire de cette  très haute personnalité de l’UE qui se serait faite enfiler dans des pornos quand elle était jeune. 

On lui a reproché ensuite d’avoir écrit, en tant qu’historien, des bouquins sur des personnages peu recommandables, tels que l’oligarque criminel de l’ère communiste, Nikodem Skotarczak. 

Ouvrage publié sous pseudo. 

Pour les illettrés, c’est louche. 

Et pour couronner le tout, puisqu’il a coordonné une enquête sur le crime organisé, on l’a accusé de complaisances envers des gangsters. 

On voit bien là le niveau des attaques des pourritures de l’Eurocrature. 

Des pervers, des psychopathes, des tarés et des drogués qui se piquent d’être des parangons de vertu et accusent les autres de leurs vices.

 

Pourra-t-il gouverner ?

La Constitution polonaise est celle d’une république parlementaire avec un équilibre des pouvoirs entre l’exécutif et le législatif. 

Si le chef de l’État dispose de peu de prérogatives, il a un droit de regard sur les affaires étrangères et la défense. 

Mais aussi il peut exercer son pouvoir de veto sur l’action et les initiatives du Parlement.

Son veto ne peut être annulé que par une majorité de trois cinquièmes au Parlement. 

Difficile à trouver dans un système où seize partis se bouffent le nez entre eux. 

Tout doit se négocier pour éviter le blocage quand ils sont en situation de cohabitation.

 Comme c’est déjà le cas depuis deux ans, quand les européistes ont gagné les législatives, mais ont été encadrés dans leur ferveur mondialiste par Andrzej Duda, le président sortant, conservateur eurosceptique.

Le gouvernement devrait donc rester sous la direction de Donald Tusk, selon un fonctionnement déjà éprouvé. 

Avec au moins un point d’entente avec le nouveau président. 

Tusk n’est pas immigrationniste. 

Il a annoncé son projet de suspendre le droit d’asile pour enrayer le tsunami migratoire.

Puisque l’exécutif et le législatif sont d’accord sur ce point, des décisions pourraient être prises rapidement.

 Mettant le quatrième Reich et ses vassaux dans une position inconfortable. Fripounette a déjà osé « mettre en garde » Nawrocki dans un message aigre doux.

 Pourvu qu’on ne nous l’assassine pas !

 

Par Christian Navis

Source :   https://climatorealist.blogspot.com/

 

ET AUSSI


La Pologne se choisit un président souverainiste : l’historien Karol Nawrocki

Patriote, eurosceptique, Karol Nawrocki, est atlantiste, méfiant à l'égard de Moscou et prudent vis-à-vis de l'Ukraine.
Capture d'écran X
Capture d'écran X

Karol Nawrocki, candidat souverainiste soutenu par le parti Droit et Justice (PiS), est devenu président de la Pologne en l’emportant, dimanche 1er juin, avec 50,89 % des voix, contre contre 49,11 % à son adversaire libéral, le maire de Varsovie Rafał Trzaskowski.

 

Sa candidature était pourtant handicapée par plusieurs « révélations » de ses opposants sur son passé, abondamment relayées par les grands médias conformistes. 

Opération immobilière « douteuse », participation à des trafics de prostituées, bagarres, liens avec des milieux nazis… 

Rien ne lui a été épargné, mais les Polonais n’ont visiblement pas donné beaucoup de crédit à ce tir de barrage le plus souvent nourri d’exagérations avérées ou d’accusations sans preuves.

 

Inconnu des Polonais

Mais Karol Nawrocki est surtout peu connu des Polonais

Né à Gdańsk en 1983, amateur de football et de boxe, il y a suivi des études d’histoire avant de soutenir, en 2013, une thèse sur « La résistance sociale aux autorités communistes dans la voïvodie d'Elbląg de 1976 à 1989 »

 Il a enfin obtenu un doctorat en sciences humaines, puis un MBA international en stratégie, gestion de programmes et de projets, finalisé à l’École polytechnique de Gdańsk en 2023.

 Après avoir travaillé une première fois pour l’Institut de la mémoire nationale de 2009 à 2017, il y est revenu en en devenant le président Parlement en juillet 2021, après un intermède comme directeur au musée de la Seconde Guerre mondiale de Gdańsk.

Patriote, proche du syndicat Solidarnosć, Karol Nawrocki, comme une majorité de Polonais, ne porte pas spécialement Moscou et Vladimir Poutine dans son cœur. Plutôt enclin, pour cette raison, à soutenir l’Ukraine, il s’est par contre opposé, lors de sa campagne présidentielle, à l’adhésion de celle-ci à l’OTAN, critiquant à plusieurs reprises Volodymyr Zelensky.

Aligné sur la position atlantiste et pro-américaine traditionnelle de la Pologne, Karol Nawrocki est un fervent admirateur de Donald Trump, qui l’a fortement soutenu pendant sa campagne.

 Souverainiste revendiqué, il n’a jamais caché sa méfiance envers l’Union européenne et sa franche hostilité à l’encontre du fédéralisme de l’oligarchie en place au sein de la Commission de Bruxelles.

 La perspective de sa victoire changeait donc radicalement la donne entre Varsovie et Bruxelles, la Commission européenne se montrant bien moins atlantiste, depuis la récente déroute des démocrates américains.

 

Bête noire d’Ursula von der Leyen

Karol Nawrocki a donc logiquement été la bête noire d’Ursula von der Leyen durant cette campagne présidentielle.

Avant même le premier tour, cette dernière s’était, reconnaissait Le Monde, « montrée particulièrement accommodante à l’égard de la Pologne sur plusieurs dossiers clés, notamment l’immigration ou le Pacte vert pour l’Europe ».

Malgré les campagnes dont il a été la cible, Karol Nawrocki a tout de même réussi à se qualifier pour le second tour en talonnant son rival (29,54 %, contre 31,36 %). 

Donné perdant par les sondages, il a cependant bénéficié d’un excellent report de voix (87 %) des électeurs de Sławomir Mentzen, du parti Konfederacja (Confédération), arrivé troisième avec 14,81 % des voix, mais aussi de ceux de Grzegorz Braun, candidat royaliste, qui avait rallié 6,34 % des suffrages au premier tour. Si Karol Nawrocki ne l’a finalement emporté que de justesse, sa victoire est renforcée par une forte participation de plus de 71 %.

 

Félicité par Meloni, Orbań et Le Pen

La présidente de la Commission européenne s’est sans surprise contentée d’un communiqué très sobre, se déclarant « confiante dans la poursuite d’une très bonne coopération avec Varsovie »

Celui de Jean-Noël Barrot n’est guère plus enthousiaste, et celui d'Emmanuel Macron hésite entre félicitations et avertissement : « Continuons de bâtir une Europe forte, indépendante, compétitive et respectueuse de l’État de droit. »

  L’Italienne Georgia Meloni s’est de son côté fendue d’un message autrement plus sympathique : « Meilleurs vœux pour son mandat à la tête d’une nation avec laquelle nous partageons des valeurs communes, des liens de coopération solides ainsi qu’une amitié historique. 

Bonne chance. 

» Ton amical, aussi, de la part de Viktor Orbań et de Marine Le Pen, pour qui cette élection est une « bonne nouvelle » et « un désaveu pour l’oligarchie de Bruxelles ».

 Devenu président, Karol Nawrocki dispose désormais d'un droit de veto face au gouvernement polonais, libéral et pro-bruxellois.

 Le gouvernement ne pourra contourner ce veto qu'en réunissant une bien improbable majorité qualifiée de trois cinquièmes des députés.

 Une défaite cuisante (encore !) pour les européistes et les mondialistes.


 Source :    https://www.bvoltaire.fr/


TWITTER 

 


Le Parti de la France adresse ses chaleureuses félicitations à Karol Nawrocki qui vient d'être élu Président de la République de Pologne. 
 
 L'élection d'un homme qui ose s'affirmer catholique, patriote et conservateur est une bonne nouvelle dans une Europe fracturée entre ceux qui veulent défendre notre civilisation et ceux qui, comme Macron chez nous, s'emploient à la détruire. 
 
 Souhaitons qu'il puisse, malgré les limites constitutionnelles de sa fonction, être un contrepoids aux réformes folles et dangereuses du gouvernement de Donald Tusk, celui-ci imposant à une vitesse folle les nombreuses lubies progressistes à une société polonaise qui était, jusqu'à récemment, préservée de ces immondes plaies.
 
 Que les prochaines législatives soient un échec pour ces traîtres de la Plateforme Civique et ouvrent la voie à une victoire de Droit et Justice ainsi qu'aux nationalistes de Braun ou de Mentzen qui ont obtenu des résultats tout à fait honorables lors du 1er tour de cette élection présidentielle. 
 
 J'avais visité la Pologne il y a quelques années quand Droit et Justice était encore au pouvoir, j'y avais trouvé une société saine, conservatrice, patriote et catholique sans aucune pudeur laïcarde.
 
 Iannis Moriaud - 
Membre du Bureau politique du Parti de la France
 
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