samedi 25 octobre 2025

UN ACTE DE COURAGE CULTUREL ! CHAMBORD DIT NON À LA PROPAGANDE SUBVENTIONNÉE.......

 LU, VU ET ENTENDU !

Chambord dit non à la propagande subventionnée : enfin un acte de courage culturel

Photo : Dorian Mongel

C’est une décision rare, presque audacieuse dans la France des années 2020 : le château de Chambord a osé dire non. Non à un « spectacle historique » conçu par Patrick Boucheron, figure de l’extrême gauche universitaire – l’un des coupables de la monstrueuse cérémonie d’ouverture de J.O. de Paris -, et par Mohamed el-Khatib, metteur en scène habitué des subventions d’État et des provocations pseudo-artistiques. 

Non à la récupération idéologique d’un monument qui incarne, à lui seul, la grandeur monarchique et l’âme française.

Le directeur du domaine national, Pierre Dubreuil, a été clair : Chambord ne sera pas « l’otage d’un discours militant ». Une phrase simple, mais d’une rare lucidité dans un monde culturel gangrené par le conformisme progressiste.

 Car derrière les mots « spectacle historique » se cachait évidemment une relecture idéologique de notre passé, à la manière habituelle de M. Boucheron — ce professeur au Collège de France qui, depuis des années, s’emploie à déconstruire l’histoire de France au nom d’une repentance sans fin.


L’homme n’en est pas à son coup d’essai.

 Scénariste de la cérémonie d’ouverture des JO 2024, il avait déjà transformé un événement censé célébrer la France en un tableau militant où s’entremêlaient wokisme, inclusion forcée et inversion des symboles. 

Il voulait désormais importer cette vision du monde au cœur de Chambord, chef-d’œuvre de la Renaissance voulu par François Ier, joyau de pierre érigé pour glorifier la puissance du royaume.

Mais voilà : tout ne s’achète pas avec l’argent public.

 Le projet devait coûter près de deux millions d’euros, alors que le domaine lance en parallèle une campagne de dons pour restaurer l’aile François Ier.

 Le contraste est saisissant : d’un côté, la France réelle, celle des mécènes, des artisans, des donateurs qui veulent préserver leur patrimoine ; de l’autre, la France subventionnée, celle des metteurs en scène politiques qui vivent d’une rente culturelle financée par les contribuables.

 

En refusant ce projet, Pierre Dubreuil rappelle que le patrimoine n’est pas un terrain de jeu idéologique. 

Un château n’a pas vocation à devenir le décor d’une culpabilisation collective ou d’un manifeste sociétal. 

Chambord appartient à la France éternelle, pas à une poignée d’universitaires convaincus que l’histoire doit être réécrite pour plaire à leur époque.

Ce refus, espérons-le, fera école. 

Il prouve qu’on peut encore, dans ce pays, défendre la beauté et la mémoire sans plier devant les injonctions du politiquement correct.

Chambord a choisi la fidélité à l’histoire plutôt que la soumission à la mode.

 Et pour une fois, dans la France des renoncements, cela mérite d’être salué.

 

Source :     https://lalettrepatriote.com/chambord-


ET AUSSI


Le château de Chambord refuse un spectacle « militant » de Patrick Boucheron

Cette annulation est vivement dénoncée par Libération, qui y voit une victoire de « l’extrême droite ».
Capture écran Domaine national de Chambord
Capture écran Domaine national de Chambord

Libération est aux cent coups. 

C’est avec effroi que le quotidien d’extrême gauche a rapporté, ce jeudi 23 octobre, l’annulation d’un spectacle qu’il attendait manifestement de pied ferme : une œuvre « historique » conçue par Patrick Boucheron et Mohamed El Khatib, devant être installée au château de Chambord en 2027. 

 

Après avoir été présenté au directeur du domaine national, Pierre Dubreuil, ce son et lumière a finalement été refusé au motif que la programmation de l’établissement public ne devait pas être « l’otage d’un discours militant » et ne saurait être l’instrument politique « d’un camp comme de l’autre ».

 En clair, l’administrateur des lieux renvoie dos à dos la tendance actuelle des spectacles immersifs inspirés du Puy du Fou et l’approche plus « inclusive » - d’aucuns diraient « déconstructiviste » - des créations basées sur une relecture woke de l’Histoire de France.

Pierre Dubreuil a par ailleurs évoqué la question des finances pour justifier son refus. 

Le show « inclusif » des sieurs El Khatib et Boucheron devait en effet coûter la bagatelle de deux millions d’euros. 

On ne se refuse rien, à gauche, surtout quand on vit d’aides et de subventions publiques… Mais pour les deux intéressés, la question budgétaire est « secondaire ».  

« Cette fin de non-recevoir […] fait le jeu de l’extrême droite qui tente de s’emparer du patrimoine pour en faire un récit mystificateur de la France. » Et le duo d’ajouter : « Qu’un responsable d’établissement public soit astreint à un devoir de réserve est une chose. Qu’il garantisse la liberté d’expression et de création des artistes qu’il accueille en est une autre. »

  Sur la même ligne, le député LFI de Seine-Saint-Denis Bastien Lachaud a dénoncé, sur X, une « censure » qui donne « la nausée ».

La liberté d’expression à géométrie variable

Où étaient ces grands défenseurs de la liberté de création et d’expression pour dénoncer l’annulation de la projection, à Marseille, du film Sacré-Cœur, prévue ce mercredi 22 octobre ? 

Aux abonnés absents, bien évidemment. Libération s’est même fendu d’un article pour justifier cette censure, expliquant que la projection d’un tel film, dont la « nature confessionnelle » faisait « peu de doute », dans le château de la Buzine était incompatible avec la loi de 1901.

Quid du spectacle Murmures de la cité, prévu à Moulins dans l’Allier, l’été dernier, et que certains avaient tenté de faire annuler en raison de liens supposés entre ses organisateurs et « l’extrême droite » 

Là encore, Libération ne s’était pas posé en défenseur de la création artistique. Au contraire, le journal avait publié une tribune appelant à « la vigilance » envers des œuvres historiques accusées d’imposer « une conception identitaire, raciste et fanatique de l’Occident chrétien »

La panique morale de la gauche culturelle

N’en déplaise à Libération, la « guerre culturelle » dénoncée à cor et à cri au moindre spectacle vantant un tant soit peu le patrimoine français est avant tout menée par la gauche.

 C’est cette dernière qui impose, avec grand succès et depuis plusieurs décennies, sa vision de l’Histoire et ses valeurs à travers l’Éducation nationale, le ministère de la Culture ou l’audiovisuel public.

 Elle s’offusque des quelques initiatives privées d’un Pierre-Édouard Stérin mais trouve parfaitement légitime que les spectacles militants d’un Patrick Boucheron soient financés avec l’argent du contribuable. 

Rappelons que c’est ce dernier qui était aux manettes de l’affreuse cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris 2024, dont la réinterprétation de la Cène par des « queers » hante encore nos esprits.

Quant à Mohamed El Khatib, son engagement à gauche est un secret de polichinelle : Libération nous a ainsi appris que cet « ancien thésard en sociologie » a voté Mélenchon au premier tour de la présidentielle de 2017 et s’est abstenu au second. Entre deux créations rappelant ses racines « au bled » ou vantant les mérites de sa « vraie » France, le metteur en scène a, par ailleurs, trouvé un autre moyen de faire parler de lui, en septembre dernier. 

Il avait alors publié une offre d’emploi pour laquelle les candidats devaient être, « sans condition, pour la reconnaissance immédiate d’un État palestinien »… Une mention qui avait suscité l’ire légitime de nombreux Français. 

 « Cette annonce est une discrimination illégale et inacceptable !, s’était alors ému Yonathan Arfi, président du CRIF. En rétablissant un délit d’opinion, le metteur en scène Mohamed El Khatib franchit toutes les lignes rouges.

 Il doit être poursuivi en Justice et ses soutiens publics doivent être résiliés. »
 

Évidemment, il n’en a rien été. Mohamed El Khatib a, depuis, continué d’être activement promu par la gauche. En août dernier, encore, Libération lui consacrait un élogieux portrait dans lequel l’artiste dénonçait… le racisme.

 

Picture of Jean Kast

Par  jean Kast
Journaliste indépendant, culture et société

 Source :  https://www.bvoltaire.fr/

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