jeudi 13 février 2025

ENSAUVAGEMENT ET RACAILLISATION EN BRETAGNE ! LES UNIVERSITÉS FACE À UNE MONTÉE DE LA VIOLENCE ET D' INTIMIDATION !

 

Ensauvagement. 

Dernières nouvelles de la « racaillisation » de la Bretagne

Fougères, capitale bretonne des véhicules incendiés, a une nouvelle fois vu une voiture partir en fumée dans la nuit du mardi 11 au mercredi 12 février. 

Selon le journal local La Chronique Républicaine, le véhicule (un Renault Scenic) avait été volé dans la nuit du lundi 10 au mardi 11 février avant d’être incendié près des jardins familiaux du Gué Pailloux. 

Une enquête de police a été ouverte suite à ces faits, sans qu’aucune interpellation n’ait eu lieu jusqu’à présent.

À Rennes, un adolescent âgé de 15 ans a été interpellé mardi 11 février après avoir tiré avec une carabine à plomb sur des passants qui traversaient à pied ou à vélo le pont Saint-Hélier.

 Quatre personnes ont été légèrement blessées. 

C’est depuis son domicile situé au premier étage d’un immeuble se trouvant à proximité que le mineur a donc fait usage de sa « carabine à  air comprimé, de catégorie D », selon le procureur de la République de Rennes. Une arme que des majeurs peuvent se procurer librement sur présentation d’une pièce d’identité.

Avant d’être interpellé, l’adolescent a même visé (sans les toucher) trois policiers de la brigade anticriminalité (BAC). 

Des drones ont finalement permis de le localiser. 

 Compte tenu de la proximité des voies ferrées avec le pont Saint-Hélier, le trafic ferroviaire a dû être interrompu durant une quinzaine de minutes.

Toujours en Ille-et-Vilaine, près de Guipry-Messac, commune sinistrée par les inondations de la fin du mois de janvier, une famille a été victime d’un cambriolage alors qu’elle avait été contrainte de quitter son domicile inondé. 

Une enquête de gendarmerie a depuis été ouverte.

Dans le Morbihan, à Vannes, c’est l’attitude irresponsable d’un chauffeur de bus BlaBlaCar qui a fait l’actualité ces derniers jours.

 Alors qu’ils procédaient à des contrôles de transports en commun dimanche 9 février, les policiers vannetais ont constaté que le chauffeur était positif aux stupéfiants. 

Pour couronner le tout, il conduisait sans permis. Il avait pris la route depuis Rennes à destination de la gare routière de Vannes et s’apprêtait à transporter 71 passagers sur la ligne Vannes-Paris.

Après avoir été placé en détention provisoire, l’homme âgé de 40 ans devra répondre de ces faits devant la justice le 4 mars. 

 

ET AUSSI

 

Pour la dissolution de l’Université de Rennes 2 : halte au naufrage universitaire ! 

[L’Agora]


Chaque année, des millions d’euros de l’argent du contribuable sont engloutis dans des filières sans avenir, dans des campus gangrenés par l’idéologie gauchiste, dans des bastions d’agitations permanentes où l’on forme bien plus de futurs chômeurs que de professionnels compétents.

 Il est temps de poser la question qui fâche : pourquoi continuons-nous à financer des universités qui ne remplissent plus leur rôle premier, celui d’instruire et de former à des métiers utiles ?

Parmi ces trous noirs budgétaires, une se distingue particulièrement : Rennes 2, symbole absolu du naufrage universitaire français. 

Cet établissement n’est plus une université mais une ZAD subventionnée, où la pensée unique s’impose par la force, où le débat intellectuel est remplacé par le dogmatisme, et où chaque année, des centaines de diplômés en sociologie, sciences de l’éducation, psychologie, histoire de l’art et autres filières sans débouchés s’ajoutent aux cohortes des précaires, des militants sans cause et des futurs employés de fast-food.

 

Une université hors de tout contrôle

On pourrait au moins se dire que Rennes 2 offre un cadre propice aux études. 

Il n’en est rien. Grèves à répétition, blocages incessants, occupations de locaux, intimidations contre les étudiants identifiés à droite… 

Cette université n’est plus un lieu de savoir mais un laboratoire de l’extrême-gauche radicale, où l’on apprend davantage à ériger des barricades qu’à structurer une pensée critique.

Les épisodes de violence y sont devenus la norme.

 Menaces, agressions, censure idéologique, les étudiants qui osent exprimer des idées non conformes au dogme dominant sont ostracisés, voire physiquement pris à partie.  

Rennes 2 est devenue une zone de non-droit où les professeurs bien-pensants et la direction ferment les yeux sur la radicalisation croissante d’une partie des étudiants, tout en continuant à réclamer plus de financements.

Et pendant ce temps, l’État continue de dilapider l’argent public pour maintenir ces bastions idéologiques à flot.  

12 250 euros par étudiant : c’est le coût annuel de la formation universitaire en France, payé en grande partie par la collectivité.

 Dans une université où étudier est devenu mission impossible, où les diplômes obtenus sont aussi utiles qu’un ticket de métro composté, cette dépense est un non-sens absolu.

 

Stopper le gaspillage, réorienter les financements

L’argent public n’a pas vocation à financer l’endoctrinement. 

Il est temps de cesser tout financement aux établissements où il devient impossible d’étudier et où la seule finalité est de produire des bataillons de manifestants pour les prochaines grèves de la CGT ou de Sud Éducation.

 L’État n’a pas à payer pour des formations qui ne débouchent sur aucun emploi viable, hormis des postes subventionnés par les collectivités elles-mêmes.

Les 40,3 milliards d’euros dépensés chaque année pour l’enseignement supérieur devraient être réorientés vers des filières stratégiques : ingénierie, santé, artisanat, agriculture, numérique… bref, vers des formations qui répondent aux besoins du pays, et non vers des usines à agitation.

 Former des sociologues gauchistes supplémentaires ne réduira pas la pénurie d’infirmiers, d’ingénieurs ou de techniciens.

Pendant que Rennes 2 continue son cirque et réclame toujours plus d’argent, les contribuables voient leurs impôts partir dans un puits sans fond.

 

La solution : fermeture immédiate des universités inutiles

L’Université de Rennes 2 doit être dissoute. Et avec elle, toutes les universités qui, au lieu de former des professionnels, produisent des diplômés sans avenir, des assistés et des militants.

Si une université devient un champ de bataille idéologique permanent, si elle ne sert plus qu’à fabriquer du ressentiment, alors elle n’a plus de raison d’exister.

 La dissolution de Rennes 2 doit être le premier acte d’une reconquête du supérieur.

 Assez de ces bastions gauchistes financés par l’argent du contribuable ! 

Place à des formations utiles, exigeantes, adaptées aux besoins réels de la société.

La France n’a pas besoin de nouveaux sociologues décroissants ou d’étudiants en « études de genre ». Elle a besoin de médecins, d’ingénieurs, de chercheurs, de bâtisseurs. 

Il est grand temps d’en finir avec ces filières de l’inutile, et avec elles, les usines à chômeurs et à agitateurs que sont devenues certaines universités.

Par Marc Dufresne

 

ET AUSSI 

 

Nantes Université : l’extrême gauche dans une escalade de violence et d’intimidation


La faculté de Nantes est devenue, ces dernières années, un champ de violence politique e où l’extrême gauche, de plus en plus minoritaire, tente d’imposer ses vues par la force et l’intimidation. 

Les récentes agressions, menaces de mort et dégradations de bâtiments sur le campus du Tertre ne sont que les derniers épisodes d’une stratégie bien rodée visant à faire taire toute opposition. 

Mais jusqu’à quand Nantes Université laissera-t-elle faire ?

 

Dégradations, menaces et violences physiques : une montée inquiétante

ans la nuit du 7 au 8 février 2025, le campus du Tertre a été le théâtre de nouvelles violences. 

Une rave party illégale rassemblant 500 personnes a laissé derrière elle un paysage de destruction : tags haineux, menaces de mort, et un climat d’insécurité accru pour les étudiants ne partageant pas les opinions des militants d’extrême gauche. 

Parmi les inscriptions retrouvées sur les murs : des appels explicites à la violence contre l’UNI et ses membres.

Mais la radicalité ne s’arrête pas aux dégradations matérielles.

 Le 11 février, à la sortie d’une assemblée générale organisée par ces mêmes groupuscules, un élu du Conseil d’Administration de l’université, accompagné de trois autres étudiants, a été pris à partie et violemment agressé devant le bâtiment Censive. 

Vols, coups de poings au visage : une attaque qui aurait suscité une indignation nationale si elle avait visé des militants de gauche.

 Mais curieusement, le silence médiatique domine.

 

Une université complice par son inaction ?

Nantes Université, dont la direction condamne les dégradations récentes, aura tout de même du mal à masquer une certaine complaisance, au moins tolérance, à l’égard de l’extrême gauche.  

Toujours se souvenir des déclarations anti RN de la direction de l’Université en pleine période électorale, en irrégularité totale avec le devoir de neutralité politique.

 Depuis des années, l’établissement tolère l’organisation d’ »assemblées générales Antifa », véritables tribunaux idéologiques où toute divergence est réprimée. 

Loin d’être des lieux de débat démocratique, ces rassemblements servent d’arènes pour désigner les cibles et orchestrer les campagnes d’intimidation.

Face à la répétition des agressions, l’UNI et plusieurs étudiants dénoncent une politique de l’autruche de la présidence de l’université. 

Alors que la présidente Carine Bernault a bien déposé une plainte contre les dégradations, les militants de droite se demandent pourquoi des sanctions fermes ne sont pas prises contre les groupes qui sèment la terreur sur le campus.

 

Et si la droite ripostait ?

La situation soulève une question majeure : que se passerait-il si, demain, les étudiants de droite décidaient de répondre coup pour coup ?

 Si des groupes opposés à l’extrême gauche se mettaient à user des mêmes méthodes, en agressant et en menaçant leurs adversaires idéologiques ? 

Le tollé serait immédiat. 

Politiques, médias, associations, syndicats étudiants monteraient au créneau pour exiger des sanctions immédiates et crier à la menace fasciste.

Mais quand il s’agit d’intimidations et d’agressions perpétrées par l’extrême gauche, c’est le silence, voire l’excuse. 

Un deux poids, deux mesures flagrant, qui traduit bien la dérive idéologique d’un certain nombre d’institutions et de médias, plus prompts à défendre leurs alliés idéologiques qu’à dénoncer l’évidence.

L’université doit être un lieu de débat, de confrontation d’idées, et non un territoire livré à la terreur politique. 

Il est urgent que Nantes Université prenne ses responsabilités et cesse de fermer les yeux sur les agissements d’une minorité ultra-violente. 

À défaut, elle portera une lourde responsabilité si la situation dégénère encore davantage.

La droite étudiante, malgré les attaques, indique qu’elle ne cédera pas face aux intimidations.

 Et si l’administration ne veut pas faire respecter la liberté d’expression, alors il appartient à chaque étudiant attaché à la démocratie de se mobiliser pour exiger des comptes.


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