dimanche 26 octobre 2025

LOUVRE : LA FRANCE NE PROTÈGE PLUS SON PATRIMOINE ! LA SÉCURITÉ GRANDE ABSENTE DELA RÉACTION POLITIQUE !

 


 

Cinéma, Louvre, service public : le grand naufrage de la culture subventionnée

Dans son dernier numéro d’I-Média, diffusé sur TV Libertés, Martial Bild et Floriane Jeannin dressent un constat sans appel : derrière la façade de l’« exception culturelle française », c’est tout un système de gaspillage et de dérive idéologique qui saigne le contribuable. 

Entre le braquage du Louvre, la déconnexion du cinéma subventionné et les excès du service public audiovisuel, le tableau est celui d’un pays où la culture n’est plus au service du peuple, mais d’une caste hors sol.

 

Le braquage du Louvre, symbole d’un pays désarmé

Tout commence par une image sidérante : celle du vol des diamants de la Couronne dans la galerie d’Apollon au Louvre. 

En huit minutes à peine, les cambrioleurs ont dérobé pour 88 millions d’euros de bijoux royaux, sans être inquiétés.


Martial Bild y voit le symbole d’une France qui ne protège plus son patrimoine : « Peut-être est-ce le mépris de la République pour tout ce qui représente la royauté », ironise-t-il.
Le musée, dirigé par Laurence des Cars, vantait récemment ses vitrines « dernier cri ». Elles n’ont pas tenu face à une disqueuse. 

Quant à la sécurité, elle fut aussi absente que la réaction politique. 

Emmanuel Macron, loin de sanctionner, a félicité la direction et appelé à « tenir bon ».

Cinéma français : exception culturelle ou propagande d’État ?

Le cœur de l’émission porte sur le cinéma français, que Martial Bild décrit comme une « machine à subventions ». 

Selon un rapport de l’Inspection générale des finances, 1,2 milliard d’euros d’argent public est englouti chaque année dans cette industrie.
 

Le CNC (Centre national du cinéma) ne représente qu’une partie de cette manne : les aides indirectes – crédits d’impôts, préachats par France Télévisions, défiscalisations – font grimper la part de financement public à 40 % du coût total d’un film.

Et les résultats sont désastreux :

  • Tout pour une : 10,6 millions d’euros de budget, 14 000 entrées.
  • Le grand déplacement : 17 millions d’euros, 130 000 entrées.
  • Papa Mobile, avec Kad Merad, 1,2 million d’euros, 500 entrées.

 

Chaque spectateur de ces films a donc coûté plus de 300 € au contribuable

Un record d’inefficacité et de mépris du public.

 Pendant ce temps, des documentaires comme Sacré Cœur, produit sans subventions et empêché d’affichage par la RATP, réalisent plus de 200 000 entrées.

 

Pour Bild, cette dérive n’a plus rien à voir avec la culture : « C’est une industrie subventionnée, fermée, déconnectée du public et protégée de tout sauf de la médiocrité. »

 

Le service public audiovisuel, temple de la connivence

L’émission revient aussi sur les dérives du service public, qui engloutit 4 milliards d’euros par an. 

Entre les Duamel omniprésents, les micros ouverts de France Info révélant les réflexes idéologiques des journalistes, et les plateaux complaisants de Quelle Époque, la télévision publique ressemble davantage à un entre-soi qu’à un espace d’information.

Martial Bild raille « l’extrême centre » des journalistes de salon, toujours prompts à se présenter comme neutres : « Ils pensent tous la même chose.

 C’est la même doxa qui diffuse depuis quarante ans. »

La séquence rend aussi hommage au magazine La Furia, victime d’une censure administrative après le retrait de son agrément presse par la CPPAP, suite aux pressions de SOS Racisme et SOS Homophobie.

 Une mesure qui illustre parfaitement le climat d’intimidation visant toute presse dissidente.

Quand la médiocrité devient un modèle d’État

Le constat dressé par I-Média dépasse la simple critique du cinéma ou du Louvre. 

Il dénonce un système culturel sous perfusion, où l’argent public sert à entretenir un réseau idéologique plutôt qu’à soutenir la création.
 

Pendant que les films subventionnés sombrent dans l’indifférence, les œuvres enracinées et indépendantes sont marginalisées.

 Pendant que le Louvre se fait piller, la bureaucratie culturelle parle de « renaissance ».

Dans un pays où la culture a longtemps forgé l’identité du peuple, elle est devenue l’instrument d’un pouvoir sans racines.


Un pognon de dingue, pour une culture qui ne produit plus que du vide.

 

Crédit photo : DR (photo d’illustration)
[cc] Article relu et corrigé par ChatGPT. Breizh-info.com, 2025, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

 


[POINT DE VUE] 

 

« Casse du siècle » : une opération déjà anticipée par… Fantômette !

 

 

 

 
 
La France se montre à la planète pour ce qu’elle est devenue : un mixte entre village Potemkine et jungle urbaine.
FANTOMETTE

Au sujet du vol des bijoux impériaux dans l’une des galeries du Louvre, tout ce que l’on sait a déjà été écrit. 

Les voleurs courent toujours, les bijoux sont dans la nature et la police est sur les dents, selon la formule consacrée par la presse spécialisée.

 C’est peut-être le moment de prendre un peu de champ et de rire, malgré tout, de cette mésaventure, « de peur d’être obligé d’en pleurer », comme dit le Figaro de Beaumarchais.

« Et hop ! On a la main sur l’objet »

Le HuffPost relaie ainsi la remarque pertinente d’un internaute : le vol des bijoux aurait pu être planifié dans un roman policier.

 En l’occurrence, il s’agit d’un roman jeunesse, puisque c’est dans Appelez Fantômette, 29e opus de la saga de Georges Chaulet, que l’on voit le Furet (l’un des antagonistes récurrents) échafauder un plan machiavélique pour s’introduire dans le célèbre musée du Louvre. 

 « Il suffit de poser une échelle contre le mur, de grimper au premier étage.

 Ensuite, on casse le carreau, on fait dix mètres, on brise la vitrine d’un coup de marteau, et hop ! On a la main sur l’objet », dit ainsi le célèbre voleur. 

Malheureusement pour lui, on sait que le Furet est mal entouré : ses deux complices, Bulldozer, un colosse qui ne pense qu’à manger, et Alpaga, un élégant qui ne rêve qu’à ses prochains costumes, ne lui sont jamais d’aucun secours dans la préparation de ses sinistres entreprises.

Georges Chaulet a écrit cinquante-trois tomes des aventures de Fantômette, certains inspirés de l’actualité (on peut citer le groupe Novembre noir, décalqué de Septembre noir, dans Fantômette ouvre l’œil), d’autres issus de sa féconde imagination.

 Statistiquement, il a forcément eu des visions de l’avenir en tirant sur le fil des possibles. Il y a peut-être d’autres « coups » en préparation, dans les pages de la Bibliothèque rose.

 Hélas ! Il ne se trouve aucun Œil de Lynx, prêt à mener son enquête, parmi les journalistes de plateau… et surtout, il nous manque une Françoise Dupont, écolière modèle le jour, justicière facétieuse la nuit, pour régler leur compte à ces malandrins en TMAX.

 Rachida Dati aurait pu reprendre le rôle de Fantômette : elle en a la vivacité d’esprit, la repartie sans complexes et la silhouette élancée.


Mille pompons ! comme disait la jeune héroïne : elle a préféré dénoncer une « récupération indigne », alors que c’est objectivement la facilité avec laquelle ce larcin a eu lieu qui est indigne…

Des malfrats décomplexés

En effet, on rigole, on rigole, mais cette histoire est symbolique à plusieurs titres. D’abord, la France se montre à la planète entière pour ce qu’elle est devenue : un mixte entre village Potemkine et jungle urbaine. 

Paris, décor de théâtre pour bobos aveugles et touristes guidés, est présentée au monde comme une succession d’étapes prestigieuses, élégantes et chargées d’Histoire. 

En réalité, c’est un lac d’eaux usées dans lequel surnagent, comme des croûtons dans une vilaine soupe, les restes de notre grandeur passée. 

L’irruption de malfrats décomplexés, en plein jour, en pleine rue, dans un Louvre dévitalisé, en est une nouvelle preuve éclatante. 

Surtout, la comparaison entre la littérature jeunesse d’autrefois et le « sentiment d’insécurité » contemporain est terrible. 

On arrêtera bientôt, espérons-le, ces gentlemen cambrioleurs en scooter. 

Et il y a fort à parier que ce ne seront pas de nouveaux Lupin.

Pour terminer sur une note légère, on signalera aux amateurs le dernier tome de la série, Fantômette amoureuse.

 

Dans ce livre touchant, Françoise, devenue jeune fille, remet une dernière fois son costume pour lutter contre Éric, fils de son vieil ennemi le Masque d’argent. Ils tombent amoureux, Éric renonce aux méfaits et ils fondent un groupe de rock avec leurs amis.

 Un peu comme Rachida Dati, notre ministre de la Culture, quand elle dansait au milieu des rappeurs (« Pourquoi l’invitation de Rachida Dati dans une émission de rap provoque un tollé sur les réseaux », Libération) ?

 Source  :  https://www.bvoltaire.fr/point-de-vue-

 

 

 

 

 

 

 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire