vendredi 31 octobre 2025

RAPHAËL ARNAULT UN DÉPUTÉ FRANÇAIS EN ROUE LIBRE ........

 

Le député LFI Raphaël Arnault salue une mobilisation violente au Pays Basque contre un orateur conservateur

Alors que des affrontements ont éclaté à Pampelune lors d’une contre-manifestation antifasciste visant à empêcher une conférence de l’activiste espagnol Vito Quiles, le député français Raphaël Arnault a publiquement félicité les personnes mobilisées, qui se sont livrées à des violences pour certains. 

Une prise de position qui n’étonne pas vu le Pedigree d’un député en roue libre.

 

Jeudi 30 octobre, la ville basque de Pampelune a connu une nouvelle flambée de violences politiques. Des centaines de militants d’extrême gauche se sont rassemblés autour de l’Université de Navarre pour empêcher la tenue d’un débat public de Vito Quiles, jeune communicant espagnol proche des milieux conservateurs, engagé dans une tournée universitaire inspirée du modèle américain de Charlie Kirk.

Très vite, la mobilisation a dégénéré : jets de projectiles, poubelles renversées, tirs de balles en caoutchouc et gaz lacrymogènes mais aussi violente agression ont rythmé la journée et soirée. 

Deux manifestants ont été interpellés, plusieurs policiers, un étudiant et un journaliste blessés.

 L’université, sous tension, avait déjà suspendu les cours par crainte de débordements.

Mais c’est la réaction française qui interpelle. 

Sur le réseau X, Raphaël Arnault, député LFI du Vaucluse et ancien porte-parole de la Jeune Garde antifasciste, a félicité les manifestants basques pour avoir « bloqué les néonazis » et salué leur « résistance ». 

Aucun mot, en revanche, sur les violences commises.

Pampelune abrite une forte présence d’étudiants d’extrême gauche à l’Université, mais aussi au sein des supporteurs de football locaux du club d’Osasuna, les Indar Gorri – par ailleurs nationalistes basques.

L’épisode de Pampelune révèle les fractures grandissantes au sein de l’Europe occidentale sur la question de la liberté d’expression et de la violence politique

Tandis que les uns y voient un réflexe antifasciste légitime, d’autres rappellent que le débat d’idées ne se défend pas à coups de pavés.

 Et que lorsqu’un député français applaudit une émeute et une agression violente à l’étranger, c’est moins la démocratie qu’il défend que la spirale dangereuse de l’affrontement idéologique.

Crédit photo : DR (photo d’illustration)

ET AUSSI

 

Nouvelle réglementation sur les armes blanches : l’État désarme une fois de plus le peuple, pas les délinquants

Alors que les agressions au couteau se multiplient en France, le gouvernement a choisi de durcir une fois de plus la législation… non pas contre les voyous, mais contre les citoyens ordinaires.  

Un décret du 5 septembre 2025 et un arrêté du 4 juillet 2025 viennent en effet modifier en profondeur la réglementation sur la détention, la vente et le port des armes blanches.

 Officiellement, il s’agit de « renforcer la sécurité publique ». 

Dans les faits, cette réforme illustre une tendance lourde : restreindre toujours davantage les libertés individuelles, au nom d’une sécurité que l’État n’assure plus.

 

Les couteaux “zombie”, les poings américains et les couteaux automatiques désormais interdits

Depuis septembre 2025, plusieurs armes blanches autrefois en vente libre sont désormais classées en catégorie A1, c’est-à-dire au même niveau juridique que les armes de guerre.

 

Cette classification concerne notamment :

  • les couteaux “zombie”, ces lames massives, dentelées et décoratives ;
  • les poings américains, y compris ceux combinés à une lame ou un dispositif électrique ;
  • les couteaux papillon (ou balisongs) et couteaux automatiques à ouverture assistée ;
  • les armes de jet telles que les étoiles de ninja.

 

Leur vente, acquisition et détention sont désormais interdites. 

Les particuliers et commerçants qui en possèdent doivent les remettre à la police ou à la gendarmerie avant le 7 décembre 2025.

 Passé ce délai, la sanction pourrait être lourde : jusqu’à 5 ans de prison et 75 000 euros d’amende (on imagine bien les tribunaux déjà engorgés, les policiers sans moyen, venir débarquer à 6h du matin pour arrêter un Papi « terroriste » possédant chez lui un couteau papillon, puis le faire juger et condamner).

 

Des commerçants sous surveillance préfectorale

Les magasins non spécialisés devront obtenir une autorisation préfectorale pour vendre certaines armes blanches encore tolérées (poignards, matraques, couteaux à cran d’arrêt).
 

Ces armes, désormais classées en catégorie Da, ne pourront être commercialisées qu’après validation administrative, avant le 7 mars 2026

Les boutiques devront également afficher clairement l’interdiction de vente aux mineurs — y compris sur les sites internet — comme les armureries.

En clair : même les coutelleries ou boutiques de loisirs devront se soumettre à la même bureaucratie que les vendeurs d’armes à feu.

 

Une pénalisation croissante des usages ordinaires

La réforme ne s’arrête pas aux objets explicitement interdits.

 Le port ou le transport d’une arme blanche sans motif légitime reste strictement prohibé — et l’interprétation du “motif légitime” demeure laissée à l’appréciation des forces de l’ordre.

Ainsi, un simple couteau de poche, un tournevis ou une paire de ciseaux peuvent être considérés comme une arme s’ils sont transportés sans justification jugée valable. 

La sanction ? Un an de prison et 15 000 euros d’amende.

Cette logique absurde conduit à criminaliser l’outil, non le geste, et à placer chaque citoyen sous suspicion.

 Un artisan, un pêcheur, un randonneur ou un agriculteur transportant son couteau peuvent désormais être inquiétés.

 

Un prétexte sécuritaire, une dérive liberticide

La réforme fait suite au rapport “Mineurs et armes blanches”, remis au Premier ministre après plusieurs faits divers dramatiques impliquant des adolescents : meurtres à Châteauroux, Paris, Crépol ou Nogent-sur-Oise.

Mais une fois encore, l’État choisit la solution la plus simple : punir le peuple, plutôt que d’affronter les causes réelles de la délinquance.

Les mineurs impliqués dans ces affaires ne se procuraient pas leurs armes en coutellerie, mais sur les réseaux sociaux, notamment via Snapchat, où circulent librement des armes de contrebande livrées à domicile.

 Le gouvernement préfère donc encadrer les commerçants légaux plutôt que de démanteler ces trafics numériques.

 

Le désarmement des citoyens : un reniement du contrat social

Depuis des années, la législation française s’oriente vers un désarmement complet des citoyens

Après les armes à feu, voici les couteaux, les outils et même certains objets du quotidien désormais surveillés, restreints ou interdits. 

Ce durcissement permanent trahit une philosophie politique claire : l’État ne fait plus confiance à son peuple.

Pourtant, dans la conception classique du contrat social, les citoyens acceptent de confier le monopole de la force à l’État en échange de la protection de leur sécurité et de leurs libertés.

 Mais lorsque la puissance publique échoue à protéger les Français contre la délinquance et la violence de rue, tout en leur interdisant de se défendre, le contrat est rompu.

La société se retrouve alors dans une situation paradoxale : ceux qui respectent la loi sont désarmés, pendant que les délinquants, souvent multirécidivistes, continuent de circuler armés en toute impunité.

Cette réforme, présentée comme un simple ajustement réglementaire, s’inscrit dans un mouvement plus large : celui d’un État qui gouverne par la méfiance, préférant restreindre la liberté des citoyens plutôt que de restaurer l’ordre public.

Au lieu de s’attaquer au cœur du problème – la violence gratuite, les bandes, le trafic et la perte d’autorité de la loi – le pouvoir choisit de complexifier la vie des honnêtes gens.

Une politique de contrôle généralisé, où le couteau du paysan devient suspect, mais où le dealer continue de régner dans la rue.

 

La sécurité sans liberté n’est plus la sécurité, mais la servitude

Sous couvert de “prévention”, la nouvelle réglementation sur les armes blanches achève d’enfermer les Français dans une logique d’impuissance.

Le gouvernement désarme le peuple pour mieux masquer son échec à désarmer les voyous.

Et dans un pays où la justice recule et où la police avoue son épuisement, cette réforme n’est pas un signe de sécurité retrouvée, mais le symptôme d’un État défaillant qui n’assume plus son rôle de garant du contrat social.

YV

Illustration : Photo IA
[cc] Article relu et corrigé (orthographe, syntaxe) par ChatGPT.

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