mercredi 21 mai 2025

NON, LE RACISME ANTI-BLANC N' EST PAS UNE INVENTION ! ( OLIVIER VIAL )

 REVUE DE PRESSE !

À l’université de Grenoble, le « mois de l’égalité » vire au racisme anti-Blancs

 

« Le monde a mal. Normal, il est dirigé par des blancs et des mâles ». 

 Cette phrase, gravée sur les parois vitrées d’un bâtiment universitaire, n’est pas sortie d’un trublion militant, mais a bien été affichée à l’Université Grenoble Alpes (UGA) dans le cadre officiel du « mois de l’égalité ».

 L’initiative visait, selon l’université, à sensibiliser étudiants et personnels aux discriminations. 

Pourtant, ce sont une quarantaine de messages ouvertement hostiles aux hommes blancs qui ont été installés en mars dans la galerie des amphithéâtres du bâtiment Pierre-Mendès-France.

 

Outre la phrase précitée, figuraient notamment : « Aux échecs comme dans la vie, les blancs ont un coup d’avance » ; « Le racisme est juste blanc » ; « La terre est monochrome comme un arc-en-ciel » ; ou encore : « J’aimerais grand-remplacer le gouvernement français ».

 

Ces inscriptions ont provoqué la colère du syndicat étudiant UNI, qui a dénoncé une « propagande anti-blancs » et lancé une pétition réclamant leur retrait immédiat ainsi qu’une enquête interne.

Dans un communiqué, l’UNI dénonce : « Ces messages inacceptables encouragent le racisme à l’encontre des personnes blanches et diffusent l’idée woke selon laquelle nous serions dans une société systématiquement raciste. »

 

Un désaveu tardif de la présidence de l’université

L’université a fini par réagir. Interpellé par la pétition, le président de l’UGA, Yassine Lakhnech, a ordonné le retrait des messages polémiques.

 Selon Le Figaro, l’entourage du président affirme qu’il n’aurait eu connaissance de ces slogans qu’après l’alerte du syndicat, ce qui signifierait qu’aucun membre de la direction n’avait emprunté la galerie depuis plus de deux mois.

Dans un communiqué officiel cité par Le Dauphiné Libéré le 14 mai, l’université indique : « Le contenu de ces messages a été élaboré lors d’ateliers artistiques par des personnels et des étudiants. 

 

 Leur contenu n’est pas à l’initiative de l’établissement. 

 Malheureusement, certains messages ont échappé à la vigilance de l’Université ». 

Elle assure que les slogans seront retirés « dans les plus brefs délais », regrettant qu’ils aient pu « heurter la sensibilité de certaines personnes ».

Sur X, l’Université Grenoble Alpes a confirmé par la suite l’effacement des slogans polémiques :

 

Une instrumentalisation idéologique sous couvert d’art

L’atelier en question a été encadré par l’artiste grenobloise Petite Poissone, 42 ans, connue pour ses slogans engagés.

 Sur son compte Instagram, elle partage régulièrement des inscriptions dans la même veine, comme « L’homme est la gale de la femme » ou des invectives contre des personnalités ciblées par des mouvements féministes, comme le rapporte Le Figaro.

 

L’affaire a provoqué une onde de choc bien au-delà du campus. 

Olivier Vial, directeur du Centre d’études et de recherches universitaires, a résumé sur X l’indignation de nombreux Français : « Non, le racisme anti-blanc n’est pas une invention ». 

Et d’ajouter : « Certaines universités franchissent un pas supplémentaire en assumant ouvertement cette haine raciale sous couvert d’art ».

Alors que les universités sont de plus en plus traversées par des idéologies militantes, cette polémique soulève une nouvelle fois la question du rôle des établissements publics dans la diffusion de messages politiques radicaux, mais aussi de leur capacité à faire respecter les principes républicains qu’ils prétendent défendre.

 

Crédit photo : capture réseau social X (photo d’illustration)

 

ET AUSSI


La haine et la bêtise sont les symptôme d’une société malade. 

Les responsables sont ailleurs 

[L’Agora]

 

Chaque semaine, c’est la même rengaine. 

L’extrême gauche s’indigne, vocifère, s’égosille. 

Un jour, ce sont quelques morceaux de porc déposés devant une porte d’immeuble à Lorient

 La veille un meurtre dans une mosquée.

 Le surlendemain, une femme licenciée pour avoir porté le voile. Ou, inversement, une autre à qui l’on aurait arraché ce voile dans la rue.

Les réseaux sociaux s’emballent.

 Les éditorialistes de plateau dégainent leurs petites indignations calibrées.

 Et les procureurs de la République – dans leur rôle désormais politique – se mettent en branle pour pourchasser ce qu’ils appellent « la haine raciste », « l’islamophobie », « l’atteinte à la cohésion nationale ».

Alors posons les choses clairement.

Oui, ces actes sont haineux, imbéciles. 

Oui, ils sont condamnables.

 Ils ne relèvent ni du courage ni de l’honneur. 

Ils sont le fruit de la bêtise, de la méchanceté, de l’abrutissement, parfois d’un mal-être profond, souvent d’une forme de violence gratuite que tout homme sain d’esprit, tout père de famille, toute mère aimante, tout citoyen équilibré ne peut qu’abhorrer.

Mais la vraie question n’est pas là.

 

Qui a rendu ce pays aussi malade, aussi instable, aussi explosif ?

Qui a, à force d’utopies toxiques et d’ingénierie sociale délirante, transformé nos villes et nos villages en poudrières multiculturelles ? 

 Qui a laissé faire – voire encouragé – l’importation massive de mœurs, de traditions, de religions, de communautés si éloignées des nôtres qu’elles ne peuvent coexister sans conflit ? 

Qui a imposé ce vivre-ensemble forcé alors que tout, absolument tout, démontrait que ce vivre-ensemble serait un vivre-séparé, puis un vivre-contre ? 

Qui a rendu fou, au sens littéral du terme, des millions de gens sur un même territoire, si bien que les médecins spécialisés en la matière ne cessent de tirer la sonnette d’alarme ?

 

Ce ne sont pas les identitaires.

Ce ne sont pas ceux qu’on insulte en les appelant « fascistes », « suprémacistes », ou « extrême droite ». 

Ce ne sont pas ceux qui veulent préserver ce qu’ils sont, qui veulent simplement transmettre ce qu’ils ont reçu.

 Ce ne sont pas ceux qui refusent de disparaître dans le grand mélange tiède et insipide d’un monde hors-sol.

 

Ce sont les autres.

Ce sont les apôtres du sans-frontiérisme. 

Les utopistes en chemises Mao ou en sarouels. 

Les petits soldats de l’idéologie des droits de l’homme mal digérée.

 Les idéologues de LFI et leurs relais médiatiques. 

Ceux qui ont cru – ou fait semblant de croire – que l’homme était un animal interchangeable, sans racines, sans mémoire, sans identité.

Ce sont eux, les vrais pyromanes.

Ils ont versé l’essence sur le sol depuis trente ans.

 Ils ont brisé les frontières.

 Ils ont moqué les traditions. Ils ont conspué les enracinés. 

Et maintenant que quelques étincelles apparaissent ici et là, ils feignent la surprise.

 Comme des enfants qui auraient joué avec un baril de poudre et s’étonneraient de l’explosion.

Ils dénoncent la violence, la haine, la radicalité ? Très bien.

Qu’ils commencent donc par se dénoncer eux-mêmes.

 

Car les habitants de ce pays n’ont pas besoin de leçons de morale.

 Ce pays a besoin de lucidité.   Il a besoin de regarder le chaos en face. 

Ce chaos, ce n’est pas le produit d’une poignée d’individus isolés ou d’agitateurs d’extrême droite. 

C’est le résultat logique et mécanique d’un système fou.

Un système qui voulait faire d’une civilisation ancienne, une start-up de la diversité.

 Un système qui pensait que l’on pouvait empiler les communautés comme des briques sur une maquette sans que jamais ne survienne l’effondrement.

 Alors oui, demain sera violent.

 Non pas à cause de ceux qui l’avaient prévu. 

Mais à cause de ceux qui l’ont semé.

Et le pire, c’est qu’ils le savent.

Par Julien Dir

 
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